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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 29




Lundi 14 août. Jana ne travaillant donc que l’après-midi, nous a suggéré de rester au lit jusque vers 9 h, histoire de s’offrir une petite grasse matinée. Elle sait bien ce que nous allons faire ensuite, mais n’en a soufflé mot.

Je somnole, consultant de temps à autre ma montre. Quelques minutes après 9 h, je m’assois sur le bord du lit et m’apprête à me lever, quand on toque discrètement à la porte de la chambre : Eva apparaît, uniquement vêtue d’un t-shirt d’un bleu délavé qui lui sert de chemise de nuit :

« Tu as bien dormi, mon chéri ? J’ai préparé le petit-déjeuner à la cuisine ! Vas-y ! Je vais voir si ma sur dort encore !» dit-elle tout sourire.

Alors que je prends mon petit-déjeuner, je les vois arriver, toutes les deux. Un frisson d’excitation parcourt mon corps : elles sont nues, toutes les deux nues comme un ver !

« Nous avons pensé qu’il était inutile de faire notre toilette maintenant… on la fera après.

Mon regard va de la belle paire de seins de Jana, au fessier rebondi d’Eva. Elles m’offrent une mise en bouche d’une sensualité torride ! Quand je me lève de table, je ne parviens pas à cacher une érection monumentale.

Elles finissent à leur tour le petit-déjeuner, non sans que Jana s’interroge sur l’utilité de manger avant de faire un tel truc !

Il est pratiquement 9h45 quand les deux surs se déclarent prêtes. Dehors, le soleil commence à chauffer.

« On ira dans le garage, comme la dernière fois… j’espère que Rex sera en forme pour vous deux ! » Je souris, mais je vois bien que Jana n’est pas très à l’aise.

Les priant de m’attendre, je regagne ma chambre : je vais y chercher le vibromasseur, inutilisé ces derniers temps ! Quand je redescends, le voyant, elles échangent un regard. Puis tous les trois, nus, nous gagnons la cour.

Tandis qu’Eva s’approche de Rex, assis près de la porte du jardin, Jana et moi entrons dans le garage. Puis Eva entre à son tour, le chien sur les talons. On le jurerait déjà excité par ce qui se prépare ! Quant à Eva, elle tient dans une main le fameux pot de confiture de cerises qui servit tant la dernière fois. Puis, elle allume la lumière et pousse la porte du garage, avant de la fermer à clé.

« On ne sait jamais… c’est plus prudent ! Puis me montrant le pot : « Je l’avais caché ! Et je l’ai retrouvé intact ! » dit-elle, satisfaite. Puis elle jette un coup il sur la voiture paternelle, avant de juger l’espace suffisant.

Rex est nerveux, à la vue des corps nus de ses maîtresses. D’emblée, il s’approche de Jana et lui lèche les genoux. Instinctivement, elle recule et se retrouve dos à la calandre de la voiture.

« Va donc t’assoir sur le tabouret ! Tu seras plus à l’aise ! » lui suggère Eva.

Sera-t-elle le jouet des fantasmes de sa sur et de son ami ? Jana le pense, tout en s’asseyant sur le tabouret, placé contre le mur. Rex s’approche à nouveau d’elle, tentant de passer sa tête entre ses genoux.

« Ecarte tes cuisses ! Offre-lui ta chatte ! » lui dis-je. Hésitante, Jana finit par ouvrir ses jambes sans oser regarder Rex. Au premier coup de langue sur sa chatte, un frisson lui parcourt l’échine. Au deuxième qui passe sur son clitoris, c’est un plaisir oublié qui ressurgit. Elle a honte de ce qu’elle fait… mais c’est tellement bon ! Alors elle se lâche, ouvre grand ses cuisses et tend sa chatte à Rex, qui lape le sexe de sa maîtresse, sous le regard d’Eva, qui caresse ma queue en même temps.

Il ne faut pas longtemps pour que l’excitation gagne Jana qui cherche comment inciter Rex à lui lécher le minou sans interruption. Dès que celui-ci paraît se lasser, Jana se tripote la vulve pour la faire mouiller. Si bien que Rex revient la lécher à nouveau. Jusque-là, j’ai négligé Eva, bien qu’elle continue à me caresser la queue, me faisant bander à mort. Je lui passe ma main droite sur les fesses :

« Tu as un beau cul, tu sais ! Et tu dois mouiller de voir ta sur se faire laper le con de cette façon ! » dis-je, utilisant un langage cru, tant je suis excité par ce spectacle. Je lui passe ma main gauche sur sa chatte : ma petite cochonne a la vulve humide, à mater ce spectacle bandant. Eva semble fascinée. Durant un bon moment elle n’a d’yeux que pour sa sur qui commence à gémir de plaisir.

« Tu es vraiment excitée, nest-ce pas ? » lui murmurai-je à l’oreille, tandis que Jana perd pied, émoustillée qu’elle est, par cette langue canine.

« Tu crois qu’elle va satisfaire tous nos désirs ?… même les plus osés ? » dis-je, tout en malaxant ses fesses.

Eva me regarde, faussement étonnée : « Tu le penses vraiment ? » Puis elle ajoute :

« J’ai honte, de te l’avouer : j’ai très envie que ça se passe ainsi ! »

Maintenant, Rex lape avec ardeur la vulve de Jana, qui s’abandonne avec délice à cette caresse scabreuse. Son excitation monte chaque fois que la langue de Rex glisse sur son clitoris. Elle gémit tout en dodelinant de la tête, les yeux mi-clos, le souffle court. Ses cuisses sont largement ouvertes, pour permettre au chien de lui procurer un maximum de plaisir. Elle doit bien mouiller, pour que Rex la lèche ainsi.

« Elle aime ça, ta sur ! C’est une jolie salope ! » dis-je, tout en tripotant les fesses d’Eva.

« Tu aimes me tripoter le cul, nest-ce pas ? Et je vois bien que tu mates les nichons de Jana ! Tu n’as jamais autant bandé de ta vie ! » Elle s’en amuse, tout en massant ma bite, raide à me faire mal.

A un moment, l’ardeur de Rex faiblit et il a tendance à abandonner le léchage de la vulve. Jana paraît frustrée.

« Tu devrais le branler, Jana ! Le meilleur moyen de l’exciter à nouveau ! » Aussitôt dit, Eva, lâchant ma queue, s’agenouille au côté du chien et glisse sa main droite sous son ventre. Au bout de quelques palpations, une colonne de chair violacée, légèrement arquée, apparaît. Eva la saisit à pleine main et commence, doucement, à la branler.

« Tu vois, il aime ça, ce cochon ! Approche donc ! » Jana se lève du tabouret. Elle voit cette colonne de chair, et la main d’Eva qui la presse entre ses doigts. Rex réagit, haletant, la gueule ouverte.

« Beurk ! Ce n’est pas vraiment appétissant, tout ça ! Ça ne vaut pas une bite d’homme ! » dit Jana en regardant ma queue.

« Eh bien, tu vas le branler quand même ! Après tu changeras d’avis ! » dit Eva en saisissant le poignet droit de sa sur. Jana tente de résister, mais elle sent bien qu’on a envie de la voir faire ça. Alors, elle accepte. D’abord elle effleure du doigt cette colonne de chair, la bite de son chien. Ce simple geste lui procure un plaisir trouble ; alors elle finit par saisir le sexe de Rex à pleine main, se mettant à le masturber à son tour.

« Tu vois, ce n’est pas si difficile ! Et tu as l’air d’aimer ça, hein ? Comme Rex, d’ailleurs ! Regarde-le ! Il halète de plaisir ! Ce cochon ! Se faire branler par sa maîtresse nue ! » Eva est excitée par le spectacle. Elle se remet debout, et vient se placer face à la tête du chien.

« Allez, Rex ! Lèche-moi la chatte ! Lèche le con de ta maîtresse ! Fais-moi plaisir ! » Eva est déchaînée, elle se lâche. Je ne l’avais jamais vu comme ça. L’envie de me faire plaisir ? Ou simplement me montrer qu’elle s’est affranchie de bien des tabous ?

Je les regarde faire : Jana qui branle le chien et Eva qui essaie de se faire laper la moule en même temps. Jana est à genoux, les cuisses légèrement ouvertes : alors je me baisse et y glisse une main, jusqu’à ce que mes doigts touchent son abricot humide. Des gouttes de cyprine perlent. Cette cochonne mouille de masturber son chien ! Je commence par glisser un doigt entre les lèvres de sa vulve. A ce moment elle tourne la tête et me sourit. Et son regard se pose sur ma bite, toute raide de désir :

« Tu branles Rex et tu me suces en même temps ! » Un désir fou me taraude… faire d’elle une dépravée. Le gland de ma bite se pose sur les lèvres de Jana : « Suce, salope ! Tu as envie de ma grosse bite, hein ? » Jana ouvre sa bouche et ma queue ne tarde pas à coulisser dans ce conduit chaud et mouillé… un délice, d’autant plus que j’ai une vue plongeante sur les mamelles de Jana, ces grosses poires satinées qui se balancent doucement au gré de ses mouvements.

« Avant de faire jouir Bob ou Rex… si tu te faisais sauter par… Rex ? » Eva a posé, vicieusement, la question. Jana en est toute secouée :

« Quoi ? Me faire… sauter par Rex ? Tu n’y penses pas ! » Du coup, elle abandonne et ma bite et celle du chien, stressée qu’on ose lui demander ça.

« Tu te souviens de ma balade avec le mec et son chien, sur la plage, en Bulgarie ? Qu’il m’a poussée à se faire sauter par son chien… au début j’étais horrifiée… mais après… humm ! Une bite de chien dans le vagin, se faire ramoner… et jouir comme une folle ! Alors tu n’as pas envie de te faire monter par Rex ? » fait Eva, tentatrice.

Jana regarde le chien : sentir ce sexe animal, cette chose raide s’enfoncer dans son vagin, le ramoner, avant d’y déverser un liquide visqueux et tiède en quantité… Eva dit qu’elle a joui comme une folle. Elle veut bien jouir comme une folle, mais il faut faire cette chose dégoûtante à ses yeux. Eva la tire de ses pensées :

« Allons ! Je vois bien que tu en as très envie ! Et Bob a aussi envie que tu le fasses ! Tiens, ce sera plus confortable ! » Elle prend sur une étagère un rouleau en mousse synthétique et l’étale sur le sol.

« Allons ! Mets-toi donc à quatre pattes dessus ! » Jana se résout à le faire. Je vois ses affolantes mamelles qui se balancent. Eva guide le chien. Il commence par renifler le derrière de Jana, avant de plaquer quelques coups de langue sur ses fesses. Entre-temps, Eva a trouvé de vieilles moufles à enfiler sur les pattes avant de Rex. Jana ne peut s’empêcher de pousser un petit cri quand le chien, se redressant, pose ses pattes avant sur le dos de Jana. Morte de honte, elle sent cette immonde chose dure s’insérer entre ses fesses.

Puis Rex, instinctivement, s’active, mais sa queue s’agite dans le vide. Eva, froidement, la dirige sur la vulve de sa sur. Jana pousse un cri quand la bite du chien s’enfonce en elle. Maintenant Rex la ramone à coups de bite rapides. Jana sent un plaisir fulgurant monter en elle. Le ramonage est incessant, et Jana se met à gémir de plus en plus fort. Elle bave, elle couine. Puis, elle a une sensation étrange, celle de ne plus pouvoir se séparer de la bite du chien. Et Rex se vide en elle. Son vagin reçoit par à-coups, des jets de foutre. Jana jette un regard éperdu vers sa sur, se demandant quand cela s’arrêtera. Enfin, la délivrance arrive : Rex se retire, et Jana se remet debout, difficilement.

« Ouf ! Mais c’est qu’il est lourd, ce cochon ! » fait-elle, en grimaçant un peu. « Je dis : ce cochon, car il m’a fait jouir ! » Elle en est toute secouée.

Elle s’examine un peu, comme pour s’assurer que tout va bien. C’est là qu’elle voit un filet de foutre gluant s’écouler de son vagin et glisser sur sa cuisse : « Oh, non ! Eva, regarde-moi ce porc ! Il m’a rempli le vagin de sperme et maintenant ça coule partout ! »

Eva sourit pour avoir connu la même mésaventure. Elle me regarde : je bande à mort en matant Jana, souillée du sperme de chien.

« Ça t’excite, hein, de voir ma sur comme ça ! » me lance-t-elle, en voyant ma queue dressée. Puis, voilà que Rex s’approche à nouveau de Jana, lui renifle les cuisses, avant de… lécher le sperme gluant étalé dessus !

« Brave chien ! Il te nettoie en plus ! Et on dirait qu’il a encore envie de toi, ma parole ! » C’est que Rex, après avoir léché les cuisses de Jana se remet à lui lécher la moule, imprégnée de sa cyprine. Totalement libérée, Jana tend son ventre, pour un léchage maximum. Et quand sa langue passe sur son clitoris, elle est aux anges, gémissant de plaisir sans retenue.

C’est alors que je me glisse derrière Eva. Elle sent ma bite dure contre ses fesses :

« J’ai une envie folle de t’enculer… pendant que Jana se fait bouffer la chatte par son amant canin ! »

« Tu veux me fourrer le cul avec ta grosse bite ? » Eva s’exprime crûment, comme pour mieux m’exciter.

« Ouiiii ! Une envie folle… Comme ça ! » j’enfonce ma bite entre les fesses rondes d’Eva et colle mon gland sur sa rondelle. Et je me mets à pousser :

« Doucement, chéri ! Tu me fais mal ! Même si je mouille du cul… » tempère-t-elle. C’est vrai que ma bite s’insère dans son anus sans trop de mal ; surtout qu’Eva s’est penchée en avant pour me faciliter la tâche. Jana, toujours léchée par Rex, regarde sa sur se mordre les lèvres pendant que ma bite progresse dans son cul. Puis arrivé au bout, je commence à la ramoner doucement, puis de plus en plus sèchement. Ses seins ballottent, tandis qu’elle geint de plaisir, un filet de bave au coin des lèvres :

« Salope ! Tu as fait baiser ta sur par le chien ! Et maintenant je t’encule ! Je t’encule comme une pute que tu es ! » Excité comme un fou, je me lâche.

Puis, ne pouvant plus me retenir, j’envoie une grosse giclée de sperme dans son anus, suivie d’une autre. Eva couine de plaisir, comme une truie, tout aussi incapable que moi de maîtriser ses pulsions. Je reste un moment en elle, avant de me retirer. Eva est impressionnée :

« Eh bien ! Qu’est-ce que tu m’as mis ! Tu en avais vraiment envie, mon cochon ! Et vois ma sur : Rex l’a sauté et maintenant il continue de lui lécher la chatte ; je vais finir par croire qu’elle lui plaît ! »

Puis, en se tournant vers moi, Eva aperçoit le vibromasseur posé sur l’établi, à côté du pot de confiture :

« Il faudrait que Jana goûte cela, n’est-ce pas ? »

Eva s’empare du vibromasseur et le présente à sa sur :

« Tu as aimé ça, déjà, n’est-ce pas ? » lui dit-elle, avant d’ajouter :

« Bob aimerait bien t’enculer aussi avec sa bite… mais avec ce qu’il m’a mis… alors il va t’enculer avec le vibromasseur ! »

Jana me regarde, sans vraiment être surprise. Gagnée à la perversité ambiante, elle se sent prête à tout.

« Penche-toi bien en avant, et écarte les jambes ! » lui dis-je, tandis qu’Eva, de ses deux mains lui ouvre les fesses. Je me penche : son adorable petit trou est là. Pour faire pénétrer facilement le vibro, je le glisse d’abord dans la bouche d’Eva, qui le suce longuement. Puis j’introduis le bout dans l’illet de Jana, qui frémit. Puis je pousse un peu. Je la sens se contracter. Alors, je le ressors et le glisse dans la bouche d’Eva. Il faut quatre fois pour que le vibro s’enfonce entre les fesses sans trop de difficulté. Jana gémit, douleur et plaisir se confondant. Dès que la moitié du vibro est enfoncée dans l’anus, je déclenche le vibreur. Puis, lentement, je fais pivoter le vibromasseur.

Les gloussements de Jana emplissent le garage. Et la voilà qui pousse ses fesses contre le vibromasseur ! Elle râle, couine, se tortille. Eva lui tient la tête baissée d’une main, tandis que l’autre lui tripote les seins. Tout en maintenant le vibro en position avec la main droite, je pose l’autre main sur la moule de Jana, avant d’y enfoncer un doigt, puis deux. Elle est quasi en transes : le vibro dans le cul, deux doigts dans sa chatte, et une main qui excite ses nichons ! Je sens la cyprine dégouliner sur mes doigts, tandis que le corps de Jana est parcouru de frissons et de spasmes de plaisir. L’excitation atteint son paroxysme.

Puis elle jouit : un long râle, tandis que la cyprine coule sur ses cuisses et sur le sol. Je retire lentement le vibro, tandis qu’Eva veut voir le trou béant qu’est l’anus de Jana.

« Reste penchée ! » lui dit-elle, tandis qu’elle amène Rex devant. Sans doute intrigué par la vue de ce trou, il le renifle, avant d’y placer quelques coups de langue, à la grande honte de Jana :

« Oh ! Vous le laissez faire ça ! » proteste-t-elle… tandis qu’un plaisir malsain l’envahit.

Puis l’anus étant revenu à sa taille normale, Jana se redresse. Alors Eva saisit le pot de confiture posé sur l’établi :

« Une dernière expérience, ma sur ? Je t’enduis les nichons de confiture et Rex se régalera en léchant tout ça ! Allonge-toi sur le tapis !

Une fois Jana allongée sur le dos, Eva lui tartine ses belles mamelles de confiture de cerise. Et fait approcher le chien, qui ne se fait pas prier pour laper le tout, provoquant des bouffées d’excitation quand la langue canine s’attarde sur les tétons sensibles.

« Hummm ! C’est original… un plaisir vicieux auquel je n’aurais pas pensé ! » dit Jana, avec un sourire de contentement, avant de se relever.

« Ce n’est pas tout, mais je suis épuisée ! Je ne pensais pas faire tout cela ! Je me sens sale. Rex m’a léché partout, j’ai des traces de son foutre sur moi… De toute façon il doit être l’heure, non ? C’est que je travaille cet après-midi !» ajoute-t-elle, en soupirant.

Nous quittons donc le garage. Tandis que Rex retourne au jardin, nous entrons à la maison.

« Il est presque 11h15 » dit Eva, en regardant l’horloge de la cuisine.

« Bien ! Prenons une douche et mangeons ! Ainsi je pourrais me reposer un peu avant de partir travailler ! » dit Jana.

Nous entrons tous les trois dans la salle de bains. Les deux surs prennent leur douche ensemble devant moi, se frottant et se savonnant mutuellement leur corps. Puis c’est mon tour, tandis que les deux surs me regardent faire. Tout cela provoque une nouvelle érection qui les amuse.

Puis nous passons à table. Ensuite Jana se repose une bonne heure, avant de partir au travail. Une demi-heure plus tard, ce sont ses parents qui reviennent. Comme mon départ est prévu pour le lendemain, nous ne sortons pas, sauf pour aller au jardin. Puis je prépare mes affaires. Après le dîner, nous regardons la télé avec les parents, en attendant le retour de Jana, vers 22h 15. Peu après, nous allons nous coucher.

Mardi 15 août. Je me réveille peu après 7h. Quelques minutes plus tard, c’est Eva qui apparaît dans l’embrasure de la porte. Elle est vêtue de son t-shirt qui lui sert de chemise de nuit, très court et qui lui couvre à peine les fesses.

« Tu as bien dormi, mon chéri ? » murmure-t-elle en se penchant sur moi. Je vois ses seins se tendre et les tétons pointer sous le t-shirt.

« Tu es un coquin ! Je t’excite, hein ? » Sourire complice, avant d’ajouter :

« Tu fais ta toilette, tu t’habilles et rejoins-nous à la cuisine pour le petit-déjeuner ! »

Vers 7h45, je me retrouve, fin prêt, à la cuisine. Eva m’invite à s’assoir. C’est alors qu’arrive Jana. Ayant descendu furtivement l’escalier, elle entre dans la cuisine, aussi nue que la veille ! Joyeuse, elle me fait la bise. Eva ne s’étonne pas de la voir nue: cela doit faire partie de leur plan ! Puis elles disparaissent dans le réduit contigu à la cuisine où se trouvent les appareils ménagers. Elles réapparaissent au bout de quelques minutes, à poil toutes les deux !

Alors que je mange, elles me font un numéro incroyable :

« Bob, c’est un petit cadeau de nous deux ! Un souvenir pour toi ! Regarde ! »

Elles s’embrassent sur la bouche, mêlant leurs langues. Collées l’une à l’autre, debout, elles se tripotent les fesses. Puis c’est Eva qui suce les tétons des belles mamelles de Jana, qui lui rend la pareille. Puis Jana s’écarte un peu pour glisser la main droite entre les cuisses de sa sur, lui caresser la vulve, avant d’y introduire deux doigts. Comme Eva en fait autant, j’assiste à une masturbation réciproque. Et vu l’ardeur qu’elles y mettent, elles ont envie de se faire jouir. Dans le silence du matin, émerge ce bruit de clapotis causés par des doigts qui s’agitent frénétiquement dans des vulves inondées de cyprine. Elles gémissent du plaisir qu’elles se donnent sans retenue, devant moi. Je bande terriblement. Je les regarde faire, jusqu’au bout. C’est Jana qui jouit la première, la cyprine coulant sur ses cuisses. Eva la suit, qui doit être tellement excitée, qu’elle lâche carrément un petit jet !

« Ça t’a plu, chéri ? » me lance Eva, tout en s’approchant de moi.

« Je parie que tu dois bander dur… » Ses doigts se posent sur ma braguette.

« Ta grosse queue bien dure… Lève-toi, chéri et montre-nous-la ! »

Je me lève et, très vite, pantalon et slip tombent sur mes genoux, tandis que ma queue se dresse. Elles sont toutes les deux, face à moi. Aussitôt, elles se mettent à genoux, et Jana commence à me sucer, avant de passer ma bite à Eva. Et, elles se la passent, à tour de rôle, chacune essayant d’en engloutir un max, au point d’en avoir la bouche déformée !

C’est absolument électrisant, et je sens que je ne pourrais plus me retenir longtemps, tant ces deux ravissantes salopes y mettent de l’ardeur ! Finalement, je me libère dans la bouche de Jana : une giclée crémeuse à souhait, suivie d’une deuxième. Partageuse, Jana conserve le nectar dans sa bouche, avant d’en reverser une partie dans la bouche d’Eva, au moyen d’un sulfureux baiser. Puis, elles avalent leur part, tout sourire.

Je me rhabille, puis vais chercher mes bagages, au premier étage. Quand je redescends, elles ont revêtu chacune une mini-blouse. Il est un peu plus de 8h30. Je range les valises dans le coffre de la voiture. Les deux surs sont venues jusque devant le portail d’entrée. Quand je reviens vers elle, c’est Eva qui me prend dans ses bras et me colle un baiser torride, où subsistent les effluves de mon sperme. Mes mains se glissent sous sa blouse pour caresser ses fesses nues. Puis c’est au tour de Jana : un baiser chaud avec la langue, et toujours ces effluves de mon sperme. En me séparant d’elle, je lorgne sur le creux de ses seins, si attirants :

« Ça t’excite beaucoup mes nichons, n’est-ce pas ? » murmure-t-elle, tout en adressant un regard complice à sa sur. Puis je me dirige vers la voiture :

« A l’année prochaine ! » me lancent-elles, avant d’ajouter : « On t’écrira toutes les deux, pour te faire patienter ! »

Je monte. Le moteur tourne, la portière claque. Je démarre vite, ne voulant pas que les adieux s’éternisent. Je tourne à gauche, et elles disparaissent de ma vue. Je songe déjà à l’année prochaine. Je sais que ce sera différent : les deux surs ont passé en revue toute une série d’expériences et je sais qu’une complicité est née entre elles. Tout cela promet d’être chaud !

FIN  DE  LA  PREMIERE  PARTIE

Retrouvez les deux surs dans la deuxième partie : « Les surs Ukazovà, complices sexuelles ».

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