Le lendemain matin, tout le monde s’est réveillé bien tard, la journée d’hier avait été bien fatigante, Mamie avait un peu mal partout! Elle se sentait courbaturée! Nous avons passé plusieurs jours beaucoup plus calmes, et nous n’osions pas reparler de Maud. J’étais retournée plusieurs fois avec Colette à cette fameuse plage, où nous prenions de plus en plus de plaisir à être nues, et nous aimions nous promener le long de la plage, à regarder discrètement les anatomies des gens, nous étions fascinées par la diversité de formes et de tailles autant chez les hommes que chez les femmes.

Colette et moi, nous nous faisions des confidences, tendrement allongées sur nos serviettes, et nous commencions à prendre des couleurs, Colette avait les seins bien colorés, seulement uniquement sur le dessus, le dessous, ainsi que le ventre restaient bien blancs. Colette se sentait un peu ridicule avec un corps bicolore, moi je trouvais cela très excitant.

Je lui racontais mes souvenirs avec ma sur et mon frère, elle était un peu choquée, elle, qui avait eu une vie sexuelle beaucoup plus calme, avec bien sûr du touche pipi avec son frère, et avec des cousines, mais sans jamais aller aussi loin que moi!

Elle m’a confié aussi que depuis qu’elle avait découvert une sexualité plus active et moins conventionnelle avec mon arrivée chez elle, elle se rendait compte que son vagin était trop relâché pour lui donner de bonnes sensations, et que son mari ne sentait pas grand chose par là, qu’elle ne le serrait pas assez. D’être passé par derrière leur avait ouvert la porte à de nouveaux plaisirs. Elle m’a dit aussi qu’à son âge, elle avait de petits problèmes de vessie, qu’il lui arrivait d’avoir des fuites, et que cela la gênait beaucoup, même si la plus part des femmes de son âge ont les mêmes problèmes. Elle m’a dit en rougissant, qu’elle aimait de plus en plus être forcée dans ses derniers retranchements, et que son corps lui donnait des plaisirs qu’elle ignorait quand elle était victime de petites violences, qu’elle adorait quand je lui mettais des claques sur les fesses, que je la grondais, ou quand Papy et moi la traitions de tous les noms. Quand elle se sentait humiliée, cela déclenchait en elle des vagues troubles et très fortes qui décuplaient son plaisir. Et d’une toute petite voix, elle m’a demandé que lorsque nous serons seules sans Papy, elle aimerait bien que je lui fasse vivre des moments intenses, que je pousse plus loin mes exigences, qu’elle avait des fantasmes qui la poussaient à vouloir se sentir dans la peau d’une petite fille humiliée, et sévèrement punie! Colette était très émue de me confier cela, elle était aussi honteuse de ses désirs, elle avait peur de ma réaction.

Je lui ai répondu, que moi aussi, j’avais des fantasmes comme les siens, mais que j’aurais aussi beaucoup de plaisirs à lui faire vivre de tels moments, mais qu’elle ne devait pas m’en vouloir si mes exigences dépassaient ses désirs! Elle m’a dit : je suis prête à tout subir, j’en ai peur d’avance, mais venant de toi, tout me paraît désirable.

J’ai glissé ma main jusqu’à son sein, et je lui ai pincé la pointe assez fort, et je lui ai dit à l’oreille qu’elle était une petite cochonne que j’allais devoir mater! Elle m’a souri en me disant : oui ma chérie!

Nous avons ensuite passé plusieurs jours tranquilles avec Papy, j’exigeais toujours de Colette qu’elle garde toujours les cuisses écartées quand elle était assise, et quand je la surprenais les jambes serrées, je lui donnais des claques sur les fesses, et si nous étions seules, les fessées étaient données cul nu! Colette appréciait de plus en plus!

Puis un jour, Marcel nous a annoncé qu’il avait l’occasion d’aller demain à la pêche avec un ami, et qu’il partait pour toute la journée. Mamie m’a regardée, et m’a serré le bras en souriant, et j’ai vu dans son regard, un air de connivence, de complicité, qui m’a bien excitée.

Papy est parti le matin à six heures, alors j’ai appelé Colette à venir dans ma chambre, et je lui ai déclaré, qu’aujourd’hui elle devrait se tenir à carreau, que j’en avais marre de supporter une vilaine fille qui était désobéissante, une petite pisseuse qui ne se contrôlait pas toujours! Colette était aux anges, elle prenait des airs de petite fille prise en faute, alors j’ai poussé plus loin.

Je lui ai demandé de s’approcher de mon lit, j’ai passé la main sur son pubis, elle avait mis pour la nuit une de ses anciennes culottes avec un protège slip, je lui ai malaxé la chatte après avoir baissé la culotte, j’ai arraché la garniture, et je lui ai fait sentir, elle était là, la culotte à mi-cuisses, la chemise de nuit relevée, vraiment pitoyable, je lui ai frotté le coton humide sur la figure, et je l’ai traitée de pisseuse, puis je lui ai dit de se mettre à quatre pattes sur mon lit, et je lui ai donné une bonne fessée sur les fesses et aussi sur les cuisses, elle poussait de petits cris, je lui ai ordonné de se taire, que les vilaines gamines comme elle n’avaient pas à se plaindre.

Elle s’est relevée, je voyais dans ses yeux de l’amour, et de la reconnaissance, elle restait, la culotte baissée, attendant mes ordres.

J’ai eu l’idée de lui ordonner de remettre sa vieille culotte, et qu’elle devrait la garder aujourd’hui, que les belles culottes en dentelles n’étaient pas faites pour les cochonnes. J’ai précisé qu’elle ne devait pas aller uriner sans mon autorisation, que j’allais lui apprendre à se contrôler!

Nous sommes descendues prendre notre petit déjeuner, j’ai pris Colette dans mes bras par derrière en prenant ses seins dans mes mains, et en l’embrassant très tendrement dans le cou. Mamie m’a rendu mon baiser sur les lèvres, très tendrement, et elle m’a susurré : je t’aime ma chérie, si tu savais comme je suis heureuse, j’ai l’impression d’avoir seize ans!

Nous avons fait nos toilettes, et chacune a longuement brossé les cheveux de l’autre, nous étions comme dans un nuage de douceur.

Au cours de la matinée, Colette m’a dit qu’elle avait terriblement envie d’aller uriner, elle se tortillait en me disant cela, serrant les cuisses. J’ai pris mon air sévère, et je lui ais dit, que ce n’était pas une vilaine fille comme elle qui allait commander, j’ai passé la main sous sa jupe, et j’ai empoigné sans ménagement son pubis, je le malaxais à travers la culotte, Colette avait écarté ses cuisses, elle tenait sa jupe et m’a dit, je t’en prie, je ne tiens plus… je lui ai demandé de venir dehors dans le jardin derrière la maison, de garder sa jupe relevée, elle m’a suivie avec un air tout timide, en geignant qu’elle avait envie.

Dehors, je lui ai dit que ses simagrées méritaient une bonne leçon, je lui ordonné de retirer sa robe et son soutien-gorge, et de se mettre devant moi, les jambes largement écartées, ce qui devait encore accentuer son envie d’uriner. Je tournais autour d’elle en la traitant de capricieuse, de sale, de vicieuse, qu’avec une culotte humide de pisse, elle n’avait rien à réclamer, je donnais des petites claques sur ses seins, et sur ses fesses, je lui ai dit de mettre ses mains sur la tête, que j’allais dresser la gamine rétive qu’elle était, je donnais aussi des tapes sur son pubis, moulé dans sa culotte en coton de Mamie sage, elle me suppliait, mais je sentais bien qu’elle était toute excitée, moi, je me prenais au jeu, j’accentuais mes tapes, je prenais son sexe à pleine main, et je serrais de plus en plus fort, et de l’autre main, je lui donnais de grandes claques sur les fesses, soudain, elle n’a plus réussir à se retenir, une auréole mouillée est apparue sur la culotte, un filet d’urine a commencé à tomber, je lui ai dit vas-y! Laisses-toi aller, j’ai remis ma main sur son pubis, je sentais l’urine chaude passer entre mes doigts, et j’ai alors embrassé Colette au début doucement sur la bouche, puis avec passion. Elle répondait en forçant ma bouche avec sa langue, sa salive envahissait ma bouche, le temps semblait suspendu!

Quand elle a eu fini d’uriner, je lui ai dit, tu as vu ce que tu as fait sale petite cochonne! Tu es une vraie souillon! Tu mérites une punition exemplaire! A genoux, tu aimes la pisse, alors tu vas être gâtée!

Elle s’est agenouillée, à l’endroit où elle avait pissé, je me suis déshabillée, et j’ai uriné sur elle, sur son visage, ses seins, en prenant mon temps, ouvre la bouche vicieuse! Elle m’obéissait avec un air de petite fille apeurée. Puis je lui ai demandé de ma lécher la fente soigneusement.

Nous sommes rentrées dans la maison, elle pensait aller prendre une bonne douche, mais, j’ai mis une grande serviette sur son lit, et je lui ai baissé brutalement sa culotte trempée, elle avait les fesses rouges et un peu marquées par ma fessée et je lui ai demandé si elle pensait qu’une cochonne comme elle ne méritait pas d’être plus punie? Elle m’a dit avec une petite voix : si, qu’elle avait honte, et qu’elle méritait sûrement d’être punie. J’ai pris la culotte, et je l’ai enfilée sur la tête, et je lui ai frotté le visage avec. Tu garderas cette culotte tant que je ne t’aurai pas pardonné! Allonges-toi sur le lit, et masturbes-toi devant moi! et tu n’as pas intérêt à faire semblant!

Colette a commencé à se caresser, j’entendais son souffle sous la culotte trempée, ses mains passaient de ses seins à sa fente, elle se fouillait avec plusieurs doigts, et avec l’autre main, elle titillait son clitoris et ses petites lèvres, moi de temps en temps, je l’interrompais, pour lui lécher la fente, et aspirer ses petites lèvres, la pisse commençait à être remplacée par son jus d’excitation, je sentais monter son plaisir, puis soudain, elle a serré les cuisses, et de petits cris, je lui ai intimé l’ordre de se taire, elle haletait, je lui ai écarté les cuisses et j’ai pincé très fort sa petite lèvre si sensible, en lui disant : salope, tu aimes ça! (c’était la première fois que je l’insultais comme cela), elle a eu un autre orgasme, en criant oui! Je suis ta salope!

J’ai retiré la culotte de son visage, je l’ai embrassée, je lui ai léché le visage, les seins, la fente, l’odeur était forte, mais le goût était délicieusement excitant!, nous nous sommes enlacées, et nous sommes restées sans bouger, unies dans la même étreinte.

Il était bientôt midi, nous nous sommes levées et nous avons pris une grande douche, puis nous sommes parfumées, puis j’ai proposé à Mamie d’aller au restaurant, pour fêter notre journée à nous.

Colette a accepté avec plaisir, elle était resplendissante, son visage était illuminé de bonheur, je lui ai dit qu’elle devait être la plus belle pour sortir avec moi, j’ai choisi une belle culotte très transparente, et une belle robe très ample qu’elle mettait rarement, car elle la trouvait trop transparente, elle allait mettre un soutien-gorge, je lui ai dit, reste comme cela, je veux voir tes seins vivre sous ta robe!

Puis je lui ai demandé de choisir mes vêtements, elle a choisi un de ses chemisiers en dentelle, et m’a dit de mettre ma jupe courte en jean. Elle a hésité, puis m’a dit, ne mets pas de culotte! chacune son tour d’obéir!

J’étais ravie, que Mamie inverse les rôles, j’avais envie à mon tour d’être dressée.

A suivre……………………………………………………………………………………

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