Jérémy

Deuxième chapitre

Avoir pu posséder ce joli garçon pendant plusieurs minutes mais surtout, boire son sperme fit de moi lhomme le plus heureux du monde. Jen étais amoureux et lavoir pour moi tout seul pendant ce laps de temps représentait beaucoup à mes yeux. Javais limpression davoir obtenu un graal désiré par tous et dont moi seul avait réussit à lobtenir sans la moindre difficulté. Néanmoins, une question me traversa lesprit durant les jours qui allait suivre. Serait-il possible de se revoir pour sébattre de nouveau sans la moindre complexité mais surtout, pourrons-nous pousser nos jeux un peu plus loin ?

Jérémy était vierge et je devais y aller doucement avec lui. Savoir quil voulait juste se contenter dune fellation pour sa toute première fois était compréhensible et il aurait été cruel de ma part de le forcer à faire autre chose. Les jours qui suivirent, javais un joli sourire qui ne voulait pas quitter mes lèvres. Beaucoup de personne mont demandé la raison de cet état mais de ma part, ils neurent aucune réponse. Vint le moment où je devais retourner chez ma mère pour un nouveau séjour.

Bien sûr, si jacceptais volontiers de passer de nouvelles vacances chez elle, ce nétait pas pour lui faire plaisir non. Je voulais juste revoir mon Jérémy, nourrissant lespoir de pouvoir mamuser avec lui encore et encore. Toutefois, laprès-midi de mon arrivé, alors que je me prélassais sur le fameux banc, ce nétait pas Jérémy que je vis en premier. Non, cétait Mélissa, une amie quon avait en commun. Une jeune fille que jappréciai beaucoup et avec qui javais noué une très belle amitié.

Dorigine marocaine, présentant une peau fortement colorée et nhésitait pas à passer de longues minutes à coiffer ses longs cheveux ondulés. Très mince, cette fille faisait attention à avoir un corps attirant, comme la plupart de ses congénères du même sexe. Bref, elle vint sinstaller à mes côtés et mannonça la chose suivante :

« Jaurais été toi, je ne me serais jamais pointé dans cette ville.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Parce que Jérémy a parlé de votre rapport à ses parents et ces derniers veuillent te faire la peau. »

A cette annonce, je ne pus me retenir de rigoler. Déjà dune, Jérémy était majeur et donc, libre de mener la vie quil souhaitait et de deux, il était consentant et donc, je nétais en rien condamnable. Pas de ma faute si ses parents navaient pas le fils dont ils rêvaient davoir. En plus, je ne voyais pas cela comme quelque chose de grave. Jérémy nétait pas le seul fils puisquil avait deux frères. Dailleurs, ces derniers étaient parfaitement hétéro.

De plus, Si Jérémy avait la queue qui le grattouillait, il avait bien le droit de se la soulager avec nimporte quelle aide, quelle soit masculine ou féminine. Non, je ne comprenais pas pourquoi ses vieux voulaient mattraper et je men foutais royalement. Toutefois, je voulais revoir Jérémy pour passer un peu de temps avec lui. Si on devait senvoyer en lair, je naurais pas fait la fine bouche mais je désirais ardemment de le connaître que davantage. Du coup, si Jérémy a pour habitude douvrir sa gueule mais négativement, il est clair que jaurais été peiné.

Je voulais en avoir le cur net et je remerciai Mélissa de mavoir prévenu. Ensuite, nous passâmes laprès-midi ensemble et lheure du dîner approchant, jai dû la quitter pour retrouver ma famille. Le lendemain, cest le cur joyeux que je revis Jérémy en fin daprès-midi. Je nétais pas seul malheureusement mais mon jeune ami mattira vers lui pour quon puisse discuter à lécart. Je profitai de ce moment pour lui poser la question concernant la rumeur et il me répondit quil ny était pour rien.

Néanmoins, ses parents étaient au courant de notre petite affaire et rapidement, jai commencé à avoir des doutes sur lhonnêteté de Jérémy. Je le savais un peu filou et javais davantage confiance en Mélissa qui se montrait plutôt protectrice en mon égard. Je ne voulais plus trop poursuivre une quelconque relation avec lui car je ne porte pas les menteurs dans mon cur mais lorsquil me proposa un nouveau rapport, ma réticence sest immédiatement volatilisée. Encore très amoureux de lui, je répondis par le positif et comme javais invité Mélissa et une autre amie à manger un kébab dans un restaurant quelques minutes auparavant, je pris la décision de linviter. Ainsi, je passerai un peu de temps avec lui et peut-être que là, japprendrai à mieux le connaître enfin.

La fameuse heure arriva et nous voilà en route vers le restaurant en question. Comme à mon habitude, je rigolais avec Mélissa avec laquelle je narrêtais pas de dire des conneries. Notre amie nous suivait bien volontiers dans nos délires et Jérémy était tenu un peu à lécart. Sachant que je laurais que pour moi dans les prochaines heures, javais décidé de le punir un peu et de lenvoyer chier lorsquil tentait de se taper lincruste. Au lieu de se sentir blessé, vexé ou autre, il restait avec nous, le sourire aux lèvres.

Nous arrivâmes dans le restaurant et je laissais soin à mes invités de passer commande. Une fois quils avaient terminé, je madressai au restaurateur pour lui faire part de mon envie. Au moment de choisir ma boisson, je vis Jérémy ouvrir le frigo dans lequel étaient rangées les canettes de soda. Je lui avais demandé gentiment de me prendre une bouteille de jus de fruits. Lorsquil revint auprès de moi avec le récipient dans lune de ses mains, il me glissa dans le creux de loreille :

« Je tai prit un jus de fruits rouges. Ça te mettra en appétit avant de me bouffer les cerises. »

Forcément, à la suite de cette petite évocation sexuelle, je sentis ma verge gonfler à lintérieur de mon pantalon. Pour cacher ma gêne aux yeux des gens qui étaient présents dans la salle, je minstallai sur la première chaise se trouvant à portée de mains. Mes trois amis imitèrent mon geste et rapidement, nous nous mîmes à discuter afin de tuer le temps. Jérémy se montrait très bruyant, comme sil voulait attirer toute lattention sur lui et cela mamusait beaucoup. De plus, le jeune homme ne se montra guère discret lorsquil me questionna sur le programme de notre soirée.

Sincèrement, ayant pour habitude de sexe comme si je demandais une baguette à une boulangère, je navais ressenti aucune gêne. Par contre, javais peur quon fasse du mal à Jérémy dont la sexualité était naissante. Jétais habitué à recevoir des brimades à cause de mon homosexualité mais mon ami était à peine majeur. Je ne voulais pas quon le blesse à cause de notre histoire commune. Par contre, quil se montre aussi détendu de notre situation me faisait doucement sourire.

Nous dînâmes tranquillement, discutant de choses et dautres, regardant par moment les clients qui entrèrent dans le restaurant. Parfois, lorsque cétait des personnes que nous connaissions, il était évident que des poignées de mains et des bises séchangèrent. Néanmoins, la soirée fut bien calme et au bout dune heure, nous abandonnons nos plateaux et notre table pour sortir de cet endroit. Nous traversâmes la rue et nous passions devant lune des pharmacies de la ville, attisant la bêtise de Jérémy. De suite, il sarrêta et nous adressa ces quelques mots :

« Quelquun naurait pas deux euros sur lui ? »

Me demandant bien pour quelle raison il posait cette question, je ne mis pas longtemps à lui répondre par une autre interrogation.

« Pourquoi faire ?

— Ben pour acheter une boîte de capotes. »

Se pourrait-il que Jérémy veuille tenter la sodomie avec moi alors que nous nen sommes quà nos débuts ? Jignore si cette idée lui a traversé la tête mais sur le coup, jétais un peu étonné.

« Et tu veux faire quoi de ses capotes ?

— Mamuser avec. »

Daccord. Visiblement, Jérémy conserve encore en lui une petite part denfant qui demande toujours quà sexprimer. Je ne lui ferais aucun reproche, je suis ainsi également. Bien parce que cest lui, jacceptai facilement de lui remettre la somme dont il avait besoin et ensuite, le jeune homme nous quitta. Il se posta devant le distributeur de préservatif et inséra la pièce dans la fente.

Un petit bruit se fit entendre et Jérémy glissa sa main dans le petit espace au pied de la machine pour récupérer son bien. Peu après, il vint nous retrouver sans se montrer discret.

« Jen connais un qui va drôlement samuser sur le chemin du retour. »

Et lorsque nous reprîmes notre route, Jérémy madressa ces mots :

« Et ne tinquiète pas, je vais en garder une pour tout à lheure. »

Cette attention me fit très plaisir. Finalement, mon amant se savait se montrer très attentionné et je commençai à croire quune relation sérieuse entre nous deux pouvait avoir lieu. Bien sûr, cette éventualité serait une magnifique porte ouverte à multiplier nos ébats amoureux mais surtout, je pourrais passer un maximum de temps avec lui. A mes yeux, cétait ce qui comptait le plus. La première que nous ramenâmes chez elle était Gaëlle, lamie qui nous tenait compagnie.

Comme elle était mineure, il était plus que normal quelle soit la première à être ramenée à ses parents. Ainsi, ils étaient sûrs quelle était bien entrée et moi, je me soulageai dune certaine responsabilité. Ben ouais, étant le plus âgé de la bande, il lui serait arrivé quelque chose, jaurais été le premier à être pointé du doigt. Ensuite, la seconde qui retrouva la maison de ses parents nétait autre que Mélissa. Elle me remercia de cette superbe soirée et se rassura si dautres du même type étaient prévues. Sachant que je ne pouvais rien lui refuser, cétait avec plaisir que jacquiesçai.

Du coup, je me retrouvai seul avec Jérémy et javais hâte quon sisole dans un coin pour faire ce qui était prévu. Sur le chemin qui nous rapprochait un peu plus de lhabitation dans laquelle vivait sa famille, le garçon plongea sa main dans lune des poches de son pantalon pour en sortir la fameuse boite de préservatif. Il y regarda à lintérieur et me fit remarquer quil en restait plus quune. Je pensais quelle servirait mais lassurance quaffichait mon tendre ami disparu une fois que nous approchâmes de lendroit de son choix. A côté de la maison de ses vieux se trouve une autre maison réservée à un sort spécifique.

Elle nétait nullement une demeure dhabitation mais recevait plusieurs associations darts divers. A lintérieur de ses murs étaient pratiqués la peinture, la musique et la broderie. Derrière se trouvant une cour ouverte au public et tout à gauche se tenait un petit préau. Nous nous glissâmes sous son toit et Jérémy ouvrit une porte métallique, minvitant à le suivre à lintérieur. Je ne me fis pas prier, bien que lendroit fût sombre et une fois lissue refermée, il était venu lheure de passer aux choses sérieuses.

En fait, nous venions de nous isoler dans des toilettes publiques. Néanmoins, contrairement à celles quon connaissait, celle-ci bénéficiait des compétences dune femme de ménage qui venait tous les matins. Vu le peu de personnes qui sy rendaient pour se soulager, cet endroit restait propre en permanence et il était clair quon pouvait se vidanger les bourses en ayant lesprit tranquille. Rapidement, on se glissa dans la première cabine et se rassura de bien refermer la porte en tournant le loquet. Ensuite, jentendis dans mon dos un bruit de vêtements froissés et quelques mouvements.

Jérémy rabattit la cuvette des chiottes et se posa tranquillement dessus, le sexe dans sa main droite. Celui-ci était tendu à lextrême et nattendait quune seule chose : que ma bouche se referme dessus. Je me fis pas prier et magenouillai. Ensuite, jattrapai la verge de Jérémy, commençai à la masturber tranquillement avant de glisser son gland dans le creux de mes joues. Pendant plusieurs secondes, je lui flattai lextrémité de son membre tout en risquant ma langue sur lentrée de son méat.

Des premiers râles se firent entendre et tandis que jenfonçai davantage sa queue dans ma bouche, je voulais oser une nouvelle initiative pour savoir si mon partenaire y était réceptif ou pas. Tout doucement, je glissai une main entre ses jambes afin de lui caresser tendrement les fesses. Jérémy ne disait rien, ce qui était plutôt bon signe. Après cette séance de cajoleries, je voulais pousser lexpérience encore plus loin en glissant un doigt à lintérieur de ses fesses. Suivant du bout de mon index le chemin qui se dessinait au milieu, je sentis les frissons qui troublaient mon jeune amant.

Comme aucune contraction du fessier ne se fit sentir, je commençai tout doucement à lui introduire mon doigt dans son anus. Dans cette position, il était vrai que javais du mal à lui mettre entièrement et je pense que le jeune homme lavait clairement comprit. Alors que sa queue était toujours dans ma bouche, il me fit connaître son intention.

« Attends, je vais me mettre debout. »

Je libérai son sexe et attendit quil quitte son siège de plastique afin de se mettre sur ses jambes. Ensuite, Jérémy se déplaça un peu dans la petite pièce et se retrouva très vite dans mon dos. De mon côté, je fis également demi-tour et retourna à ma fellation. La succion reprit de plus belles ainsi que mes caresses. A mon avis, si Jérémy sétait mit debout, cétait uniquement pour connaître les sensations quoffrait une pénétration avec le doigt.

Du coup, me revoilà risquant mon index gauche au milieu de ses fesses. Habillement, je trouvai son orifice sans trop perdre de temps et continuai à le caresser pour aider mon partenaire à se détendre. Dhabitude, je nhésite pas à promener ma langue sur cette zone mais comme je ne savais pas si Jérémy aurait apprécié, jai préféré mabstenir. Tenant ses testicules dans ma main droite tandis que ma bouche et ma langue sactivèrent sur, sous et autour de sa verge, ma main gauche était affairé de lautre côté. Pendant ce temps, le garçon ne disait rien, attendant fébrilement que mes phalanges se glissent en lui.

Toutefois, ses frissons étaient toujours là et jétais ravi de le sentir dans cet état. Tout à coup, jimmobilisai ma bouche sur la moitié de son membre, comme pour lui faire comprendre que jallais passer à laction. Mon index se glissa dans son muscle anal mais doucement. Jérémy était plutôt serré, preuve quil était bien vierge de ce côté. Dès que mon doigt était entièrement à lintérieur, mon amant se pencha en avant, prenant appui sur la cuvette tout en lâchant :

« Putain, cest trop bon ! »

Si une personne se serait risquée dans le secteur, il était clair quon aurait pu avoir quelques problèmes. Encore une fois, Jérémy ne se montra guère discret pour cette occasion, ce fut sous leffet du plaisir. Jamais il ne cessera de métonner et jétais de plus en plus convaincu davoir fait le bon choix en jetant mon dévolu sur lui. Je laissai Jérémy se délecter de cette caresse et tout doucement, ma bouche saffairait de nouveau autour de son membre dressé. Même avec une partie de ma main en lui, son sexe ne perdit pas en vigueur, ce qui là encore, me surprit énormément.

Visiblement, Jérémy était très ouvert concernant la sexualité entre homme et le savoir me fit le plus grand bien. Je laimais tellement, jaurais tellement voulu quà ce moment précis il me dise je taime mais non. Jobtiendrai ces mots dans le futur mais pour linstant, je devais encore me montrer patient. Toujours doucement, jappliquai un mouvement de va et vient sur mon doigt pénétrant. De nouveaux gémissements retentirent à lintérieur de la cabine et la respiration de Jérémy se faisait de plus en plus haletante.

Le rythme dintromission accéléra et le jeune homme oublia complètement où il se trouvait. Ses expressions étaient de plus en plus fortes et à force de le fouiller comme je le faisais, jai senti une matière plutôt liquide séchapper de son sphincter. Là encore, nouvel étonnement de ma part. Mon Jérémy était tout bonnement en train de mouiller de larrière-train et je trouvais cela vraiment charmant. Ce traitement dura de bonnes minutes lorsque les gémissements firent place à des râles.

Au sein de ma bouche, je sentis des jets chaleureux sécraser contre ma langue bienfaitrice. Je reçu son sperme en fermant les yeux, comme si le fait de boire sa semence était un plaisir divin. Je continuai de le sucer encore un peu pour lui permettre de finir la séance le plus agréablement et lorsque ce fut le cas, Jérémy quitta la cuvette pour se mettre parfaitement debout. Il récupéra son sexe au passage et remonta son sous-vêtement et son pantalon pour les replacer autour de sa taille. Pendant ce temps, je quittai ma position agenouillée et je ne cherchais nullement le besoin de me soulager à mon tour.

Je suis du genre à donner plutôt quà recevoir. Toutefois, Jérémy maurait proposé de me sucer, je naurais pas refusé mais chaque chose en son temps. Ce soir, il ma autorisé à le visiter de lintérieur et cette petite promenade me fut amplement suffisante. Peut-être que la prochaine fois, nous irons encore plus loin dans nos investigations du désir. Content de nous, nous sortîmes de la cabine puis des toilettes pour retrouver lair libre.

Sachant que Jérémy habitait juste à côté, il ne lui fallait pas parcourir une longue distance pour être de nouveau chez lui, ce qui nétait pas mon cas. Tandis quon marchait chez lui, on cessa de parler et me fit promettre quil y aurait une prochaine fois. Il avait tant aimé ce qui sétait passé dans ces toilettes quil voulait absolument recommencer le plus tôt possible. A cette annonce, mon cur semplit de joie et continua de libérer dans mon corps, cette chaleur quon nomme tout simplement lamour. Une fois seul, je pris le chemin qui me mena chez ma mère et celle-ci ne sétonna pas de lheure à laquelle je rentrais.

De toute façon, elle maurait posé des questions, je lui aurais menti. Ma vie sexuelle ne la regardait pas et jétais libre de la mener comme bon me semblait, mais surtout avec qui. La tête dans les nuages, je mallongeai sur le canapé du salon, me déshabilla pour me retrouver en caleçon et protégea mon corps dun édredon. Le rapport encore en tête, je me masturbai en songeant à Jérémy et une fois ma semence libérée, je ne tardai pas à mendormir.

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