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Aventure avec Josy – Chapitre 1




Avec Josy, nous revenons dune visite dans une usine de bombons. Nous stoppons sur un parking dune station service. Je lattends quand je reviens de faire mon petit pipi. Jai laissé ma robe relevée, permettant aux passants de regarder mes jambes et de se faire une idée du haut. Je me sens dhumeur badine. Josy revient enfin.

Je lui demande daller se garer sous un arbre.

Pourquoi ?

Jai envie.

De quoi ?

De jouir, de me branler et toi ?

Maintenant que tu le dis, pourquoi pas.

Elle trouve un endroit calme sous un grand arbre, derrière un buisson. Parfait pour moi. Je ne vais pas lui imposer ma masturbation, je sors du véhicule, je me cache derrière pour enlever le string. Mes mains caressent les cuisses, montent doucement comme si une autre personne soccupais de mon plaisir.

Je suis mouillée à souhait. Je reste les fesses collées à la carrosserie. Jespère que Josy ne me voit pas. Je passe rapidement deux doigts dans la fente. Malgré moi je fais un mouvement vers lavant. Cest bon, je commence à me branler.

Mes deux doigts frottent le clitoris. Le plaisir grimpe en moi. Il faut que je mette deux doigts de lautre main dans le vagin : je me doigte lentement.

Je ressens lautre besoin impérieux, il faut que je me caresse lanus. Ah, lanus, jaime jouir avec lui. Je maccroupie en partie pour mieux me toucher le petit trou : il me semble que je serais bien mieux en position de faire pipi. Cest ainsi que jarrive mieux à mon cul. Je passe une main derrière mes fesses. Je sens avec plaisir ma main dans la raie : je sais que jarrive là où il faut. Lanus est là, sous mon doigt. Je le caresse autour un instant et ny tenant plus je le rentre un peu au début. Je le fais aller et venir : je le veux profond. Je suis limitée par la longueur des phalanges.

Je ferme les yeux, concentrée sur mon plaisir intime. Je gémis malgré moi. Je vais jouir. Je jouis.

Quand jouvre les yeux, pile devant moi une ombre, celle de Josy.

Bravo, tu te branle bien. Placée comme tu es, tu ne veux pas me sucer ?

Te sucer, mais pourquoi ?

Pour me faire jouir.

Elle me demande une chose impensable : la sucer, elle ma copine Et puis, après tout pourquoi mas, un peu de complicité ne nuit pas. Je nai pas grand-chose à faire, juste me pencher un peu vers elle, vers son sexe découvert, juste devant moi sans pudeur. Je vois quelle est poilue, quelle est mouillée. Dune main elle tient haut sa jupe, de lautre elle écarte ses lèvres. Je vois toute sa chatte ou presque. Ma main revient sur la mienne. Je me branle encore. Je me penche un peu, juste ce quil faut pour que mes lèvres embrassent sa fente.

Je suis assaillie par ses odeurs, par son gout particulier comparé au mien. Je me sens des envies canines, je la lèche comme un chien (comme jai vu une fois) Je pourrais la mordre, lui dévorer toute sa féminité. Elle me met en appétit. Je mempare de ses fesses pour la tenir. Je sens tous les grains de sa peau. Jaspire le clitoris, je le rejette, le reprends à nouveau et elle gémit jusquà la fin quand je sens les spasmes lenvahir.

La suite après cette entrée en matière ? Cest elle qui la dicte. Elle connait bien le chemin pour aller à la station daprès, où elle me lavait caché existe un hôtel. Je pense quà 15 heures on va nous refuser la chambre demandée.

La réceptionniste souriante nous donne une clé. Elle nous fait un beau sourire quand elle demande pour combien de temps nous allons rester. Je suis rouge de confusion. Très à laise Josy indique que nous en aurons bien pour deux heures. Resourire en nous menant vers la chambre. Jai limpression que si elle le pouvait elle viendrait avec nous. Elle attend que Josy membrasse pour fermer la porte. Elle a du se branler plus tard en pensant à nous.

Javais commencé par avoir une envie brutale de jouir, jai débauché Josy et cest elle qui devient mon amante.

Après le baiser plus quappuyé, Josy me fait tomber sur le lit. Elle sattaque à ma ceinture pour enlever la jupe, puis aux boutons de mon haut. Il ne me reste quun vague soutien gorge quelle fait partir en deux temps trois mouvements.

Je suis nue devant elle qui commence à venir poser sa bouche sur moi. Elle membrasse partout, même aux endroits impossibles. Dans limmédiat se sont mes seins qui reçoivent le plus sa bouche et sa langue. Je sens mes pointes se durcir. Elle y ajoute sa main, sa redoutable main, celle qui fait fléchir les plus rétives. Deux doigts labourent lentement la fente. Ils glissent sur moi portés par ma mouille.

Enfin elle frôle le clitoris. Je gémis de plaisir et de bonheur. Ses doigts sont merveilleux. Je suis tendue, je me donne à elle, une autre femme. Je ne le regrette pas du tout. Quelle sait bien me faire du bien. Je nai pas le temps de mattarder sur le ravissement : je jouis trop vite.

Elle est nue près de moi, contre moi. Je me blottie sur elle. Sa main revient sur ma chatte. Elle ne fait rien que me toucher. Jai encore envie delle. Elle le sait bien quand elle vient sur moi quelle se met en 69. Je retrouve son odeur perdue depuis quoi ? Une petite heure. Mais je récupère sa langue sur moi. Elle remplace avantageusement ses doigts.

A partir de là, je ne sais plus combien de fois jai joui, comment je lui ai donné des orgasmes en pagaye.

Nous devions rester deux heures. Ce nest que le lendemain matin très tôt que nous avons reprit lautoroute. Elle a refusé que je remette mon string : je suis avec la jupe à mi cuisse. Jai un devoir : me faire du bien. Ma main ne quitte pas ma chatte. Je me caresse plus ou moins vite pour jouir souvent devant elle qui souvent sarrête dans un parking pour satisfaire sa libido.

Jaime la voir se masturber, elle aime que je le fasse aussi. Surtout depuis que nous vivons ensemble.

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