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Je retrouve mon amie d'enfance – Chapitre 9




Dimanche 4 Août 2013

Ce matin, tout le monde se lève assez tard.

Pierre et Christine ont déjà repris la route. Personne ne les a entendus partir, tout le monde étant en train de récupérer dans un sommeil profond.

Ce sont Bernard et Anna qui sont les premiers debout, étant plus entraînés à ces nuits de sexe débridé. Après avoir pris une bonne douche réparatrice, juste ponctuée de caresses légères, ils se préparent un petit-déjeuner qu’ils vont siroter dans les transats sur la terrasse.

Thomas est le premier à les rejoindre, le regard ensommeillé. Il a passé le reste de cette nuit dans le lit de sa mère avec aussi Lola et a fait attention de ne pas les réveiller car elles avaient l’air d’avoir encore besoin d’un peu de repos.

Il s’installe avec sa tasse dans le transat libre à côté d’Anna.

Un moment passe pendant lequel tous trois finissent leur petit en-cas, puis Anna demande à Bernard:

— J’ai un peu mal dans le dos, aux épaules et vers les lombaires. Tu voudrais bien me masser un peu ?

— Volontiers, à charge de revanche…

Elle pose le matelas de transat sur le sol et se met à plat ventre dessus. Bernard vient chevaucher ses cuisses et commence à lui masser les épaules. Puis il descend sur la colonne vertébrale et continue vers le bas du dos. Il aventure une main lus bas encore entre les fesses et demande:

— Et là, tu es contractée aussi ?

— Non, mais tu peux masser quand même, ça peut pas faire de mal…

Il commence donc à s’occuper des fesses et de ce qui se trouve entre, s’attardant largement sur la rondelle brune qui trône au milieu. Anna gémit et ça donne la trique à Thomas qui a tout ça en direct sous le nez.

Bernard arrête ses manuvres pour économiser des cartouches, surtout pour lui qui commence à bander aussi tandis qu’Anna se redresse et remarque:

— Dis donc Thomas, tu as bien récupéré, je vois !

— Euh, oui, j’ai bien dormi…

— Eh bien, tiens, mon petit-déjeuner était un peu léger, je me ferais bien un supplément !

Disant cela, elle s’installe à côté de lui et se met à le caresser un peu partout, se rapprochant progressivement qui centre de gravité. La destination finale se précise et elle commence à le branler. Dès qu’il a atteint le développent et la dureté maximum, elle se penche et le prend en bouche.

Après l’avoir sucé un petit moment, elle le fait se lever du transat et coucher sur le matelas au sol, se mettant tête-bêche sur lui pour continuer.

Pendant qu’ils se donnent mutuellement du plaisir avec la bouche, Bernard vient se placer derrière Anna et envoie aux oubliettes son envie de s’économiser. Il l’embroche en levrette, sortant de temps en temps sa bite pour passer son gland ente la chatte d’Anna et la bouche de Thomas.

C’est alors qu’ils sont lancés en pleine action que Lola et Valérie font leur apparition. Lola leur dit en plaisantant:

— Vous auriez pu nous attendre, ou nous réveiller…

Ce disant, elle se place derrière Valérie et commence à lui caresser les seins:

— Viens, on a pas besoin d’eux pour se faire plaisir…

Tout en se délectant du spectacle qui se déroule devant ses yeux, Valérie laisse Lola lui pincer les tétons puis descendre vers son triangle où son clitoris tout tendu n’attendait que de se faire titiller. Lola s’y attarde un moment avant de pousser ses doigts jusque dans la fente qui est maintenant totalement humide.

Elles abrègent les préliminaires pour se mettre sur le sol en soixante-neuf. Anna ayant obtenu de Thomas son complément riche en protéines et ayant manifesté son contentement par un soupir de jouissance langoureux, Bernard quitte son fourreau pour venir continuer dans celui de Valérie qui occupe la place supérieure de son tandem avec Lola. Il la baise sur toute sa longueur, lentement, voluptueusement, sortant de temps en temps pour présenter son gland à Lola qui s’empresse de lécher le mélange de sucs sur le membre paternel avant qu’il ne le mette bien au chaud dans la chatte de Valérie.

Anna s’éclipse en annonçant qu’elle allait chercher les jouets pour diversifier les plaisirs. Elle revient déjà harnachée de son strapon, les deux vibros à la mains sans oublier un bon tube de lubrifiant. Elle voit que la situation à changé. En effet, Valérie ayant eu un bel orgasme, Bernard a arrêté de la pistonner pour ne pas encore jouir lui-même. Elle est maintenant à genoux devant son fils afin de le remettre en forme de la bouche et de la main, aidée par Bernard qui alterne avec elle sur le gland qui retarde pas à repointer vers le haut sous ce traitement. D’autant plus que Lola est derrière et caresse les fesses de Thomas. Les fesses ? Non, en y regardant bien, elle a introduit un doigt dans son anus et le fait aller et venir doucement. Du coup, elle va donner à sa fille le plus petit gode après l’avoir bien enduit de gel. Lola retire son doigt, passe le gode un peu dus la rosette de Thomas, puis enfonce le vibro sans rencontrer de résistance.

Une fois que Thomas a atteint son développement maximum, Anna propose de faire une combinaison à cinq, nouvelle pour Valérie et son fils. Elle se couche sur le sol et Valérie vient s’empaler sur le strapon. Puis Lola guide Thomas, toujours par le gode qui lui sert de manche vers le cul de Valérie qu’elle prend soin de préparer un peu. Il s’empresse d’investir l’anus de sa mère qui se retrouve donc dans un sandwich amélioré. Bernard vient donc lui présenter sa bite qu’elle enfourne. Cette fois, elle est investie par les trois trous à la fois. Bernard lui dit en rigolant:

— Reste plus qu’à te pincer le nez et tu est complètement étanche !

Lola qui est la seule à n’avoir personne pour s’occuper d’elle s’est enfoncé l’autre vibro, le gros des deux, dans le cul et l’a réglé sur sa fréquence préférée.

Cette figure hautement jouissive fait monter la sève chez tous les participants. Bernard n’ayant pas encore envie de tout lâcher, et parce qu’il a une autre idée, se désengage de la bouche de Valérie et vient contourner l’amas humain. Il fait signe à Lola de retirer le gode du cul de Thomas et se positionne derrière lui. Il pose son gland contre l’anus déjà un bien dilaté par le vibro et comme il ne sent pas de refus, il pousse un peu. Le gland franchit l’anneau qui n’est pas crispé, il attend un peu puis continue de pousser lentement jusqu’à la garde. Pour compléter le tableau, Lola se décale d’un cran et vient loger le petit vibro dans le cul de son père. C’est elle qui donne la cadence en poussant et relâchant.

Le mouvement se transmet de cul en cul, de Lola à Bernard à Thomas pour finir dans celui de Valérie. C’en est trop pour Thomas qui lâche donc sa deuxième bordée de la journée dans le fondement de sa mère. Suivi de peu par Bernard qui ne voit pas de raison de se retenir encore et qui arrose copieusement le boyau de son voisin de devant. Valérie ayant senti l’éjaculation de son fils lui remplir le boyau se sent emportée par un bel orgasme et se laisse tomber sur le côté, se désengageant du strapon d’Anna. Du coup, Lola en profite pour venir se finir sur sa mère, complétant son plaisir avec dans le cul le gode encore tout chaud des entrailles de son père.

Après cette phase hautement mouvementée, tout le monde aspire à un peu de calme, sauf Anna qui n’a rien eu pour elle, finalement.

Reconnaissantes, Valérie et Lola vont remettre ne forme de la bouche et de la main, qui son fils, qui son père. Et leur action porte ses fruits sans trop de délai.

En tableau final, Anna vient donc s’empaler à cheval sur Bernard pendant que Thomas investit son entrée arrière. Les deux autres se contentent de se caresser chacune et mutuellement tout en caressant aussi les partenaires de ce trio. Lorsque Anna annonce enfin avoir son compte, les deux mâles se libèrent de leur fourreau et proposent leurs produits à venir l’un à sa fille, l’autre à sa mère. Les deux ne se font pas prier, mais les dépenses préalables font que la récolte est maigre, juste quelques gouttes.

Tout le monde étant rincé, après une dernier plongeon réparateur dans la piscine et un petit casse-croûte pour compenser les dépenses énergétiques, il est temps pour les trois invités de s’habiller pour reprendre la route de Marseille.

S’habiller ? Non finalement, ils décident, surprenant une nouvelle fois leurs hôtes, de repartir à poil dans la voiture et de s’arrêter le plus tard possible pour enfiler quelque chose afin de ne pas se faire arrêter pour exhibitionnisme. Mais sur ces routes, au moins jusqu’au péage de Manosque…

Et c’est donc à poil avec leurs sacs de voyage contenant l’intégralité de leurs fringues (excepté les sandales qu’ils ont aux pieds) qu’ils quittent la maison, sortent dans la rue, déserte (heureusement ou malheureusement), et prennent leur voiture pour rentrer chez eux.

Par solidarité et pour le fun, Valérie et Thomas restent aussi tous les deux entièrement nus pour les accompagner jusqu’à l’extérieur, avec des promesses de très prochaines visites mutuelles.

Valérie se posait un peu depuis trois jours la question de la tournure maintenant différente des relations avec son fils, mais elle se dit qu’après tout, autant profiter pour le moment, on verra plus tard…

Fin.

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