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Toutes des petites salopes – Chapitre 3




Il est 17h40 quand je sors de la salle de réunion. Tout s’est bien déroulé puisque la session de formation a duré 20 minutes de moins que prévu. Ça m’évitera d’attendre trop longtemps pour aller chercher Jenifer à son CFA. Je rassemble mes affaires et passe quand même à mon bureau pour voir si Sophie est encore là mais malheureusement non. Elle a dû partir à 17h dès qu’elle le pouvait pour aller faire la petite pute à sa pool party. Si des mecs se ramènent à l’improviste, elle va bouffer de la queue j’en suis certain.

J’envoie un message à Jenifer tout en marchant jusque ma voiture. Je monte rapidement et allume le moteur. Dans quelques minutes, je vais pouvoir me refaire une bite en bois en voyant ma p’tite sur.

En arrivant, je dépasse l’entrée de l’école de quelques mètres et continue jusqu’au gymnase. Jenifer est assise au sol, adossée contre une grille en métal. Elle se lève instantanément dès qu’elle reconnaît ma voiture et court vers moi (vraiment pressée de me voir la petite trainée à son grand frère).

— Super, t’as fait vite, me lance-telle en ouvrant la portière et en me claquant une bise.

— Oui j’ai fini assez tôt, dis-je en m’éloignant déjà de l’école. Et puis ça t’évite d’attendre des heures assises comme une malheureuse.

— C’est pas grave tu sais, ça fait qu’une semaine que j’ai commencé les cours, je me ferai des amies plus tard, me réplique-t-elle doucement.

— Ça je n’en doute pas.

Nous évitons quelques embouteillages sur la nationale en prenant des petites routes plus longues mais quasi désertes, si bien que nous arrivons rapidement à la maison. Jenifer sort de la voiture et va refermer le portail alors que je me dirige vers la porte de la maison. Nous entrons l’un après l’autre et soufflons un coup d’avoir enfin terminé le boulot. Jenifer enlève enfin ses chaussures pleines de mon foutre de ce matin. Elle a bien baigné dedans toute la journée, c’est un vrai régal de le savoir et ma queue remonte instantanément.

Maman est déjà à la cuisine, nous l’entendons siffloter doucement sur des airs disco qui passent à la radio : démodé mais ça reste agréable. Je prends un tabouret face au bar et entame une discussion tranquille avec elle, tandis que Jenifer est déjà montée là-haut sans même venir lui dire bonjour.

— Alors ça été le boulot aujourd’hui ? commençai-je.

— Oui… un peu fatiguée mais bon il fait beau et j’ai eu personne sur la route, ça reste agréable.

— Pareil pour nous !

— Nous ? s’énerve-t-elle.

— Euh oui, avec Jeni répondis-je plus qu’hésitant.

— Difficile de savoir si elle est rentrée pour moi, elle ne me parle jamais…

— Laisse du temps, tempéré-je. C’est l’âge un peu rebelle et pour l’instant elle n’a pas sympathisé avec d’autres jeunes à son CFA donc elle est sur les nerfs je pense.

— Mais ça dure depuis des mois et des mois !

Je me lève et contourne le bar pour lui faire un câlin pendant qu’elle s’acharne sur des pelures de carottes. – Allez ce n’est pas grave maman, dis-je doucement. Elle va revenir vers toi j’en suis sûr. Ne la braque pas et laisse faire le temps.

Elle pose sa main droite sur les miennes enroulées autour de sa taille et me remercie d’être là pour elle. C’est étrange mais même habillée de façon très sévère, elle me fait bander dès qu’elle me touche. Je me décolle d’elle alors assez rapidement pour ne pas qu’elle sente ma verge gonfler contre ses fesses. Je reste derrière elle à un mètre encore quelques secondes car son cul me donne très envie, elle porte un tailleur descendant aux genoux mais son cul bombé est tout de même bien moulé. Si je ne me retenais pas, je sortirais bien ma queue pour l’arroser de plusieurs jets de foutre !

En entendant l’eau qui coule à l’étage, je devine que Jenifer prend sa douche et je sais qu’il y a alors plus intéressant à faire. Je fais une bise à ma mère et monte les escaliers rapidement pour rejoindre ma chambre. Je pose mes affaires et me lance vers la salle de bain en espérant que Jenifer n’ait pas fermé à clé. Arrivé devant la porte, je presse légèrement la poignée mais je comprends vite que le loquet est bien sorti. Dommage… Je fais donc demi-tour vers sa chambre pour me mettre en quête d’un petit truc à elle, histoire de me vider rapidement et de faire redescendre la pression. Sa chambre est tellement bien rangée que s’en est à chaque fois choquant pour moi, jamais je n’ai vu une chambre de fille aussi ordonnée ! Les armoires sont remplies de vêtements pliés avec soin, les sous-vêtements rangés dans des tiroirs et classés par couleur et style. En faisant un tour d’horizon de la pièce, je tombe vite le regard sur une petite chose parfaitement pliée sur le lit. C’est une nuisette bleu nuit courte et moulante.

Bi matière (sûrement coton et lin), elle est opaque au niveau du fessier, transparente à partir des hanches en remontant jusque l’emplacement pour les seins. Le soutien-gorge intégré est fin à armatures, et un petit bijou brillant en forme de cur est poinçonné dans l’échancrure du décolleté, qui a l’air très profond d’ailleurs.

En dépliant la nuisette, j’aperçois un petit string minimaliste de la même couleur avec une dentelle transparente. Cette vision suffit à faire exploser le premier bouton de mon pantalon. Je déboutonne rapidement les deux autres afin de libérer le monstre de chair engendré par la lingerie provocatrice de ma sur. D’instinct je saisis la nuisette dans ma main et la positionne sur mon sexe pour me branler avec. Je prends garde à ne pas laisser couler de présperme sur le tissu mais plusieurs gouttes suintent déjà sur le gland. J’imagine déjà le corps de ma Jeni dans cette nuisette de salope et mon vas et vient sur ma queue devient plus intense, à tel point que je suis obligé de retirer ma main pour ne pas inonder sa lingerie. Comme le désir est trop intense, je vais vers son oreiller, soulève la taie et glisse ma queue dans l’ouverture pour me vider en plusieurs saccades. Le sperme fuse à une vitesse et avec une puissance inouïe et son oreiller est littéralement aspergé ! Je sors ma queue et colle le tissu de l’oreiller sur la taie, j’entends un bruit mouillé et suis ravi de savoir que ma sur posera la tête sur mon sperme séché ce soir.

Il me reste un peu de semence au bout du gland et je décide de l’essuyer à l’intérieur du petit string bleu. J’étale suffisamment pour que la trace soit quasi invisible.

L’eau ne coule plus dans la salle de bain. Par sécurité je sors rapidement en ayant pris soin de replacer l’oreiller à sa place et de plier la nuisette comme elle l’était. Je descends directement au rez-de-chaussée pour ne pas me branler à nouveau dans ma chambre, je préfère garder de l’énergie pour cette nuit.

Je rejoins ma mère dans la salle à manger pour l’aider à dresser la table. Elle a l’air épuisée mais reste souriante alors je discute un peu avec elle en attendant Jenifer.

Une quinzaine de minutes ont passé et j’entends des pas dans l’escalier. Je suis déjà tout émoustillé sans encore l’apercevoir, elle ne portera quand même pas sa tenue de pute ultra provocante devant ma mère et moi !? Elle apparaît finalement devant mes yeux dans son peignoir blanc qui lui arrive à mi-cuisses, rien que la vue de ses jambes encore mouillées me fait défaillir et je pousse un léger soupir de contentement.

En la voyant, ma mère ne dit rien, sur mes conseils, mais je sens son air de réprobation posé sur Jenifer. Et si elle savait ce que porte sa fille en dessous, elle serait carrément outrée. Surtout qu’elle me verrait de surcroit en train de défoncer la chatte de ma sur sur la table tellement elle m’allume. Mais bon elle n’en sait rien donc je lui laisse du répit vu comment elle a déjà l’air bien éprouvée.

Nous commençons à manger en silence et chacun raconte un peu sa journée, rien de réellement passionnant. En fin de repas, à ma grande surprise, Jenifer se lève pour aller chercher les desserts. En la suivant du regard, je me délecte de la vue de ses cuisses et de la naissance de ses fesses rebondies lorsqu’elle se penche quasiment la tête dans le frigo. Elle revient avec plusieurs laitages et nous finissons de manger rapidement. Jenifer nous aide à débarrasser et nous dit bonne nuit pour remonter dans sa chambre. Ma mère et moi faisons la vaisselle ensemble tout en discutant de choses et d’autres. Son téléphone se met à sonner, c’est son amie Virginie. Elle me fait un signe pour me dire « j’y vais » et part s’installer dans le salon pour répondre au téléphone.

Une fois le rangement fini, je monte à mon tour à l’étage et croise ma sur qui sort de la salle de bain : brossage de dents je présume. Elle me dresse un léger sourire et me souhaite bonne nuit avant de s’isoler dans sa chambre comme elle en a l’habitude chaque soir. De mon côté, je vais prendre ma douche pour me vider la tête de tous les événements de la journée : entre autres les éjaculations pour Sophie et Jenifer. En y repensant, je ne peux m’empêcher de m’astiquer encore une fois. Ma main s’active d’avant en arrière sur mon membre et je vois mes deux salopes du jour côte à côte. Je les imagine remuer leurs culs devant moi, me suppliant de les enculer profondément comme des chiennes et se battant pour récolter tout mon foutre dans leurs petites chattes serrées. S’en est déjà trop et je sens la jouissance monter. J’ouvre les yeux et me saisis de la bouteille de shampoing de Jenifer. J’ai tout juste le temps d’ôter le couvercle que les premières salves de mon sperme fusent dans la bouteille et s’abattent dans la substance rose bonbon déjà présente.

Je remplis la bouteille au maximum de mes réserves et referme l’opercule tout en remuant la bouteille pour bien mélanger et dissimuler toute trace de foutre.

Une fois bien vidé et rincé, j’entreprends de me brosser les dents et d’enfiler un boxer (je ne dors qu’avec ça d’une manière générale). En me rinçant la bouche, je songe au fait que Jenifer doit adorer se rincer les cheveux avec mon foutre. C’est tout de même étrange qu’elle ne remarque pas pourquoi sa bouteille de shampoing ne se vide quasiment jamais et dure plusieurs mois. Sûrement le bonheur d’avoir une trace brillante de son grand frère sur sa chevelure. Huuuum… Quelle petite salope !

Posé tranquillement sur mon lit, je mate un film de cul de Kimmy Granger. Elle y interprète une jeune fille qui se fait abuser par son grand frère. Ce dernier n’arrête pas de commenter de façon très crue ses photos Facebook et elle lui propose alors un marché : il désactive son compte et en échange elle lui laisse prendre des photos d’elle dénudées. Mais son frère finit par lui faire du chantage et va l’inciter à baiser. La petite Kimmy va adorer ça et supplier son frère de lui juter dans la chatte.

En matant la vidéo, ma main se dirige inlassablement vers ma queue mais je lutte de toutes mes forces pour y résister. Je me contiens pour faire monter l’excitation et l’envie au maximum car ce soir je suis en mission pour Jenifer. Elle m’a bien trop aguichée tout à l’heure avec sa nouvelle nuisette. Je ne sais pas pour qui elle l’a acheté mais je compte bien profiter de son corps dans celle-ci. Je décide de me lever et de passer aux choses sérieuses. J’hésite à prendre mon portable ou ma lampe torche mais je me dis que la lampe torche ne risque pas de sonner au moins.

Je m’en saisis et sors de ma chambre à pas de loup pour arriver devant la porte du désir : la porte de Jeni.

Je tourne le loquet de la porte très doucement et me glisse dans l’antre de ma sur. J’aime humer les odeurs de sa féminité, l’air de sa chambre dégage de subtiles odeurs de rose et une nuance légèrement fruitée de parfum qui me rendent fou d’excitation. Une fois la porte refermée derrière moi, je stoppe tout mouvement et écoute la respiration de Jeni pour être certain qu’elle est bel et bien endormie. J’entends un léger soupir et une respiration régulière qui s’ensuit. Cela me rassure et je presse alors le bouton de la lampe torche vers le haut pour illuminer un peu la pièce. Je dirige le faisceau de lumière blanche vers le bas de son lit, et avance à pas légers et réguliers. Tout en m’approchant du lit, je commence à distinguer son visage endormi sur l’oreiller. J’approche mon visage du sien et évalue le souffle de sa respiration. Elle est dans un sommeil profond. J’allume alors la lampe de chevet sur sa table de nuit et dépose ma lampe torche sur la moquette. Je retire immédiatement mon boxer car ma queue déforme déjà le tissu et me fait mal à rester compressée.

Il me faut un effort surhumain pour ne pas commencer à me branler en voyant ma sur allongée devant moi.

Etant certain que Jenifer ne se réveillerait pas, je saisis la couverture et la tire jusqu’au pied du lit. Je fais de même pour le drap qui la recouvre encore et c’est là que ma main attrape mon membre subitement. Jenifer est allongée sur le côté, la poitrine face à moi, les deux globes étant serrés et bien moulés dans sa nuisette. Ses jambes posées l’une sur l’autre sont un régal et je ne peux bien sûr pas m’empêcher de faire le tour du lit pour observer son petit cul bombé et incliné indécemment en raison de ses jambes légèrement relevées vers le haut de son corps. Son petit string bleu roi lui rentre dans le sillon de ses superbes fesses et je décide de mettre un petit désir en application. Je monte sur le lit à genoux et approche ma queue de son cul. Je glisse légèrement le bout du gland sur sa peau douce et frémissante en faisant des petits trajets répétés le long de ses fesses. Je ne peux résister encore longtemps alors je tente de soulever l’élastique du string qui remonte vers ses hanches et glisse ma queue entre le tissu et sa peau.

J’exerce alors un mouvement de vas et vient et le léger tissu du string me permet de ressentir une friction entre la peau de ma sur et ma bite chaude et pleine de sève. Je continue à me frotter de la sorte pendant deux minutes et cesse toute activité en sentant Jenifer bouger légèrement. Ma respiration s’accélère mais c’est finalement une fausse alerte. Ouf je respire à nouveau.

Je descends du lit tout en branlant encore mon membre turgescent et fait le tout pour m’astiquer devant le visage de ma sur. Elle semble si paisible, si rayonnante et innocente à la fois. Je sens que l’afflux de sang est de plus en plus fort et que le désir va bientôt arriver à son paroxysme. J’envisage juste de prendre une poignée de cheveux pour me finir mais c’est Jeni qui m’incite à autre chose. Je la vois entrouvrir légèrement les lèvres et c’est avec une assurance incroyable que je saisis l’opportunité qui s’offre à moi. J’approche ma queue de son visage et pointe mon gland sur ses petites lèvres si douces. Je n’ose pas m’y enfoncer mais ma sur ne dit rien et commence même à baver quelque peu sur mon morceau de chair. S’en est trop alors je m’insinue entre ses lèvres et fourre ma queue bien dure dans sa bouche chaude et humide. J’y ressens un tel plaisir que mes yeux se ferment par instinct et j’ai du mal à garder le contrôle de mon corps pour m’empêcher de lui baiser la bouche violemment.

C’est une lutte entre ma bestialité et moi-même qui s’amorce. Mais dans cette bataille, Jenifer vient me porter le coup fatal en enroulant sa langue autour de mon gland. Elle commence a tété le bout de ma bite comme une chienne et je l’accompagne de quelques mouvements de vas et vient pour ressentir des effets similaires à une bonne pipe. Elle bave énormément et ses lèvres aspirent légèrement ma queue en la suçotant. Je défaillis lorsque je l’entends pousser un petit gémissement de plaisir. Je me retire juste à temps de sa bouche pour lui envoyer plusieurs giclées de foutre au visage. J’inonde sa belle frimousse de crème blanche et épaisse et décharge toute mon excitation en me retenant de pousser des cris de satisfaction. Je finis de l’asperger jusque dans les cheveux et pointe le bout de mon gland sur ses lèvres pour essuyer les dernières gouttes de sperme qui perlent.

Je range mon braquemard dans mon boxer que j’enfile à nouveau. Je regarde le résultat de mon travail et je prends un pied monumental à voir Jenifer ainsi humiliée. Il va d’ailleurs falloir que je parte car mon membre commence à rebander. Mais avant de m’éclipser, je saisis plusieurs lingettes nettoyantes pour enlever le surplus de foutre sur le visage de ma sur. Ce serait bien trop suspect si elle se réveillait le visage tout collant. Néanmoins je ne peux tout récupérer dans ses cheveux, et je vois déjà des tâches brillantes se former. Ma petite salope est vraiment la plus belle et la plus bandante en cette nuit magique.

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