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un anniversaire aux Antilles – Chapitre 1




Le bateau, je le connais. Un catamaran de 12 mètres pouvant accueillir jusquà 8 personnes pour une journée de balade le long des côtes, sous le vent de lîle. Nous sommes à quai et les moteurs ronronnent au ralenti. Le programme, modifiable à la demande des clients, je le connais aussi et pour cause, cest moi qui lai mis au point : sortie au moteur, navigation à la voile, mouillage dans une anse discrète, baignade, déjeuner, baignade et retour. 4 à 5 heures à promener des touristes en espérant un beau pourboire. Il fait un temps idéal ciel bleu et juste assez de vent pour ne pas mourir de chaleur.

Les clients, eux, je ne les connais pas. Mais en voyant un couple dun certain âge savancer sur le ponton, je me doute que je vais bientôt faire connaissance avec les premiers.

— Bonjour, vous êtes Justin ?

— Tout à fait, bienvenue à bord.

Jaide la dame à enjamber les filières. Il sagit dun couple dune bonne cinquantaine dannées. Lui est largement dégarni, un peu bedonnant, un look qui me rappelle les photos que jai vu de Frédéric Dard, lauteur de San Antonio : une allure dindustriel cossu faisant attention à sa ligne. Je suis sûr quil joue au golf et au tennis. La dame, elle, est assez grande, assez pulpeuse également. Tous deux sont en shorts, et elle exhibe une peau bronzée qui me semble très lisse. Son visage encadré de boucles blondes, est souriant et très légèrement maquillé. Son tee-shirt dissimule mal une volumineuse poitrine. Par contre ses hanches sont assez minces. Elle a dû être une très jolie femme et elle a de beaux restes.

Je leur présente le bateau et les installe dans le cockpit.

— Voulez-vous quelque chose à boire : jus de fruits, café ou planteur bien quil soit un peu tôt ?

Ils se consultent du regard puis elle décide

— Allons-y pour deux planteurs. Ils ne sont pas trop forts ?

Je ramène leurs boissons qui étaient déjà prêtes dans le réfrigérateur du bateau.

— Ne vous inquiétez pas, ils sont légers. Il ne faudrait pas que vous soyez trop gais avant larrivée des autres clients

Lhomme réagit :

— Des autres clients ? Mais nous ne sommes que deux. Nous avons loué le bateau pour nous. Lagence ne vous a pas prévenu ?

La femme intervient

— Nous fêtons nos trente ans de mariage alors on se fait une petite folie

— Eh bien, bon anniversaire et puisque vous nattendez personne, en route !

Jembraye les moteurs et largue les amarres tandis quils sirotent leurs punch. En moi-même je me dis quils ont quelques moyens pour se permettre ce genre de plaisir. Mais jai cru discerner un léger accent chez elle. Ce sont probablement des suisses. Je vais les soigner et ils soigneront mon pourboire

Leurs boissons terminées, ils sengouffrent dans le bateau et ne tarde pas à ressortir en maillot de bain. Effectivement elle nest pas mal du tout pour son âge. Pas ou peu de ventre, des fesses un peu molles probablement mais appétissantes et une poitrine généreuse que son soutien-gorge peine à contenir.

Elle se dirige vers lavant du pont tandis que lui sapproche de moi.

— Dites-moi, jeune homme, nous sommes naturistes, cela ne vous choque pas ?

— Rien de me choque, monsieur, et sur les bateaux on vit souvent nus. Par contre, attention : le soleil tape dur et ils aiment les fesses blanches. Noubliez pas votre crème solaire et usez-en abondamment la réflexion sur leau pourrait vous bruler très rapidement. Il serait dommage de ne plus pouvoir vous assoir.

— Merci du conseil. Peut-on sinstaller sur le trampoline à lavant ?

— Pas de soucis la mer est calme. Mais vous ne serez pas à labri de quelques embruns.

— Bah, leau est chaude, nous prenons le risque Je vais chercher la crème solaire.

Nous sommes déjà hors du chenal. Tandis quil cherche sa protection solaire, jenclenche le pilote automatique et vais en pied de mât hisser la grand-voile.

La dame est étendue à plat ventre dans le trampoline. Elle na pas attendu mon autorisation pour se mettre nue. Elle est vraiment appétissante. Je ramasse son maillot qui git au pied du mât.

— Je range votre maillot à lintérieur pour éviter quil ne finisse à leau, lui dis-je

— Merci, vous êtes adorable.

De retour dans le cockpit jexplique brièvement le programme au mari qui, nu, senduit copieusement de crème. En bon mâle vaniteux je constate que question taille je nai pas avoir honte

Lhomme sinquiète :

— La baie où nous déjeunerons ne sera pas trop fréquentée ?

— A cette saison, il y a des chances que nous y soyons seuls

— Tant mieux, ma femme et moi tenons à profiter pleinement de cette journée. Pour vivre heureux vivons cachés.

Puis il sen va dans le trampoline rejoindre sa femme.

Jai coupé les moteurs, le bateau avance tranquillement sur leau transparente. Jhésite à envoyer le génois, la voile davant, car cela risquerait de faire de lombre à mes clients. Je décide de les laisser bronzer. Je vais à lintérieur du bateau ou, à la radio, je préviens mon compère Joseph de mon horaire probable darrivée à lanse où il réside. De la table à carte, jai une vue plongeante sur le cockpit et je vois lhomme qui consciencieusement enduit sa femme de crème solaire. Consciencieusement car je trouve quil insiste beaucoup sur les fesses et lintérieur des cuisses. Elle glousse et se retourne. Elle a une grosse poitrine, naturelle qui pend un peu et, bingo, cest une vraie blonde. Sa toison pubienne est taillée au cordeau. Lhomme continue ses caresses sur le hauts des cuisses tandis que dun geste naturel, elle sempare du sexe de son mari quelle commence à caresser. Un grésillement dans la radio me rappelle à mes obligations. Cest Joseph, mon compère qui a en charge damener le sublime colombo de poulet que sa femme cuisine et que je sers aux clients

— Hey Justin, tu mentends ?

— Oui Joseph.

Je parle bas dans le micro.

— Jétais perturbé par un charmant spectacle.

De fait, sur le trampoline, lhomme bande ferme et sa femme viens de se pencher sur son sexe. Ca y est, elle la mis dans sa bouche et entame une fellation experte.

— Tu verrais ça vieux frère. Bon oublie le colombo pour midi, je nai que deux clients et ils ont loué tout le bateau. Amène des langoustes

— Ti male, elle doit être pas mal ta cliente

— Tchembé raide

Jéteins la radio. Le couple est maintenant allongé sur le côté, lui, derrière elle, et à ses mouvements de bassin je comprends que la vie est belle pour eux.

Je regagne larrière du bateau et me remets à la barre. Et en parlant de barre, jen ai une sacrée dans mon short. Le fait de les entendre glousser narrange rien. Après un long moment, cest le silence Lhomme a dû arriver à bon port En tous cas ils me sont sympathiques avec leur sans gêne et leur totale impudeur.

Un claquement de vague dans une étrave, et des hurlements joyeux. Ils viennent de se faire doucher.

Effectivement je ne tarde pas à les voir revenir trempés. Lorsquelle marche ses seins libres de toutes entraves ballotent tellement quelle en amortit les mouvements de son bras replié. Ils sinstallent en riant dans le cockpit.

— Vous aviez raison pour les embruns Dites-moi, vous reste-t-il de ce planteur ?

Lhomme a la voix joyeuse du mâle après lamour. Et ce sont de joyeux drilles.

— Bien sûr

Je leur ramène deux punch glacés. La dame a pris ses aises. Elle est assise sur une banquette, tête en arrière, yeux fermés, les jambes tendues devant elle, pieds posés sur un siège et les cuisses légèrement ouvertes. Sa lourde poitrine est attirante, mais surtout, lorsque je passe devant elle, jai une vue plongeante sur son intimité.

Au moment où je vais regagner le poste de pilotage lhomme marrête.

— Vous en trinquerez bien avec nous ?

Je repars vers le carré et repasse devant la dame puis revient un verre de punch à la main et fatalement devant elle. A chaque fois je ne peux mempêcher de regarder ce sexe semi-ouvert, quasi offert. Mon état ne doit pas passer inaperçu car lhomme interpelle sa femme

— Jai limpression que tu ne laisses pas notre skipper indifférent, mon amour

Elle ouvre les yeux et son regard se fixe sur mon short, tandis que je suis affreusement gêné.

— Allons, je pourrais être sa mère..

Toujours est-il quelle tend la main et effleure la bosse que fait mon sexe en érection dans mon short.

— Cest vrai quil bande Vous nous avez vus dans le trampoline, cest ça

— Jai vu sans le vouloir, madame difficile de faire autrement

— Je vous lavais dit, très chère, que vous vous comportiez comme une chatte en chaleur. Regardez ce pauvre garçon maintenant. Vous ne pouvez pas le laisser comme cela

— Mais il ne voudra pas dune vielle femme, mon ami..

— Vous êtes très belle madame

— Flatteur

Elle a glissé sa main dans ma ceinture et mattire vers elle. Dune seule main, experte, elle a dégrafé ma ceinture et mon short tombe à terre. Je ne porte pas de slip et mon sexe tendu semble pointer vers son visage. Elle soupire :

— Ce serait dommage de laisser perdre cela

Elle finit son verre dun trait et se penche sur mon problème. La sensation de sa bouche rafraichie par la boisson sur mon sexe brulant est à crier de bonheur.

Son mari regarde la scène, confortablement installé en sirotant sa boisson. Je nose rien dire rien faire pour ne pas casser la magie du moment. La tête blonde monte et descend sur mon membre, aspirant, chatouillant, léchant. Le silence est intense seulement interrompu pas le clapotis de la mer sur les coques et les bruits de succion de ma cliente. Cest une experte en pipe et elle atteint son objectif : je sens le plaisir monter de mer reins et je me déverse dans la bouche accueillante. Elle a resserré ses lèvres autour de ma hampe et semble téter pour aspirer les dernières gouttes de mon plaisir.

Quand, enfin, elle me libère, je pars sans un mot à lintérieur et ramène dautorité 3 autres boissons.

La dame a repris sa position légèrement obscène. Je pose un verre près delle et je massoit à côté de son mari dans laxe de ses jambes entre-ouvertes

— Elle suce comme une reine, nest-ce pas ?

Lhomme semble très fier.

— Je navais jamais connu cela. Vous êtes une experte madame.

— Merci jeune homme. Votre avis mintéresse car mon mari nest pas objectif. Il est amoureux

— Pas du tout très chère, vous avez une bouche divine, un cul de reine et votre sexe est dune douceur sans égale ; Et je suis objectif

— Allons mon bon, vous allez encore perturber notre jeune skipper

De fait, de les entendre discuter ainsi, sans pudeur, tout en ayant sous les yeux sa toison blonde qui souligne plutôt quelle cache son sexe, je sens ma bite reprendre quelques vigueur. Lhomme senquiert

— Dans combien de temps arrivons nous ?

— Encore une petite heure

— Et bien ma chère, vous avez le temps de nous montrer vos talents ainsi ce jeune homme pourra juger que je suis objectif.

— Mais cest au jeune homme quil faut demander

— Mais je suis entièrement daccord avec votre mari, madame. Entièrement daccord.

— Bon, mais nattendez rien dexceptionnel. Cest plutôt moi qui ai la chance davoir deux queues sous la main. Allongez-vous sur le dos.

Jobtempère immédiatement. Elle se pose à mon côté et saisit ma verge semi-érigée dans sa main. Quelques mouvements de poignet, en douceur, et me voici en érection

— Navais-je pas raison jubile son mari, elle réveillerait un mort

Je ne peux quacquiescer. Elle se lève et menjambe. Jai au passage une merveilleuse vision de son sexe. Puis elle saccroupit au-dessus de ma queue et jai maintenant une superbe vue sur son cul. Elle sempare de ma verge, la place à lentrée de son sexe et dans un mouvement lent mais déterminé elle sempale sur mon membre en poussant un soupir daise

Je vois son derrière un peu flasque monter et descendre lentement sur mon sexe. Elle se tient très droite et regarde son mari dans les yeux. Son mouvement est régulier et elle monte jusquà la limite puis se laisse retomber en profitant de toute ma longueur. Lorsque ses fesses touchent mon bas-ventre elle a de petits mouvements de bassin comme pour gagner encore quelques millimètres.

— Alors jeune homme, me demande son mari, le verdict ?

— Divin.

— Et toi chérie ?

— Il est long, cest agréable

Elle a une voix un peu lente, comme si elle était concentrée sur mon mouvement, sur son plaisir, sur notre plaisir.

Lhomme se lève. Il a repris de la vigueur et se place devant sa femme.

— Allons chérie, vous savez faire plusieurs choses à la fois

Il place son sexe devant les lèvres de sa femme et docilement elle commence à le sucer.

Notre trio sactive ainsi un bon moment puis lhomme sort sa queue de la bouche de sa femme et la fait se relever et pivoter sur elle-même. Maintenant cest sur sa poitrine que je fixe mon regard tandis quelle sempale de nouveau. Je malaxe plus que je ne caresse ses mamelle. Puis lhomme pousse sur son dos la forçant à poser ses seins sur mon torse puis il farfouille derrière elle. Je sens un moment sa queue sur la mienne et je mimmobilise. Il trouve enfin ce quil cherchait : lentrée des reins de sa femme. Je sens quelle se cambre. Puis elle pousse un cri. Son mari sest introduit. Je me remets à bouger en essayant de calquer mon rythme sur celui de son époux. Elle pousse de longs gémissements de plus en plus rauques et de plus en plus forts. Puis son corps se tend comme un arc prise dun intense orgasme. Son plaisir déclenche le mien. Et celui de son mari. Nous nous déversons dans les deux orifices investis en grognant de bonheur.

Après un instant son mari se releva en mettant un claque ferme sur les fesses de son épouse.

— Un cul de reine, je vous lavais dit.

Nous étions devant lanse ou je comptais marrêter. Impeccable, personne Le temps dy entrer et dancrer le bateau et ils étaient tous les deux à batifoler dans leau comme des enfants.

Javais remis mon short en prévision de la venue de Joseph et je mettais la table pour les clients. Trois couverts car lusage est que le skipper mange avec ses clients. Compte tenu de ce quils mavaient fait vivre, jétais content davoir du champagne au frais et je disposai des coupes. Il y aurait en dessert une salade de fruits et des fruits frais du pays. Des avocats en entrée et des langoustes. Le temps de préparer un plat de riz et le tour est joué. Un déjeuner sympa par lequel jespérais montrer ma reconnaissance pour le plaisir reçu.

Le bruit du moteur de la barque de Joseph me surprend au moment où je finis de dresser la table. De mon âge, Joseph est un jeune pécheur local, excellent plongeur et joyeux compagnon qui ne refuse jamais un ti punch au grand dam de sa femme. Cest plutôt un beau mec avec un corps musclé mais élancé.

— Alors ils sont ou tes clients demande-t-il en déposant sur la table du carré un plat de langoustes grillées

— Ils sont partis se baigner

Il jette un il dehors

— Ok je les vois sur la plage. Mais ils sont à poil

— Ouais, des naturistes. Et des libertins. Je te raconterai. Mais pas maintenant ça va me faire bander.

— A ce point Jespère quon te paye pas pour ce job là, dit-il éclatant dun rire joyeux.

Je lui sers un verre afin de détourner la conversation et lui demande des nouvelles de sa femme. Nous bavardons un moment puis il prend congé et regagne sa barque au moment où mes clients se hissent sur la jupe arrière du bateau.

— Bonsoir messieurs dames dit Joseph les yeux rivés sur la poitrine de la dame

Je le présente aux clients

— Joseph, un ami qui vient dapporter des langoustes

— Des langoustes. Comme cest gentil sécrit la cliente. Venez prendre lapéritif avec nous !

Joseph ne se fait pas prier et remonte à bord. Je crois que pas un instant il na quitté des yeux les seins plantureux qui sexhibent sous son nez.

Mes clients sinstallent à table en me félicitant pour la décoration tandis que Joseph sassoie sur un des postes de barre.

Je débouche le champagne sous le regard ravi du mari et de la femme et je porte un toast

— A vos trente ans de mariage

Ils se lèvent tous les deux et sembrassent langoureusement. Nous trinquons.

Lambiance est festive. Le rhum déjà ingurgité et nos exercices physiques ny sont pas pour rien. Joseph nous regarde un peu intrigué par cette bonne humeur.

Je le mets à lhonneur

— Venez voir ce que Jo a apporté. Ils se lèvent et me suivent à lintérieur. Leur nudité est totalement naturelle. Cris de joie devant le plat de « bêtes à cornes »

— Oh, cest magnifique

La dame ressort va vers Joseph e lembrasse sur les deux joues :

-Merci beaucoup, cest superbe

Je vois Joseph embarrassé, une femme, âgée certes mais attirante, dans ses bras et une coupe de champagne à la main. Jimagine quil doit commencer à être assez excité.

Le mari intervient et minterpelle :

— Ecoutez, il y en a trop. Verriez-vous un inconvénient à ce que votre ami déjeune avec nous ?

La femme est toujours dans les bras de Joseph

— Oh oui Joseph, restez avec nous

Bien sûr, je ny voir pas dinconvénients et Joseph non plus !

Le déjeuner est animé, agréable et Joseph raconte des tas dhistoires sur son île, les traditions, sa vie de pécheur. Certes son regard est très souvent rivé aux seins de ma cliente mais son mari nest pas jaloux et elle-même semble prendre plaisir à sexhiber. Jouvre une deuxième bouteille alors que nous dévorons les langoustes, et cest repus que tout le mondes se vautre sur les banquettes tandis que je débarrasse la table.

Jannonce le programme

— Allez, on va se baigner une dernière fois et on met les voiles.

— Super, ça va nous faire digérer.

La femme est déjà debout. Elle prend Joseph pas le bras et le tire vers les jupes arrières du bateau.

— Allez Joseph, à leau avec nous

Joseph et un peu ivre. Le rhum, il connait le champagne moins. Il hésite un instant puis se débarrasse de son short et plonge à leau, aussitôt suivi par le couple de clients.

Jen profite pour faire la vaisselle et ranger les couverts pour éviter la casse. Jentends les cris joyeux, puis lhomme remonte et sessuie.

— Votre ami Joseph et très agréable. Et il fait honneur à son pays.

— Comment cela ?

— Eh bien, vous ne lavez pas vu ?

Il éclate de rire

— Mon cher, il a une queue dâne Ma femme va être folle. Ça métonnerait quelle résiste

La femme surgit de leau, accrochée à léchelle de bain, suivit par Joseph qui du coup doit avoir un vue intéressante sur son sexe et son cul.

Effectivement quand il surgit de leau je vois que lhomme na pas mentit, Joseph est monté comme un âne et en plus il est en semi érection. De quoi nous donner des complexes. Il sempare prestement dune serviette et commence à senrouler dedans dissimulant son membre à nos regards. La femme ne peut sempêcher de réagir. Elle bloque son bras, attrape la serviette et lui retire.

— Ah non, ne cachez pas un engin pareil, au contraire

Joseph roule des yeux éberlués tandis quelle sapproche de lui et pose sa main sur sa bite.

— Je nen ai jamais vu une si grosse.

Elle soupèse le membre qui dodeline dans sa main.

— Je nai jamais vu de sexe noir. Vous vous rendez compte. Elles sont toutes de cette taille ?

Joseph sétrangle à moitié et cest dune voix de petit garçon quil répond :

— Non madame, ma femme dit quelle a de la chance

— Je la comprends. Vous permettez ?

Elle sagenouille devant et prenant ses seins dans ses mains, elle entoure la queue dans une douce prison et fait coulisser lengin entre ses mamelles. Je connais la femme de Joseph qui a un corps de gamine et de tous petits seins. Sûr quun traitement pareil est une première pour lui. Le mari sest assis et regarde la scène avec intérêt, une flutte de champagne à la main.

Sa femme branle doucement le sexe avec ses seins et profite que le gland émerge de sa poitrine pour le lécher puis finalement finit par le mettre dans sa bouche. Joseph a les yeux exorbités le souffle rauque et il a un soubresaut. Il se vide dans la bouche qui lemprisonne tandis que la dame continue ses va-et-vient. Du sperme dégouline le long de la queue et coule sur son menton.

— Eh bien vous êtes rapide, vous aviez une grosse envie. Cest flatteur pour moi, minaude sa suceuse.

Ce salaud ne débande même pas. Il reste raide comme la justice et avec des yeux déments, il repousse la femme passe derrière elle, la fait mettre assez brutalement à quatre pattes et se rue entre ses cuisses en senfonçant de toute sa longueur dun mouvement brutal qui arrache un petit cri à la dame. Effaré par la tournure des évènements je me laisse tomber à côté du mari. Nous avons sa femme face à nous, haletant la bouche ouverte, du sperme sur les lèvres et le menton, sa lourde poitrine ballotant entre ses bras dans une houle puissante imposée par les coups de rein frénétiques de Joseph, derrière elle, les yeux fermés, qui la tient fermement par les hanches et lui imposant de véritables coups de boutoir de toute la longueur de son membre disproportionné. Cest un coït primitif, bestial, mais très excitant puisque le mari bande maintenant et se branle vigoureusement. Il finit par pousser un cri rauque et se levant précipitamment, tenant son sexe à la main il sapproche de sa femme. Pliant les genoux il éjacule à long traits sur son visage. Elle continue à haleter la bouche ouverte, le sperme de son mari se mêlant à celui de Joseph. Son mari introduit son sexe quasi flaque dans la bouche béante, finissant de se vider, extirpant de son corps les dernières gouttes de jouissance sans que celle-ci ne réagisse.

Jai moi-même sortis ma bite et me branle également avec énergie.

Joseph ne faiblit pas et la femme pousse maintenant des râles ininterrompus. Jaccède rapidement au plaisir et comme le mari, qui sest rassit et reprend son souffle, je me précipite sur la femme et lâche ma semence sur son visage, sur ses cheveux et dans sa bouche grande ouverte en poussant des grognements de bête. La femme, maintenant hurle sa jouissance à plein poumon tandis que fauché par le plaisir je meffondre à côté du mari, nayant pas la force de ranger ma bite qui pend hors de mon short.

Soudain, Joseph pousse un couinement qui en dautres circonstances aurait été ridicule. Il donne un dernier coup de rein, écrasant les fesses un peu flasque de la cliente et se vide dans les entrailles de la femme quil lâche.

Elle se laisse aller à plat ventre, la croupe un peu surélevée et reste immobile, silencieuse, haletante, le cul offert, dans une pose grotesque.

Le membre de Joseph perd de sa vigueur et il semble émerger dun rêve. Il nous voit le mari et moi, qui le regardons. Ses yeux se baissent sur la femme qui git à ses genoux. Il voit son visage de profil, inondé de sperme, ses cheveux bonds dégoulinant où ma semence sest mêlée à leau de mer.

Soudain il se relève rapidement, saisit son short et sans prendre le temps de lenfiler, il saute dans sa barque, lance le moteur et senfuit avant que nous nayons pu dire un mot.

Le mari le regarde séloigner, me regarde stupéfait et nous éclatons de rire

— On aurait dit quil avait le feu aux fesses

— Cest plutôt ma femme qui a le feu au cul

— Alors il avait vu le diable

— Ce nétait pas le diable, mais son gros zob poilu, chantonne le mari entre deux hoquets

Nous sommes tous deux en proie à un fou rire et nos hurlements finirent par faire sortir la femme de sa torpeur

— La vache, quest-ce quil ma mis

— Chérie je crois que ton maquillage coule

Elle passe la main sur son visage et la contemple recouvre de sperme

Nous continuons notre fou-rire et après quelques instants elle nous rejoint dans notre hilarité nerveuse.

Le temps était passé plus rapidement que prévu et nous nous jetons à leau pour essayer de reprendre des forces et pour la cliente, procéder à une toilette nécessaire.

A peine remonté à bord, je vais hisser les voiles, relever le mouillage. Nous prenons rapidement la route du retour, sous grand-voile et génois. Mes clients sont installés dans le cockpit et finissent la bouteille de champagne. Elle est très bavarde.

— Il est incroyable Joseph. Javais limpression dêtre dans la guerre du feu. Prise en levrette par un monstre qui me pilonnait sans arrêt Bestial. Mais quel pied, quel pied

Elle caresse distraitement le sexe de son mari qui ne réagit plus

— Pour nous aussi cétait impressionnant à voir, lui explique-t-il. Notre jeune skipper et moi on sest masturbés et on a pris notre plaisir sur ton visage sans que tu réagisses.

— Vous avez fait cela ? Ah les cochons minaude-t-elle en simulant une fâcherie, en tous cas javais une peur : quil essaie de prendre mes reins. Je naurais pas survécu

Je remets le pilote et vais ouvrir une troisième bouteille, la dernière de mon stock.

Je porte un toast à tout ce que nous avons vécu aujourdhui.

— Si tous les clients étaient comme vous, ma vie serait un rêve.

Flattés ils trinquent avec moi.

Nous nous sommes rhabillés à lentrée du chenal et cest fatigués mais heureux que nous avons pris nos amarres. Les adieux sur le quai sont émouvants car après avoir vécu une telle intimité, les relations sont différentes.

Dailleurs ils minvitent à dîner pour le lendemain à leur hôtel. Et le pourboire que lhomme me glisse discrètement témoigne que leur anniversaire de mariage leur a laissé un souvenir inoubliable !

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