Depuis quatorze ans que nous sommes mariés, l’idée de voir ma femme coucher avec un autre homme m’a toujours excité. Je voulais la voir jouir, la sentir heureuse et posséder par son amant. Je rêvais de pouvoir la prendre juste après cette autre. Je lui avais souvent demandé, mais elle prenait toujours cela comme une plaisanterie.
Il y a environ 6 mois, elle a fini par m’avouer que cette idée l’excitait et qu’elle s’était même plusieurs fois masturbée en pensant à un certain David qui habite plus loin dans notre quartier. David et sa femme sont d’assez bons amis et nous sommes déjà partis en week-end ensemble. Je me rappel que notre vie sexuelle m’avait paru plus intense après ces escapades mais j’avais mis ça sur le compte du dépaysement.
Au bout de quelques temps je pris l’habitude de demander à Karima de me raconter pendant que je lui faisais l?amour, ce qu’elle aimerait faire avec David. Elle devenait terriblement excitée, son sexe mouillait et devenait encore plus chaud. Elle me racontait à quel point elle fantasmait de le sentir poser ses mains sur elle, caresser son corps, se faire lécher, toucher son sexe et surtout de se faire prendre. Une nuit où elle était particulièrement excitée, je décidais d’éteindre les lumières et lui dis de faire comme si j’étais David. Je m?étais aspergé du même parfum que lui et je la pris plus violement qu?habituellement, le sexe gainé d?un préservatif pour être le plus réaliste possible. Cela la rendit folle, elle se mit à gémir son prénom et là, sa chatte mouilla tellement que mes couilles ruisselaient littéralement de son jus d?amour. Elle eut un orgasme fulgurant et moi je me répandis dans le morceau de latex. Je sus ce soir là qu’il ne faudrait pas longtemps avant que je réussisse à voir ma femme réaliser mon fantasme. Après quelques semaines, elle me dit qu’elle se sentait prête à faire l’amour avec lui. Sa seule condition était de maintenir la femme de David dans l?ignorance, ce qui me semblait le moindre des choses.
Je ne perdis pas de temps. J?allais régulièrement chez nos voisins pour essayer de l?appâter. Lorsque sa femme était absente, je lui parlais de la mienne. Il semblait la trouver séduisante. Ce jour là, je l?emmenais sur des conversations intimes. Lui racontant la façon dont elle me suce, sa manière de bouger le bassin lorsque je la prends. D?après lui, la sienne ne pratiquait pas la fellation et était plutôt rigide au lit. Puis il me dit que sa femme devait partir quelques jours chez sa mère. Je décidai de l’inviter à souper. J’attendis jusqu’au soir pour en parler à Karima. Une fois au lit, je posai ma main sur sa chatte. Tout en masturbant sa chatte humide, je lui annonçai que notre voisin viendrait manger demain soir sans sa femme et que je comptais bien les regarder baiser ensemble. Cela rendit Karima intenable et il me fallut toute une nuit de sexe pour la calmer.
Le lendemain quand je revins du travail elle sortait de la douche. Comme elle semblait un peu triste je lui demandais :
— Qu’est ce qui ne va pas ma chérie ?
— Je suis inquiète, peut-être en me voyant faire l’amour à un autre homme tu ne voudras plus de moi ou tes sentiments ne seront plus les mêmes.
— Bien au contraire, répondis-je en la serrant dans mes bras, je t’aimerai plus encore, même si je ne crois pas que personne ne puisse être amoureux de toi autant que je le suis déjà.
— Tu es l?homme de ma vie, tu le sais ça ?
— Oui, mon amour. Es-tu excitée à l’idée de ce que nous allons faire ?
— Oh que oui ! J?ais utilisé trois fois mon vibromasseur en y pensant.
Je la poussai à la renverse sur la table et commençai à lui lécher la chatte mais elle me demanda de ne pas la faire jouir car elle préférait rester excitée de peur de changer d’avis. Je me rendis dans la salle de bain et pris son parfum favori puis en couvrit sa chatte et ses seins. Avec mon aide elle mit des bas, un string et une guêpière à lacet. Un très belle ensemble de sous-vêtements noirs que je lui avais offerts pour notre dernier anniversaire de mariage. J’embrassai à nouveau sa chatte à travers le string avant qu’elle se lève et enfile une robe noire qui se boutonne par-devant.
Le soir venu, David est arrivé et nous avons partagé un repas classique. Je priais pour qu’il ne se rende pas compte à quel point nous étions nerveux. Ma femme et moi n’avons pas échangé un seul regard de la soirée.
Karima et David ont parlé art et littérature avec un certain entrain. Mais moi je ne pouvais penser à rien d’autre qu’à David en train de baiser ma femme et je savais qu’elle aussi. Finalement le souper se termina et ma femme nous dit qu’elle allait servir le café et le digestif au salon. Nous avions déjà bu du vin pendant le repas et je m’assurais que le verre de notre invité était toujours rempli.
Karima et moi étions d’accord, après un petit quart d’heure de discussion dans le salon, je devais m’absenter en prétextant un coup de fil à passer au travail. Evidemment, il ignorait que je simulais une conversation. Je pris une voix soucieuse et déclarais que je devais passer au bureau régler ce problème informatique. Puis, je revins au salon et mon épouse me demanda ce qui n’allait pas. Une fois mon explication donnée je leur dis que je ne rentrerai sans doute pas avant minuit. David dit qu’il allait de toute façon devoir partir mais Karima lui demanda de rester parce qu’elle voulait lui montrer un article dans l’un de ses livres d’art. J’ajoutai qu’il pourrait au moins finir son café et son digestif.
Je tremblais d’excitation en démarrant la voiture pour faire le tour du pâté de maison. Puis je me dépêchais de courir à la fenêtre du salon que j?avais laissé entrouverte pour pouvoir les écouter. Karima comptait commencer son entreprise de séduction en lui signalant une douleur musculaire au creux du cou et demander un massage à David. C?est grand sportif qui a une connaissance pointue des massages.
Je les regardais parler et je pouvais voir ma douce épouse se frotter le cou. Le verre de notre invité était maintenant vide et il hocha la tête en acquiescent à la proposition de ma femme. Elle vint s’assoire aux pieds de notre invité, devant son fauteuil. Elle mit sa nuque à nu en écartant ses longs cheveux noirs, ondulés et je vis ses mains se poser dessus. Je sentais déjà ma queue devenir dure en le voyant toucher ma femme. Je l’entendis gémir doucement et dire combien c’était agréable. Elle se tourna et lui dit qu’il n’était pas obligé de partir s’il n’en avait pas envie. Et elle ajouta que je ne rentrerai pas avant minuit.
Un instant plus tard elle se tourna et mit ses mains sur son torse et commença à le caresser. Il avait l’air surpris mais ne dit rien. Alors elle descendit jusqu’à sa queue et se mit à la caresser à travers son pantalon. Il se baissa vers elle et l’embrassa dans le cou tout en frottant sa poitrine. Elle le poussa en arrière, et, allongé sur le sol, ils s?embrassèrent passionnément. Je voyais les mains de Karima caresser fermement ses fesses rondes, elle défit sa chemise et l’embrassa du torse au nombril pour ouvrir sa ceinture et son pantalon.
Je m’étais souvent demandé auparavant si elle serait capable de coucher avec un autre mais maintenant je n’en doutais plus. Il se souleva pour l’aider à retirer son pantalon et son caleçon. Sa queue large de déplia droit vers le visage de ma femme et je souris en voyant son expression. Elle admirait avec stupéfaction la taille de cet engin. Je savais qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses, sauf dans les films que nous avions parfois regardés ensemble. Elle était vraiment très épaisse et très longue. Je dois dire que j?étais un peu vexé et je ne me sentais moins exciter de savoir que ma femme allait se faire prendre par un sexe aussi gros. J?imaginais déjà la difficulté de la faire jouir après un engin comme celui-ci. Je regardais ce sexe qui se dressait fièrement le long de son ventre jusqu’au nombril. Ma femme se mit à le caresser doucement tout en le regardant avec envie. En durcissant, elle sembla devenir plus large encore. Karima commença à embrasser cette queue offerte, d’abord sur la longueur puis finalement elle prit le gland entre ses lèvres. Du liquide, témoins de son excitation, perlait déjà pendant qu’elle décrivait des cercles de la langue sur le gland gonflé. Des fils laiteux reliaient sa bouche au gland lorsqu?elle se reculait pour mieux l?admirer.
Ma femme se mit à pomper ce membre imposant, bien qu’elle ne puisse le sucer qu’à mi-longueur. Elle commença lentement mais bientôt de plus en plus vite, puis ralentissant pour malaxer ses grosses couilles velues de sa main. Parfois, elle descendait les flatter de la langue, les gobant chacune leur tour. Je n’arrivais pas à croire que cela puisse durer aussi longtemps, elle le suça pendant de longues minutes. Il se contrôlait vraiment très bien, j’aurais sans doute déjà joui à sa place.
Elle se releva et déboutonna sa robe et faisant onduler son corps très sensuellement. David l?a félicita pour ses jolies dessous. Il délassa la guêpière et ses mains prirent ses seins en coupe. Il les serra pendant que Karima gémissait de plaisir. Ma femme a une poitrine volumineuse et très ronde avec des mamelons très bruns qui me faisaient envie rien qu?en les regardant par la fenêtre. Ma queue était dure comme du fer et je me masturbais lentement tout en les observant se dévêtir. Ils se mirent à genoux et s’embrassèrent passionnément. Elle caressait ses fesses musclées de sportif tout en écrasant doucement sa poitrine contre son torse. Lui de ses bras la serrait plus fort contre lui. Les voir mêler leurs langues et s’embrasser aussi passionnément m’apparaissait d?une sensualité exacerbée. Ensuite Karima se mit debout et David finit de la déshabiller. Il était toujours à genoux et commença à embrasser son ventre, ses seins, son cul. Le mini string noir de ma femme mettait ses fesses en valeur. Il les écartait de ses mains pour mettre à jour la fine bande de tissu qu?il crocheta afin de le faire glisser au sol. Gardant ses fesses écartées, il taquina son petit anus du pouce avant d?y déposer une langue gourmande. Elle se pencha en avant pour lui offrir sa petite chatte épilée. Il ne se fit pas prier pour fouiller et sucer son sexe, des grandes lèvres au clitoris avec une certaine habiliter, vu les réactions de ma femme.
Après de longue minute de ce traitement, elle le fit s’allonger, se positionna debout au-dessus de son visage et entama une masturbation des plus érotique. Elle plongeait lentement ses doigts dans son vagin tout en se pinça délicatement le bouton d?amour. Elle ondulait du bassin et lui offrant une vision qui devait être des plus excitante. Une main était occupée au plaisir de son sexe, l?autre voyageait de ses seins à son petit anus qu?elle aime taquiner lorsqu?elle se caresse. Puis elle descendit pour coller son sexe sur le visage de son amant. Il lui écarta les fesses et plongea sa langue dans sa fente juteuse pendant qu’elle frottait son clitoris son visage. De la main, il lui caressait les fesses. Son doigt trouva l’entrée étroite de son anus, légèrement entrouvert. Il plongea son doigt dans son vagin pour le lubrifier davantage et il le posa contre la petite rosette pour le caresser d’un mouvement de plus en plus insistant et pénétrant. Son doigt finit par la pénétrer. Il se mit à le faire coulisser d’avant en arrière. Tout en la dilatant, il lui dévorait la chatte. Sa vulve était gonflée et humide comme je ne l?avais jamais vu. Soudain, elle fut secouée d’un orgasme fulgurant, elle se cambra et sa bouche s’ouvrit dans un cri étouffé.
Elle ne pouvait plus attendre. Elle vint sur lui et prit sa queue en main. Tout en le branlant, elle commença à descendre sur le membre dressé, s’empalant centimètre après centimètre. Ses yeux étaient fermés, concentrée sur son effort, elle sentit le gland énorme écartelé ses chaires jusqu’à ce que toute la longueur de la queue fut en elle. Ma femme gémissait de façon continue, rendue folle par cette invasion de taille. Après quelques secondes d?immobilité, pour s?habiter à un tel gabarit, elle se releva jusqu’à se libérer et faire ressortir le sexe luisant et glissant de plaisir, puis elle se rassit à nouveau lentement. Elle recommença ainsi plusieurs fois, à chaque fois plus vite, plus fort. J’entendais ma femme crier de plaisir et je n’arrivais pas à croire que David n’ait pas encore joui. Karima jouissait intensément, je crois qu?elle a eu plusieurs orgasmes. Epuisée, elle se laissa rouler au sol. Je voyais maintenant distinctement sa chatte béante et luisante. David vint se placer au-dessus de ma femme et guida sa queue vers sa fente. Elle lui griffait le dos et les fesses. Il la baisa brutalement pendant encore 5 bonnes minutes, ma femme était transformée en une masse de jouissance. Il s’arrêta dans un dernier coup de rein violent. Je le vis se contracter tandis qu’il giclait abondamment à l’intérieur de ma femme, en donnant quelques coups de queue bien profondément. Ils restèrent soudés quelques minutes puis il se retira. Je vis son perme couler de la vulve dilatée de Karima. Le liquide envahissait la raie de ses fesses. Elle en prit sur ses doigts et les porta à sa bouche pour le goûter. Ils restèrent encore dix minutes allongés à se caresser et à s’embrasser, puis il se leva et commença à se rhabiller.
En voyant sa queue mi-dure pendre dans le vide, Karima la prit dans sa bouche pour avoir les dernières gouttes de sperme. Sous l?effet de cette fellation, il bandait de nouveau. Cela motiva mon épouse qui se mit à le sucer de plus en plus vite. Le pénis avait reprit tout son panache. Elle se détacha et se positionna en levrette devant lui. Elle lui offrait la vue de ses parties intimes souillé de sperme en écartant les fesses des deux mains.
Elle était belle et impudique. Comprenant l?invitation, il posa son gland luisant sur la petite étoile brune de ma tendre épouse. Sa petite rosette, qu?elle m?offre que si rarement, va bientôt être prise par un sexe que je n?aurais jamais aussi gros. Il poussa son gland entre les chaires serrées. Ma femme grimaçait de douleur, mais le laissa faire. Il entra doucement mais d?une seule traite. Elle le guidait un peu dans sa progression. Une fois qu?il fut bien caler au fond, c?est mon épouse qui donna le rythme par des mouvements du bassin. N?ayant pas l?habitude de se type de pénétration, il ne put se contrôler et l?attrapa par les hanches et la pilonna sévèrement. Ma femme hurlait de douleur ou de plaisir, je ne pourrais le dire. Il se figea puis éjacula à grand coup de queue bien profond dans les intestins de mon amour. Il lui mit encore quelques aller retour puis il décula.
Ils s’embrassèrent encore puis il se revêtit et se dirigea vers la porte pour partir. Dès que je fus sûr qu’il était parti je retournai à ma voiture pour ’rentrer’ à la maison.
Karima m’attendait, assise dans le fauteuil et visiblement épuisée. Elle me sourit et me demanda si j’avais aimé ce que j’avais vu. Elle devina vite à la bosse dans mon pantalon et à mon baiser passionné que j’avais apprécié.
Elle ouvrit grand les jambes et m’offrit la vue de sa chatte. Elle était gorgée de sperme, pleine, ruisselante. Je me jetais dessus pour boire le mélange de sperme et de mouille de ma femme et la lécher passionnement. J?étais si excité que lorsqu?elle me caressa le sexe, je lui éjaculais dans la main. Epuisée, elle s?endormit avant que je puisse lui faire l?amour et pouvoir mélanger mon sperme à celui de son amant. Le lendemain matin, après lui avoir fait l’amour, elle me dit qu’elle aimerait recommencer. Depuis, il vient régulièrement baiser ma femme, mais il ne sait pas que je les observe depuis l?extérieur. En réfléchissant à tous cela, je me suis rendu compte que c?était moi qui goûtais le plus au sperme de David.