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Moi! Katia! 19 ans et nymphomane – Chapitre 14




CHAPITRE XIV : COCU OU PAS ?

Je suis réveillé par la sonnerie de la porte. Merde ! On peut pas me foutre la paix 5 minutes. A moitié dans les vapes, je prend le premier vêtement qui me tombe sous la main, un débardeur à Jacques. Bien sûr il est bien trop grand pour moi, surtout au niveau des échancrures qui arrivent quasiment jusqu’à ma taille dévoilant mes gros seins presque en totalité, et je ne vous parle pas du décolleté. En longueur ça va, c’est très court mais ça va.

On sonne à nouveau. En grommelant je vais ouvrir, espérant que ce n’est pas le voisin ou des amis à Jacques.

J’ouvre. A mon grand désarroi, je me retrouve face à face avec Francisco un autre ami à Jacques. Enfin lui on peut pas dire que ce soit vraiment un ami. Il est méprisant avec Jacques, alors qu’il fait tout pour lui rendre service. Je n’aime pas Francisco et il le sait.

Pour être polie je ne le fous pas à la porte, et en lui faisant la bise je le fais entrer. Cette espèce d’enfoiré à toujours la sale manie de me faire la bise juste aux commissures des lèvres, il cherche à chaque fois à me faire un pointu et aujourd’hui, comme je suis encore dans les vapes, je n’ai pas eu le temps d’esquiver et nos bouches se sont collées l’une à l’autre. Ca a été furtif mais il m’a bel et bien fait un pointu.

Je lui dis :

— T’es chiant avec ta manie !

Je le fais entrer. Il s’assoit sur le canapé et je vais préparer le café.

Je reviens avec un plateau et 2 bols de café, je le pose sur la table basse qui est devant lui et m’assoit à côté de lui pour ne pas avoir à trimballer le bol et en renverser sur la moquette.

Il demande :

— Jacques n’est pas là !

— Non ! Il est en déplacement ! il arrive en début d’après midi !

Comme il est vraiment sans gêne il me dit :

— Bon ben ! je vais l’attendre !

Je regarde l’heure à la pendule : 09h30. Putain l’enfoiré, quel con de m’avoir réveillé si tôt. C’est pour ça que je suis crevé.

Il va falloir que je me tape sa présence pendant au moins 4h ou 5h00.

Je réponds :

— Tu fais comme tu veux !

— Tu ne m’aimes pas beaucoup n’est ce pas ?

— C’est pas ça ! J’apprécie pas la façon dont tu te comportes avec Jacques. T’es pas cool avec lui !

— Ecoute ! Jacques il a toujours été comme ça ! Il a peur de moi depuis que nous sommes adolescent !

— Peur ? mais pourquoi il a peur ?

— Il a toujours eu peur que je lui tape dessus, alors il fait tout ce que je demande !

— Mais c’est dégueulasse de faire ça !

— Oui mais il sait que si il avait un problème avec d’autres mecs, je suis là pour le défendre !

— Et il était vraiment si peureux que ça !

— Tu peux pas savoir à quel point ! Tellement qu’on l’appelait la pleureuse !

— A ce point !

— Oui ! et le pire c’était avec les filles ! Il suffisait que j’arrive, que je l’humilie un peu, et elles tombaient dans mes bras ! Mais je ne faisais ça que lorsque c’était des canons bien sûr !

Je ne sais pas pourquoi, c’est idiot et dangereux, mais je lui dis :

— Ca signifie que je suis pas assez belle pour toi, alors !

Leger silence :

— Pourquoi tu dis ça ?

Et moi de m’enfoncer dans la bêtise :

— Ben tu n’as rien essayé avec moi !

Nouveau silence, puis :

— Je faisais ça quand nous étions ados, je suis devenue adulte ! Mais si ça peut te rassurer, à l’époque j’aurais tout fait pour te prendre !

Sur cette phrase très ambigüe je souris en buvant une gorgée de café.

Il se rattrape :

— Heu, je veux dire te prendre à Jacques !

Je souris à nouveau et dis :

— J’avais compris tu sais !

Voyant que je le prends bien il se permet de rajouter :

— Quoique les deux choses auraient pu arriver !

Je fais celle qui n’a rien entendu. La discussion se déroule sans que nous échangions un regard, en tout cas moi je ne le regarde pas et bois mon café tranquillement. La conversation est coupée de long silence. Je continue :

— Mais je serais curieuse de savoir pourquoi ses copines te tombaient dans les bras !

— Tout simplement parce que les filles aiment la force, la puissance et aiment beaucoup les mecs qui font peur aux autres !

— Ca c’est toi qui le dis !

— En tout cas, il a toujours des meufs comme ça ! Ses meufs ça leur plaisait de me voir l’humilier, alors elles commençaient par le faire cocu avec moi ! Puis elles le quittaient pour moi !

— C’est dégueulasse qu’elles l’aient quitté !

Il rit :

— Et qu’elles le fassent cocu, tu ne trouves pas ça dégueulasse ?

— Ca encore ça peut passer ! Mais le quitter c’est dégueulasse !

Il explose de rire. Je préfère d’ailleurs. et pour cause !

Je fais très attention à mon débardeur trop et aux immenses échancrures. Il suffirait d’un faux mouvement pour qu’un de mes seins se dévoile, et ça j’en ai pas envie, pas devant Francisco ! Il ne faut pas tenter le diable !

Moi j’enchaine pour couper la conversation sur le cocufiage :

— Enfin ! Moi je ne comprends pas qu’elles aient pu se comporter comme ça ! Surtout avec Jacques, franchement il ne mérite pas ça, il est tellement gentil !

— Oui ! C’est bien ça. il est gentil !

Il a bien insisté sur le mot « gentil », de l’air de dire « trop bon, trop con ! ».

Il reprend :

— Toi par exemple ! Peut-être que tu aurais fait comme ces filles ! Peut-être que tu te serais jeter dans mes bras !

Pour éviter de réponde, je lui dis :

— Tu veux un autre café ?

— Oui je veux bien !

Je me lève, et me penche pour prendre les tasses et les mettre sur le plateau. Sur le coup, je n’ai pas penser au débardeur bien trop large à l’encolure. Lorsque je percute, je mets à rougir et en regardant Francisco discrètement, je vois ses yeux bien plongés dans mon décolleté avec un petit sourire satisfait. Je me redresse vite, et comble de malheur, une bretelle du débardeur glisse de mon épaule à mon avant bras, faisant jaillir mon sein droit. Tenant le plateau dans les mains, je ne peux recouvrir mon sein, alors je pars prestement dans la cuisine, manquant faire tomber les tasses du plateau, avec mon sein à l’air.

Arrivé dans la cuisine, je rajuste le débardeur et peste contre moi-même. Pourquoi ai-je mis ce débardeur dans la précipitation ? J’aurais très bien pu faire patienter Francisco un petit et me mettre une tenue plus sobre.

Je récupère mes esprits, remplis les tasses et reviens dans le salon. Francisco fait comme si rien ne s’était passé mais je décèle un petit sourire narquois sur son visage.

Je pose le plateau sur la table basse et me rassoit à côté de lui.

Il reprend la conversation :

— Qu’est ce que tu en penses ?

— De quoi ?

— Du fait que toi aussi, comme ses meufs de l’époque, tu te serais peut-être jeter dans mes bras ?

— Heu ! Je crois pas non !

Inutile de vous dire que je suis hyper gênée par cette question et surtout par ma réponse. Pourquoi n’ai-je pas dis « Non » tout simplement plutôt que de dire « je ne crois pas ».

Evidemment ça le fait tiquer :

— Tu ne crois pas ! Tu n’es donc pas sûre ! Ca aurait très bien pu arriver, tu le sais bien !

Et moi, comme une idiote :

— Je ne sais pas !

— En tout cas, tu ne l’exclus pas !

Je m’enfonce :

— Non ! Ca me parait difficile de l’exclure quand on n’est pas dans la situation !

Il continue :

— En plus bon ! il paraît qu’au pieu c’était pas un génie, loin de là ! Toutes les filles riaient en m’en parlant ! Et je peux te dire que je me suis bien amusé à l’humilier à ce propos, et plus je l’humiliais devant les filles et plus elles devenaient folles de moi !

Mes pensées d’hier soir avant de m’endormir, me reviennent : « Je m’aperçois que de l’humilier ça m’excite, que de le foutre cocu ça m’excite, de me conduire la plus grosse des putes derrière son dos ou même devant lui ça m’excite ! C’est terrible ! ».

Alors je repense a ce que m’a dis Francisco, que j’aurais très bien pu me jeter dans ses bras en le voyant humilier Jacques.

On dirait qu’il lit dans mes pensées.

— Toi par exemple ! Tu ne ressens pas un petit plaisir lorsque je l’humilie parfois ?

J’ai du mal avaler, j’essaie de contourner la question :

— Je n’aime pas que tu sois comme ça avec lui ! Je trouve ça pas sympa !

Lui :

— Tu es triste pour lui dans ces cas là ?

— Oui !

— Mais hormis la tristesse, est ce que tu ne ressens pas une légère excitation !

— Je ne sais pas !

— Comment ça tu ne sais pas ?

— C’est difficile à expliquer ! Je suis triste pour lui, mais en même je suis comme impressionnée par toi !

— Tu trouves que je dégage de la prestance quand je fais ça !

— Des fois oui !

Je dois vous dire qu’à ce niveau de la conversation, je ressens une légère excitation et je sens que mon minou est tout mouillé. De parler de Jacques de cette façon, ça me rend toute chose.

Lui :

— Tu me trouves beau dans ces cas là ?

— Oui ! T’es un beau mec de toute façon ! Mais c’est vrai que dans ces cas là, tu es.

Je m’arrête car je sais que je vais encore dire des conneries.

Mais il veut savoir :

— Je suis quoi ?

Je rougis et avoue :

— Craquant !

Il change de sujet :

— Dis moi ! Tu es sûre que tu es bien fidèle toi ?

Surprise je réponds :

— Pourquoi tu demandes ça !

— Tout à l’heure, tu as presque trouvé ça normal quand je t’ai dis que les autres filles le foutais cocu ! Tu as dis que c’était dégueulasse qu’elles le quittent, mais cocu ça ne t’as pas choqué ! C’est pour ça que je te demande si tu ne l’aurais pas déjà trompée !

— Je ne sais pas si on peut appeler ça « tromper » !

— Que veux tu dire par là ?

Putain ! Mais pourquoi j’ai pas dis « non » tout simplement ! je le sais pourquoi, c’est par la conversation m’excite terriblement. Alors je continue :

— Ben j’ai fait l’amour avec des hommes, mais c’est Jacques qui l’a voulu. C’est un fantasme à lui !

— Oui mais bon ! Il t’a pas forcé non plus à le faire ?

— Non !

C’est étrange car il ne paraît pas du tout choqué par ce que je viens de lui dire, comme s’il trouvait ça normal.

— C’est arrivé combien de fois ?

— 3 fois !

— Il y a longtemps ?

— Non il y a quelques jours seulement !

— Et tu as aimé ?

— Oui ! Beaucoup !

— Tu as jouis ?

— Oui !

— Et avec Jacques ? Tu as déjà jouis ?

Il faut être vraiment conne pour répondre ce que je vais répondre, mais ça m’excite trop. Ca m’excite trop d’humilier Jacques devant Francisco, devant Francisco qui est le spécialiste de l’humiliation de Jacques.

— Non jamais !

— C’était meilleur avec les mecs alors ?

— Oh oui !

Le pire c’est que j’ai bien insisté sur le « Oh », c’est vous dire si elle me plaît cette conversation.

Francisco :

— Si je comprends bien, il a toujours une petite bite tordue, et il baise comme un minable !

— Oui ! C’est ça !

Quelle salope je suis !

— Et comment il a réagit quand il a vu que tu prenais ton pied avec les mecs ?

— Ben il a fait la gueule ! D’autant plus que j’ai fait des choses que je n’ai jamais fait avec lui !

— Ah bon ! Quelle chose !

— Des fellations et j’ai pris des positions assez chaudes !

— Tu l’as jamais sucé à lui ?

— Non !

— Et tu dis que je suis pas sympa avec lui quand je l’humilie un peu ! Tu crois pas que tu fais pire toi ?

— Ben c’est lui qui voulait !

— Oui mais il t’a pas dit de faire des trucs aux autres que tu ne lui as pas fait à lui !

— Oh c’est bon ! J’étais vachement excitée c’est tout !

— Et là ? tu te sens comment !

— Pourquoi tu me demandes ça !

— Parce que depuis quelques minutes tu te libères et j’ai la sensation que quelque chose se passe dans ta tête et dans ton corps !

— Et tu en conclus ???

— J’en conclu que si je te repose la question maintenant, si tu serais tombé dans mes bras comme les autres filles ! Tu n’aurais pas hésité une seconde !

— Bon j’avoue ! J’aurais craqué aussi !

— Et quand j’humilie Jacques devant toi ! Je suis sur que tu as envie de moi ! Et pas quelques fois comme tu dis, mais tout le temps !

Je baisse la tête, honteuse et dit :

— Oui !

— En fait tu n’as pas pitié, et si tu n’es pas sympa avec moi, c’est uniquement parce que tu as énormément envie que je te baise quand je l’humilie !

Je ne réponds pas. Je ne peux pas répondre à cette question ou plutôt j’ai peur d’y répondre.

— Je sais que si je te demandais de me faire une pipe dans ces cas là ! Tu te jetterais sur ma queue !

Je baisse la tête :

— Arrête Francisco !

— Après tout ce tu viens de me raconter, tu peux répondre à cette question ! Alors oui ou non ?

— Oui ! C’est vrai !

— Tu sais qu’une fois, j’ai baisé avec une de ses meufs devant lui, dehors dans une fête foraine.

— Francisco arrête !

— La meuf elle a pris un pied pas possible ! Elle était a son bras, je l’ai appelé. Elle est venue vers moi. Je lui ai dis à l’oreille de me faire une pipe, et elle n’a même pas hésité une seconde !

— Arrête Francisco !

— Pourquoi ? Ca te dégoûte ?

— Non !

— Alors ça t’excite ?

Je ne réponds pas.

— Tu crois que tu aurais pu faire comme elle !

— Je ne sais pas !

— Coquine comme tu es, je suis sûr que tu l’aurais fait ! Pas vrai ?

— Oui !

— Depuis quand tu as envie de moi ?

Je suis on ne peut plus troublée et je ne peux pas me retenir de dire :

— La première fois que je t’ai vu !

— Et je suppose que tu as envie de moi-même quand je n’humilie pas Jacques !

Je mouille comme une chienne.

— Oui !

— Et maintenant ?

— Quoi maintenant !

Et là, cet enfoiré de Francisco passe une main par l’échancrure du débardeur, et caresse la base du globe de mon gauche.

Je ne fais aucun geste pour le repousser sa main. Puis il retire sa main.

Puis doucement, il fait glisser la bretelle de mon débardeur. Mon sein gauche jaillit. Il est dur, les pointes sont allongés au possible, je rougis, je respire fort. Ca me rend dingue d’être comme ça, mon sein nu, à la merci de Francisco.

Il répète :

— Et maintenant !

— Oui !

Je n’ai pas pu me retenir de l’avouer. J’en ai trop envie pour ça.

— Oui quoi !

Et là, je me retourne vers lui, me love contre lui, et gémis d’une voix langoureuse:

— Oui j’ai envie de toi ! J’ai envie que tu me fasses l’amour !

Il joue avec moi, ne me touche pas, c’est qui me frotte contre lui. La seconde bretelle de mon débardeur a glissé. Je suis sein nus contre lui. J’ai envie d’être nue pour lui, alors tout en me frottant contre son corps je me débarrasse petit à petit du débardeur jusqu’à ce que je me retrouve nue, complètement nue contre lui et pour lui. Je m’offre à Francisco, Francisco qui aime tant humilier Jacques, Francisco qui m’a toujours rendu dingue d’envie chaque fois qu’il l’humiliait. Je n’osais pas me l’avouer, mais c’est la pure vérité.

Il continue de jouer :

— Tu as envie de me faire quoi là ?

— J’ai envie de te sucer !

— Tu aimerais gouter ma queue ?

— Hummm oui !

— Mais il n’y a pas Jacques ?

— Je m’en fous ! Je te veux ! Baise moi Francisco !

— Tu vas quand même pas le foutre cocu ?

— Siiiii !

— Tu as autant envie que ça que je te baise ?

— Ouiiiii ! Viens Francisco baiiiiiisee moi !

Je n’en peux plus, je me frotte contre lui, je l’embrasse dans le cou, avec ma main droite je masse son paquet a travers son pantalon.

— Oui mais tu sais, je suis adulte maintenant et ça m’embête vraiment de le faire cocu !

— Je m’en fous ! Je t’en priie viens !

— A une condition !

— Tout ce que tu voudras chériiiiii !

— Alors je te le dirais en tant voulu ! Puisque tu feras tout ce que je voudrais ; tu peux y aller, tu peux sucer ma queue !

Alors je me jette à ses pieds, et accroupie, je dégrafe prestement les boutons de sa braguette. Le coquin ne porte pas de slip, et la plus belle queue du monde se dresse devant moi. Elle n’est pas énorme, au dessus de la normale mais pas énorme, mais alors, elle est d’une beauté phénoménale. Un beau gland bien large, une hampe droite et raide comme un piquet, de merveilleuses veines prêtent à exploser. Son manche de chair bat la mesure si fort qu’il cogne mon visage.

Je ne peux pas me retenir, je prends le gland dans ma bouche et je le suce doucement. Puis je gobe le long manche entièrement dans ma bouche à m’ étouffer, puis lentement, je fais aller et venir ma bouche sur son merveilleux sexe, de la base jusqu’au gland. Je le suce comme une reine en gémissant. D’une main je branle sa queue tout en la suçant, et je porte l’autre à ma chatte ouverte. Je masse mon clitoris, l’écrase, le remue dans tous les sens. Je gémis comme une dingue.

Francisco en voyant mon comportement me dit :

— Putain t’es vraiment une salope toi !

— Mouuuuuiiiiiiiiii !

— J’ai jamais vu une salope comme toi ! Jacques n’a jamais été aussi cocu !

— Mouiiiiiiiiiii !

— Arrête de me pomper tu vas me faire gicler !

J’arrête, et monte sur ses genoux. Je mets un genou de chaque côté de ses hanches, je prends son sexe dans ma main, le guide entre mes cuisses, le colle à ma vulve, et doucement, lentement, je m’empale dessus. Le long membre glisse jusqu’au fond de mon ventre, et je ne peux m’empêcher de hurler :

— Hummmmmmmmmmm oohhhhhhhhh ! Franciscooooooooooooo ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiisssss ! Je jouiiiiiss ! C’est bon !

Puis je me mets à aller et venir sur le manche en poussant des petits cris de plaisir. Le sexe de Francisco sort presque entièrement de ma chatte, et est englouti presqu’aussitôt. Les allées et venues sont longues, délicieuses, merveilleuse, jouissives, elles me font hurler de plaisir.

— Hhyuumm Francisco ! Je t’aime ! Je t’aime :! Je t’aaaaaiiimmmmmmmme !

— Plus que Jacques !

— Hummmmmmm ouiiiiii ! C’est toi que j’aiiiimmmee mon Amour !

— Tu serais prête à quitter Jacques pour moi !

— Ouiiiiii hhuummm ouiiii ! Je le quitterais pour toi si tu le veux ! Ohhhhhhh c’est booonnnn !

Puis je jouis comme une dingue une deuxième fois. Il me dit :

— Je vais te prendre en levrette maintenant !

Comme une dingue, j’extirpe son sexe de ma chatte et me précipite sur le sol en gémissant. Je me cambre au maximum pour l’accueillir au plus profond de moi.

Me voyant dans cette position, excitée comme une chienne, il se présente devant moi. Il me prend par les cheveux, présente son sexe à ma bouche. Je l’ouvre et il fait entrer son manche jusqu’au boute, tellement que ses couilles se collent à mon menton. Je serre mes lèvres autour du manche de chair. Il se met alors à donner des coups de reins, il baise ma bouche comme si c’était une chatte. Je fais tourner ma langue adroitement autour du sexe pendant qu’il prend ma bouche.

— Putain salope ! Tu es vraiment douée ! Tu vas me faire gicler !

Puis il sort de ma bouche, il fait le tour de mon corps nu, je sens son gland sur ma vulve. Je n’ai pas senti sa main, le sexe à trouvé tout seul le chemin. Je ne sens pas non plus ses mains sur mes hanches, sur ma taille, ni nulle part. Pourtant, son sexe s’enfonce en moi et il se met à aller et venir en moi. Je l’imagine, les genoux a demi pliés, les mains en appui sur ses cuisses en train de donner des coups de reins puissants dans ma chatte. C’est encore plus jouissif, ça me donne un sentiment de soumission. Cet homme est fort pour baiser ainsi car la position est épuisante, mais c’est une bête, un homme un vrai, comme je les aime, sur de lui, méprisant au possible, humiliant, fier.

Ca ne peut pas durer longtemps comme ça, je pousse des cris :

— Ohhh Francisco ! Ohhh viiieeennnns je t’en prie ! Je t’en priiiiiiee viennnnss ! Jouiiisss avec moi ! Huummm fais moi un bébé ! Humilie l’autre merde de Jacques ! Jouis en moi.. je veux ta sève !

Alors il donne 4 coups de reins encore plus puissants et il explose dans mon ventre, je jouis, je hurle, je deviens folle, j’ai des spasmes terribles, je monte au 7ème ciel et je m’évanouis après avoir dit :

— Francisco je t’aime !

Je reviens à moi au bout de quelques secondes. Francisco est assis sur le canapé. Il me sourit et me fait signe de le rejoindre. Je m’assois à côté de lui, je passe les bras autour de son cou et ma tête sur son épaule. Nous ne disons rien, je suis bien, je suis amoureuse.

Francisco regarde sa montre et me dit :

— Il est 13h30 ! Il rentre à quelle heure Jacques !

— On s’en fout !

— Tu crois qu’il va t’emmener un mec ?

— Je sais pas !

— Tu aimerais ?

— Je sais pas !

— Pourquoi !

— J’ai pas envie de te tromper !

— Mais tu ne me trompes pas puisqu’on est pas ensemble ! On a juste baisé et on continuera à le faire mais ça s’arrête là !

Ca me fait un peu mal au cour, mais je me dis qu’il a sans doute raison.

— Alors oui ! J’aimerais beaucoup !

— T’es vraiment une pute !

— Oui ! Je sais !

— Tu ne regrettes pas de l’avoir fait cocu !

— Non ! J’en avais tellement envie !

— Tu recommenceras avec d’autres, dans son dos ?

— Oui ! J’ai plus envie de me retenir ! J’ai envie de mecs qui me font jouir et pas d’une petite bite qui largue la purée avant même être dans mon minou

— Ah ah ah ! Question humiliation et mépris! T’es pire que moi !

— Il le mérite non ?

Je ne sais pas pourquoi mais je me sens bien, sûre de moi, Francisco me fait un bien, c’est génial.

Je dis :

— Bon je vais prendre une douche !

Je me lève nue, et marche en ondulant des hanches vers la salle de bain. Je sais que Francisco me regarde car il dit :

— Putain ! T’es vraiment une bombe !

Je me retourne, lui souris coquinement et entre dans la salle de bain.

Je suis fière de moi, je jubile.

Je me mets sous la douche et allume l’eau sans fermer le rideau. Je passe mes mains sur mon corps, terriblement excitée par ce qui vient de se passer. Je me suis donné à celui qui humilie Jacques, a celui dont il a une peur bleu. En fin de compte je suis sûre qu’il n’aime pas Francisco mais qu’il fait comme si c’était le cas, par peur. Je ne pouvais pas le faire cocu avec plus d’humiliation. Ca m’excite.

Alors que je suis en train de masser mes seins plein de mousse, j’ouvre les yeux et voit quelque chose de merveilleux. Francisco est dans l’encadrement de la porte de la salle de bain, entièrement nu, et la queue dressée au possible. Son magnifique sexe bat la mesure comme si il appelait au secours.

Je me mets à genoux dans la douche et lui dit :

— Viens merveilleux petit monstre, je vais te calmer !

Voilà que je parle à une bite maintenant. Francisco sourit et s’approche fièrement. Putain quel corps, quelle beauté ce mec, oh ces muscles saillants cette peau halée, quel canon. Je me dis que nous irions bien ensemble, 2 modèles de beauté ensemble.

Francisco est là, juste devant moi, enfin c’est plutôt son sexe qui est devant moi. Je lève la tête pour regarder Francisco et lui fait un tendre sourire.

Puis je prends son merveilleux sexe dans ma main, j’approche ma tête, j’ouvre ma bouche. Ma langue s’échappe et vient se coller au gros gland magnifique. Je sens que Francisco à un léger frisson. Je souris intérieurement me disant que ma bouche est irrésistible, que je suis une experte de la fellation maintenant.

Puis j’entends la porte d’entrée de l’appart s’ouvrir et Jacques appeler :

— Chérie ou est tu ? c’est moi !

Une décharge électrique parcours mon échine, ma chatte se consume. Ca m’excite de savoir que je suis en train de faire des câlins au sexe à Francisco alors que Jacques me cherche dans la maison.

Je ne sais pas si c’est parce qu’il ne veut plus l’humilier comme pendant leur jeunesse, ou parce qu’il a pitié, mais Francisco retire brusquement son sexe de ma bouche.

Et c’est moi, qui attrape son sexe avec ma main et lui dit :

— Non Francisco ! Laisse-moi te sucer ! J aime ta queue par-dessus tout !

Francisco me sourit, rapproche son sexe. C’est à ce moment là que Jacques entre dans la salle de bain.

J’enlève alors ma main du sexe à Francisco, j’approche ma tête, j’ouvre ma bouche. Ma langue s’échappe et vient se coller au gros gland magnifique. Je sens que Francisco à un léger frisson.

Je ne sais pas ce que Jacques pense, il est dans l’encadrement de la porte, ça c’est sûr, mais je ne peux pas voir son visage pour que je suis de profil à lui, mais il est certain que ça doit être terrible pour lui de me voir sucer son copain. Copain qu’il ne doit pas trop aimé d’ailleurs, comme dit Francisco, il en a peur, c’est pour ça qu’il reste son ami. Il doit se remémorer sa jeunesse, quand Francisco lui piquait ses meufs, l’humiliait devant elle. Ca me rend dingue d’excitation.

Je donne maintenant des petits coups de langues sur le gland, puis le suçote tendrement puis redonne des petits coups de langue.

J’entends la porte de la salle de bain se fermer. Jacques vient de sortir de la pièce.

Alors je me concentre sur mon sucre d’orge, car il est hors de question que je laisse Francisco dans cet état.

Je fais glisser ma bouche le long du manche en donnant des petits coups de langues. Je dépose ensuite de tendres bisous sur ses couilles, puis j’en gobe une, puis la relâche pour les lécher, puis je gobe l’autre, la làche également, puis enfin je les gobe les deux ensembles. Ses bourses remplissent ma bouche, alors je joue avec, habilement, avec ma langue je les fais frotter l’un contre l’autre.

Francisco, il n’en peut plus, son sexe est bandé à mort, il tremble sans arrêt. Je lève les yeux pour regarder son visage. Je souris intérieurement, car aussi macho et aussi fier qu’il soit, il ferme les yeux de plaisir, il est complètement troublé par mes petits jeux de langue et de bouche.

Puis voyant qu’il n’en peut plus, je colle ma langue a la base de son manche, puis remonte doucement en appuyant bien fort, et c’est lorsque j’arrive à la base du gland, au niveau de triangle hyper sensible, que je donne 3 petits coups de langues.

C’en est trop pour lui, il va gicler, alors je prends son manche dans une main, le tire vers le bas, ouvre ma bouche, et sans même gober son manche, je reçois ses jets de spermes jusqu’au plus profond de ma gorge. Francisco pousse un long grognement de plaisir. Je me redresse, la bouche pleine de son sperme, je suis face à lui, je le regarde bien dans les yeux, et j’avale, je bois sa sève jusqu’à la dernière goutte. Puis j’ouvre la bouche en grand de l’air de dire « tu vois chéri, j’ai tout avalé je me suis régalé de ton sperme ».

Je l’ai fais jouir sans même prendre son sexe dans ma bouche, sans même le toucher de mes mains, il a jouit seulement avec des bisous et des coups de langues experts.

Et pourtant, il est pas éjaculateur précoce Francisco, c’est un sacré baiseur, mais j’ai été très forte, je suis fière de moi.

Il me sourit et dis :

— Tu es vraiment la reine des pipeuses Katia ! Je n’ai jamais vu ça !

Je réponds d’un coquin :

— Merci mon chéri !

Nous ne parlons même pas de Jacques. Nous n’essayons de se mettre d’accord pour expliquer ce que nous venons de faire. Et puis d’abord, expliquer quoi ? Il m’a vu en train de lécher la queue à son pote. Il sait maintenant qu’il est cocu pour de bon. Nous n’avons donc pas à nous justifier, ce serait peine perdue.

Nous sortons de la salle de bain, nus tous les deux. Dans le salon, je vois Jacques prostré sur le canapé. Il lève la tête pour me regarder, il a l’air triste, il a les larmes aux yeux.

Voyant que la fête est un peu gâchée, Francisco préfère s’éclipser. Il se rhabille, je le raccompagne à la porte, et après nous êtes langoureusement embrassés il me dit :

— Si il y a un problème, si il est menaçant, appelle moi sur le portable ! Mais franchement je pense qu’il ne te fera pas de mal !

— Je ne pense pas non plus ! Mais c’est gentil à toi !

Je lui fais un petit pointu, et il s’en va.

Je reviens dans le salon, toujours nue.

Jacques lève la tête, me regarde, sans haine, ni sans amour et me dis :

— Alors je suis cocu !

Je soupire et répond :

— Oui ! Je suis désolée !

— T’as pas pu te retenir !

— Non ! J’avais trop envie de lui ! Il m’a raconté vos histoires de jeunesse, et ça m’a terriblement excité ! J’ai vraiment pas pu me retenir !

— Nos histoires de jeunesse ? Il arrêtait pas de m’humilier devant les filles.

— Oui ! C’est ce qu’il m’a dit !

— Et c’est ça qui t’a excité ?

Je prends un instant pour déglutir car ma réponse va lui faire de mal :

— Oui !

— Tu ne m’aimes plus alors !

— Mais si je t’aime ! Ca n’a rien a voir !

— Et à lui ? Puisque tu n’as pas pu lui résister, tu l’aimes ?

J’hésite vraiment à répondre mais je me lance :

— Oui ! Je l’aime !

Il est effondré et en pleurant il demande :

— Plus que moi !

— C’est pas pareil !

— Qu’est ce qui n’est pas pareil !

— Toi tu es gentil et prévenant ! Lui il est beau, sûr de lui, autoritaire, fort, macho et il fait merveilleusement bien l’amour !

— Oui je vois ! Tu l’aimes donc plus que moi !

— Oui ! J’en suis vraiment amoureuse !

— T’es dégueulasse !

— Ne le prends pas comme ça !

— Ne le prends pas comme ça ? Tu me trompes avec le mec que je hais le plus au monde et je devrais le prendre bien. Et en plus tu aimes qu’il m’humilie et qu’il me rabaisse ! Ah vous avez bien du rigoler en vous foutant de ma gueule !

— Pas du tout, nous n’avons pas rit ! Mais oui ! J’ai beaucoup aimé qu’il t’humilie, j’ai adoré ça !

— Il t’a tout raconté alors !

— Oui et pour tout te dire, le moment ou j’ai su que je ne pouvais pas lui résister, c’est quand il m’a dit que tu étais avec une fille à ton bras dans un fête foraine, il a appelé la fille et elle lui a fait une pipe devant toi !

— Tu parles, c’était une vraie pute cette fille, une salope de première !

— Alors je suis une pute et une salope de première !

— Pourquoi tu dis ça ?

— Parce qu’à la place de la fille, j’aurais fait pareil !

— C’est pas possible !

— Je te rappelle que quand tu es entré dans la salle de bain j’étais en train de lui faire une pipe ! Et je savais que tu pouvais arriver à tout moment ! Et quand tu as ouvert la porte de l’appart, Francisco a voulu arrêter, sans doute pour ne pas te faire de mal, mais c’est moi qui l’ai retenu !

— Tu en avais envie à ce point !

— Oui je voulais lui dévorer la queue, j’en suis folle de sa queue, et si tu veux tout savoir je l’ai sucé comme une reine sans regret, sans même penser que tu pouvais souffrir ! Je m’en foutais complètement !

Jacques pleure :

— Tu vas me quitter ?

— Non pourquoi veux tu que je te quitte ?

— Parce que c’est lui que tu aimes !

— Mais je t’aime toi aussi ! Comme je te disais, c’est pas le même Amour ! Lui je l’aime pour tout ce qu’il représente, et toi je t’aime pour ta gentillesse, mais je t’aime quand même.

— Tu me tues là !

— Chéri ! Il faut que tu m’acceptes comme je suis ! C’est à cause de toi si je suis devenue comme ça ! C’est toi qui m’à emmené un homme chaque soir pour assouvir tes fantasmes. Malheureusement pour toi, j’ai beaucoup aimé leur façon de me faire l’amour, tu l’as bien vu, ils m’ont tous faite jouir.

— Je regrette mais le 3ème t’as pas eu besoin que je te l’emmène, c’est toi qui lui a demandé de venir !

— Oui mais tu avais prévu de le faire venir ! Comprends moi, je n’ai jamais connu d’autres hommes que toi, tu es le premier et le seul avec qui j’ai fais l’amour. Le tord que tu as eu, c’est de me présenter Fabien, parce que là j’ai compris enfin ce que signifiait faire l’Amour !

— Tu n’as jamais pris de plaisir avec moi ?

— Franchement non !

— Je sais ce qu’il me reste à faire si je ne veux plus être cocu !

— Tu ne vas quand même pas me quitter !

— J’ai pas dit ça !

— Alors je comprends pas ce que tu veux dire !

— Pour ne plus être cocu, je vais recommencer à t’emmener des hommes ! Et de plus en plus !

Une qui n’est pas mécontente, mais alors pas du tout, c’est moi :

— Oui ! Ca serait bien de ta part ! Mais y a un truc que j’aimerais bien désormais !

— Quoi donc !

— C’est que tu en emmènes plusieurs en même temps ! J’ai envie d’être prise partout !

— Tu veux te faire enculer ?

— Oui ! j’en ai très envie !

Il baisse la tête et dit :

— Tu es tombée bien bas !

— Peut-être ! Mais j’aime ça ! J’aime le cul, les bites ! Et tu sais, même si je veux essayer de ne pas te tromper en acceptant que tu m’emmènes des hommes, telle que je suis partie, je ne sais pas si je pourrais tenir longtemps. Je crains qu’à force tu sois le plus cocu du monde ! J’ai envie de baiser avec tous les hommes que je croise !

— Tu es bien sûre que tu ne m’as trompé qu’avec Francisco ? je commence à avoir des doutes.

Je parle trop moi, je suis en train de me trahir. Si il savait le pauvre qu’il est déjà le plus grand cocu du monde, et également cocu par des chiens, l’humiliation suprême, s’il savait que je suis tombé sous le joug d’un mac et que ce soir je vais aller faire le tapin pour lui, il deviendrait fou, complètement fou. Mais je dois quand même jouer à la jeune fille fidèle, qui a eu un écart, en lui avouant tout de même qu’il risque d’être cocu de nombreuses fois.

Je coupe court :

— J’accepte ta proposition ! Mais il y a d’autre chose que je voudrais !

— Quoi de plus ?

— Désormais, je vivrais nue dans l’appartement, entièrement nue. C’est moi qui ouvrirait la porte à tous les gens qui frapperont à la porte et je l’ouvrirais nue !

Jacques ne répond pas :

— Tu n’auras aucun commentaire, ni auras droit à aucune contestation sur mes actes tant que nous serons dans l’appartement !

Aucune réponse, et j’enchaine :

— Tu n’auras plus désormais le droit de me toucher de quelque manière que ce soit ! Je ne veux plus de toi ! Si tu as envie de te branler en me regardant déambuler dans l’appart, y a pas de problème ! Si tu as envie de te branler pendant que je me fais baiser, y a pas de problème. Mais tu ne poseras plus jamais mes mains sur moi !

Je continue :

— Et désormais, si y a un mec dont j’ai envie, sans que ce soit toi qui me l’ai emmené, je me réserve le droit de me faire baiser, mais toujours devant toi. Ne t’étonne donc pas si tu me vois débarquer à l’appart avec des hommes.

Je termine :

— Je me réserve une dernière faveur : Sucer n’est pas tromper !

Il demande juste :

— J’aurais droit de te faire un bisou le matin et le soir ?

— Oui !

Fin de la conversation, je vais dans la chambre passer une mini jupe et un tee-shirt trop court et trop moulant. Je prends mon sac à main et sort.

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Ce n’est que le 14éme chapitre de ma longue histoire et je vais me faire un plaisir de vous raconter la suite.

Vos impressions et commentaires seront les bienvenus à : [email protected]

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