EXPLICATIONS
Mardi matin :
— alors ! c’était bien cette soirée chez Julie .
— ah bon ! Tu es déjà au courant ! »
— tu sais bien la complicité que nous avons toutes les deux, pour tout tavouer, elle ma tout raconté dans les moindres détails. Jespère bien que ça ne va pas te choquer maintenant que tu mas vue à poil et dans des situations à peine avouablesdailleurs, le mot est faible. Enfin, lessentiel est que tu en aies tiré pleine satisfaction nest-ce pas ?
— oui, je dois lavouermais là, tu me vois vraiment dans lembarras !
— davoir visionné cette vidéo, ou de mes aveux ?
— non en fait : tes aveux sont la preuve dune grande sincérité à mon égard et sont naturels pour toi qui na rien à cacher. quant à la vidéo, excuse moi, je suis coincé, ce doit être mon éducation. Mais tu sais, je me soigne ! Ou plutôt Julie me soigne. Cependant on ne sort jamais indemne de son éducationje vois que jai encore beaucoup de travailje risque davoir des rechutes, tu comprends !
— bien sûr que je te comprends. Cet épisode aura eu le mérite de casser la glace entre nous. Tu continueras à me mâter, et jaime ça, je continuerai à séduire et jaime çà. Julie ma rapporté que tu étais amoureux de moi : tu le crois mais en fait cest mon corps qui tapporte du désir : tu as simplement envie de baiser avec moi ! Rien de plus ! et dailleurs, après le weekend que tu as passé avec Julie, as-tu toujours les mêmes sentiments à mon égard ?
— Non ! Cest vrai tout ce que tu dis, tu as raisondécidément je naurai pas cru en arrivant ici que ma formation serait aussi poussée !
— Ceci dit, après cette parenthèse de formation aux humanités, comme on dit, au bureau nos rapport restent les mêmes.
— Et après le bureau ?
— je ne fermerai pas la porte.
— Ok, cest clair, je souscris.
REVELATIONS
La journée se passa dautant plus calmement que le bos avait encore besoin de Carole, et quelle narrêtait pas de faire des va et vient entre les deux bureaux. Il devait y avoir un problème car je lentendis souffler plusieurs fois, quelle en avait mare, après le weekend fatiguant qui lui avait interdit tout repos.
A lheure de la débauche, alors que je range les dossiers qui trainent sur mon bureau, au moment de fermer lordinateur, Carole, enfin plus calme depuis une heure minterpelle. Nous ne nous étions pas dit un mot depuis ce matin :
— Julie ma dit que tu navais pas ton pareil pour pratiquer les massages !
— Cest vrai : ma sur ainée est kiné et elle-même ma avoué que javais un don pour cela. Si je rate cette foutue Ecole de commerce, je pourrai toujours me recycler kiné ; la formation nest pas très longue et finalement ça me plairait bien de masser de belle clientes comme toi !
— eh bien ! Mon cher, quà cela ne tienneje suis ta première cliente. Jai un mal au dos tenace et ce serait sympa si tu me débloquais tout çà !
— bien sûr, avec plaisir !
Et comme elle porte une robe à bretelles sans dos, je me précipite pour accomplir ma merveilleuse et inattendue mission.
— oh là ! Pas si vite ! Je tai dit ce matin : pas au bureau ! Et puis jai un dossier à terminer. Et puis je veux du bon travail sur mon dos. Pas de petits attouchements bâclés à la hâte
— Tu passes chez moi vers dix neuf heures ? .
Et elle me tend un post it sur lequel elle a griffonné son adresse et le code de la porte.
— Tu peux compter sur moi.
Et au moment de franchir la porte, elle mattrape la main, me fait pivoter en me tirant vers elle et me plaque un baiser profond, sa langue fouillant fougueusement ma bouche. Jen reste quoi !…et traverse les couloirs vides comme un automate.
MASSAGE A DOMICILE
Sur le post it elle ma même marqué les lignes et les stations de métro, depuis la petite chambre où je loge jusquà son appartement dans le 17ème. Pour la circonstance je change ma tenue de ville pour une tenue sport plus décontractée, après une douche vite fait. Carole me ferait-elle le même coup que Julie celle là, aujourdhui, je ne lai pas vue, elle était en RTT et je nai pas osé lui téléphoner. Après tout, elle non plus ne ma pas appeléelle est peut-être mal à laise davoir tout raconté à sa copine. Qua-t-elle bien pu dire de moi ? Vu le sermon de Carole ce matin !…
Dans le métro qui me mène à mon rendez-vous, assailli par tant de questions mon esprit sembrouille au point que je suis encore hésitant ; serait-ce un piège, si Julie est chez elle ? Ou serait-ce un lapin tout simplement, destiné à mhumiliernon, je gamberge, ni lune ni lautre nen sont capablesen fait, cest moi. je suis surpris de découvrir des filles qui baisent si facilement avec de tels besoins de sexe des nymphomanes bercé par le cheminement régulier du métro, je somnole et dun peu plus, je manquais ma station.
Lair encore chaud de la rue me réveille complètement. En homme bien éduqué je marrête chez le fleuriste, pour me présenter à dix neuf heures pile devant limmeuble de Carole. Quelle nest pas ma surprise de lentendre derrière moi :
— désolée, mais le bos ma retenue plus tard que prévu »
— je ten prie, passe moi tes sacs, et prend donc ce bouquet de roses »
— tes fou ! Merci Bruno ! Mais il ne fallait pas ;
Et cette fois, elle menlace par la taille, me presse contre elle et me fait encore un baiser enflammé. Dans lascenseur elle mexplique que le bos lui a fait passer une bien dure journée.
-jespère que ce nest pas à cause de moi ?..Sil sest aperçu que ton attitude avec moi
— non, laisse tomber, tu ny es pour rien, je crains que ce ne soit plus grave !
— a bon !..et quoi alors ?
— laisse tomber, ce soir je tai dit, je veux que tu me détendes, passer un bon moment avec toi, et on oublie le bureau, le bos et les emmerdes…Tu veux bien ?
Docilement, je suis Carole. Comme je men doutais son appartement meublé en contemporain est spacieux et lumineux. Une terrasse garnie de verdure comme un petit jardin donne sur un parc.
— si tu permets, jaimerais bien commencer par un bain.
Après avoir enlevé ses escarpins, elle me prend par le bras et memmène vers une véranda en saillie sur la terrasse et au milieu de laquelle trône un grand jacuzzi rempli deau tourbillonnante. Elle y trempe la main.
— hum ! Avec ce soleil leau est restée chaude, on va se régaler ! Tu te baignes avec moi nest-ce pas
— avec plaisir !. tu ten doutes ?
— tu descends ma fermeture éclair sil te plait ;
me demande-t-elle en me tournant le dos. Je mexécute tandis quelle fait glisser les bretelles ; sa petite robe blanche tombe à ses pieds, je suis tellement captivé par sa chute de reins que je nai pas vu quelle ne portait même pas de string. Je ne peux retenir un compliment tandis quelle enjambe le bord.
— tes fesses sont très bellesje te trouve un charme fou, tu sais.
— Je sais que tu aimes bien mon corps, cest pourquoi ce soir je te le confie tout entier ; je sais que tu vas en prendre soin. Tu es un bon garçonapproche.
Et voilà que Carole retrousse mon tee-shirt sur ma tête et tandis que je fini de lenlever elle à déjà dégrafé mon futal rendu sur mes pieds. Je lenlève en arrachant mes baskets et tandis que je me baisse pour ramasser le tout elle a déjà descendu mon slip. Un peu surpris par son empressement, ma biroute est restée en berne et même si elle est assez grosse au repos, elle ne semble pas retenir son attention.
— allez, monte et viens me cajoler ; jadore les caresses et je sais que tu es très bon !
— ah oui ? C’est encore Julie?…
Elle ma tendu la main pour entrer et me guide vers un siège, puis sassoit en face de moi, allongeant ses jambes entre les miennes jusquà, de ses pieds étirés, me prendre malicieusement la verge en étau. Ce genre de prise, ajouté à leffet des remous et de leau produit sur ma verge un effet immédiatqui ne semble pas la troubler.
— Je dois tavouer, Bruno, que lorsque Julie ma dit vendredi après-midi quelle tavait invité à venir voir les vidéos de nos dernières vacances, jai un peu paniqué. Puis Julie ma expliqué quelle souhaitait te soulager en provoquant chez toi, disons, comme un électrochoc. Comme je la connais bien, je savais aussi quelle baiserait avec toi. Jai compris alors que cétait bon pour toi et jai encouragé Julie à agir ainsi. Voilà pour le premier volet et jespère que Julie ta donné du plaisir. Mais il y a un deuxième volet. Cette dernière ma envoyé un mail très laconique , toujours vendredi, vers dix neuf heures« allume ton ordi et reste connectée avec moi ». Tu ne peux pas imaginer a quel point je fus inquiète !…jai essayé de lappeler, mais elle avait coupé son portable, et sur lécran de mon ordi je ne voyais personne. Oui, sa webcam est fixée en haut de lécran géant de sa télé.
En écoutant Carole, je commence à comprendre ; un petit sourire me vient aux lèvres, et elle enchaine.
– je crains que tu prennes mal la suite de mon récit, mais sétait plus fort que moiil fallait que je voisau début pour me rassurer après par curiosité. Et pendant que sur lécran tu me voyais nue dans mes exploits les plus fous, car je sais quelle ta même montré mon show au club, moi je te matais sur mon écran, mextasiant de tes attributs et de ton endurance ensuite. Je peux te dire que Julie qui a connu quelques hommes, tu las scotchéeun partout, la balle au centrepas vrai ?
— Que veux-tu que jajoute ? Vous vous êtes bien amusées toutes les deux, mais cétait non seulement pour maider mais en prime pour me donner du plaisirque demander de plus ? Tu vois, Carole, à toutes les deux, en quatre jours, vous avez fait un homme heureuxet là, avec toi, enfin, je suis bien .
— merci, Bruno, je suis heureuse que tu me pardonnes, et jattends maintenant que tu me fasses bénéficier en live, cette fois, de tous tes talents !…
Pendant quelle parlait, Carole, agitait nerveusement ses orteils qui enserrent ma verge, et comme jai glissé sur lavant de mon siège, mon membre dressé à la verticale émerge de la surface.
— Par quel talent commence t-on?
— Malgré la belle forme que tu mexhibes, je préfère commencer par la séance de massageon a toute la soirée et la nuit pour baiser, nest-ce pas ?
— OK, mais on commence ici ?
— Non, il fait encore chaud, il y a une table de massage sur la terrasse, on y va ?
Carole sort la première, écartant les cuisses pour enjamber le jacuzzi, elle moffre, en passant au raz de mon nez, un gros plan sur sa chatte. Je saisis loccasion pour la retenir dune main posée sur sa fesse. Elle a compris et noppose aucune résistance. Au contraire elle sapproche et pose lautre pied sur le rebord, se cambre en arrière et offre à mes lèvres tendues sa vulve ouverte et gonflée de ses caresses subaquatiques. Je presse ses fesses fermes dans mes mains pour gouter à sa grotte. Elle me caresse les épaules, le dos, la nuque. Enfin, elle sécarte, ramène sa jambe au sol et moffre sa main pour maider à sortir. Nous sortons nus sur la terrasse. Elle me désigne une sorte destrade assez basse.
Elle y étale une serviette de bain et sallonge à plat ventre. Ses fesses très bronzées, encore luisantes deau, sous les rayons rasants du soleil, sont un merveilleux spectacle.
Je répartis lhuile sur son dos, ses fesses, ses cuisses, jen verse aussi sur mes mains. Puis je viens me glisser à genoux entre ses jambes écartées. Bien sûr la position serait incorrecte avec une cliente, mais étant donné nos relations, la position a le mérite dêtre plus pratique pour moi, parce que symétrique. Je me mets à luvre en commençant par étaler partout lhuile, non sans mattarder sur ses fesses. Puis je commence mon massage par le creux des reins en alternant le sens de passage de mes mains. Lorsque je monte vers les épaules, je sens des nuds importants, jinsiste et foule plus fort pour la dénouer. Mais en montant derrière la nuque, ma verge pourtant au repos vient à se poser dans la raie de ses fesses à plusieurs reprises. Le contact de sa chair a tôt fait de réveiller mes sens, et voilà que sa taille et sa raideur la font entrer dans la raie des fesses à chaque mouvement. Je la sens frémir.
— hum ! que cest bon. Dit-elle sans que je sache de quoi elle parlait !…ma bite ou le massage ?
— tu étais bien nouée, tu en avais besoin.
Et je continu mon travail, ma bite bien raide butant plusieurs fois sur son petit trou, puis glissant dans sa raie. Jai fini le haut du dos, je m’écarte pour lui masser les fesses et les cuisses, mais ma verge est toujours bien dressée, en attente dune promesse qui tarde à venir. Lorsque mes mains montent à lintérieur de ses cuisses, je ne manque pas, de mes deux pouces, de lui frôler la chatte. Puis je descend jusquaux mollets. Je sens des nuds dans ses cuisses, alors jy reviens, appuyant plus fort puis remonte encore. Cest alors quelle se redresse, se tourne face à moi, à genoux jambes écartées, me prend les mains quelle pose sur le haut de ses fesses et se cambre offrant à ma bouche sa chatte dilatée.
— Oui, vas-y ! Lèche moi bien la chatte et après prend moi, je te veux !
Lentement, je lèche et bise son pubis glabre puis ses grosses lèvres tout autour de sa vulve, par petites touches. Tandis que de mes mains, je pétris voluptueusement ses fesses fermes et douces, suivant sa raie de haut en bas du bout des doigts. Fébrilement, je monte jusquen haut des reins et descend jusquà son petit trou alternant mes deux mains. Je la sens frémir comme tout à lheure, à ces caresses très particulières.
Elle sallonge alors sur le dos et remonte ses jambes écartées à lhorizontale, offrant une fois de plus à ma bouche sa chatte quelle écartèle de ses doigts !…sans attendre jy enfoui mon nez et la langue tendue au maximum pénètre sa vulve le plus profond possible, la tournant avec ardeur. Elle lâche un râle profond qui mencourage à lui introduire deux doigts dans le vagin, tandis que je suce en les aspirant ses petites lèvres particulièrement saillantes que je pince entre mes lèvres. Nouveau râle !…Puis de mon pouce je presse le haut de sa vulve en tirant les chairs vers le haut et réussis très facilement à décapuchonner son clitoris que je titille frénétiquement de la langue. A chacune de mes manuvres je la sens frémir. Sa chatte dégouline de cyprine à chacun de mes gestes. Jose introduire ma main de plus en plus profond dans sa grotte, la fouille voluptueusement, la besogne tout en suçant son bouton. Là, un soubresaut plus violent suivi de spasmes marque un dernier orgasme.
Très excitée, elle se redresse, glisse ses fesses sur le côté de la table et minvite à monter. Elle me fait allonger sur le dos et vient me chevaucher, sagenouillant au dessus de moi.
Elle serre entre ses mains mon chibre en pleine forme et le caresse fougueusement, minvitant dun geste éloquent à reprendre mes explorations. Je fouille de ma langue cette fois la raie de ses fesses en mattardant sur son petit trou ; elle tressaille et gémit. Pendant ce temps, elle suce consciencieusement mon gland turgescent, tout en me caressant les plis de laine et les bourses avec ses tétons fermes et tendus, sa lourde poitrine pendante au dessus de mon membre, pris en étau entre ses seins. Cette initiative mexcite particulièrement et me procure une jouissance sans égale. Comme je continue mes caresses, elle crie, elle gémit, et pousse furieusement son cul sur mon visage.
Enfin, après trois quarts dheures de préliminaires, elle se retourne, se redresse et me chevauchant, senfonce profondément la vulve sur mon épieu bandant, exécutant une danse folle et merveilleuse. Sa poitrine sautant jeffleure des paumes de mes mains ses tétons gonflés ce qui la ravit un peu plus. Au rythme quelle ma imposé je ne tiens pas longtemps et la préviens que la sève monte. Elle me garde en elle jusquà la dernière seconde et mattrapant la bite à deux mains dés sa sortie pour la masturber vigoureusement elle se ramasse une puissante et abondante rafale de sperme sur la poitrine et le visage !…
Carole, fébrile et encore haletante se laisse alors choir sur le dos, à mes côtés. Encore essoufflée par le long exercice et le merveilleux moment quelle vient de moffrir, elle me fait une dernière confidence :
— Bruno ! Je suis vraiment confuse de mon premier jugement à ton encontre. Javais tout faux car tu es un excellent amant, performant, attentif et imaginatif !… Puisque tu me considères comme ton professeur, comme pour ton stage pratique en entreprise, Je tattribue les meilleures notes pour ton stage pratique du sexe. Bravo Bruno.
En nous relevant, un coup dil sur limmeuble den face, nous apprend rapidement que quelques voyeurs du voisinage viennent de se régaler de nos ébats !… mais cest une autre histoire. Ce soir là Carole m’a retenu chez elle pour une autre séance de massage … et une baise d’enfer dont je me souviendrai longtemps.
Voilà comment j’eus droit en cette fin dannée scolaire à une double formation en alternancecelle de mon job, entre lentreprise et mon école de commerce et cellede ma libido entre Julie et Carole, puisque j’ai continué à fréquenter alternativement et parfois en même temps, les deux copines durant tout lété.