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Les actrices – Chapitre 9




Lorsque nous avons repris nos esprits, nous fîmes une rapide toilette avec le matériel que j’avais apporté puis Mélanie essaya ses tenues, chose pour laquelle nous étions censé être là initialement. Rhabillé et assis sur la chaise face à la jeune femme, j’avais l’impression d’être Richard Gere dans la fameuse scène de Pretty Woman, sauf que là, j’étais dans la cabine avec elle. Une tenue notamment m’excita beaucoup, un short beige moulant et un chemisier sans manche blanc très cintré, qui faisait ressortir superbement sa silhouette. Un jour je lui demanderai si elle veut bien s’habiller ainsi pour moi, les tenues suggestives m’ayant toujours beaucoup attiré. Finalement, tous les essais s’avérèrent concluant et l’ensemble des vêtements fut validés.

Une fois Mélanie rhabillée à son tour, nous avons quitté discrètement la cabine, avant de nous diriger vers la sortie du magasin. Au passage, je fis un signe à Sabrina, qui nous répondit d’un clin d’il.

— Elle est charmante cette jeune fille, commenta Mélanie, en admirant ma complice. C’est donc grâce à elle que j’ai pris le pied du siècle, ajouta-t-elle avec un grand sourire.

— C’est bien elle, précisai-je, et en échange je dois juste l’aider à satisfaire un de ses fantasmes.

— Elle aussi ? Et de quoi s’agit-il ?

— Passer la nuit avec UNE actrice porno. Je me suis dit que Chloé aimerait ça

— Oh oui, s’amusa la belle brune. Mais dit moi, tu satisfaits les fantasmes de tout le monde, mais les tiens, qui s’en occupe ? D’ailleurs, c’est quoi tes fantasmes ?

— Mes fantasmes ?

C’est en entendant la question que je me rendis compte que je n’y avais jamais vraiment songé. En fait, j’étais comme Chloé, je profitais de chaque occasion. Et tandis que je payais les vêtements de Mélanie sous ses protestations de principe, je répondis machinalement :

— J’avoue que j’aime bien les femmes en uniforme, réel ou fictif, réaliste ou pas. Avec les dessous qui vont bien, évidemment.

— Pas très original, mais toujours efficace, commenta-t-elle avec un grand sourire.

Alors que nous sortions du magasin direction la boutique de chaussure, je ressassais ma réponse. En fait, il m’était difficile de répondre car, sans même m’en rendre compte, j’avais satisfait la plupart d’entre eux depuis dimanche midi : sodomie, plan à plusieurs, double pénétration, dans l’eau, dans la nature, en public (ou presque), professionnelle du sexe, et j’en passe. Heureusement, même si elle était un peu longue à la détente, mon imagination était toujours là, et j’étais d’ailleurs en train d’élaborer des stratagèmes pour satisfaire les désirs de Julie et de Bouchra. De plus, en voyant le regard de tous les passants que nous croisions, je mesurais la chance que j’avais d’avoir une fille comme Mélanie à mes côtés.

Arrivés à la boutique, tandis que je laissai la jeune femme faire son choix, je ne pouvais m’empêcher de m’amuser devant la mine des autres clientes, tantôt mortes de jalousie devant un corps aussi parfait, tantôt très admiratives. Les achats effectuées, nous sommes repartis chargés comme des mulets, direction la voiture. Une fois les sacs rangés, Mélanie me demanda de l’attendre un peu, il lui restait une dernière boutique à visiter. Pendant son absence, j’envoyai un message à Sabrina, pour la remercier d’une part, et pour lui dire que je la tiendrai rapidement informée concernant sa demande. La jolie brune de retour avec plusieurs sacs, nous nous sommes mis en route et sommes retournés au gîte.

En arrivant sur place, je remarquai que la voiture des hardeurs était toujours là. En même temps, il n’était pas encore 16H. A cet instant, la porte s’ouvrit, et une Chloé tout sourire vint à notre rencontre, pour nous informer que le tournage du moment était dans la cuisine, Nicole étant en train de se faire prendre en levrette contre le plan de travail. En réaction, Mélanie s’approcha d’elle, l’agrippa par le col de son chemisier sous le regard effaré de la jolie rousse, la tira vers elle … avant de l’embrasser fougueusement pleine bouche, et de rester ainsi jusqu’à lui faire perdre le souffle.

— Ça, c’est pour ne pas avoir tenu ta langue et m’avoir ainsi fait vivre l’instant le plus magique de ma vie, confessa Mélanie après avoir relâché son amie

— Ah … euh … de rien, répondit celle-ci, encore essoufflée et pas encore remise de ses émotions

— Oui, et pour te remercier, ça te dirait de passer la nuit prochaine avec une superbe fille, tout aussi rousse que toi ? ajoutai-je

— Ah oui, sans problème, dit-elle en retrouvant instantanément tout son entrain

Je la remerciai et nous la laissâmes retourner à ses occupations. Sur la pointe des pieds pour ne pas déranger, nous sommes allés directement dans la chambre de Mélanie où nous pûmes enfin déposer les colis. La cuisine étant inaccessible, Mélanie m’annonça qu’elle allait dans la salle de bain pour se rafraichir un peu, la journée étant assez chaude. Je profitai de son absence pour prévenir Sabrina qu’elle pouvait venir dès ce soir récupérer sa récompense, et que je lui promettais une nuit inoubliable. Étant en pause, elle me répondit tout de suite qu’elle avait hâte d’être là, car "se faire brouter le minou par une pro doit vraiment être le pied". Je lui répondis que si elle léchait aussi bien qu’elle suçait ce serait en effet le cas. Sabrina m’envoya alors un "Miam !" qui me fit rire, avant de me souhaiter une bonne fin de journée et de me donner rendez-vous pour le soir. Je posai mon téléphone sur la table de nuit avant de me lever pour rejoindre Mélanie.

En passant devant le meuble où les vêtements avaient été déposés, je remarquai qu’une boîte à chaussures était ouverte, ainsi qu’un des paquets mystères avec lesquels elle était revenue de ses derniers achats. De plus, la valise avait été déplacée, et le désordre apparent qu’elle contenait semblait indiquer que quelque chose en avait été extrait rapidement. Je m’avançai vers le buffet pour savoir quelle boutique elle avait dévalisé, lorsque le bruit de la porte me fit me retourner, me laissant devant un spectacle absolument divin. Mélanie était vêtue d’un costume d’hôtesse de l’air, portant une jupe courte bleu ciel légèrement fendue et délicieusement moulante, un chemisier blanc à manche courte extrêmement cintré, le tout complété par un gilet sans manche également bleu ciel et tout aussi cintré. Elle portait également la calotte et le foulard de rigueur, une paire de gant blanc ainsi qu’une des paires de chaussure à talons hauts que nous venions d’acheter. A chaque pas, son envoutant déhanché laissait entrevoir le haut finement brodé de ses bas.

Bien entendu, les deux premiers boutons du chemisier n’étaient pas fermés, donnant une vue sublime sur la délicate dentelle de son soutien-gorge noir. Devant une telle vision féerique, le nom de la dernière boutique n’eut soudainement plus aucune importance.

— Bonjours Monsieur, la compagnie Déesse Airlines vous remercie de l’avoir choisie pour ce vol en direction du septième ciel. Nous avons atteint l’altitude de croisière, vous pouvez détacher vos ceintures.

Joignant le geste à la parole, Mélanie s’agenouilla devant moi, dégrafa mon pantalon et le fit tomber sur mes chevilles, ainsi que mon boxer. Mon sexe, que l’excitation avait bien fait grossir jaillit comme un diable de sa boîte, juste devant le visage de la demoiselle. Délicatement, elle le prit de sa main gantée, et commença à me masturber, avant de le gober et de me prodiguer une splendide fellation. Comme à son habitude, ma sublime partenaire me pompait de manière absolument divine. Cette fois-ci cependant, le contact des gants sur ma verge me procura des sensations supplémentaires incroyables, qui fit que cette pipe fut la meilleure que l’on ne m’ait jamais faite à ce jour. Je dû rester concentrer tout le temps et ne pas trop me laisser aller afin de profiter au mieux de l’instant et ne pas décharger en moins de deux. Ainsi, pendant quelques minutes, je connus un vrai bonheur, et ce n’était que le début.

Au bout de quelques instants, j’invitai Mélanie à se redresser et à s’appuyer sur le buffet. Après l’avoir embrassé, j’entrepris de la couvrir de baiser, de haut en bas, dégrafant tous les boutons que je croisais en chemin. À genoux devant elle, je soulevai sa jupe jusque sur ses hanches, dévoilant l’intégralité de ses bas ainsi que son string en fine dentelle. Une fois celui-ci enlevé, je commençai à lui prodiguer un magnifique cunni, tâchant de lui faire connaître la même félicité que celle qu’elle m’avait fait atteindre peu de temps auparavant. Délicatement, je m’immisçai profondément dans son intimité, l’explorant méthodiquement avec ma langue. A l’entendre haleter, Mélanie semblait apprécier le traitement, ce que confirma très vite un premier orgasme, au cours duquel elle me plaqua la tête contre son bas-ventre, m’invitant à y aller plus fort. Je ne me fis pas prier davantage, et pendant les quelques minutes que dura ce léchage en règle, la sublime brune connu deux ou trois autres jouissances.

Il était temps de passer à l’étape suivante. Le meuble n’étant pas bien haut, je fis tomber tout ce qui s’y trouvait et pris Mélanie par les hanches pour la soulever et l’assoir dessus. Aussitôt, je me plaçai entre ses jambes que j’empoignai fermement, et je m’introduisis sans ménagement dans son sexe, lui arrachant un cri de plaisir. Dans cette position, je me mis à la pilonner lentement mais fermement, venant taper dans le fond à chaque impact. La jeune femme recevait mes coups de reins avec délectation, haletant de plaisir et se cambrant du mieux qu’elle pouvait pour apprécier chaque instant de cette cavalcade. La température montait en flèche, le corps de mon amante, fermement accrochée à mes épaules, vibrait à chaque coup, la faisant pousser des cris de plus en plus fort, jusqu’au râle de jouissance. De plus en plus excité, et lisant l’extase sur le visage de ma déesse, je me fis de plus en plus intense, cherchant à chaque mouvement à la pénétrer le plus profondément possible. En dix minutes, elle connut ainsi plusieurs autres orgasmes, enfonçant à chaque fois ses ongles plus profondément dans mes épaules.

Totalement hors d’haleine, Mélanie me demanda une pause, particulièrement bienvenue car mes épaules commençaient à vraiment me faire mal. Cependant, en guise de réponse, je la soulevai de son perchoir la bite toujours plantée dans sa chatte, avant de me diriger à petit pas vers le lit vers le lit, mon amante accrochée par les jambes autour de ma taille. Arrivé à destination, je me laissai couler sur la literie, déposant ma partenaire sur le dos. Aussitôt, je me mis à genoux sur les draps, tandis que je plaquai ses jambes contre mon torse, la laissant adossée sur le lit. Je repris alors mes allers-retours, mais bien plus lentement et tendrement que précédemment, me régalant de la vision du corps de mon amante, toujours partiellement vêtu et encore plus excitant. Cette position plus reposante permis à Mélanie de récupérer un peu, pour jouir plus fort quelques minutes plus tard. En pleine transe, elle m’ordonna alors de la pilonner plus fort, ce que je fis sans attendre.

Pour gagner en puissance et en amplitude, je me redressai petit à petit sur mes genoux, agrippant les jambes de ma partenaire afin de ne pas sortir par inadvertance. Ainsi, et sans vraiment m’en rendre compte, je la soulevai du lit, ne la laissant plus reposer que sur ses épaules. Dans cette nouvelle position, mes allers-retours se firent plus percutants, tout son corps ondulant à chaque coup de boutoir, l’obligeant à agripper le matelas pour ne pas reculer. A chaque orgasme, ces cris firent écho au choc de mes cuisses sur ses fesses, jusqu’à ce que, après un ultime orgasme de la belle, je sente que j’étais à mon tour sur le point d’exploser. Avisant la position, il me vint alors l’idée d’une branlette espagnole, que je mis en pratique en m’asseyant à califourchon sur le ventre de Mélanie et en glissant ma bite entre ses seins, sous l’attache du soutien-gorge. Quelques allers-retours supplémentaires, et ce sont de longs jets de foutre qui vinrent s’écraser sur la mâchoire et les seins de la jeune femme, qui entreprit pour finir de me nettoyer la verge à coup de langue.

— Y a pas à dire, vous savez soigner vos client, sur Déesse Airlines, dis-je en souriant. Quel professionnalisme !

— Mais de rien, répondit-elle avec un large sourire, et encore tu n’as pas étudié avec une des enseignantes de la Luxury University ou déposé une main courante au Cock-missaria Central. Et ce n’est qu’un aperçu.

— J’ai vraiment hâte de connaître toutes ses professionnelles, ajoutai-je, avant de l’embrasser tendrement.

Nous sommes restés là un court instant, avant de nous diriger vers la douche. Au passage, j’avisai l’emballage vide qui m’avait intrigué précédemment, et je pus enfin voir qu’il s’agissait de la boutique de lingerie du centre-ville. A en juger par l’ensemble qu’elle portait à l’instant, la réputation de caverne d’Ali Baba du dessous affriolant de l’enseigne n’était pas usurpée. Après une bonne douche relaxante, nous nous sommes allongés en peignoir sur le lit, Mélanie en profitant pour se blottir contre moi et s’endormir le sourire aux lèvres. J’avais encore un peu de mal à comprendre ce qui se passait. Il y a une semaine, j’ignorais jusqu’à l’existence de cette jeune femme, je n’ai fait sa connaissance dimanche que pour pouvoir tringler son corps de déesse, et aujourd’hui elle s’endormait paisiblement à mes côtés. Mais mes réflexions furent de courtes durées. Totalement exténué, je m’endormis à mon tour.

La sonnerie de mon téléphone nous sortit du sommeil. J’en profitai pour regarder l’heure : 21h passée, nous avions dormi près de cinq heures. Le message était de Sabrina qui attendait près du gîte, n’osant pas approcher. Je lui répondis de nous rejoindre par les issus de secours des chambres, nous laissant tout juste le temps de nous habiller. Ayant juste enfilé pantalon, chemise ou robe sans rien en dessous, je suis allé ouvrir la porte, laissant une Sabrina sexy en diable entrer et nous rejoindre dans la chambre. Elle portait un combishort noir court, moulant et dos nu, ainsi qu’une paire de talon haut. Sa silhouette athlétique était ainsi mise en valeur, tandis que le dos nu et le côté moulant de la tenue laissaient fortement supposer qu’elle n’avait aucun sous vêtement. Chloé n’allait pas résister bien longtemps.

— Mais tu es absolument superbe, ma chérie, lança Mélanie avec admiration. Ça te dérangerait si je me joignais à vous ? Je pourrai ainsi te remercier personnellement pour ta gentillesse.

— Oui, bonne idée, vas-y, ajoutai-je, à la satisfaction de la jolie brune qui visiblement cherchait mon approbation. Je ne pense pas que ça puisse gêner Sabi, bien au contraire. Passez une bonne soirée.

Au regard plein de gourmandise que Sabrina me lança, je compris que, en effet, ça ne la dérangeait pas. Mélanie m’embrassa fougueusement, plaqua la jolie rousse contre elle en l’empoignant par les fesses afin de l’embrasser elle aussi, avant de quitter la chambre. Resté seul, j’envoyai un message à Gilles pour lui résumer la journée puis, encore bien fatigué, je me remis au lit avant de m’endormir rapidement.

Il était deux heures du matin lorsque je me réveillai, il faisait encore nuit. En me retournant lentement, je vis Mélanie paisiblement endormie à côté de moi, totalement nue. J’ignorai à quelle heure elle était revenu, aussi je décidai de la laisser dormir et je sortis de la chambre pour boire un verre, juste vêtu du peignoir. Arrivé dans le salon, je vis une silhouette féminine près de la table à manger, une bouteille de lait près d’elle sur la table. Connaissant les habitudes alimentaires de Sabi, je ne fus pas surpris de la reconnaitre, vêtue d’un simple peignoir court type déshabillé noir, sûrement emprunté à Chloé.

— Alors ma grande, ce plan à trois, comment c’était ?

— A quatre ! Jade nous a rejoints. C’était génial, encore mieux que je ne l’espérais. Ta copine a une super façon de remercier les gens.

— Attend, c’est pas ma copine, mentis-je sans même savoir pourquoi. Je l’aime bien c’est sûr, mais on n’est pas ensemble.

— Oh non, pas toi ! s’emporta-t-elle soudain. T’as passé l’âge de jouer les ados mal à l’aise ! Je vous ai vu ensemble, t’es dingue d’elle ça se voit. Et tu veux savoir la meilleure ? C’est réciproque ! Alors quand on a la chance d’avoir comme nana une bombe atomique, carrossée comme une déesse, et en plus pas jalouse pour deux sous, on accepte et on assume, bordel !!!

Sabi avait toujours eu un franc parlé, et me faire apostropher de la sorte me remua plus que je ne l’aurais reconnu. Je me repassai ses paroles en boucle lorsque soudain quelque chose fit tilt :

— Attend, comme sais-tu qu’elle n’est pas jalouse ? Tu lui as demandé?

— Hein ? Euh … oui, peut-être, balbutia-t-elle, prise en défaut.

— Oui, et te connaissant, la question n’était pas innocente.

— Non tu crois ? Je ne sais pas du tout pourquoi tu dis ça.

L’air mutin et le regard de braise qu’elle affichait à cet instant eurent un effet immédiat sur moi, et j’eus très rapidement une solide érection. Je m’approchai de Sabi, défis la ceinture de son déshabillé et l’aidai à s’asseoir sur le rebord de la table. Elle ouvrit alors mon peignoir et attrapa mon sexe qu’elle branla doucement, tout en s’introduisant deux doigts dans la chatte, tandis que je caressais ses jolis seins et que je l’embrassais à pleine bouche.

— Putain vas-y, défonce moi, m’ordonna-t-elle soudain. C’est génial de se faire brouter par trois filles mais depuis, je suis tellement en manque de bite que j’arrive pas à dormir. Alors vas-y, tape dans le fond.

Afin de me faciliter la tâche, elle s’allongea dos sur la table et releva les jambes. Je plaçai ces dernières contre mon torse, je plaçai ma verge devant son intimité puis je m’introduisis en elle d’un coup, sans ménagement. Sabi avait toujours aimé le sexe "viril" comme elle le disait elle-même, et adorait se faire secouer lorsqu’elle se prenait une bite. Sachant cela, je m’étais toujours demandé ce qu’il avait bien pu se passer lors de son casting pour qu’elle en revienne presque dégoûtée. Pour l’heure, je ne me posai pas ses questions, et j’entamai une série de puissants va-et-vient. Elle accueilli mon braquemart en poussa un cri, puis commença à haleter en cadence pendant que j’explorais sa grotte d’amour en profondeur.

Très vite, Sabi eut un premier orgasme, qu’elle eut toutes les peines du monde à contenir, devant se bâillonner de ses deux mains pour ne pas hurler. Lorsqu’elle parvint à se maîtriser, elle s’accrocha fermement au rebord de la table puis, d’un regard, me demanda d’y aller plus vite. J’entrepris alors de la satisfaire, en venant à chaque mouvement claquer mes cuisses contre ses fesses. Quelques minutes à ce rythme et un deuxième orgasme tout aussi violent que le premier occasionna un spasme qui la parcourut sur tout son corps, l’obligeant à lâcher la table pour se bâillonner de nouveau. Lorsqu’elle réussit à se contenir une nouvelle fois, je me retirai un court instant, la fit rouler sur elle-même pour la placer en levrette contre le meuble, avant de reprendre mon pistonnage de plus belle. Sabrina connu encore deux fois la jouissance, mais au moins, à présent, elle avait les mains libre.

— Putain c’est trop génial. Fout la moi dans le cul, maintenant !

— Je veux bien, mais on n’a pas de lubrifiant ici.

— Y en a un tube sur le meuble là-baaaaaaOUIIIIIIIIIIIIIII !!!!!

L’orgasme qui parcourut le corps de Sabi à cet instant fut si violent qu’elle ne put s’empêcher de hurler un bref instant. Nous sommes restés figés, persuadés que tout le gîte nous avait entendus. Mais rien ne bougea, tout resta silencieux. Je libérai alors ma partenaire qui se précipita vers le guéridon, se saisit du lubrifiant et s’en badigeonna la rondelle. Elle se plaça ensuite face au mur, la croupe en arrière, et me décocha un regard sans équivoque. Aussi, à peine l’avais-je rejoint que je l’enculai sans ménagement, lui arrachant un "ouiiiii" des plus langoureux. Je commençai aussitôt mes allers-retours dans son fondement, une main sur les hanches et l’autre sur l’épaule, pour le plus grand bonheur de la jolie rousse. Cambrée pour mieux accueillir mon braquemart, elle semblait se délecter de chaque centimètre qui la pénétrait, émettant une légère plainte mêlée de plaisir à chaque fois que mes cuisses touchaient ses fesses. Au comble de la félicité, elle se laissait submerger par ses sensations, le visage rayonnant de bonheur.

Soudain, alors que je sodomisais tendrement ma partenaire, je pris conscience de l’endroit où nous nous trouvions : dans le couloir qui menait aux chambres du rez-de-chaussée. Je jetai un coup d’il discret et remarquai qu’au moins deux des portes étaient entrouvertes. Sachant très bien que les deux autres devaient l’être aussi, je fis un signe générale de ralliement, sans regarder ni arrêter de besogner Sabrina. Aussitôt, les quatre portes s’ouvrirent et quatre hommes en érection arrivèrent vers nous, suivis de Nicole en nuisette. En entendant le bruit, Sabi regarda ce qui se passait et je vis un sourire de satisfaction sur son visage. En pivotant sur nous même, elle se retrouva face au quatuor de bites, qu’elle commença à sucer de son mieux, tandis que je continuais à lui explorer l’arrière train. L’endroit manquait singulièrement de place, mais voir cette jolie rousse s’affairer sur une bite puis sur une autre pendant que je lui élargissais l’anus avait quelque chose d’excitant.

Au bout d’un petit moment, je remarquai que Nicole n’était plus avec nous. Aussitôt, je la vis sortir de la chambre de Julien une caméra à la main, pour se diriger vers la chambre de Séb, avant d’en ressortir et de venir vers nous. Elle glissa un mot à son amant qui acquiesça, et qui se tourna alors vers Sabrina :

— Dites-moi, jeune fille, ne serions-nous pas plus à l’aise dans une grande chambre ? Et si vous êtes d’accord, nous pourrons immortaliser l’instant sur pellicule.

— Un casting ? demanda-t-elle. J’en ai déjà fait un et j’en garde un souvenir douloureux.

— Ce sera un casting informel. Vous récupérerai la vidéo et en ferai ce que vous voulez. De mon côté, je la garderai en archive et ne l’exploiterai qu’à votre demande.

— Vu comme ça, je veux bien.

Sur ces derniers mots, tout le monde se dirigea vers la chambre de Séb pour préparer le matériel, tandis que je restai dans le couloir avec Sabi, continuant à l’enculer. Passablement excité par ce qui l’attendait, elle ne fut plus très longue à venir, et fut rapidement submergé par un orgasme anal qui lui coupa les jambes, menaçant de la faire s’écrouler sur le sol. Je me suis alors retiré de son anus accueillant pour la laisser se remettre, l’aidant à s’appuyer sur le mur. Quelques instants plus tard, Nicole vint nous chercher, nous annonçant que le casting pouvait démarrer.

En entrant dans la pièce, les caméras et le micro étaient en marche avec Nicole aux commandes, et Séb annonça qu’il proposait un tournage à plusieurs partenaires si "la jeune fille était d’accord". Particulièrement friande de partouze, Sabi s’empressa d’accepter et vint s’assoir sur le lit, entouré de nos cinq verges au garde-à-vous. Aussitôt, elle commença à en branler deux et en goba une troisième qu’elle suça avec avidité. Quelques secondes plus tard, elle recommença avec trois nouvelles queues, et ainsi de suite pendant plusieurs minutes. De temps à autre, un des techniciens lui attrapait l’arrière du crâne pour une gorge profonde, mais cela restait tout de même assez tendre. Au bout de quelques instants, la jolie rousse passa à la vitesse supérieure, et commença à nous sucer deux par deux. Etrange sensation que de sentir sa verge collée à celle d’un autre homme dans la bouche d’une demoiselle, mais on s’y fait vite. De cette manière, elle put enchaîner les pipes plus rapidement et personne ne fut oublier, sans oublier le fait que, bien que moins douée que les actrices, elle se défendait tout de même assez bien dans le domaine.

Pour finir cette préparation buccale, Fred se mit à quatre pattes devant la jeune femme, et commença à la masturber délicatement. A cet instant, nous étions cinq à profiter de Sabrina, et ce ne fut que le début.

Après quelques minutes de multi-pompage, Séb demanda à Sabrina de passer aux choses sérieuses. Il la fit s’allonger sur le côté, et tandis qu’elle reprenait ses fellations et ses branlettes, Fred vint s’allonger derrière elle et, fermement accroché à ses seins, la pénétra en cuillère. Il commença sans attendre ses allers-retours, profitant de notre précédente partie de jambe en l’air pour aller directement jusqu’au fond. Sabrina gémissait au rythme du claquage des cuisses de son amant sur ses fesses, devant par moments suspendre sa pipe pour reprendre son souffle. Terriblement excitée par la situation, elle ne fut pas longue à jouir, et ce premier râle d’extase de ce gang-bang vint s’étouffer contre mon braquemart qu’elle avait en bouche à ce moment-là. Ce premier orgasme passé, Fred et Nico échangèrent leur place, et le martelage de la jolie rousse reprit. Les uns après les autres, nous prenions place dans son minou et venions lui percuter les cuisses en rythme et en douceur, tandis qu’elle pompait les quatre autres.

Pendant près de vingt minutes, les orgasmes se succédèrent les uns aux autres, donnant l’impression que notre amante jouissait en continue. Sabrina avait beau avoir de l’entraînement, elle poussait tellement de cri de jouissance qu’il lui était devenu presque impossible de poursuivre ses fellations. Et ce n’était que le début.

Lorsque vint de nouveau mon tour, craignant que les orgasmes ne laissent place à la douleur, je m’allongeai à côté d’elle et l’invitai à venir sur moi. Lorsqu’elle fut sur le point de s’empaler, je me décalai un peu sans crier gare, et Sabrina se retrouva avec ma bite dans l’anus, lui arrachant un cri de surprise au passage. Rapidement remise de sa surprise, elle se pencha légèrement vers l’arrière et commença à monter et descendre sur mon membre, tandis que ses autres partenaires se plaçaient près d’elle pour pouvoir profiter de sa bouche. Régulièrement, je donnais un petit coup de bassin, provoquant à chaque fois un soupir de satisfaction. Au bout de quelques minutes, Seb vint s’asseoir près d’elle, introduisit deux doigts dans sa chatte et commença à la masturber. Ainsi commença l’occupation quasi permanente des trois orifices de la jeune femme, qui devait continuer encore un bon moment. Pour l’heure, Sabi savourait l’instant, cet ébauche de double pénétration lui permettant de ne plus se concentrer que sur trois bites à sucer.

Le fondement déjà passablement titillé par sa précédente sodomie, elle ne fut plus longue à jouir, et c’est par un "Oh ouiiiiiiiii" langoureux qu’elle manifesta toute son extase. Je continuai encore quelques instants à lui poinçonner l’arrière train, avant de céder ma place à Séb.

Sabi se dégagea de ma verge, pour venir s’embrocher sur celle du réalisateur qui, entretemps, s’était mis en position. Celui-ci dédaigna la rondelle de la jeune femme et s’introduisit dans sa chatte. Il demanda alors à la belle rousse de s’allonger sur lui, puis, jouant du bassin, commença une succession d’allers-retours tendres et profonds, qui déclenchèrent rapidement un nouvel orgasme chez son amante. Quelques instants plus tard, il fit un signe à Julien, qui s’approcha de l’arrière train de la jeune femme, la bite bien au garde-à-vous. À genoux derrière elle, il avança le bassin et s’introduisit sans prévenir … dans la chatte déjà occupée de Sabrina. Sous l’effet de la surprise, la jeune femme ouvrit grand la bouche et les yeux, et resta quelques secondes sans bouger alors que les deux hommes entamaient sans tarder un mouvement de concert régulier, trahissant une grande habitude. Grâce à cela, cette nouvelle expérience fut sans douleur pour la jolie rousse, qui se mit rapidement à haleter en rythme et à gémir de plaisir.

Au comble de l’excitation, elle ne fut pas longue à connaître un puissant orgasme, qu’elle manifesta par un râle particulièrement long, s’abandonnant totalement au plaisir. Cette jouissance motiva les deux comparses, qui accélérèrent progressivement la cadence, se faisant plus percutant, poursuivant cette double pénétration vaginale quelques minutes encore. Sabrina, totalement submergée par ses sensations, s’était allongée de tout son poids sur Séb, laissant les orgasmes se succéder à un rythme tel que, à l’image de Mélanie dans l’après-midi, elle semblait être en orgasme permanent.

Julien finit par quitter sa position, vite remplacé cependant par Nico qui, comme Fred et moi, attendait sur le bord du lit. Dès qu’il fut en place, le manège reprit, avec les mêmes conséquences pour Sabi. Très vite cependant, Séb attrapa les fesses de la jeune femme et les écarta délicatement, tout en me faisant des signes de la tête. D’abord surpris, je compris ce qu’il désirait, et au prix d’une acrobatie, je parvins à me placer au-dessus de notre partenaire commune, m’introduisant pour la troisième fois de la soirée dans son anus. Sans attendre, la vitesse de mes coups de reins calée sur celle de mes acolytes, je me mis à l’enculer en profondeur, lui faisant vivre la première triple pénétration de sa vie. Cependant notre trio fut de courte durée car, au même instant, Fred et Julien placèrent leur bite juste devant le visage de la belle rousse, qui les goba rapidement et entreprit de les sucer en même temps. Cinq !!! Nous étions cinq à nous agiter en elle simultanément !!! Pour Sabrina, c’était une première.

Certes, elle avait déjà connu plus de partenaires, comme la fois où toute l’équipe de foot lui était passé dessus dans les vestiaires, ou lorsque sa sur et elle avaient accepté de se faire troncher en même temps par l’équipe de rugby. Mais à chaque fois, elle avait comptabilisé au mieux quatre braquemarts simultanés en elle, un dans chaque trou et deux en bouche. Ici, c’était cinq bites, dont deux dans la chatte. La jeune femme était dans un état second, ayant totalement abandonné le contrôle de la situation, et laissant les vagues de jouissance la submerger les uns après les autres. A chaque orgasme, il était impossible de savoir s’il s’agissait d’une extase anale ou vaginale, ni qui en était responsable. Nous étions tous en nage, et seule Nicole, imperturbablement, continuait de filmer la scène, comme si de rien n’était.

J’avais perdu depuis longtemps la notion du temps. Aussi je ne pourrais dire au bout de combien de minutes Séb poussa un râle caractéristique et vint se répandre dans les entrailles de Sabrina. Nico résista encore quelques assauts, puis finit par se vider à son tour, avant de se laisser tomber sur le lit, me laissant plus de place. J’en profitai pour mieux me positionner mais, rapidement, ce fut à mon tour de ne plus pouvoir tenir, et c’est en longues saccades que je remplis l’arrière train de la jeune femme. Il ne restait plus que Fred et Julien qui, à cet instant, décidèrent de se masturber énergiquement, avant de jouir abondamment dans la bouche de notre amante. Totalement épuisée, n’ayant même pas la force d’avaler ce qu’elle venait de recevoir sur la langue, Sabrina s’écroula sur le lit avec un sourire béat sur le visage, laissant tout le foutre accumulé en elle s’échapper de ses orifices. Pendant qu’elle reprenait son souffle, nous somme resté silencieux en souriant doucement, regardant Nicole qui nous fit signe que la prise était bonne.

Il fallut un bon quart d’heure pour que Sabi se relève, restant malgré tout chancelante sur ses jambes. Il était plus de quatre heures du matin, la nuit risquait d’être encore courte. Heureusement, Séb annonça qu’il était de tradition que, lors d’une semaine de tournage comme celle-ci, le jeudi soit jour de grasse matinée, avant d’attaquer les scènes lesbiennes l’après-midi. Pas de hardeurs attendu aujourd’hui, donc. Les uns après les autres, nous nous sommes douchés, avons changé la literie, et nous sommes retournés nous coucher, en se demandant s’il serait possible de remettre ça un jour. J’aidai Sabrina à monter les escaliers puis, arrivé devant la chambre de Chloé, elle alla se coucher au côté de l’actrice. Tandis que je l’aidais à s’allonger, elle m’avoua que jamais jusqu’à présent elle n’avait autant joui de se vie et qu’elle avait hâte de connaître ça de nouveau. Je lui fis un baiser sur le front, puis je retournai m’allonger auprès de Mélanie que je serrai tendrement dans mes bras sans la réveiller.

Trop épuisé pour penser à quoi que ce soit, je m’endormis rapidement du sommeil du juste.

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