Histoires de sexe lesbiennes Histoires érotiques couples amateurs

Souvenirs d'hier et d'aujourd'hui – Chapitre 1




Souvenirs d’hier et d’aujourd’hui

Je profite de ces journées d’hiver froide pour mettre par écrit quelques souvenirs. A l’abri, bien au chaud dans mon bureau, mon épouse est partie faire les courses et ma fille est chez sa copine. A l’aube de la quarantaine, on regarde avec nostalgie son passé.

Je devais avoir 18 ans. Mes parents m’emmenaient moi et ma soeur Carole, 17 ans, en vacance à la mer. On louait un petit pavillon près de la plage. Notre petite maison était séparée des autres par des haies. Nos journées étaient tranquille. On se levait le matin à 11h. On passait l’après-midi à la plage à se bronzer. Nous étions au mois de juillet, un samedi d’après mes souvenirs. Mon père nous annonça la venue de notre cousine Marie. Ses parents nous l’envoyaient pour les vacances car leurs relations étaient houleuses. Elle avait 18 ans et souhaitait son indépendance. Elle sortait avec ses copines toutes les nuits et n’allait plus à l’école.

Marie était une petite brune donc j’étais tombé amoureux quand j’étais petit. Devenu presque adulte, elle me faisait fantasmer. Je me branlait souvent en pensant à ses nichons et en rêvant que je la baisais. Ma soeur était contente de sa venue car elle n’ennuyait un peu sur la plage. Elle était un peu timide et ne se liait pas facilement avec les autres. D’ailleurs ma mère la disputait et voulait l’obliger à se mettre en maillot de bain deux pièces pour aller à la plage. Carole, elle, serait bien restée en pantalon. Ma mère, elle, n’avait pas vraiment de pudeur et prenait des bains de soleil les seins nus. Mes copains sur la plage se branlaient à l’abri d’une dune en regardant ses gros nichons. Mon père, lui, n’aimait pas la plage et préférait aller jouer au tennis.

Notre tranquillité avait bientôt cesser avec l’arrivée de ma cousine.

***

Quelques jours plus tard, un taxi déposa Marie devant l’entrée de notre pavillon. Mon père prit une partie de ses bagages et moi l’autre. On a traversé le petit jardin et porté ses affaires dans la chambre de ma soeur. Elles allaient dormir ensemble. Quand j’ai vu ma cousine, je me suis mis à bander aussitôt. Elle était habillée sexy. Elle était vêtue avec un maillot de bain très sexy. Ses seins, assez gros, gonflait un haut qui ne cachait que le bout de ses seins et en bas, un string, petit, petit ne cachait pas grand chose. Je ne l’avais pas vu depuis quelques années. Elle avait bien changé. Ma soeur se rapprocha de moi et me sussura dans l’oreille : "ne bave pas". J’avais chaud, très chaud. Une fois ses affaires portées dans la chambre, je suis allé dans les toilettes pour me branler. Je n’en pouvais plus.

Nous nous sommes retrouvés tous à table. J’ai cru que mes parents allaient faire des réflections sur l’habillement de Marie. Mais, à ma grande surprise, il n’en fut rien.

L’après-midi, nous sommes allés à la plage. Marie avec ma mère se sont mis les seins nus pour se bronzer. J’ai rejoins mes copains qui se branlaient en les regardant.

A la fin de l’après-midi, nous rejoignons la voiture quand ma cousine me dit :

— Dis, tes copains, quand ils auront marre de se branler, tu me les envoies !

— Ok ! lui dis-je.

Zut, elle nous a repéré. Les autres ne vont pas être content.

Le soir était tombé, je mettais la table dans la salle à manger. Ma mère de demanda d’aller chercher les filles. Je suis donc allé dans la chambre de ma soeur. Elles étaient en train de ranger les affaire de Marie. Surprise, Marie, cacha un petit sac qui tomba par terre. Elle avait l’air gêné.

Je les ai laissé et suis retourné dans la salle à manger. Peu de temps après, les filles sont venues manger avec nous. Marie avait mis une petite robe courte.

On a passé la soirée à regarder la télévision puis on est allé se coucher.

Les jours passèrent rapidement. J’avais transmis le message de ma cousine à mes copains. Ceux-ci ont été la voir et très vite, ils sont sortis ensemble avec ma soeur. Moi, je suis resté seul. Ils m’agaçaient.

Un jour, j’étais resté seul à la maison. L’histoire du petit sac m’avait intrigué. C’était l’occasion ou jamais de savoir ce que Marie voulait me cacher. Je me suis glissé dans la chambre des filles. J’ai cherché partout. Rien ! Je commençais à désespérer. En faisant un faux mouvement, j’ai fais tomber une pile de magazine pour fille. En remettant en place les revues, j’ai découvert des revues érotiques telle que "Lettre de femmes", "Confessions érotiques" mais aussi quelques revues porno assez hard. J’ai feuilleté l’un d’eux. Les photos d’une femme qui se faisaient prendre par tous les trous me faisaient bander comme jamais. La femme avait le crane rasé et des anneaux dans le nez, sur le bout des seins ainsi que sur son sexe. Elle avait des tatouages assez fous. Sur son front, on pouvait lire : "vide-couille", sur ses seins "pute à louer" et sur ses fesses "garage à bite". Au fil des photos, elle était baisée, enculée, prise par tous les trous. Le poster central la représentait à quatre pattes. Elle avait une bite dans la chatte et une autre dans le cul, avec en plus un gros gode. Elle gobait deux énormes bites dans la bouche. La vision des mecs déchargeant sur son visage et dans sa bouche me fit jouir dans mon short. Je bandais toujours. J’étais excité comme jamais. Je n’en pouvais plus. A la fin de la revue, j’ai joui à nouveau. Incroyable, la femme, à quatre pattes, se faisait saillir par un chien tandis qu’elle pompait la bite d’un autre. Un bruit de voiture me fit sursauter. J’ai tout remis en place et je suis allé me laver rapidement. Il était temps ! Tout le monde rentrait. J’étais mal toute la soirée. Je me disais que je rêvais et ma cousine ne pouvait lire de telle revue.

J’ai fait des rêves toute la nuit et je me suis réveillé en tombant de mon lit.

Le lendemain, j’ai continué mon exploration minutieuse. J’ai enfin trouvé le petit sac. Il y avait trois godes dedans ainsi qu’une revue de petite annonce. Dedans, j’ai trouvé une photo de la femme "vide-couille". Elle était prise en train de sucer une bite. La petite annonce m’a fait bander tout de suite : "Femme d’âge mure, pute discrète, disponible à toute bite, prix raisonnable, tarif de groupe, pose pour photo et films, sans tabou".

— Alors, on s’emmerde pas !

J’ai sursauté brutalement. J’étais rouge comme une pivoine. Ma cousine m’a arraché des mains le magazine ainsi que son petit sac. Elle m’a traité de tout les noms et foutu à la porte de sa chambre. J’ai eu la peur de ma vie. Je me demandais bien comment la situation allait évoluer. Pourvu qu’elle ne le dise pas au parent ! Et puis, je me suis repris. Non, elle n’osera pas le dire. Je suis resté dans ma chambre jusqu’à ce que j’entends la porte d’entrée claquer. Je suis alors sorti.

Au repas du soir, j’étais mal à l’aise et je m’attendais à des réflexions de ma cousine. Mais, non, rien ! Un coup de téléphone retentit à la fin du repas. Mon père décrocha. Il était furieux. Un gros problème à son travail. Il devait rentrer à Paris le plus tôt possible.

****

De mauvaise humeur, mon père n’était pas à prendre avec ces pincettes. Ma mère rassemblait ses affaires. Ses hurlements m’ont réveillé. Il rageait de devoir partir et traitait d’incapable ses collègues. Quand je suis arrivé dans la cuisine, j’étais encore pas tout à fait réveillé et je l’ai vu au portail monter dans sa voiture. Ma mère est rentrée à la maison et s’est étonnée que je sois debout. Instinctivement, j’ai regardé l’heure. Huit heures ! Je suis retourné à ma chambre. J’ai lu un peu et puis je me suis décidé à aller prendre mon petit déjeuner. Au moment où j’allais entrer dans la cuisine, j’ai entendu des gémissements. Curieux, j’ai regardé sans me montrer. Et là, j’ai failli pousser un cri. Ma mère, allongée sur la table de la cuisine, se défonçait la chatte à l’aide d’un petit concombre. J’ai sorti ma bite et je me suis mis à me branler. Soudain, j’ai sursauté. C’était Marie, ma cousine.

— Alors cousin, on rêve !

J’ai à nouveau regardé dans la cuisine et j’ai vu ma mère verser un café à ma cousine. Mon imagination m’a joué des tours. Décidément, je ne tourne pas rond.

Durant le petit déjeuner, je fus surpris de voir ma sour vêtu d’un maillot de bain deux pièces. Elle qui était si pudique ! Ma mère nous annonça qu’elle allait rejoindre des copines durant toute la journée et qu’elle ne serait pas là de la journée. Elle nous engagea à en faire autant. Elle nous donna 15 euros pour manger sur la plage.

Puis, nous sommes allés à la plage. Je suis parti de mon côté. J’ai alors rencontré des copains des années précédentes. On s’est baigné, déconné… A midi, l’un d’eux, Thomas m’a demandé si cela m’intéressait de me faire sucer la bite. « Bien sûr que oui ! » je lui ai répondu. Il m’a emmené alors vers les cabines d’essayage au sud de la plage.

— Tu vois cette cabine ! Derrière, il y a des trous. Tu glisses la bite dedans et une fille te la suce.

J’étais septique. Je l’ai suivi. On verra bien !

On est passé derrière la cabine. Là, on a trouvé cinq gars contre la paroi et sept autres qui attendaient leur tour. Un mec d’environ 30 ans demandait 10 euro pour se faire pomper. A chaque fois qu’un mec jouissait et partait, il marquait un trait sur la paroi avec une craie. J’ai compté 23 bâtons. J’ai demandé à mon copain si c’était toute la journée. Il me répondit que ce n’est que presque tout les midi, de 12 h à 13 h. Quand ce fut mon tour, j’ai glissé dans le trou, avec quand même une certaine appréhension, ma bite raide. Et là, cela a été extraordinaire. Une bouche avide m’a pompé à mort et j’ai joui presque aussitôt. C’était génial.

Puis avec mon pote, on est reparti sur la plage. On a été espionné avec d’autres copains les filles à moitié à poil sur la plage.

Je suis rentré chez nous plus tôt que j’avais prévu. Je suis allé directement dans la cuisine pour manger un sandwich. Il était pas loin de 19 h.

Ma mère fut la première à rentrer. Elle était accompagnée par un grand noir. Elle me le présenta comme l’un des nouveaux maîtres nageurs. Il s’appelait Akim. Il était sympa. Puis les filles sont rentrées à leur tour.

On a tous mangé ensemble. Akim nous a quitté peu de temps après. On a tous regardé un film et je suis allé me coucher.

Vers une heure du matin, je me suis levé pour aller boire un coup. J’ai été attiré par le son de la télé. J’ai jeté un coup d’oeil dans le salon. Et là, je suis resté stupéfait. Ma soeur et ma cousine, nue, s’embrassait à pleine bouche devant un film porno à la télé. Ma soeur s’est allongée par terre ainsi que ma cousine et là j’entendis ma soeur jouir sous les coups de langues de ma cousine. J’en ai joui dans mon pyjama sans même me toucher. C’était trop pour moi. Je suis passé à la salle de bain puis je suis retourné me coucher.

****

Au fil des jours, ma soeur se décoinçait au contact de notre cousine. Ma mère était heureuse de ce changement d’attitude. J’ai été bien étonné de les voir toutes les trois, les seins nus, en string, se bronzer sur le gazon devant la maison. J’avais bien du mal à cacher mon érection. Akim venait de plus en plus souvent à la maison.

Un soir, maman nous annonça qu’elle avait appris par une des copines que notre père la trompait. Elle avait décidé de se venger. Elle était sur les genoux d’Akim qui les caressait ouvertement ses gros seins devant nous.

(A suivre)

Related posts

Ma vie de prof – Chapitre 5

historiesexe

Jouissance extrême – Chapitre 1

historiesexe

Orgie ou vérité ? – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .