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L'anniversaire de mes seize ans – Chapitre 2




Rien de spécial ne se passa durant les mois qui suivirent. J’étais toujours aussi proche de ma mère et de son côté, ça ne marchait pas très fort avec mon père. Il avait pris des responsabilités beaucoup plus importantes, gagnait beaucoup plus d’argent, pour nous permettre de vivre vraiment bien mais malheureusement, tout cela avait un prix. Il rentrait tard, fatigué, pas toujours de bon humeur, ce qui forcément avait une influence sur l’ambiance à la maison.

J’approchais de mes 18 ans. Presque deux ans s’étaient passées depuis cet inoubliable cadeau d’anniversaire. J’étais sur le point de partir aux études en métropole aussi je m’inquiétais beaucoup pour ma mère qui allait se retrouver le plus souvent seule. C’était l’amour de ma vie.

Un soir, elle vint me rejoindre dans ma chambre. Elle n’avait pas le moral. D’habitude elle faisait tout pour que je ne m’en aperçoive pas mais là, peut-être à la limite de la rupture, elle avait besoin d’une épaule secourable.

J’étais couché dans mon lit, en train de lire lorsqu’elle frappa à ma porte. Mon père était déjà absent depuis plusieurs jours dans le cadre de son travail.

Elle avait besoin de compagnie. D’abord assise sur la chaise de mon bureau, elle finit par se glisser à mes côtés en me demandant :

ça ne te dérange pas si maman te tient compagnie ?

Non seulement ça ne me dérangeait pas mais au contraire, j’étais ravi. Elle vint caler sa tête contre mon épaule. J’en profitais pour lui caresser sa magnifique chevelure. Elle me souffla :

Je t’aime mon fils.

Moi aussi, je t’aime maman. Tu es l’amour de ma vie ma petite maman.

Ne dis pas çà. Tu vas rencontrer quelqu’un tu verras. J’espère seulement que tu n’oublieras pas trop vite ta petite maman.

C’est toi que ne devrait pas parler ainsi. Rien n’a changé pour moi même si depuis cet inoubliable cadeau que tu m’as fait pour mes 16 ans, tu n’as pas pu être aussi présente mais je ne t’en veux pas. Je sais bien que tu as des soucis et que ce n’est pas facile.

C’est vrai mon fils. Je ne me suis pas beaucoup occupé de toi ces derniers mois. J’espérais qu’en agissant ainsi tu trouverais une petite amie mais je ne suis pas sûre que tu l’ai fait.

Ne t’en fais pas maman. Je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer aux filles tu sais.

Tu as une petite amie avec qui tu….

Non maman. J’ai pas trop envie d’une petite amie tu sais. Pour l’instant, les études et le golf me prennent presque tout mon temps.

C’est vrai. Je m’en veux que tu n’aies personne. C’est à cause de moi, de ce qu’on a fait ?

Mais non, qu’est-ce que tu vas imaginer. J’ai pas le temps c’est tout. Et puis, les filles de mon âge m’agacent à jouer aux nanas libérées en public alors que dans l’intimité, elles sont coincées de chez coincées.

Tu te caresses toujours comme avant ?

Oui comme tous les garçons de mon âge je pense mais…

Mais ?

Non laisses tomber. Parlons d’autre chose !

A ces mots je sentis ma mère se serrer plus fort contre moi. Une de ses mains se mit à descendre lentement vers mon ventre jusqu’à atteindre mon sexe encore au repos.

Et si Maman s’occupait de toi ? Comme lorsqu’on était en voyage tous les deux ?

Ne me fais pas espérer maman s’il te plaît !

Sans répondre sa main se glissa sous l’élastique de mon caleçon pour enserrer mon sexe entre ses doigts.

ça te ferait plaisir au moins ?

Tu ne le sais donc pas ?

Je ne sais pas, ça fait tellement longtemps mais j’y ai souvent pensé tu sais !

Tandis qu’elle me parlait, ses doigts commençaient à courir sur ma hampe comme lors de ces vacances tellement spéciales. Ma verge tel un serpent s’étirait rapidement pour prendre des proportions qui n’avaient plus rien à voir avec le sexe qu’elle avait connu durant ces fameuses vacances.

Hummmmm ! Mais dis donc, t’es devenu un homme mon chéri. Je n’en reviens pas que tu sois si…. comment dire, enfin que ton sexe soit plus gros que…

Ne parlons pas de lui Maman. Et puis c’est normal non, j’ai bientôt 18 ans.

Maman aimerait savoir si tu as déjà..enfin tu sais avec une fille.

Non, jamais. On s’est embrassé, caressé mais jamais plus loin.

Même pas ce que nous avons fait ?

Non même pas. Les filles jouent aux grandes mais ça n’assure pas quand on est en tête à tête.

Ma verge réagissait aux caresses en se cabrant nerveusement à chaque pression de ses doigts. En quelques secondes elle m’avait fait atteindre une forme olympique.

Hummmm ! t’es tout dur mon garçon, tout dur et bien gros.

J’aime trop quand tu me touches comme çà.

Elle se laissa couler vers mon ventre en faisant glisser le bas de mon pyjama pour me découvrir complètement. Je n’osais pas le lui demander mais une folle envie qu’elle me prenne dans sa bouche me tordait le ventre. Un filet de mouille s’échappait presque en continue de mon méat.

Devançant mon désir, ma mère avait maintenant ses lèvres à quelques centimètres de mon sexe. Tellement près que je sentais son souffle me caresser les bourses. J’avançais mon bassin pour lui faire comprendre ce dont j’avais envie, arrivant même à frotter mon gland contre son menton.

Ses yeux ne quittaient plus le bout turgescent. Quand elle leva ses yeux vers moi en souriant, je compris qu’elle allait enfin me prendre en bouche. Elle l’ouvrit toute grande pour m’aspirer entre ses lèvres. C’était trop bon, trop bon de sentir à nouveau cette chaleur, cette douceur m’envelopper. Ça faisait tellement longtemps.

Oh Maman, Maman, que c’est bon. Doucement, doucement, sinon je ne vais pas pouvoir me retenir.

Ça ne fait rien mon chéri. Nous avons toute la nuit, tu sais ! Laisses-toi aller si tu veux ! J’ai envie de sentir ton goût mon chéri. Ça fait tellement longtemps.

Cette invitation, c’était trop. Quand elle se mit à me pomper en me pressant doucement les bourses, je ne pus me retenir. J’explosais bruyamment en essayant de me dégager mais elle m’en empêcha. Les lèvres soudées à ma hampe, elle me laissa me vider complètement dans sa bouche tout en me caressant tendrement le ventre. A la fin, elle leva ses yeux vers moi pour me dire :

Tu as aimé mon chéri ?

Oh mon dieu. J’ai ai rêvé mais c’était encore mieux que dans mes rêves.

Tu aimerais que je dorme avec toi cette nuit ?

Oh oui maman, ça serait le plus beau des cadeaux.

Et puis, comme tu es devenu un grand garçon maintenant, si tu es sage, Maman va t’apprendre quelques petits secrets sur les filles.

Ah bon ! Comme quoi ?

Ne sois pas trop impatient ! Chaque chose en son temps mon garçon.

Quelques secondes plus tard, elle disparaissait en direction de la salle de bains. Je me levais discrètement pour la suivre et me repaître de la vue de son corps aux formes encore si désirables. Elle était vraiment belle ma mère. Au bout d’un moment, elle sourit en m’apercevant dans lentrebâillement de la porte.

Je m’éclipsais rapidement, un peu gêné d’avoir été pris en flagrant délit de voyeurisme. Je m’allongeais sur mon lit, la tête dans les nuages, repassant en boucle l’image de ma mère, ses lèvres soudées à mon sexe pour ne rien perdre de tout ce sperme que mon jeune âge me permettait d’éjaculer en grande quantité.

A quoi penses-tu mon chéri ?

Ma mère était en train de s’asseoir à mes côtés. Je ne l’avais même pas entendu arriver.

J’étais en train de revivre ce que tu viens de me faire, Maman. C’était…… Magique.

Je sais mon garçon. Tous les garçons adorent çà. Ton père aussi avant mais il a peut-être quelqu’un d’autre maintenant car il ne s’occupe plus tellement de moi ces derniers temps.

Je suis là moi Maman. Si tu veux bien m’apprendre, je saurais m’occuper de toi, pour toujours.

Ne parles pas comme çà mon garçon. J’espère au contraire que bientôt tu rencontreras quelqu’un qui saura me remplacer dans ton cur et ailleurs aussi.

Jamais personne ne te remplacera dans mon cur, jamais.

A ces mots ma mère se laisse glisser contre moi dans le lit. Elle a fait glisser son peignoir au pied du lit. Elle est nue. Complètement nue. Ma tête va exploser tandis que je sens ses seins se plaquer contre mon bras, ma poitrine. Je ne peux résister à l’envie de la toucher à mon tour. Je me tourne pour lui face, elle pose un chaste baiser sur mon front, ses lèvres descendent progressivement sur mes yeux, mon nez, mes joues ; effleurent mes lèvres avant de remonter vers mon front.

— Je t’aime Maman. Ça me fait mal dans la poitrine tellement je t’aime.

Elle ne réponds pas, semble réfléchir tandis que nos regards se soudent l’un à l’autre. Plus rien n’existe autour de nous. Comme dans un rêve je sens ses lèvres revenir se poser sur les miennes, s’ouvrir pour laisser passer sa langue qui se glisse entre mes dents pour venir se lover contre la mienne dans une caresse d’une infinie tendresse. Ma tête bourdonne, mon esprit s’embrouille, un feu d’artifices explosent dans ma tête tandis que je m’abandonne au baiser de ma génitrice.

Elle me murmure à l’oreille :

— Tu veux que Maman t’apprenne à la rendre heureuse ?

— Oh oui, oui. Apprends-moi.

Elle se met sur le dos et m’attire doucement sur elle, ouvre ses jambes dans une invite sans équivoque. Je la laisse me guider pour m’installer dans la fourche de ses cuisses. Nos corps s’épousent. Mon sexe n’en peut plus de bander. J’ai la poitrine qui va exploser, mon sang bat dans mes tempes tellement fort que j’ai l’impression de ne plus entendre que ça dans ma tête. Son ventre est contre le mien. D’instinct je bascule mon bassin en avant, mon sexe glisse contre le sien. Mon gland trouve ses lèvres intimes, dérape vers le sillon de ses fesses, butte plusieurs fois autour de l’entrée sans parvenir à s’y engouffrer. Je gémis de plaisir en me sentant si proche de m’enfoncer dans son ventre. Je m’impatiente, donne des coups de reins dans le vide tandis qu’une de ses mains s’infiltre entre nous pour saisir mon gland et le placer dans l’entrée de sa vulve. Elle me caresse le dos, les fesses en me demandant de me calmer.

Tout doux mon fils, tout doux. C’est un moment magique qu’il ne faut pas gâcher. Nous avons tout notre temps. Bientôt nous n’allons plus faire qu’un. Tu vas devenir un homme mon chéri en t’enfonçant en moi.

J’écoute ses paroles dans mon oreille en essayant de me maîtriser du mieux que je peux. Je sens ses chairs s’ouvrir pour m’accueillir.

Ouiiiiiiiii, c’est bien. Vas-y maintenant. Rentres doucement dans mon ventre, je t’attends. Ça va être bon mon petit cur d’amour.

Je réprimais de toutes mes forces mon envie de la pénétrer d’un puissant coup de reins. Comme elle le voulait, j’avançais mon bassin lentement, doucement, sentant ses chairs cédées pour m’accueillir et me laisser progresser dans un nid d’une incommensurable douceur. Des gémissements incontrôlés s’échappaient de ma gorge au fur et à mesure que nos sexes s’emboîtaient l’un dans l’autre. C’était magique, merveilleux, bien meilleur que ce qu’elle m’avait fait quelques instants plus tôt.

Oh Maman, Maman que c’est bon. Je t’aime Maman.

Je t’aime mon garçon. Prends-moi maintenant. Prends-moi doucement.

J’étais enfin enfoncé tout entier dans son fourreau d’amour, mon ventre contre le sien, nos corps étroitement enlacés l’un contre l’autre. Je savourais cet instant inimaginable que j’étais en train de vivre. Ma mère passa ses jambes autour de ma taille pour m’attirer un peu plus en elle puis se mit à bouger lentement pour me faire coulisser en elle. C’est elle qui menait la danse. Je la suivais du mieux que je pouvais. Je me mis moi aussi en mouvements en donnant des petits coups de reins pour le plus grand plaisir de ma génitrice qui se mit à m’encourager.

Oui, comme çà. C’est bien mon chéri. Ne t’arrêtes pas. Donnes-moi des petits coups secs au fonds de mon ventre. Ne sort pas trop. J’aime bien te sentir en moi. C’est bon.

Tu aimes Maman ?

Ouiiiiiiiii. C’est bon mon fils. Continues, plus fort maintenant. Voilà, comme çà. Tu me fais du bien. Oui. Encore, encore. Plus fort.

Nos regards ne se quittent plus. Je suis fou d’amour pour cette femme si douce, si exceptionnelle. Je lis dans ses yeux tout l’amour qu’elle me porte. Mes coups de reins s’accélèrent tandis que d’instinct je passe mes mains sous ses fesses pour mieux la pilonner. J’ai l’impression que parfois ses yeux se voilent. Elle gémit de plus en plus fort. Tout mon corps se concentre dans mon sexe, je ne vis plus que par lui, pour elle. Les sensations sont de plus en plus puissantes. Je gémis à mon tour. Tout s’assombrit autour de nous. Je ne vois plus que ses yeux plantés dans les miens mi-sourire, mi-étonnés, mi-apeurés. Le plaisir grandit, s’amplifie dans mon ventre, mes reins, ma tête. Maman murmure des mots sans suite entrecoupés de petits cris rythmant chacun de mes coups de reins. Parfois elle ouvre la bouche toute grande mais aucun son ne parvient à mes oreilles. Elle m’attire contre elle de plus en plus fort. Elle me souffle :

C’est trop bon mon fils. C’est trop bon. Je vais jouir. N’arrêtes pas. Ouiiiiiiii. Ça vient. Continues.

Tout son corps se tend d’un seul coup. Elle plante ses yeux dans les miens avant qu’ils ne basculent dans la jouissance accompagnés d’un long feulement de bête blessée. Cette vision est trop forte, trop puissante. J’explose à mon tour, libérant dans le ventre qui m’a enfanté, le fruit de ma propre jouissance. C’était la 1ère fois qu’elle me permettait de la prendre et jouir dans son ventre. Il y en a eu beaucoup d’autres par la suite en commençant par cette première nuit et ce long week end où mon apprentissage de la jouissance féminine a commencé.

Nous restons un long moment emboîtés l’un dans l’autre. Ma mère semble s’être endormie, sa respiration est régulière. J’admire son beau visage tout à l’heure déformé par le plaisir. Je la trouve encore plus belle après ce qui vient de se passer. Je l’embrasse tendrement. Mes lèvres courent sur son front, son nez, descendent vers ses joues avant d’effleurer ses petites lèvres bien dessinées. Je lui murmure à l’oreille :

Tu es magnifique Maman !

Son odeur m’affole, m’électrise. Je sens à nouveau des picotements naître dans mon bas-ventre et se propager vers mes reins pour remonter le long de ma colonne vertébrale. L’instinct me fait bouger mon bassin dans un simulacre de coït. Mon sexe réagit immédiatement. Je le sens s’étirer pour se redresser et me faire apprécier la douceur du vagin maternel. Quelques secondes me suffisent pour bander à nouveau comme un cerf. Je reprends mes « va-et-vient » tout en douceur tandis que je vois sur les lèvres de ma mère, s’esquisser un sourire.

Déjà mon fils ? Hummmmmmmmmmm ! J’ai enfanté un étalon ma parole !

Elle écarte à nouveau ses cuisses en ramenant ses genoux sur sa poitrine. La vision qu’elle m’offre m’excite comme jamais. L’adrénaline afflue de partout.

Maman est à toi mon fils. Prends-moi fort. Prends-moi comme tu veux. Je suis toute à toi mon amour. Je suis heureuse. C’est bon de te sentir en moi mon garçon. C’est trop bon.

Je m’active plus franchement à ces mots. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre la bouche pour me permettre de glisser ma langue contre la sienne. Elle se laisse faire en se contentant de m’offrir ses orifices. Je lui assène des coups de plus en plus puissants. Mes précédentes jouissances me font tenir un long moment jusqu’à ce qu’enfin, elle commence elle aussi à répondre à mes assauts. Son bassin s’anime. Je vois dans ses yeux, sur son visage les signes du plaisir. Je redouble d’ardeur tandis qu’elle m’encourage de la voix.

Oui mon garçon. Ouiiiiiiiiiiiiii. N’arrêtes pas. Je vais jouir encore.

J’alterne les coups fermes, secs et courts, avec d’autres plus profonds, plus lents. Ma mère pousse des gémissements de plus en plus forts. Sa voix change pour devenir plus rauque. Ça m’excite.

Ouiiiiiiiiiiii. Comme ça mon garçon. Encore, encore. Je vais venir.

Nous sommes exactement sur la même longueur d’ondes, totalement en phase quand je sens son corps sous moi, se tendre encore une fois. Elle cherche mon regard, écarquille les yeux puis explose dans un orgasme ravageur. Je suis aux anges. Ma mère est en train de jouir sous mes coups de reins. Une longue plainte s’échappe de sa gorge tandis qu’elle me plante ses doigts dans les reins. Un long orgasme la secoue avant de retomber, presque inconsciente sur ma couche. Je n’ai pas réussi à jouir. Je continue néanmoins à coulisser lentement dans son ventre en la caressant du mieux que je peux sur tout le corps, insistant sur les seins et son ventre plat que j’atteinds en me soulevant légèrement. Je la retourne sur le ventre sans qu’elle n’oppose la moindre résistance. Elle se laisse manuvrer. Je me place derrière elle, la queue toujours dressée, j’écarte ses jambes en m’aidant de mes genoux puis je m’allonge sur elle. Le bout de mon sexe pointe dans le sillon de ses fesses. Elle se soulève légèrement en tendant ses fesses vers moi. D’un coup de reins je glisse doucement entre ses globes magnifiques. Elle me souffle :

Mais tu es insatiable mon chéri ?

Je peux te prendre encore Maman ?

Oui mon petit amour. Maman est toute à toi, pour toujours. Fais-moi tout ce que tu veux. J’ai envie de te faire plaisir.

Je profite encore un long moment du plaisir que me procure son ventre puis je me relève un peu pour pouvoir titiller son illet dont les spasmes m’attirent irrémédiablement. Je mouille un de mes doigts de salive puis le fait entrer doucement dans l’ouverture. L’anneau s’écarte pour m’ouvrir le passage. Je le fais pénétrer de plus en plus loin sans que ma mère ne proteste. Un deuxième doigt rejoint le premier.

Holà , doucement, doucement mon garçon, ton père ne m’a jamais trop habituée de ce côté ?

Moi j’aimerais bien Maman. Tu crois que….

Ma mère hésite à me répondre. Je la sens tout à coup un peu nerveuse aussi je n’insiste pas de peur de la contrarier. Je retire mes doigts en me contentant d’appuyer légèrement sur la corolle de chair qui palpite sous mon doigt. La caresse semble lui plaire puisqu’elle se remet à pousser des gémissements de plaisir. Mon autre main coure sur son dos, ses reins pour finalement la saisir dans le creux de la hanche pour l’attirer fermement vers ma verge. Je la besogne de plus en plus fort. Ma mère ne bouge pratiquement plus. Elle est HS comme elle le dit souvent lorsqu’elle est trop fatiguée. Mon ventre butte contre ses fesses, mon gland frappe le fonds de son ventre, elle s’ouvre au maximum ce qui m’excite comme jamais. Dans ma tête tout se bouscule, tous ses événements qui d’un coup se sont emballés pour s’enchaîner à une vitesse de ouf. J’arrache encore quelques soupirs à ma génétrice avant de me raidir et gicler mes dernières réserves de sperme bien calé entre ses fesses.

Oui, ouiiiiiiiiiiii mon garçon. Jouis. Jouis dans Maman.

Je suis sonné. Cette énième jouissance m’a vidé. Je m’abats sur son dos, raide dingue d’amour.

Oh Maman, je t’aime.

Nous restons un moment soudés l’un à l’autre puis lorsque je me retire et me couche à ses côtés, joue contre joue, je l’entends me murmurer :

Maman te promet de te donner ce dont tu avais envie tout à l’heure. Laisses-moi un peu de temps pour m’habituer. Je t’aime mon fils.

Nous nous endormons rapidement, ivres de bonheur et morts de fatigue, dans ma tête résonne cette promesse.

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