Mon père nous déposa au lycée puis il partit à son travail. Paul et moi marchions ensemble pour rentrer dans l’établissement.
Paul, tu m’as fait mal avec le gode ! J’espère que personne ne va remarquer ma démarche bizarre !
Je suis désolé ! J’étais si excité de t’avoir vue te masturber depuis hier soir ! J’ai eu du mal à me contrôler ! Je suis fou de toi ! Tu es trop belle ! dit- il en me regardant dans les yeux.
J’étais flattée de ces jolies phrases. Mon charme lui faisait beaucoup d’effets.
Montre-moi comment tu marches ? demande-t-il.
…
Caro ! Tu as un sacré cul ! De plus, ta robe laisse apercevoir la forme de ton string ! Tu m’excites trop !
Paul ! Soit sérieux !
Pardon ! Tu marches normalement, personne ne va remarquer que tu as des douleurs aux fesses.
Super ! Je suis contente ! Cependant, la prochaine fois, ne brûle pas les étapes ! Je ne serais pas contre pour essayer la sodomie.
Whhoo ! Es-tu sérieuse !?
Bien sûr ! J’adore cette relation cachée ! Nous sommes cousins et nous nous connaissons depuis notre naissance ! Je me sens en confiance avec toi ! Par contre, pas un mot à tes amis, sinon nous arrêtons tous !
D’accord ! Ça reste et restera entre nous.
Avant de rejoindre nos cours respectifs, j’ai chuchoté à l’oreille de Paul.
J’ai envie de sucer une bitte ! J’ai envie de te sucer !
Euhh sérieux !!
Oui, mais nous devons aller en cours, dis-je, en lui adressant un clin d’il provocateur.
J’ai baissé mon regard vers sa braguette pour vérifier qu’il était en érection. J’étais contente du résultat !
À plus tard ! dis-je avec un grand sourire coquin.
…
N’oublie pas que je porte seulement un string sous cette robe et tu seras le seul à pouvoir me l’enlever, rajoutais-je pour le faire craquer.
Paul ne savait plus comment répondre à mes assauts coquins ! Je suis parti à mon cours sans me retourner. Je savais qu’il était resté immobile à repenser à mes phrases très implicites.
Les deux premières heures passèrent rapidement, mais je commençais à sentir les regards des garçons. Ils devaient avoir remarqué ma tenue très légère. J’aimais me sentir désirée.
J’ai retrouvé Paul à notre cours en commun. Je n’ai pas changé de comportement avec lui pour ne pas créer de soupçons sur l’évolution de notre relation. Lorsque le professeur nous a demandé de présenter notre exposé, nous nous sommes rendu compte que nous n’avions pas pratiqué notre oral.
Nous avons essayé de le repousser, mais malheureusement, il a refusé ! Nous nous sommes rapidement coordonnés en fonction de nos recherches, mais notre présentation était très hésitante.
Lorsque le cours fut terminé, je chuchotais à Paul de me retrouver dans les toilettes des hommes à 12h15. Il aura 15 minutes pour manger à la cantine. Il était très surpris de mon invitation !
C’était l’un de mes fantasmes depuis longtemps, mais je n’ai jamais osé le dire. J’avais déjà tout planifié au préalable. Ce matin, j’ai fini les cours à 11 heures et je suis partie directement à la cantine. J’ai ensuite profité du silence des couloirs pour me glisser dans les toilettes des hommes et m’enfermais dans la dernière cabine jusqu’à l’arrivée de Paul.
Je me suis assis sur les toilettes, toute tremblante et excitée de la situation. J’avais peur que quelqu’un me surprenne dans ce lieu interdit aux filles. Il était possible d’espionner dans la cabine d’à côté en regardant par-dessous le mur de séparation.
J’ai eu peur lorsque des garçons ont essayé d’ouvrir la porte de ma cachette. J’ai maintenu ma main sur ma bouche afin de ne pas émettre de bruit. Quelques minutes plus tard, j’ai surpris une conversation entre des garçons de ma classe. Elle était très orientée sur le sexe et j’étais ravie de pouvoir les écouter dans leur milieu viril. Leur discussion fut très intéressante, car ils parlaient de moi. J’ai ressenti une fierté sur mon pouvoir de séduction !
Vous avez vu Caroline aujourd’hui ! Sa robe lui fait un cul de fou ! J’aimerais lui enlever sa robe pour la défoncer ! J’ai seulement regardé son cul pendant le cours ! Il est trop beau !
Tu as raison, cette fille est superbe ! Je ne l’ai jamais vue avec un mec ! Je pense qu’elle est très réservée !
Si j’ai l’opportunité, je lui laisserai bien me sucer, puis je la baiserais dans tous les sens !
Nous pourrions organiser une soirée pour la rendre accro à nos bites. Nous lui ferons la totale !
Ce serait trop cool ! Mais ce n’est pas une fille qui va aux soirées !
Merde, cela va rester un fantasme ! Je ne la vois pas venir nous satisfaire dans les toilettes !
L’ensemble du groupe partit en riant aux éclats sur leurs idées de me baiser. Par contre, leurs phrases m’avaient excitée ! J’étais très contente de me sentir désirante et d’être l’objet de leur fantasme.
Quelques minutes plus tard, un garçon entra dans la cabine d’à côté et commença à émettre des bruits bizarres. J’ai rapidement compris qu’il était en train de se masturber en écoutant sa respiration s’accélérer. Je l’ai observé en regardant par le dessous le mur de séparation ! Il était sur le point d’éjaculer ! La vision de sa belle bite augmenta l’afflux de salive dans ma bouche ! Je me suis sentie attirée par ce pénis et j’avais envie de le mettre en bouche comme une sucrerie ! De sentir sa puissance en moi ! Je commençais à devenir de plus en plus excitée ! J’avais envie d’une bite !
Plusieurs jets jaillirent de son pénis ! Mais il fut rapidement frustré de ne pas avoir de papier pour s’essuyer ! Ses mains étaient recouvertes de sperme, cette image me procura beaucoup de plaisir et d’euphorie ! J’avais envie de l’aider en suçant chacun de ses doigts ! Je n’ai jamais avalé, mais depuis peu, je sentais le désir d’essayer.
Les minutes passèrent et j’attendais toujours Paul. Je me sentais heureuse et cochonne dans ces toilettes qui sentaient la pisse et la merde. Je me sentais comme un ange dans cet univers où les bites se dressaient à l’air libre ! Où chaque homme se touchait, se secouait et certains se masturbait. Je pouvais lire sur la porte plusieurs annotations de numéro à appeler pour recevoir des fellations ! J’hallucinais ! Ces toilettes étaient très différentes de celle des filles ! J’avais envie d’écrire mon numéro pour voir ce qui allait se passer, mais je devais d’abord acheter un second téléphone pour rester anonyme !
Au bout de 45 minutes, je reçus un message de Paul demandant où j’étais. Il lui a valu peu de temps pour l’attendre taper à la porte ! Il était là, très excité à la sonorité de sa voix !
Ouvre, je suis seul !
J’ouvris rapidement et je vis Paul très souriant. Je me suis doutée qu’il devait attendre ce moment avec impatience. Dès qu’il rentra dans la cabine, il referma la porte et se retourna vers moi. Je sautai dans ses bras pour l’embrasser en pleine bouche ! J’étais si excitée d’être avec lui ! Je pouvais sentir mon sexe trempé de désir !
J’ai attendu ce moment toute la journée ! dis-je.
Moi aussi, tu m’as excitée avec tes phrases ce matin ! D’autant plus que je vis quelque chose d’exceptionnel avec toi depuis hier soir !
Assis-toi sur la cuvette des toilettes ! J’ai envie de te sucer !
Non pas maintenant !
Quoi ? dis-je d’un air étonné.
C’est à mon tour de prendre contrôle de la situation !
J’obéis, je ne savais pas quoi répondre ! Il prenait de plus en plus d’assurance !
Il continua à m’embrasser en pleine bouche. Nos langues tournèrent l’une autour de l’autre, en cercle sans arrêter et augmentèrent mon désir ; de le sentir en moi, dans ma bouche ! Il contrôlait parfaitement la situation et je me suis laissée faire ! J’ai senti ses mains me caresser les seins puis il les embrassa et il me fit des succions sur mes tétons. C’était divin ! Je n’arrivais plus à penser, je lui obéissais sans aucune limite, il m’avait conquise ! La situation augmenta mon adrénaline et accéléra les pulsations de mon cur.
Retire ta robe !
D’accord !
Je veux te voir nue en string devant moi ! Je ne voudrais pas qu’elle se salisse par terre !
J’ai enlevé ma robe sans discuter, puis je l’ai accrochée sur le crochet de la porte. Il avait raison, le sol n’était pas propre et il y avait du sperme sur le carrelage dans la cabine d’à côté.
Sans ma robe, j’étais nue devant lui, seule ma petite lingerie cachait ma partie intime !
Tu es trop belle ! me dit-il.
Merci et toi tu ne retires pas ton pantalon ?
Non, tu es la seule à enlever tes vêtements.
Petit coquin, tu aimes me regarder nue et soumise.
Oui, tu me rends fou ! Je suis séduit par ton charme ! Je suis dingue de toi, Caroline !
Merci ! S’il te plaît, dépêchons- nous, je commence à avoir froid ! Je sens un courant d’air !
Ne t’inquiète pas pour ça, je vais te réchauffer.
Il maintint mon corps contre la paroi de la cabine, il m’écarta légèrement les jambes afin de mieux me dominer. Mes seins sont devenus très sensibles sous le plaisir que je percevais ! J’avais envie de lui, de son corps ! Il profita de ma position pour me doigter.
J’adore ton vagin, il est si beau ! me dit-il, en gardant son doigt en moi.
Merci, il est tout à toi ! Prends soin de moi.
Ne t’inquiète pas, je vais le faire !! Tu mouilles tellement que je suis très excité !
Nos respirations devinrent de plus en plus fortes ! Subitement, il s’accroupit devant moi et me fit un cunnilingus. C’était la première fois que j’en recevais un dans un lieu public. Mes sensations étaient doublées de plaisir ! Je ne voulais pas que cela cesse.
Comment sens-tu tes fesses ! dit-il d’une voix excitée, en essayant de garder sa langue dans mon vagin.
J’ai toujours mal ! Ne le touche pas, stp ! Je suis sérieuse !
D’accord, c’est toi qui décides !
Il se redressa et accéléra son mouvement de doigt qui me déclencha un puissant orgasme. Des jets jaillirent de mon sexe et arrosèrent le sol.
C’est trop bon ! Paul ! Tu es super ! Tu sais comment me satisfaire ! Je suis toute à toi !
Il sortit son doigt de mon vagin et me le porta en bouche pour que je lui nettoie. Il me fit comprendre de m’accroupir devant lui, en appuyant sur mes épaules.
Suce-moi !
Avec plaisir ! J’attends ça depuis notre réveil !
J’ouvris la fermeture éclair de son pantalon, je commençai par toucher son pénis à travers son boxer, puis je le sortis. J’ai observé, sa forme, sa longueur et son odeur.
Je suis trop contente te sucer !
Fais-toi plaisir !
J’ai commencé à le caresser, puis à le masturber en faisant de lents mouvements. Il était sous le charme de ma prestation. J’ai voulu mesurer son pénis en le posant sur mon visage, tout en souriant et en maintenant son regard de ma position à accroupie. Il faisait 3/4 la hauteur de mon visage entre mon menton et mon front ! J’étais en train de vivre mon fantasme ! J’ai commencé par l’embrasser dans toute sa longueur, puis je l’ai mis en bouche !
Il était si chaud et si dur. Son contact sur ma langue m’a procuré une onde de chaleur qui parcourut mon corps. Je sentis un frisson se propager de ma tête au pied et ma salive devenait de plus en plus abondante en bouche. Je l’ai accueilli comme une récompense ! Une gourmandise divine dont je devais savourer chaque seconde !
J’avais l’impression de ressentir son excitation et son plaisir à travers sa verge. Ma bouche était comme un récepteur à ses pulsions et ses spasmes. Je n’en revenais pas de pouvoir percevoir toutes ses émotions ! C’était trop bon ! Ma bouche absorbait une grande partie de son sexe et je pouvais sentir sa grosseur et l’augmentation de ses fréquences cardiaques ! Ce membre me remplissait ma bouche avec une douceur et une rigidité que je n’avais jamais ressenties jusqu’à présent. J’ai senti le temps se figer et je voulais garder son pénis en moi pendant des heures. Il n’y avait que nous et je voulais garder son sexe au chaud avec la plus grande tendresse. Je tournais ma langue délicatement autour de son gland afin de continuer à maintenir son érection le plus longtemps possible, comme une flamme qu’il fallait entretenir avec responsabilité. Je pouvais sentir qu’il était dans un autre monde, les muscles de ses hanches et de ses jambes étaient contactés.
J’étais fier de lui procurer autant de plaisir ! J’étais si exaltée d’être dans l’interdit une nouvelle fois !
Continue ! C’est trop bon ! Tu suces super bien !
Merci ! J’aime faire des fellations, dis-je, en essayant de lui répondre avec la bouche pleine.
Alors je vais te demander de me sucer souvent !
Avec plaisir !
Ma bouche était de plus en plus baveuse à force de le sucer ! Mon cousin était fou de ma fellation. Je faisais des mouvements de plus en plus profonds, puis je l’ai retiré pour m’amuser avec ma salive, je pouvais voir un long filet de bave entre ma bouche et son sexe. Quand je l’ai repris en bouche, mes mouvements étaient de plus en plus rapides et soutenus ! J’avais de plus en plus de mal à me contrôler ! J’avais lâché prise et je me comportais comme une cochonne assoiffée de sexe.
C’est trop bon !! continue Caroline !! J’adore voir ma bite faire des va-et-vient dans ta bouche !
CLUUCLUCUUCLUC !
Je me sentais prête à relever mon défi personnel ! J’ai décidé de poser mes genoux au sol pour être plus confortable dans ce que je voulais entreprendre. Je me suis agrippé à ses fesses avec mes deux mains et je me suis forcée à engloutir toute sa bite dans ma bouche !! J’ai dû me reprendre plusieurs fois, car c’était ma première gorge profonde. Je me suis repris 4 fois pour l’engloutir totalement, sentir mon nez toucher son ventre me rendit folle. Son pénis occupait toute ma bouche et son gland était dans ma gorge.
Whaoooo ! C’est trop bon !! Gorge profonde le top ! Tu suces très bien !
J’essayai de garder sa bite le plus longtemps possible, mais je commençai à manquer d’air rapidement ! La sensation n’était pas super ! Je sentais des nausées et des envies de vomir. Je n’ai pas voulu insister pour cette première fois. Je me suis remis à le sucer normalement !
Alors ? Que penses-tu de ma gorge profonde ? demandais-je, tout en continuant de le sucer.
Je n’arrête pas de te découvrir ! Es-tu habituée en faire ?
Non, c’est ma première fois ! Je voulais essayer avec toi ! Je me sens très libre avec toi et je ne ressens pas de limite avec toi, dis-je avec un clin d’il.
Je suis très content que tu l’aies fait avec moi ! Je ressens la même chose et je suis curieux de savoir ce que tu veux expérimenter par la suite.
Je vais m’asseoir sur la cuvette, mes jambes commencent à fatiguer dans cette position ! Suce-moi à genoux devant moi et laisse-moi admirer ton cul.
D’accord !
Je sentis un vide dans ma bouche lorsqu’il retira son sexe pour s’asseoir ! Je m’étais habituée à sa présence !
J’ai repris son sexe comme une droguée qui était en manque de dose.
Whaoo, tu as faim, dis-moi !
Elle est trop bonne ta bite ! J’adore te sucer ! Je pourrais te sucer à chaque fois que nous nous voyons ! Je veux te sentir dans la bouche tous les jours !
Caroline, je ne te connaissais pas comme ça ! Je n’en reviens pas !
Tu peux utiliser ma bouche comme il te le plaît !
Sérieux !! Mon rêve devient réalité !
Coquin ! dis-je en lui adressant un sourire.
J’ai repris ma gourmandise en bouche en faisant des mouvements de plus en plus vite tout en le masturbant ! Sa bite n’arrêtait pas de grossir et je sentis beaucoup d’excitation et de plaisir. Je devenais dingue ! Je sentais son gland gonflé.
Caro ! J’ai envie de te baisser !
Maintenant ? demandais-je étonnée, en continuant à le sucer et à la masturber.
Oui, c’est trop bon de te voir me sucer avec cette superbe vue sur ton cul. Tu es une vraie cochonne !
J’étais très contente de ses gentils commentaires, mais je n’avais pas pensé à baiser dans les toilettes. La fellation était plus simple à gérer dans ce petit espace. Mais je voyais qu’il avait déjà pris sa décision et j’aurais eu du mal à le décourager. J’aurais aimé le faire dans un lieu plus propre pour notre première fois !
Mets- toi à quatre pattes en face de la porte.
Sérieux.
Oui, obéis ! dit-il avec un sourire provocateur.
Je n’ai pas eu le temps de me positionner que je sentis sa bite s’introduire en moi. Cette surprise amplifia mon plaisir. Ma chatte était tellement trempée et décupla la sensation de sentir sa verge. Je n’en revenais pas d’être à quatre pattes face à la porte en train de me faire baiser par mon cousin dans des toilettes crasseuses. Le sol était poisseux de pisse, mes genoux et mes mains étaient sales. Il prit ma tête et me plaqua au sol afin de maintenir mon cul en l’air. Ses mouvements étaient de plus en plus brutaux ! J’essayais de contrôler mes gémissements, mais c’était trop bon.
J’avais une vue d’ensemble du sol des toilettes des hommes. Je me sentais si soumise d’avoir mon visage collé sur de la pise sèche. J’espérais que personne ne me surprenait dans cette situation, sinon j’aurais beaucoup de mal à m’expliquer.
C’est trop bon Caro ! J’adore ta chatte ! Sa chatte est tellement humide ! C’est un régal pour ma bite. C’est incroyable !
Vas-y, défonce moi ! Prends-moi ! Je veux te sentir en moi ! Je suis à toi !!
AHHH ! Tu es incroyable ! Tu aimes la bite !
J’adore spécialement la tienne !
Il continua à me baiser pendant plusieurs minutes. Je n’en pouvais plus ! J’étais ivre de plaisir, mais mes genoux et mon bassin commençaient à me faire mal ! Je commençais à devenir impatiente qu’il finisse !
Laisse-moi te sucer pour te finir. L’heure tourne, dis-je en gardant ma position de soumise, ma tête plaquée au sol.
Je ne peux pas m’arrêter ! C’est trop bon d’être en toi ! Je suis accro !
C’est gentil Paul, mais nous pourrons continuer plus tard ! Laisse-moi te sucer pour te faire éjaculer !
Paul me donna des coups de bassin de plus en plus violents qui me virent cogner ma tête contre la porte à plusieurs reprises. Je sentais mes seins écrasés au sol, ils bougeaient dans tous les sens. Je n’en revenais pas d’aimer me sentir si cochonne. J’aimais cette situation ! Je sentais son pénis de plus en plus profond ! C’était incroyable ! J’étais captivée par mon cousin qui me baissait avec brutalité.
Ses mouvements de hanches devenaient de plus en plus rapides. Ma tête glissa subitement sous la porte des toilettes. La peur de me faire prendre m’envahit de plaisir, je sentis des spasmes de plus en plus puissants. J’étais folle d’excitation d’être coincée sous la porte avec ma tête collée au sol à l’extérieur de la cabine et mon corps à l’intérieur. J’étais à plat ventre, seul mon cul était légèrement relevé. Paul continuait à me prendre sauvagement, sa respiration devenait de plus en plus forte.
La peur me fit revenir à la réalité ! Je commençais à redouter d’être surprise par un élève dans cette situation.
Paul, arrête ! J’ai mal à mon coup, j’ai la tête en dehors de la cabine. Laisse-moi me repositionner correctement.
Non, c’est trop excitant de te voir dans cet état.
Dépêche- toi de jouir alors !
Je sentis son corps se crisper, ses mouvements étaient devenus plus profonds. Il venait d’éjaculer en moi ! Je sentis son liquide envahir mon sexe ! Il relâcha son emprise sur mes hanches et cela me permit de libérer ma tête de dessous la porte.
Je me suis retourné vers lui avec un air de surprise.
Tu as éjaculé en moi !
Oui !
Sérieusement ! Je pensais seulement te sucer. Je n’en reviens pas que tu m’aies baisée. Pourquoi tu ne me l’as pas dit que tu voulais éjaculer en moi ? Je n’étais pas prête à ça aujourd’hui !
C’était un moment incroyable Caroline ! Tu es très cochonne ! Je pensais que tu avais compris lorsque je t’ai dit que je voulais te baisser.
Non, je voulais te faire éjaculer en te suçant. Ce n’est pas grave ! J’ai aussi pris beaucoup de plaisir.
Te voir dans cet état me rendit fou. Ton corps est sale de la crasse noire du sol, je pourrais encore te baisser !
Coquin ! J’ai envie d’une bonne douche.
Viens me sucer pour me nettoyer comme tu voulais me sucer plus longtemps.
Cette expérience m’avait beaucoup excitée et je n’en revenais pas d’avoir aimé me sentir soumise et humiliée par Paul.
Lorsque je me suis redressée, j’ai senti son sperme couler de mon vagin. Une partie goutta sur le sol et l’autre coula le long de ma jambe. J’ai repensé au garçon de la cabine d’à côté qui n’avait pas de papier pour s’essuyer, car j’étais dans la même situation.
Je n’avais pas le choix de laisser sa semence s’écouler de mon sexe. Mes mains étaient trop sales pour m’essuyer le vagin. Je me suis mis à genoux et j’ai repris son sexe en bouche en posant mes mains au sol. Il était recouvert de ma cyprine et de son sperme. J’adorais me sentir dans cet état incontrôlable et vicieux !
Je me suis pétrifiée quand quelqu’un tapa à la porte.
Ouvrez, c’est Steven, le surveillant !
J’avais trop peur d’être prise dans cet état. J’étais nue, mon corps était poisseux et recouvert de la saleté du sol. Que penseraient mes parents de moi ?
Paul comprit la situation et essaya de trouver une solution. Il me fit des signes pour m’inciter à monter sur la cuvette des toilettes.
Attends Steven, je m’arrange, deux minutes, dit Paul.
D’où viennent ces bruits ? Des garçons se sont plaints de bruits de sexe dans les toilettes.
Euuh, ce n’était pas chez les filles.
Très marrant ! Sort !
J’attendais Steven faire les cent pas, il avait l’air énervé. Paul sortit discrètement des toilettes. Je ne comprenais pas ce qu’il disait ! J’avais trop peur d’être prise. J’étais toujours nue sur la cuvette des toilettes, mon string baissé jusqu’aux genoux, du sperme qui coulait de mon vagin et mon corps était crasseux.
Mon cur s’est emballé lorsque j’attendis le bruit d’une gifle claquer sur le visage de quelqu’un. Je sentis mon sang se figer de peur ! La situation dégénérait complètement ! J’avais les larmes aux yeux, de peur d’être prise, d’être incapable de m’expliquer.
Je suis désolé, Monsieur, je n’ai pas réfléchi à mon geste.
Paul, comment as-tu osé !? Viens, nous allons chez le proviseur ! dit le surveillant d’une voix très énervée.
Je n’osais pas bouger, je ne comprenais pas. Paul venait de gifler le surveillant pour me protéger. J’avais les jambes qui tremblaient. Je suis restée au moins 20 minutes dans cette position accroupie sur les toilettes. Les douleurs ressenties dans mes jambes me firent revenir à la réalité. Je me sentis perdue.
Lorsque je repris mes esprits, je remis ma robe et je me suis dirigée discrètement dans les toilettes des filles. Je me suis enfermée de nouveau dans l’une des toilettes et j’ai pleuré. Je n’arrivais plus à gérer le stress. Je ne savais plus quoi faire.
J’ai repris mes esprits au bout de 30 minutes, je venais d’avoir une idée. Je sortis des toilettes et j’ai fait une rapide toilette afin de nettoyer toutes preuves de mes ébats sexuels. Il m’a valu plus d’une heure pour me nettoyer et me sécher au sèche-cheveux. Une fois propre, je partis voir le proviseur.
J’ai rencontré Paul sur le chemin, il était blanc de peur ! Ce n’était plus mon Paul qui venait de me dominer avec ma tête coincée sous la porte des toilettes quelques minutes plus tôt ! Je lui souris et lui fis un clin d’il pour lui montrer que j’avais une idée. Il me regarda d’un air étonné et surpris ! Il ne se doutait pas de ce que j’allais faire !