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LES FANTASMES D'ISABELLE – Chapitre 3




Nous avons du en Avril 2006 Isabelle et moi prendre le train pour aller en Belgique chercher une voiture ; une Jaguar de toute beauté achetée, candide, sur Internet via E bay. Je suis un amoureux fou des Jaguar. Cétait ma 3 éme. Je me suis fais une fête de me faire ce petit cadeau, dautant peu que le prix dachat était fort attractif et convenait à mon budget.

Le véhicule que je devais aller chercher était à Charleroi. Javais fixé rendez-vous au garagiste quelques jours auparavant.

En fait, Isabelle et moi nous avions projeté de partir vendredi, de récupérer ma Jaguar puis de redescendre en France par la côte tranquillement, histoire de se familiariser avec celle-ci. Isabelle ne travaillant pas et moi indépendant de profession (je suis dans les affaires), je métais dit que quelques jours de repos nous feraient le plus grand bien.

En arrivant à Charleroi, une gare dune tristesse pas possible, nous primes un taxi pour aller jusquau garage. Javais quelque peu danxiété. Je me demandais, si cette transaction était bonne ou mauvaiseles Belges dans le domaine du trafic de voitures sont réputés jusquaux confins du Sahara et bien au-delà du Kalahari !

En arrivant devant la vitrine du garage, nous fûmes quelque peu rassurés. Le garage avait pignon sur rue. Ce qui nétait pas négligeable !

En entrant dans le hall « show room » du garage, je reconnus ma Jaguar bleu marine intérieur cuir blanc, un vrai bijou ! Elle était magnifique .Je mapprochais delle suivi dIsabelle, ses grands yeux bleus clairs admiratifs et grands ouverts.

Je me penchais par la portière pour en admirer lintérieur et faire une rapide inspection. Nickel !

-Elle vous plait une fois ? Me demanda une voix grave venant du fond du hall.

Surpris, je me retournais et vis un homme derrière un bureau, encombré de canettes de bière et de cendriers remplis à ras le bord.

Les deux pieds posés sur le bureau, une canette à la main et un téléphone portable à loreille,

je découvrais un homme dune quarantaine dannées, les cheveux très courts pratiquement rasé à la Bartès !.

-Cest toi le français, me dit il avec un grand sourire, entre deux mots au téléphone ?

— Cest toi le Belge ? Répondis je sur le même ton, surpris par le tutoiement du garagiste

— Cest en effet moi le Belge, répondit il en nous montrant les deux fauteuils en face de lui

— Enchantés !

-Asseyez vous les amis, je suis à vous. Je termine avec ce client râleur et je suis à vous, promisVous voulez une bière, un café, un thé ?

— Je veux bien un thé, répondit Isabelle

-Moi un cafédis je surpris par le bazar qui régnait sur le bureau..

-Je vous commande cela tout de suite, dit il en hurlant après sa secrétaireTu te magnes un peu au lieu de faire la belle avec mes mécanosmes clients ont soif !

La conversation avec son client, à priori sur une voiture de Rallye, semblait très chaude. Isabelle et moi étions quelque peu gênés dassister à cette prise de tête et soulagés lorsque la secrétaire rondelette à souhait, certainement à cause dexcès de frittes et de bière, nous apporta notre collation, agrémentée de célèbres « Spéculos ».

-Je suis à vous mes amis ! Pas trop fatigués par le voyage ?

-Un peu..Mais bon ! Répondis-je

-Cest ta femme ? Me demanda til en regardant Isabelle entre deux rasades de bière

— Oui..Mon amie. Nous ne sommes pas mariés.

-Cest pareil ! Tu sais le mariagepffff cest dépassé crois moi dexpérience.

-Chacun peut avoir son opinion !

-Tu tappelles comment belle jeune femme ?

— Isabelle, répondit elle quelque peu surprise et intimidée par laisance du garagiste

-Tu es belle Isabelle ! Puis il partit dans un grand éclat de rire.

-merci.

-Alors Isabelle, tu aimes la belle auto que ton homme a achetée ?

— je vous dirai cela quant on laura essayé !

-Cest une belle mécanique, cétait un pépère de Mons qui lavait. Il la bichonnait mieux que sa femme ! Ah ah ah

Décidément lhumour belge était très particulier.

-Bon voila les clés de ta voitureles papiersla garantiela carte grise provisoire. Jai fait mettre 4 pneus neufstu nas plus quà faire ton chèque de solde et tout va bien !

— Cest sympa ! Merci.

— Vous connaissez la Belgique ?

— Moi jy suis venu deux ou trois fois, surtout à Bruxelles

— Et moi mon père est dorigine belge, précisa Isabelle.

-Tu es presque une enfant du pays, toi, une fois !

— Si on veut ! Mon père est né à Menin, puis après la guerre il sest installé à Lille. Il est devenu à ses 20 ans boulanger à Reims ! Moi je suis née à Reims.

— Supersuperbe. Et avec la belle auto, vous allez passer quelques jours en Belgique jespère ?

— Non. Répondis-je. Nous navons rien réservé et puis nous pensons redescendre en longeant la côte française.

— Cest dommage ! Excusez moi cest ma femme qui mappelle : pardon mon intendante !

Ah aha ah !!!

-Je vous en prie.

Le belge parlait fort, tout en ouvrant une nouvelle canette de bière écrasant lancienne entre ses doigts.

-Chérieje suis avec nos deux petits Françaistu sais.. ceux qui ont acheté la Jag de Moisson

-.

— Nonils rentrent en France ce soir !

-.

-Sils veulent connaître le nord ? Attends je leur pose la question. Ma femme me demande si vous ne voulez pas venir passer le week-end chez nous à Knokke ?

— Bencest que

-Ca vous plairait de connaître une belle station ? Vous connaissez Bruges ?

— Non pas du tout ! Répondîmes en cur Isa et moi

— Chérie tu prépares à nos amis la chambre des parentsIls sont sympas nos Français..comme cela ils pourront tester leur belle auto !!

— Nous ne voulons pas vous déranger !

-Dis donc le Françaisen France cest toi le patron en Belgique une foiscest moi.

— Si voustu le dis !

— Allez tutoies moien Belgique cest une tradition ! dit il en aspirant de sa canette une grande rasade de bière belge. Chérie, tu réserves au restaurant chez Ninette en face de lappartOkay ma poule ? Pour 20 heuresle temps de se retourner.

— Voila une organisation à la belgevous allez connaître notre BelgiqueIl est 5heures nous en avons pour 200 KmsLisette ma femme est déjà sur place depuis tantôtJai deux, trois coups de fil à passerJe fais sortir du « show room » votre belle auto et on fileau bord de la mer ! Vous avez des bagages ? Je fais faire le plein, mon cadeau !

-Oui.

-Allez les mettre dans le coffreJarrive tout de suite.

Le chef datelier sortit la Jag. Je me délectais du son que produisait le moteur. Le 6 cylindres était feutré. Javais gardé un très bon souvenir de mon coupé V12une bombe. Je savais quIsabelle nétait pas très Jaguar et que ses préférences allaient à Mercédes.

Mais elle avait été séduite par la ligne de ce très beau Sovereign bleu marine. Notre baptême se fit sous la pluie. En ce mois davril le printemps nétait pas au rendez-vous.

-Au fait je ne me suis pas présentédit le Belge en se dirigeant vers son cabriolet gris foncé un 500 SL de toute beautéMoi cest Jean Marc !

-Moi cest JessJesseyet Isabelle

-Bienvenue en BelgiqueJe passe devantNous allons prendre lautoroute tout de suite à gauche en sortant à nonante mètres.

-Si on se perd ? avec cette pluie ? Je ne connais pas la route !

-Tu gardes ton GSM ouvertComme moi, okay ?

Nous grimpâmes dans la Jag, je réglais mon siège. Isabelle fit le tour dhorizon de la place passager. Vide poche, thermostat, miroir de courtoisie

-Elle te plait ?

-Superbe.. ;Elle est très confortable

— En routeLaventure nous attend !

-Tu le trouves comment le Jean-Marc ?

-Spécial, mais sympaOn ne se connaît pas et il nous invite à passer le week-end chez lui à KnokkeOn verra bien de toute façon nous avons quelques jours devant nous !

-Elle est belle sa Mercedes !

-Dis donc tu as remarqué comment il te mâte ?

— Cest un homme à femmesCela se sent !

-Ahhh il te branche ?

-Pas spécialementIl est plutôt bel homme, tu ne trouves pas ?

-Tu sais moi les mecs !!!

Nous arrivâmes après un peu plus de deux heures de route à Knokke. La pluie entre temps avait cessé. Il faisait nuit lorsque je garai ma Jaguar sur le parking de la résidence de Jean-Marc.

-Venez ! Je vais vous présenter à ma Ninette.

Nous grimpâmes dans lascenseur. Limmeuble semblait luxueux.

-Nous sommes à 150m de la plageNous irons faire un tour sur la levée, tout à lheure en allant à notre restaurant.

Au troisième nous attendait sur le palier, Ninette. Grand sourire daccueil, belle, mince, brune, bien faite, dun premier coup dil jestimais que cétait une femme qui avait beaucoup de classe. Laccueil fut chaleureux elle embrassa Isabelle comme si cétait une amie de toujours.

-Moi cest Ninette ou FanyCela dépend de lhumeur de Jean Marc

-Moi cest Isabelle ! Isa pour les intimes

-Alors bienvenue chez nous Isaet ?

-Moi cest Jessey ! Mais Isa mappelle toujours Jess

Elle se dirigea vers moi et me fit la bise sur les deux joues en prenant ma petite valise.

-Venez déposer vos affairesSi vous désirez vous rafraîchir Nhésitez pas !

Lappartement de nos nouveaux amis était particulièrement splendide. Moderne. Nous traversâmes un couloir où de très belles toiles de peinture de maîtres inconnus de moi étaient suspendus et éclairées de spots minuscules.

-Voila votre chambre, précisa la maîtresse de maison en allumant la chambre. De dos je pus constater ses formes agréables et parfaitement proportionnéesCétait une femme qui sait sentretenir, pensais je. Elle devait avoir la quarantaine tout au plus. Je remarquais sous la satine de son pantalon létroite marque dun string, finement apparente

-Sexy la dame, pensais je. Son parfum très fin et subtil était envoûtant.

La chambre était merveilleusement bien décorée, dotée dun lit qui me semblait immense, hors normes.

-Superbe, ne put sempêcher de sesclaffer Isa en entrant. Elle semblait fascinée par le décor de cette chambre et du mobilier qui léquipait.

— Là vous avez léclairage. Ici, vous avez le réglage de la chaîne stéréo. Si vous voulez écouter de la musique, là vous avez la télécommande de la télévision. Elle se dirigea vers une porte.

-Jaimerais tant avoir une chambre comme celle-là, me glissa Isa à loreille

-Cest magique, tout est de très bon goût, lui répondis-je

-Ici cest votre salle de bains le réglage de la radio est ici, précisa telle en montrant les commandes Pour régler la balnéovous avez tous les boutons sur la baignoireVoila les servietteset tous les produits de soinRejoignez nous dès que vous serez prêts. Daccord ?

— A tout de suite Fany, dis-je en retirant ma veste.

Entre temps après la sortie de Fany de la chambre, Isa testait le lit en sautant afin de ressentir le moelleux du matelas :

-Il est géant ce lit !!!

-Un lit à câlins mon coeur !

-Hummm des promessestoujours des promessestu sais jen ai envie !

— Tu es insatiable chérie.

— Je mhabille comment ce soir ? Je mets ma robe blanche et mon pull que tu mas offert ?

— Tu as raisonde mettre un pull. Il fait un peu friquet. Nous sommes en bord de mer.

— Je vais prendre une douche

— Vas y, dis je en branchant la télé. Je me mis à zapper toutes les chaînesalors que déjà Isa était sous la douche sous une musique douce de Neil Daimond.

Jétais surpris de tout ce qui nous arrivait. Etait ce un rêve ? Nous voila au bout de la Belgique dans une station balnéaire, dans un appartement luxueux avec des amis inconnus ! Cétait vraiment surprenant, pensais-je ! Quest-ce que cela peut bien cacher ? Bof après tout on sen moqueprofitons en au maximum. Et puis vaille que vaille !

Quelques minutes après, rafraîchis et pomponnés nous rejoignîmes nos hôtes dans limmense salon.

-Nous avons fait un feu de cheminéeJe trouve que cela nous fera le plus grand bienLe temps est humide en plusVous prenez quoi ? demanda Fany en se dirigeant vers la table roulante, sur laquelle trônait une multitude de bouteilles dapéritif.

-Que prends tu ? Me demanda Jean Marc, en se levant du confortable canapé dans lequel il était profondément enfoncé.

— Si tu as un whisky, avec plaisir !

-Moi je prends une bière chérieet toi Ninette tu veux quoi ?

— Un martini.

-Tu es magnifique Isabelle, dit Jean Marc en la prenant par le brasTu es une femme qui plait beaucoup aux hommes.

-Merci. Répondit Isa quelque peu intimidéeVous avez également une belle femme..Ninette pardon Fany , elle est très sexy !

Un coup dil vers la scène, me fit comprendre que notre ami Belge semblait en pincer pour ma petite femme.

-Cette robe te va à merveille, lui dit il en la faisant tourner comme une danseuse

Fany les rejoignit avec les verres à la main.

-Isafais attentionJean Marc est un dragueur de première

-Tu nes pas jalouse ?

-Crois tu que je puisse lui mettre un fil à la patte ? Asseyez vous les enfants.

Isa pris la décision de sasseoir dans le large fauteuil, face à Jean Marc. Fany devant se lever souvent, sur le large bras du canapé. Moi, je me mis à côté de notre ami. En sasseyant, la robe large et légère dIsa remonta sur ses genoux, bien au-delà même, dévoilant le bas de ses longues et minces cuisses. Jean- Marc navait rien manqué du spectacle. Tout en savourant sa bière à la bouteille, méthode belge, il ne lâchait plus Isa des yeux. Toute la conversation était dirigée vers elle. Fany sentant que jétais un peu mis à lécart se mit à me parler et à raconter leur vieComment ils sétaient connus après chacun un mariage raté. Elle avait un fils qui était ce week end chez sa grand-mère à CharleroiElle avait 41 ans et aimait la vie. Elle exerçait le métier de décoratrice entre Charleroi, Mons et Bruxelles.

Pendant quelle parlait je regardais ses mains, magnifiquement belles et fines avec des doigts dune grâce merveilleuse. Jeus une image érotique en imaginant que le verre quelle enserrait en cet instant était un sexe, mon sexe tendu entouré de son pouceElle était très agréable à écouter. Elle avait une poitrine menue mais bien proportionnéebronzée elle mavoua quelle allait deux fois par semaine chez lesthéticienne. Elle faisait régulièrement des séances d UV doù ce teint merveilleusement hâlé.

Nous faisions connaissance, chacun de nos côtésJean Marc et Isa papotaientmoi et Fany, nous apprécions nos découvertes et les étapes de nos vies.

Visiblement lambiance était on ne peut plus agréable. Isa et moi nous étions aux anges et nos amis Belges très prévenants. Jean Marc semblait de plus en plus sous le charme dIsa. Je la connaissais très bien pour comprendre à ses mimiques et à ses sourires, quelle jouait de son charme auprès de lui. Lorsquelle tortillait ses longs cheveux blonds, de sa longue main fine, je savais quIsabelle était en train dimaginer des scènes certainement coquines.

-Bon il est temps daller à notre restaurant, dit Fany en se levant et en posant son verre. Je vais chercher mon manteau.

Quelques minutes après nous nous retrouvions sur lallée qui longe la plage de Knokke. Jean Marc tenait Isa par le bras, Fany avait glissé sa très belle main sous mon bras droitNous nous dirigeâmes vers le restaurant. Drôles de circonstances, métonnais je. Est-ce cela lhospitalité Belge ? Pour ma part, jappréciais la présence à mes côtés de Fany. Jétais envoûté par son parfum. Cette brune aux cheveux courts était une femme de tête. Javais le flair pour jauger et juger très rapidement les caractères des personnes, surtout des femmes.

-Tu ne trouves pas quil fait froid ce soir, Jessey ? Me dit elle, en me serrant un peu plus mon bras avec une certaine douceur. Elle marquait sa présence. Avais-je le ticket ? Je connaissais trop bien les femmes pour connaître leurs signes et messages subtils.

-Je naime pas le froid humideTu sais je suis un homme des Iles Le froid et moiOn nest pas trop copains

-Ton Ile Maurice, ne te manque pas ? Me demanda Fany, très attirée par mon pays.

-SiMaurice et moi, cest un grand amourMon pays me manque quotidiennement.

-Nous voila arrivés, précisa Jean Marc en seffaçant devant la porte.

-Et galant en plus, pensais je.

On sinstalla à notre table réservée. Il y avait peu de monde dans la salle. Jean Marc et Isa choisirent la banquette. Fany et moi, nous optâmes pour des chaises confortables .Je constatais que Jean Marc fumait beaucoup depuis notre rencontre il venait douvrir son deuxième paquet.

-Tu fumes beaucoup ? Minquiétais-je

-Oui depuis mon accident de voiture.

-Jean marc a eu un grave accident de voiture il y a 3 ans …avec un mort

-Ninette choisis, sil te plait ! Ce soir, nous ne sommes pas là pour penser aux choses mauvaises ! Nest ce pas IsabelleOn est là pour vivre, pour séclater ! Quen penses tu ?

-Tu as raisonlaissons le passé au passé.

Nous passons la commande et Jean Marc nous offrit le champagne.

-A notre belle soirée Délicieuse en votre compagnie, dit il en trinquant avec nous et en finissant avec Isabelle cognant étrangement longtemps sa coupe contre la sienne.

-Mais il la drague le salaud ! Pensais je en observant les véritables avances que faisaient Jean Marc à Isa. Mon cur se mit à battre de plus en plus fort, cétait comme cela lorsque je tombais sous lemprise de lémotion. Je savais quelle entrait dans son jeuJe la connaissais à merveilleComment allait se passer cette soirée ? Tout cela était étrange et devenait excitant. La curiosité de la suite des évènements menvahissait. Les yeux de chacun dentre nous brillaient aux flammes des bougies disposées sur notre table. Jaimais cette ambiance feutrée et intime. Alors que je tendais la corbeille de pains à Fany, je surpris Isa en train de sursauter. Ce qui se passait, elle me le raconta bien plus tard au fond de notre lit.

******************

— Tu as sursauté un certain moment pourquoi ?

— Jétais en train de manger, quand jai senti la main de Jean Marc sur ma cuisse.

-Je nai rien vu. Tu aurais pu me faire un clin dil !

-Tu sais nous étions enfoncés dans la banquette.

-Et alors ?

-Il est resté un moment comme cela. Je nosais pas bouger, ni lui retirer sa main. Je me suis sentie toute chose et cela ma vite excitée. Jai sursauté.

-Raconte !

-Et bien pendant que tu parlais avec Fany, il a remonté ma robe sur le côté

-Hum !

-Puis sa main est remontée entre mes jambes très lentement.

— Tu les as serrées ?

-Non. Javais envie quil me caresse. Jai légèrement ouvert les cuisses pour quil puisse accéder à ma petite culotte.

-Cochonnetu mexciteset alors ?

-Alors au moment où le serveur nous a apporté le fromage, il a glissé un doigt entre ma cuisse et ma culotte.

-Tu étais mouillée ?

-Inondée. Il ma caressé ainsi le sexe. Je nen pouvais plus. Jétais chaude ! Tu ne tes aperçu de rien ? De toute façon tu étais trop absorbé par Fany.

-Oui. Il faut dire que nous sommes tombés sur un drôle de coupleTu sais que Fany aussi ma caressé ?

-Non ?

-Si ! Je pense quils étaient tous les deux de connivence ! Ils avaient décidés de faire lamour avec nousLes regards de Jean Marc dès notre arrivée au garage étaient chauds. Jai compris que cétaient des échangistes !

-Cest assez excitant

-Et après ?

-Il est resté en moi, son doigt sagitait dans mon sexe.

-Tu es restée stoïque !

-Jai aimé cette situation très érotique.

-Tu tes levée un certain moment.

-Oui javais envie daller aux toiletteset surtout me calmer.

-Lorsque tu tes levée jai vu Jean Marc faire un clin d il au patron du restau !

-Je ne m en suis pas aperçue.

-Tu es restée longtemps aux toilettes ?

-Figures toi que jai demandé au patron où se trouvaient les toilettes, il ma dit quil fallait prendre lescalier derrière la porte des cuisines.

-Et alors ?

-Alors je suis descendue aux toilettes. Jai été faire pipi et en sortant il y avait derrière la porte le patron qui était là.

-Que faisait il ?

-A priori il mattendait En sortant il me regardait de façon bizarre.

-On dirait Quasimodo !

-Comme tu le dis. Sans que je my attende il ma poussé et plaqué sur la porte des toilettes.

-Tu nas rien dit ?

-Je lui ai dit de me lâcher, de me laisser tranquille. Il puait la transpiration.

-Quel salaud !

_Là il ma glissé sa main sous ma robe et il ma dit que je lexcitais.

-Manque pas de souffle ce mec !

-Je lui ai dit quil nétait pas mon genre dhomme et que jétais attendue.

-Je veux toucher ta chatte ! Me dit il en essayant de passer sa main entre mes jambes.

-Non je nen ai pas envie, laissez moi !

-Il ta laissé partir ?

-Non il ma fait mal au bras et il a réussi à baisser un peu ma culotte. Il ma caressé mon sexe et a introduit son index. Il ma plaqué son autre main sur la bouche. Il puait la transpiration et lalcool.

-Tu ne vas pas me dire quil ta violée ?

-Il sétait débraguetté. Il a sorti son sexe mais il bandait à peine. En fait jai été sauvée lorsque la serveuse est descendue pour aller aux toilettes. Il sest enfermé dans les Wc, jai eu le temps de remonter ma culotte et de remettre de lordre dans mes vêtements.

-Ben dit donctu las échappé belle !

-Il maurait violée.

-Jai remarqué quil avait changé dattitude jusquà la fin du repas.

-Tu penses que Jean Marc lui a donné le feu vert ?

-Son clin dil ma intrigué. A présent je comprends mieux.

-Lorsque tu es revenue Jean Marc a continué son jeu avec toi ?

— Oui. Lorsquil a commandé une autre bouteille de vin, il a remis après sa main sur ma cuisse et il est revenu vers mon slip. Mais jétais sèche..La séance du patron mavait refroidie. Mais il a fait des va et vient avec son doigt dans mon sexe et je me suis mise à remouiller. Javais envie de faire lamour. Jai écarté les cuisses sous la table et jai apprécié cette masturbation.

-Tu as joui ?

-Non mais cétait plaisant. Cétait très érotique. Et toi ?

— Lorsque tu es partie aux toilettes, Fany a posé sa main entre mes cuisses et avec son index elle a caressé mon sexe sur mon pantalon.

-Tu bandais ?

-Comment résister à cette caresse. Je pensais que cette femme très classe était incapable de cette situation. Je ne connaîtrai jamais assez le comportement des femmes. Vous êtes un vrai mystère !

-Et toi tu las caressée ?

-Non. Mais un certain moment jai posé ma main sur la sienne et je lai appuyée sur mon sexe, lui montrant que jaimais cette situation particulière. Alors de ses deux doigts elle a moulé mon sexe sur sa longueur.

-Arrêtes tu mexcites !

A la fin du repas, nous sommes ressorties sur la levée. Il faisait presque doux .En revenant vers lappartement de nos amis nous étions par couples légitimes. Je tenais Isa par la taille, nous avions besoin de respirer un peu. Je ne savais pas ce qui sétait passé sous la table et aux toilettes. Je trouvais Isa silencieuse et perdue dans ses pensées, certainement avec le recul en train de se remémorer ces scènes érotiques du restaurant.

-En fait jétais très excitée et si je métais écoutée je serai repartie aux toilettes ne serait ce que pour voir jusquoù ce sagouin de patron pouvait aller. Mavoua telle par la suite.

En arrivant dans lappartement, on fut mis dans lambiance tout de suite. Fany choisit un éclairage très intime. Jean Jacques après sêtre servi une canette de bière dans le frigo dit à Isa

-Veux tu voir ma collection de voitures miniature Isa ?

— Jean Marc collectionne des voitures miniatures depuis plus de 10 ans précisa Fany

Isa se leva et sans me demander si je voulais venir suivit Jean Marc dans le couloir qui menait à une pièce du fond. Jentendis simplement la porte se refermer derrière Isa. Mon cur se mit à battre la chamade.

Ce qui arriva par la suite cest isa qui me le raconta plus tard.

*********************

« Je suis entrée dans la pièce. Il y avait une multitude de petites voitures exposées dans différentes vitrines. Je me suis attardée à en regarder quelques unes. Jean Marc était appuyé contre un bureau et terminait sa bière.

-Déshabilles toi me demanda-til !

Surprise je me retournais et Jean Marc avait sorti son sexe de son pantalon et se branlait pour le raidir. Je ne mattendais pas à un tel spectacle. Son sexe était de taille normale, rose. Rien à voir avec le tien qui est très bronzé.

-Allez déshabilles toi ! Mordonna til une deuxième fois.

Je le regardais presque tétanisée en train de se branler. Voir un homme se branler mexcite au plus haut point. Tu le sais. Javais trop envie de faire lamour, avec lui ou quelquun dautre. Javais besoin de me calmer et les caresses de Jean Marc sous la table mavaient mise en ébullition. Même la tentative de viol du restaurateur à cet instant me revenait à lesprit. Je sentais que je mouillais à nouveau. Mon ventre se tordait presque denvie. Alors jai retiré mon pull, puis jai passé ma robe par-dessus mes épaules.

Jean Marc à présent bandait pleinement ;Tout en me déshabillant je narrêtais de regarder son sexe. Javais envie de le prendre dans ma main, de le glisser dans ma bouche, de le sucer.

-t es tu inquiétée de ce que je devenais ?

-Non. En fait je ne pensais quà faire lamour. Tout mon corps en avait envie.

Je suis restée ainsi devant lui, en slip les seins à lair. Il continuait à se branler tout en baissant son pantalon.

-Fais moi voir ta chatte ! Me demanda til

Alors jécartais sur le côté mon slip en lui dévoilant mon pubis et les lèvres de mon sexe. Je voulais lexciter encore plus.

-Tu tépiles ?

-Elle te plait ?

-Elle est belle. Retire ta culotte !

— Tu regardes mais tu ne touches pas !

-Cest moi qui décide ! Allez baisses moi cette culotte.

Je sentais que je mouillais de plus en plus. Jai fait descendre ma culotte sur mes chevilles puis toujours le regard rivé sur son sexe tendu, je me suis redressée.

-Assieds toi par terre et écartes tes cuisses je veux te voir

Je me suis mise sur le dos, allongée sur le tapis et je me suis mise en face de lui et jai écarté mes cuisses moffrant ainsi à son regard. Il continuait en fixant mon sexe ouvert à présent, à se masturber. Allait il jouir ainsi ? Si oui, je me sentais frustrée ! Il me regarda longtemps comme cela puis je fus attiré par deux déclicsLevant la tête Jean Marc mavait prise en photo dans cette posture très érotique.

-Je vais faire une macro de ta chatte me dit il en approchant son objectif à quelques centimètres de mon sexe. A nouveau lappareil crépita au moment où je passais ma main sur mes lèvres mouillées afin de les entrouvrir encore mieux. Ma petite corolle lui semblait divine. Jean marc mitraillait à présent mon sexe, inondant la pièce de ses flashs.

-Lèves toi et viens

Jexécutais lordre sans broncher et je me mis devant lui, tremblante démotion.

-Suces moi me dit il en appuyant sa²main sur ma tête, afin que je mabaisse à ses pieds.

-Tu aimes sucer ? Non ?

-Je ne répondrai pas à cette question, lui répondis.

Il dirigea son sexe relevé vers ma bouche le présentant à mes lèvres.

-Fais moi jouir jen ai envie. Suces moi doucement.

Il avait une odeur assez forte au début. Je repoussais entre mes doigts sa peau, dégageant son gland. Jaime regarder le gland des hommes. Jaime leur douceurPuis avec ma langue jaime écarter le méat et me glisser dedans. Cela conduit toujours les hommes à fermer les yeux et à attendre la suite quils savent imminente.

Jai pris son gland dans ma bouche pour lhumecter de salive. A cet instant jentendis Jean Marc gémir de plaisir. Jaimais sentir un sexe d homme dans ma bouche. Jadore la fellation. Cest indescriptible comme sensation. Une fois que l on commence à sucer cest comme si on était scotchée. Alors je me mis à le sucer doucement tout en me caressant afin de maintenir mon sexe en attente aussi de plaisir. Je poussais son gland au fond de ma gorge, je le sortais de temps en temps, pour admirer leffet que je prodiguais, puis je lengloutissais à nouveau. Jean Marc avait posé ses deux mains de chaque côté de ma tête et appliquait une pression pour me donner le rythme à son plaisir.

Son sexe avait gonflé et avait trouvé une taille pleine, parcourue de veines épaisses qui apportaient à celui-ci, une rigidité extrême. Jai senti sur ma langue un goût légèrement salé, preuve de son excitation et dune prochaine jouissance. Dexpérience je sais que rarement le goût du sperme des hommes est identique. Alors que je le suçais je me faisais un vrai plaisir de le sentir sur ma langueA la pression que Jean Marc faisait à présent sur ma tête et le fait quil sattarde à menfoncer encore plus profondément son sexe dans ma gorge je savais que sa jouissance approchait. Je lentendais haleter plus fortement.

-Je vais jouir Isaça vientcontinuesavales moi

A cet instant je sentis quil se raidissait il bloqua ma tête en arrière afin de mieux séclater dans ma bouche. Une, puis deux, puis trois jets chauds et doux sortir de son sexe inondant mon palais. Si je navalais pas tout de suite une gorgée, jallais étouffer ! Sa quantité de sperme était impressionnante. Acre, salée, chaude et visqueuse elle descendit dans ma gorge par saccade, la tapissant de voluptés.

Jaimais cette offrande. Je nai jamais compris les femmes qui naimaient pas avaler le sperme dun homme, cest si particulier, si torride à la fois ! Je levais les yeux vers Jean Marc pour admirer son plaisir. Bouche ouverte les yeux fermés il était pris de tremblements de plaisir. Je me mis à nouveau à le sucer, aspirant les dernières perles qui sortaient de son sexe qui commençait à ramollir. Je me relevais vers lui.

-Alors..Toujours aussi autoritaire le Jean Marc ?

-Tu es douée Isatu es divine

-Dis donc il y a longtemps que tu nas pas joui on dirait ?

-Pourquoi dis tu cela ?

-Jai rarement avalé autant de sperme !

-Oui mais de qualité belge!

-faut dire que tu es un peu salé

-Tiens finis ma bière me dit il en me tendant le fond de sa canette.

Je ne refusai pas cette proposition javais envie de faire passer le goût de cette semence qui me tapissait toute la gorge à présent.

-Merci Jean Marc

-Tu aimes ma queue ?

-Je nen connais quun effet ?

-Viens assieds toi sur ce fauteuil et écartes les cuisses. Jai envie de revoir ta chatte.

Excitée et en attente de pénétration je mexécutais. Calée au fond du grand fauteuil blanc je reposais de chaque côté sur les accoudoirs mes pieds offrant à la vue de jean Marc dont les yeux brillaient de désirs lubriques ma vulve détrempée.

-Tu mouilles comme une fontaine ! Tu es excitée on dirait ?

-Après tout ce que tu mas fait au restau et icije ne suis pas insensible.

-Dis donc le patron du restau il en avait après toi ?

-Jai failli être violée si sa serveuse nétait pas descendue aux toilettes !

-Ton sexe est beaupetit comme je les aime. Me dit il en mécartant les grandes lèvres découvrant mes muqueuses mouillées. Il passa un doigt en remontant de mes fesses vers mon vagin. Puis il introduisit un doigt, son index au plus profond de moi.

-Tu es chaudetu aimes le sexe on dirait ?

-Jadorejadore.

Puis il retira son doigt et présenta le bout de sa langue sur mon clitoris qui nattendait que cette douceur.. Une vague de chaleur envahit mon bas ventre. Je me surpris à écarter encore plus les cuisses. Jean Marc voyant ma demande déposa sa bouche et goba entièrement mon sexe puis introduisit sa langue douce dans les replis de mon vagin déclenchant un cri de jouissance de ma gorge encore sous leffet de sa semence et de ces relents qui remontaient de moi. Puis je sentis quil enfonçait son index dans mon anus tout ouvert dexcitation. Jadore lorsque lon me doigte !

-Tu es ouverte ma chérie. Me dit il avant de reprendre avec sa langue les titillements que jadorais.

Son index entièrement entré dans mon petit trou, il me branlait avec beaucoup de douceur, tout en me suçant avec volupté le sexe en fusion.

-Jaime ton goût, ton sexe sent bontu es bellejai envie de toi

Je tentais de retenir les pulsions qui venaient du fond de mon ventre comme une décharge progressive délectricité. Je savais que jallais jouir il ne fallait pas que je me retiennealors je poussais mon bassin plus en avant, plaquais la tête de Jean Marc sur mon sexe ouvert, lécrasant au moment ou lorgasme matteignait de plein fouet, inondant sa bouche de ma liqueur de femme.

Je sentais que Jean Marc, avalait et suçait tout ce qui sortait du fond de moi. Jentendais ces petits suçons et il remit en action sa langue voulant encore plus de moi. Mon clitoris était sensible, jessayais de repousser la bouche de Jean Marc, mais celui-ci continua de plus belle déclenchant un deuxième orgasme tout aussi torride que le premier. Je me mis à crier de plaisir telle une femelle satisfaite et comblée. Mon ventre fut pris de spasmes pendant quelques instants Jean Marc déposa un bisou sur mon sexe, je mis ma main sur celui-ci, comme si je voulais le protéger.

-De grâcede grâce je nen peux plus prends moiprends moi j en ai trop envie ! Maintenant. , viens en moi

Je sentis son sexe grossir dans ma main

-Tournes toi, me dit il toujours de ce ton autoritaire.

Javais trop envie dêtre pénétrée, je ne cherchais pas à discuter, je me retournais lui offrant mes fesses tendues, je me cambrais au maximum, telle une femelle en chaleur, la tête dans le fauteuil et les mains sous mon menton

-Jadore tes fesses, dit il en me caressant chacune de mes joues, puis les écartant, dévoilant ainsi à ses yeux mon petit trou rose et mon sexe inondé.

-Tu sens la femme en chaleur.Puis il plaqua sa bouche contre mon anus et lécha son pourtour avec douceur. Jadorais que les hommes me lèche lanus. Cela développe en moi une multitude de courants électriques. Puis après avoir longuement satisfait son voyeurisme, après avoir à nouveau glissé un doigt dans le fond de mon anus en le tournant, il écarta à nouveau mes fesses et je sentis son sexe à lentrée de ma vulve.

Cela déclencha une pulsion à nouveau dans mon ventre et il fut surpris de mon mouvement de bassin qui fit entrer son membre dans mes chairs secrètes. Ses deux mains crispées sur mes fesses il enfonça son sexe jusquau fond de moi, déclenchant un cri de plaisir, de satisfaction. Les femmes adorent ressentir le volume dun sexe dans leurs entrailles. Jaimais autant la pénétration que les jeux de langues sur mon clito.

Jentendis battre contre mes fesses son ventre et je sentais ses bourses frapper contre mon clito à chaque va et vient. Je le sentais en moi, comme un corps étrange et remplissant chaque partie de mon ventreIl sortit au moment ou je commençais à ressentir les avants gardes de lorgasme son sexe humide de mon vaginPuis il écarta à nouveau mes fesses au maximum distendant ainsi mon sexe et mon anus. Jai constaté quen levrette les hommes aimaient agir ainsi ! Je fus surpris de sentir son gland contre mon anus. Lhorreur ! Ce que je nacceptais jamais !

-Non Jean Marc pas celaje ne veux pas

-Tu as déjà essayé ?

-une fois cela m a suffit !

-Tu es ma chose ce soir et cest moi qui décide

-Non je ten prieje ten prie

-Jessey ta déjà prise par là ?

-Pas lui..un autre.. ;je ne veux pas

Et sans que je puisse my opposer plaquée dans le fauteuil par Jean Marc je sentis son gland senfoncer dans mon petit trou, lécartant, me clouant de douleur.

-Non arrêtestu me fais mal.. Arrêtes je te dis

Mais Jean marc pris dans son excitation de me posséder entre mes reins, nécoutait plus mes supplications.

Il glissait à présent dans mon ventre me remplissant de son sexe. Il sarrêta un instant le temps que je me calme. Je fus surpris de constater quil avait réussi à entrer la totalité de son sexe dans mes fesses. La douleur disparaissait à présent, au profit dune certaine chaleur et de plaisirs, sensations que je ne connaissais pas et qui me satisfaisaient..Il se mit alors en mouvement, me pilonnant lanus distendu à présent et sans que je puisse prévoir son arrivée, un orgasme terrible me plia sur le fauteuil, incitant Jean Marc à accélérer la cadence, me cassant véritablement en deux, les fesses totalement cambrées à sa pénétrationje hurlais dans mes mains, couvertes de larmes

Jean Marc en transpiration me sodomisait et jy prenais un réel plaisir ! Cétait la première fois qu un homme mempalait de la sorte.. ;Son sexe tendu au fond de mes reins un soubresaut, puis un deuxième et je sentis quil jouissait minondant dun fleuve de sperme que je sentais se déverser en moi.Jétais en transpiration aussiJean Marc se retira et je sentis son sperme couler sur mon mollet. Je venais de prendre un super pied.

Cest alors que j entendis à nouveau le déclic de l appareil photo de Jean Marc . Il me photographiait les fesses et mon petit trou doù sécoulait lentement sa semence brillante.

Complètement cassés nous étions assis sur le tapis reprenant notre souffle

-Alors Belle, ne dis pas que tu n as pas aimé. ?

_Tu as vu la grosseur de mon petit trou et de mes fesses, comment veux tu quun engin comme cela puisse entrer ?

-Je suis entré comme dans du beurre ma chère ! Pas besoin de forcer beaucoupJai pris un super piedtu es très serrée et jaime sentir ton anus serrer fortement mon gland et mon sexe

-vous autres les hommes vous ne pensez quà cela !

-Tu sais lorsque l on a la chance comme moi de soccuper d un si beau petit cul comme le tien..il serait dommage de ne pas en profiter.

-Dis donc on a complètement oublié Jessey et Fany !

-Tinquiètes pas pour eux ils sont certainement en train de soccuper.

-Allons les rejoindre lui-dis je en essuyant mon sexe et mon anus qui narrêtaient pas de rejeter la semence de Jean Marc. Je me rhabillais, le ventre encore parcouru de sensibles pulsions, un léger sourire aux lèvres, une femme satisfaite.

( SUITE FANTASME DISABELLE N° 4)

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