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Stéphanie, chirurgienne et salope – Chapitre 10




Après mettre fait sauter par le directeur de l’hôpital, Pierre mon chef de service et Charles un professeur en chirurgie très renommé, je rentre à la maison.Je suis impatiente d’avoir une conversation avec mon mari qui a assisté à ma soumission à ces trois hommes à travers son écoute téléphonique.

 J’entre dans la maison et me dirige vers le salon où Anthony m’attend avec une bouteille de champagne. Je l’embrasse langoureusement et me pose sur le canapé alors qu’il nous sert deux coupes. Il s’assoit près de moi et m’embrasse tendrement avant de me tendre ma coupe.

        – Peux-tu me dire comment tu t’es retrouvé au téléphone alors que je me trouvais dans le bureau du directeur ? dis-je après avoir trempé mes lèvres dans le champagne bien frais ?

          – Et bien c’était convenu avec Pierre.

           – Comment ça, convenu ? tu savais ?

           – Pour tout te dire, je sais tout depuis le début ! me répond Anthony sur un ton suave.

           – Tout ? Depuis le début ?

         – Oui ! En fait j’ai rencontré Pierre sur le parking de l’hôpital un soir où je venais te chercher. Nous avions travaillé ensemble il y a plusieurs années, avant que je te connaisse, et il a été agréablement surpris que je sois devenu ton mari.

          – Et ???

         – Et, il m’a dit le plus grand bien de toi. Il m’a aussi dit qu’il te trouvait très charmante avec beaucoup d’insistance.

         – Et tout ça à suffit à me retrouver dans ses bras ! dis-je en posant un léger baiser sur ses lèvres.

        – Pas tout à fait ! Nous avons échangé nos numéros de téléphone et quelques jours avant votre départ en séminaire, il m’a appelé. Il m’a demandé la permission de t’emmener avec lui et au fil de notre conversation j’ai entrevu quelles pouvaient être ses intentions. Il y a longtemps que je fantasmais de te voir avec d’autre hommes et je lui ai proposé de t’offrir à lui à la seule condition que je puisse vous entendre faire l’amour par téléphone interposé.

            – Donc le premier soir, tu savais que j’étais avec eux ?

         – Oui ! Pierre m’a dit qu’avec Franck ils passaient souvent leurs fins de soirée avec la femme qu’ils emmenaient avec eux. J’ai vu là le moyen de réaliser mon fantasme de te savoir prise par d’autres hommes et je lui ai donné ma bénédiction à la seule condition que je sois présent à travers mon téléphone.

           – Et tu as tout de suite pensé que ça allait marcher ?

          – Non, pas vraiment ! J’ai commencé à prendre confiance le soir où tu es arrivée avec eux pour me demander si tu pouvais partir en séminaire en leur compagnie. J’en ai profité pour te soumettre l’idée que tu pourrais faire l’amour avec ces deux hommes. Je t’ai fait l’amour en t’orientant vers cette idée et je dois admettre que tu as été particulièrement réceptive ! me dit-il en glissant une main entre mes cuisses sous ma robe.

       – Oui, je dois dire que ça m’a beaucoup excitée mais je n’étais vraiment pas sure de franchir le pas ! J’ai pourtant passé cette nuit à rêver de mes deux patrons en train de me prendre dans tous les sens !! Hummm, oui c’est bon !! dis-je en sentant un de ses doigts entrer dan ma chatte.

         – Dis-moi que tu aimes les queues !

          – Ouiii, j’aime prendre des grosses bites !!!

         – Tu es ma petite salope ?

        – Oui, je suis ta salope qui aime prendre des queues dans tous ses trous !! dis-je en sentant un doigt entrer dans mon cul.

         – Est-ce que tu aimerais aussi gouter à une bonne chatte ?

         – Hummmm, ouiii !!! dis-je en repensant au bon gout de la chatte à Natalie. Je repousse ses doigts de ma chatte car je viens d’avoir une idée.

          – Qu’est ce qui t’arrives ?

         – Je viens d’avoir une idée ! Pierre nous attend samedi chez lui pour son anniversaire. Je pense que c’est l’occasion d’inviter les femmes de Pierre et Franck lors de leur prochain séminaire. Comme je te l’ai dit, j’aimerais les voir se faire baiser par toi et tes amis.

         – Et tu pourrais aussi leur bouffer la chatte ! me répond Anthony avec enthousiasme.

          – Tu aimerais que je fasse ça ? dis-je avec un regard espiègle.

      – J’adorerais voir ma petite salope de femme lécher des chattes pendant qu’elle se fait prendre le cul par un gros dard !!

        – Hummm !! ta petite salope va tout faire pour te satisfaire !! Mais peut être pourrais-tu me satisfaire maintenant car ta petite salope est encore bien excitée !! dis-je en me mettant à quatre pattes sur le canapé pour lui présenter mes fesses qui réclament une bonne queue.

        Il baisse rapidement son pantalon et laisse apparaître sa belle queue toute tendue de désir avant de remonter le bas de ma robe sur mon dos. Il écarte mon string et plante son engin directement entre mes fesses. D’une violente poussée de ses reins, il me plante son dard dans le cul jusqu’à la garde. Je pousse un petit cri de surprise car je ne m’attendais pas à ce qu’il commence par m’enculer. Je ne ressens pourtant aucune douleur car ma petite rosette a déjà bien été élargie plus tôt dans l’après-midi et est encore lubrifiée par la semence du directeur de l’hôpital. Je commence à onduler des hanches pour aller à la rencontre de la bonne bite de mon mari qui me perfore le cul.

        – Hummm, ouiii !! prends-la à fond ta petite salope !!

        – Tu aimes qu’on te prenne le cul, ma petite chienne en chaleur !!

        – Hummm, ouiiiiii !! c’est trop bon !!

        – Tu as envie d’une bonne chatte à te mettre sous la langue ?

        – Ouiiiiiii !! Je veux manger des chattes et prendre des queues !! Je suis ton esclave sexuelle !! Tu vas être content de ta petite salope !!

        – Tu m’excite trop, petite salope !! Tu vas me faire jouir !!

        – Ah oui, viens !! Moi aussi je vais jouir !! Je passe une main sous mon ventre et je glisse deux doigts dans ma chatte dégoulinante de mouille.

        – Je viens ahhh !! Je vais te remplir le fion, petite salope !!

        – Hummm, ouiiii c’est bon !! Je jouiiiiiis !!!!!

Nous sommes restés un long moment collés l’un à l’autre avant de nous séparer presque à regret. Je suis allé prendre une bonne douche pendant que mon petit mari nous préparait le dîner. Pendant les deux jours qui ont suivis, Anthony a passé son temps à me parler des femmes de mes deux patrons et de toutes les cochonneries qu’il aimerait me voir faire avec elle. Il a même été jusqu’à m’envoyer des SMS très détaillés sur ce qu’il me voyait faire avec elles.

Je suis en train de me préparer pour aller à la fête d’anniversaire de mon patron et je repense à tout ce que m’a dit ou écrit mon mari ces deux derniers jours. Je suis dans un tel état d’excitation que je suis très impatiente de rencontrer les deux femmes. Je ne les connais pas et j’ai tout de même un peu peur de m’être trop fait de film et d’être déçu en les voyant. Je passe la petite robe rouge à fermeture éclaire que j’ai récemment acheté en repensant à la bonne partie de baise qui avait suivi cette achat dans la boutique de lingerie de Nathalie. A ce souvenir, je sens ma petite chatte s’humidifier. J’ai décidé de ne pas porter de sous-vêtements à l’exception d’une paire de bas clip noirs, ce sera mon cadeau d’anniversaire pour mon patron. Je remonte la fermeture éclaire de ma robe juste ce qu’il faut pour que l’on devine mes seins mais que ça ne fasse pas vulgaire. Le frottement de la fine étoffe sur mes seins fait saillir mes tétons qui pointent fièrement à travers le tissu. Après une légère séance de maquillage, je glisse mes pieds dans mes hauts talons noirs et je file rejoindre mon homme qui m’attend dans le salon.

Il a un sifflement admiratif lorsqu’il me voit apparaître et me détail de la tête aux pieds.

         – Tu vas encore faire tourner des têtes ce soir ma chérie !

         – N’est-ce pas ce que tu désires mon cur ? lui dis-je sur un ton provocateur.

         – Si, c’est exactement ce que je veux ! Dépêches-toi à monter dans la voiture car nous sommes déjà très en retard !

         – Vos désirs sont des ordres, maître ! dis-je en me dirigeant vers la porte d’entrée.

Une fois dans la voiture, Anthony me dis qu’il me trouve très belle et ne peut résister à la tentation de glisser sa main droite entre mes cuisses. Très docile, je les ouvre très largement afin qu’il puisse remonter vers ma petite chatte. Lorsque ses doigts arrivent sur mes lèvres intimes, je constate de la surprise sur son visage.

         – Je crois que tu as oublié de mettre une culotte, petite coquine !

         – Oups ! Ben je crois qu’il est trop tard pour faire demi-tour ! dis-je sur un ton espiègle.

         – Ce n’est pas bien de se promener cul nu sous sa robe, madame ! Que va bien pouvoir en penser notre hôte ?

         – Je pense que Pierre sera ravi du petit cadeau d’anniversaire que je lui offre en ne portant rien sous ma robe.

         – Je pense, en effet, qu’il va adorer !! me dit Anthony en glissant un doigt dans ma vulve.

        – Ce n’est pas prudent ce que tu fais là, mon chérie. Je vais être excitée comme une folle quand nous allons arriver chez Pierre !!

         – C’est exactement ce que je veux ! me répond-il avec un grand sourire.

Avec les doigts de mon homme dans la chatte, j’ai trouvé la route terriblement courte. Il a retiré ses doigts quelques kilomètres avant notre arrivée alors que je sentais la jouissance monter. C’est avec une grosse frustration et la chatte toute humide de mouille que je suis arrivé chez mon patron. Pierre nous accueille à l’entrée et nous prie de bien vouloir le suivre dans le salon. A ma grande surprise, il n’y a que peu de monde à cette soirée. Les seuls convives sont Franck l’adjoint de Pierre, Charles son ami professeur de Lyon, le directeur de l’hôpital et deux femmes que je devine être les épouses de mes deux patrons. Les trois hommes se déplacent pour nous saluer avant que Pierre nous entraine vers les deux femmes pour nous présenter.

          – Mesdames, je vous présente Stéphanie, brillante chirurgienne de mon service, et Anthony son marie.

          – Enchanté, je suis Sophie l’épouse de Pierre, nous dit la première en nous tendant la main avec un grand sourire.

         – Et moi c’est Anne, l’épouse de Franck et amie de Sophie depuis toujours, nous dis la seconde avec le même grand sourire.

Je suis agréablement surprise en voyant que ces deux femmes n’ont guère plus de la quarantaine. Sophie est une jolie femme d’environ 1,75 m. Sa chevelure brune et bouclée lui tombe en cascade sur les épaules. Une robe fourreau noire dessine ses courbes parfaites et son décolleté s’ouvre sur une généreuse poitrine qui doit faire dans les 90C. Une vilaine pensée me vient à l’esprit : comme Pierre doit être bien quand il met sa queue entre ces deux jolis seins ! Je chasse très vite cette vision de ma tête au moment où Anne m’adresse la parole. Elle n’a rien à envier à son amie. Son corps de sportive rivalise avec celui de Sophie. Malgré une poitrine un peu moins volumineuse, les lignes de son corps sont tout aussi parfaites. Son joli petit visage est encadré par un sage carré blond qui lui donne un air de première de la classe. Les deux femmes discutent avec Anthony et moi alors que Pierre nous tend une coupe de champagne. Au fil de la conversation, nous apprenons que les femmes de mes patrons se connaissent depuis l’enfance et que c’est à l’université qu’Anne a rencontré Franck qui était de cinq ans son aîné.

Elle en était tombée follement amoureuse. Quelque mois plus tard, il leur présenta Pierre (son maître de thèse à l’époque) et ce fut le coup de foudre pour Sophie qui, malgré la différence d’âge, ne se voyait pas vivre sans cet homme. Alors que la conversation battait son plein, Franck vint nous rejoindre et me demanda de me rapprocher de Pierre qui avait quelques informations à me donner. Abandonnant mon homme avec les deux épouse et Franck, je me dirige vers Pierre qui est en grande discussion avec Charles et le directeur de l’hôpital. Lorsque j’arrive près de lui, il me prend par la main et m’attire contre lui. Il s’est arrangé pour que les deux hommes fassent écran afin que sa femme ne puisse voir ce qui se passe dans mon dos. En effet, sa main glisse le long de ma colonne vertébrale et descend lentement vers mes fesses.

         – Tu es très en beauté ce soir, ma petite Stéphanie ! N’est-ce pas messieurs ?

         – En effet, elle est belle à croquer ! lui répond Charles qui ne quitte pas mon décolleté des yeux.

         – Et tu ne porte rien sous ta robe petite coquine !! me dit Pierre en caressant doucement mes fesses.

         – C’est mon cadeau pour vous professeur. J’espère que ça vous plait ! lui dis-avec un grand sourire.

        – En effet, ça me plait beaucoup mais tu me paieras cette excitation que je ne vais pas pouvoir assouvir ce soir !! me dit-il sur un ton faussement sévère.

      – J’attends votre punition avec impatience !! dis-je en me libérant de sa main pour rejoindre mon mari qui est en grande discussion avec les deux femmes et Franck.

Au moment où je rejoins le petit groupe, Sophie se retourne brusquement et son coude heurte mon bras renversant ainsi une bonne partie de sa coupe sur ma robe. Confuse, elle me demande de la suivre à l’étage pour arranger sa maladresse. Elle me fait entrer dans une grande salle de bain et me demande de me déshabiller le temps qu’elle me trouve une nouvelle tenue dans le dressing adjacent. Je proteste en prétextant que tout ça va sécher mais elle insiste pour me prêter une de ses tenues.

Me voilà prise au piège ! Je suis nue sous ma robe et je n’ai pas envie que Sophie me voit ainsi. Je suis encore dans mes réflexions lorsqu’elle réapparait et j’ai toujours ma robe sur moi. Elle pose les vêtements qu’elle a choisi sur le bord de la baignoire et s’approche de moi.

         – Il ne faut pas être timide comme ça, tu sais, nous sommes entre fille !! Tu peux retirer ta robe sans crainte !! me dit-elle en attrapant le fermoir de ma fermeture éclair.

         – Mais c’est que je n’ai pas le temps d’en dire plus que ma robe est entièrement ouverte et que tout mon corps est exposé aux yeux de Sophie.

        – Tu es vraiment très belle, s’aurait été dommage que je ne vois pas un si joli corps !! dit-elle en terminant de retirer ma robe.

         – Je suis terriblement gênée dis-je dans un souffle.

       – Il ne faut surtout pas, je te trouve très à mon gout !! me murmure-t-elle à l’oreille en posant une main sur mes seins.

Ne sachant quelle attitude adopter, je reste figée alors que les lèvres de Sophie glissent le long de mon cou avant de venir poser un délicat baiser sur mes lèvres. Avec l’excitation que m’a procurée Anthony dans la voiture, je ne peux réprimer un soupir de bien-être. Il n’en fallait pas plus pour encourager la femme de Pierre. Ses lèvres sur ma bouche se font plus pressantes et sa langue passe la barrière de mes lèvres au moment où je sens sa main se poser sur ma petite chatte fraîchement épilée. Elle fait glisser un doigt entre les lèvres de ma chatte qui se ré humidifient instantanément. J’ouvre mes lèvre et je laisse entrer sa langue dans ma bouche pour répondre à son envie de baiser. C’est le moment qu’Anne choisit pour entrer dans la salle de bain.

         – Tout va bien les filles ? ah mais on dirait bien que oui !! dit-elle en se rapprochant de nous.

         – Tu devrais venir goûter sa bouche ma chérie !! lui répond Sophie tout en glissant un doigt dans ma chatte en feu.

         – Avec plaisir, je suis sure qu’elle a très bon gout dit-elle en se plaçant en face de Sophie.

Elle place une main sur mes fesses et se colle à moi avant de m’embrasser avec autant de douceur et d’envie que Sophie. Elle interrompt son baiser et me demande :

         – Dis-moi, ils te baisent bien nos maris ?

       – Je ne vois pas ce je n’ai pas le temps de terminer ma phrase qu’Anne m’a attrapée par les cheveux et qu’elle me tire la tête en arrière.

        – Tu sais, nos maris nous disent tout ! Alors ? Est-ce qu’ils te baisent bien ?

         – Oui dis-je dans un souffle alors que Sophie fait aller et venir son doigt dans ma vulve.

       – Comment est-ce qu’ils te donnent leurs queues ? me demande Anne alors qu’elle a lâché mes cheveux pour caresser mes fesses pendant que sont autre main me caresse les seins. Sophie a glissé un second doigt dans ma chatte. Je perds pied et je me laisse aller.

         – Ils me prennent la bouche, la chatte et le cul dis-je dans un souffle.

        – Ils doivent beaucoup aimer car, avec Sophie, il est très rare que nous nous adonnions à la sodomie !! Tu aimes te faire prendre le cul ? me dit-elle en glissant un doigt entre mes fesses.

         – Oui, j’aime beaucoup sentir une queue dans ma chatte et dans mon cul en même temps !!

         – Et là ? Tu aimes ce qu’on te fait ? dit Anne en massant ma rosette qui commence à palpiter d’excitation.

         – Hummm, oui c’est trop bon !! dis-je en sentant son doigt pénétrer ma petite rosette.

Anne penche son visage vers celui de Sophie et les deux femmes s’embrassent langoureusement devant mes yeux mi-clos par l’excitation alors qu’elles me font reluire les orifices avec leurs doigts. J’ai aussi très envie de leurs baisers et j’approche lentement mon visage des leurs. Anne interrompt son baiser et vient glisser sa langue dans ma bouche alors que Sophie embrasse tendrement la peau de mon cou. Anne se recule après m’avoir presque coupé le souffle et s’adresse à son amie :

         – Je crois que ton cadeau pour Pierre est prêt, ma chérie !!

         – Non, pas tout à fait !! Il va peut-être falloir l’emballer un peu !!

         – Tu as raison ma chérie, elle est un peu trop dénudée avec seulement ses bas et ses hauts talons.

Je viens de comprendre que le cadeau en question c’est moi et cette perspective décuple mon excitation de jeune salope en chaleur. Sophie récupère ce qu’elle avait déposé sur la baignoire et tend un magnifique kimono en soie rouge à Anne qui s’empresse de m’aider à l’enfiler. Pendant ce temps, Sophie place sur mon coup un fin collier en cuir doté d’un anneau sur lequel elle fixe une petite chaîne en argent. Une fois le peignoir fermé, Anne se place derrière moi et Sophie me fait avancer en tirant doucement sur la chaîne.

        – Baisses la tête ! me dit sèchement Anne en appuyant sur ma nuque.

        – Mais je… ma phrase est coupée par la main d’Anne qui viens de me donner une bonne claque sur les fesses.

        – Je serais toi, je lui obéirais !! Je sais ce qu’il peut en couter de ne pas obéir !! me lance Sophie.

Sans dire un mot, je m’exécute. Je viens de comprendre à mes dépends qu’Anne à une tendance dominatrice et que Sophie semble lui être soumise. L’attitude de ces deux femmes commence à me plaire et je m’imagine déjà les avoir un jour à ma merci et retourner cet ordre qui semble établi. Après quelques pas dans le couloir, j’ai envie de provoquer pour voir les réactions des deux femmes. Je redresse donc la tête fierement et la sanction ne se fait pas attendre: la main d’Anne claque à nouveau sur mes fesses et je m’empresse de baisser la tête. Sophie s’arrête et se retourne vers moi et me dit:

        – Je t’assure que tu devrais faire ce qu’elle te demande. Elle sera fier de toi et tu sera récompensée par son amour.

        – Bien, Madame! dis-je entre mes lèvres pour entrer dans leur jeu.

Nous reprenons notre progression. Je suis satisfaite de ce que je viens de découvrir. Sophie est réellement soumise à son amie et l’envie de soumettre Anne devant la femme de mon patron décuple mon excitation. Pour ce soir, je vais la laisser jouer avec moi mais, un jour, c’est moi qui ferai d’elle ce que je veux. Nous rejoignons le salon où les hommes sont en grande discussion et, à notre entrée, le silence se fait. Je suis conduite devant Pierre qui me demande de relever les yeux.

         – Mon chéri, j’espère que ce petit cadeau te fera plaisir ! dit Sophie en tendant la chaîne en argent à son mari.

        – Il ne peut me faire plus plaisir et comme c’est mon cadeau, j’aimerais le partager avec vous tous !! dit Pierre en s’approchant de moi pour poser ses lèvres sur les miennes.

         – Ravie que ça te plaise !! dit Sophie avec un grand sourire.

         – Tu as envie que je partage mon cadeau? me murmure Pierre à l’oreille.

         – Oh, oui, dis-je dans un souffle.

         – Tu veux des queues et des chattes?

         – Oui !! la perspective d’être le jouet sexuel de tous ces gens me rend folle et je sens mon petit minou se liquéfier.

        – Nous allons passer dans la pièce du plaisir !! dit Pierre à la cantonade et tirant sur ma chaîne pour m’entraîner derrière lui.

Après avoir descendu un escalier et longé un long couloir, nous nous retrouvons dans une pièce d’une cinquantaine de mètre carré. Au centre de la pièce, trône une couche immense de trois mètres sur trois recouvert de drap de satin blanc. Près de la porte se trouve une commode en bois comportant trois tiroirs, à l’angle opposé se dresse un grand canapé noir où peuvent facilement loger quatre personnes. Cependant, ce qui attire mon regard c’est une croix vernis munie de bracelets en cuir qui occupe l’autre angle de la pièce.

         – Mesdames, j’aimerais vous voir nues sur le lit afin que cette petite salope goutte à vos abricots !! dit Pierre sur un ton magistrale.

Sans attendre les deux femmes quittent leurs vêtements sous lesquels elles ne portent pas de sous-vêtements et s’allonge cote à cote sur le lit les jambes écartées. Pierre tire sur ma chaîne et me fait agenouiller devant les deux femmes qui attendent ma bouche. Sophie à la chatte totalement épilée comme moi alors qu’Anne porte un duvet blond soigneusement taillé mais les lèvres de son sexe sont lisses comme la peau d’un bébé. J’approche ma bouche du sexe de Sophie. J’entends un léger grognement de la part d’Anne qui espérait sans doute que je commence par elle. Je profite de cet avantage et sans trop de peine, ma langue trouve le clitoris de Sophie. Je la fait tournoyer et très vite j’arrache des gémissements à Sophie. Je joue de longues minutes avec la chatte de Sophie et ma langue finit par descendre vers son petit trou. Sophie gémit de plus belle et je sens sa petite rosette s’ouvrir sous les coups répétés de ma langue dardée. Anne n’y tient plus. Elle veux aussi sa part. Elle se redresse, me prend par les cheveux et attire mon visage vers sa chatte.

Soulagée d’enfin sentir mes lèvres sur son sexe, elle embrasse Sophie à pleine bouche en lui caressant les seins. Ma langue caresse alternativement le vagin et le clitoris d’Anne. Ne voulant pas que Sophie se sente frustrée comme je l’ai fait sciemment avec Anne, je glisse un doigt dans sa chatte tout en léchant l’abricot de son amie. C’est à ce moment que je sens une queue entrer dans mon petit minou. Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir à qui elle appartient. Mon mari est en train de s’accrocher à mes hanches et me lime violemment la chatte en me regardant donner du plaisir aux femmes de mes patrons. En nous regardant, les hommes se sont mis nu et le directeur donne son membre a sucer à Sophie alors que Charles présente son gourdin devant les lèvres d’Anne. Le directeur se laisse sucer en douceur alors que Charles baise littéralement la bouche d’Anne qui gémit sous mes coups de langue. Anthony masse ma rosette avec son pousse tout en me défonçant la chatte. Ma condition de jouet sexuel m’excite tellement que son pouce finit par coulisser sans problème dans mon fondement.

Pierre demande aux deux femmes de s’écarter afin de me faire de la place entre elles. Anthony se retire de ma chatte et Pierre me tire par la chaîne pour me faire contourner le lit. Il demande à Franck de s’allonger entre les deux femmes et me fait signe de m’empaler sur sa queue. Je me place à califourchon au dessus dans jambes de Franck et je me laisse descendre sur sa queue tendue jusqu’à la sentir bien au fond de mon vagin. Appuyée sur mes bras, j’ai une vue plongeante sur les chattes des femmes de mes patrons. Anthony, la queue toujours bien tendue, viens se placer entre le cuisses de Sophie et la pénètre lentement. Charles a abandonné la bouche d’Anne et se place entre ses cuisses pour faire pénétrer son gourdin dans sa chatte. Pierre passe derrière moi et après avoir fait coulissé deux doigts dans mon petit trou, il y présente son gland qui entre sans effort. J’ai presque atteint la plénitude, il ne me manque qu’une bite dans la bouche pour être totalement comblée. Comme s’il lisait dans mes pensés, Pierre demande au directeur de me donner sa queue.

La pièce se remplit de gémissements. Mes patrons me prennent la chatte et le cul et je ne peux même pas crier mon bonheur car la queue du directeur de l’hôpital me remplit la bouche. Comme s’ils s’étaient donné le mot, les cinq hommes se vident presque en même temps dans nos orifices de femmes comblées et tout le monde s’écroule sur l’immense couche.

 Après avoir terminé la soirée plus sagement mais sans oublié de nous embrasser dans les coins, j’ai récupéré ma robe qui avait largement eu le temps de sècher avant de prendre congé de nos hotes. Au moment de l’embrasser, Sophie m’a glissé discêtement sa carte en me demandant de la rappeller dès que possible. Sur le chemin du retour, je pense à ces deux femmes et à mon envie de soumettre Anne pour que Sophie puisse jouer avec elle. C’est certain… je ne vais pas tarter à contacter Sophie!!

A SUIVRE

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