Au milieu des années 2000, je me trouvais étudiant en fin de cycle universitaire dans le domaine de la chimie. Les produits chimiques utilisés par madame Michu pour nettoyer la cuisine, la lessive les toilettes de son ronchon de mari… c’est mon rayon. Je sais, ce n’est pas folichon mais il y a pire ! Par exemple les gens qui se cassent la tête à trouver des pubs ineptes pour nous vendre des lessives !

À cette époque, mon maître de thèse et responsable de l’UFR chimie de ma faculté a reçu un coup de téléphone d’un professeur physique-chimie de lycée qui cherchait un intervenant pour présenter la filière universitaire et les débouchés en chimie. Ce professeur étant celui que j’avais eu en première, terminale et en option, c’est tout naturellement que je me retrouvais volontaire pour répondre à sa demande. En plus, j’y gagnais un vendredi tranquille pour rendre passer le week-end chez mes parents qui habitent toujours dans cette petite ville de province.

Arrivé sur place à 8h, je me dirige vers les laboratoires de physique-chimie et j’y retrouve mon professeur. Nous discutons de mon parcours et de l’évolution de son public d’élèves, nous précisons les derniers points de mon intervention puis arrive l’heure de recevoir les élèves.

Rien de bien folichon là encore, un parterre d’adolescents moyennement motivés par leur avenir professionnel, plus intéressés par leur téléphone posé sur les genoux pour échanger quelques messages futiles. Aujourd’hui, ils parleraient de la qualification des sales gosses qui composent l’équipe de France de football ou du flot ininterrompue d’idioties qui sort de la bouche de Nabilla. À cette époque, il devait y avoir des sujets aussi importants que ceux-là à traiter.

À la fin, tout de même, 3 élèves sont venus me voir, visiblement plus intéressés que leurs camarades, je renseigne l’un et donne mon adresse mail à 2 autres pour qu’ils m’écrivent et pouvoir leur transmettre les documents répondant à leurs questions. Fin de l’heure, je salue et me retire.

Celles et ceux d’entre vous qui pensent, arrivé ici, que je vais revoir mon ex-enseignant de physique-chimie et entamer avec lui une relation aussi adultère qu’homosexuelle, vous en êtes pour vos frais.

J’ai bien revu mon ex-enseignant, j’ai même mangé avec lui à la cantine le midi, mais nous nous sommes quittés ensuite sur un merci réciproque et un salut.

En fait mon histoire s’arrêterait presque là s’il n’était ces 2 élèves à qui j’ai donné mon adresse mail. Parmi ces 2 futures étudiantes, l’une changea totalement d’orientation et l’autre intégra finalement la formation universitaire de chimie, dans la même faculté que moi.

J’ai donc passé la fin de l’année scolaire à répondre à quelques rares questions de sa part. Ce n’est qu’à l’approche des partiels de milieu d’année qu’elle revint plus souvent vers moi.

Ma philosophie personnelle est que peu importe le physique d’une demoiselle s’il m’est impossible de concrétiser. C’est donc sans arrière pensée que je me prêtai en urgence à ce jeu de questions-réponses. La petite n’avait pas de lacune énorme, elle paraissait plus une étudiante appliquée et un peu stressée. Ce fut donc très facile de lui faire prendre les bonnes habitudes de révision et elle passa ses examens haut la main sans que j’y sois pour grand chose. J’y gagnais cependant un contact plus fréquent avec ce joli brin de fille et une amitié naissante. En tous cas, nous avons fini l’année scolaire en nous voyant beaucoup plus lors des activités péri-universitaires et nous avons gardé un contact étroit par msn durant les vacances d’été (disons les siennes puisque je passais les miennes enfermé, à peaufiner ma thèse).

À la rentrée suivante, j’entrai dans ma dernière année. La petite profitait de la vie étudiante pour s’encanailler un peu. Bien lui en a pris de profiter de sa jeunesse ! C’est ainsi qu’un jeudi soir je me retrouvais à discuter avec une Laurie (puisque c’est son prénom) turbulente et d’humeur joueuse. Au détour de la conversation et me lança un très naturel :

— Eh Jérémy, c’est jeudi !

— Oui, et alors ? lui répondis-je

— Alors le jeudi, c’est sodomie !

Il me fallu bien une demi-seconde pour savoir que répondre à cette remarque et me contentait d’un :

— Non, pas pour moi merci, j’ai besoin de m’asseoir demain !

Cette remarque fit éclater Laurie de rire, le rire agréable et sans retenue de qui ne sembarrasse pas des conventions sociales trop lourdes que la société adulte cherche à imposer.

La soirée et la semaine reprirent leur cours jusqu’au jeudi suivant et son bientôt traditionnel :

— Eh Jérémy ! Le jeudi, c’est sodomie.

De semaine en semaine, ma réponse évolua mais c’est surtout le fond de nos conversations qui prit un tour nouveau. Je me retrouvais à m’intéresser franchement (sexuellement, s’entend) à cette gamine de maintenant 19ans. Il faut dire que malgré la relation purement amicale que nous entretenions, je n’étais pas insensible aux charmes de cette métisse de père français et de mère asiatique, à la peau mate, aux petits seins (pour ce que j’avais pu en voir) et aux longs et lisses cheveux noirs.

Quelques autres semaines de « Le jeudi, c’est sodomie » finir de me convaincre que cette expression ne cachait pas qu’un jeu de gamine découvrant la sexualité.

Il aura donc fallu presque 2 ans depuis ma visite à sa classe de terminale pour que je profite d’un vendredi où j’aurai quartier libre pour me présenter le jeudi soir à la porte de sa chambre universitaire, muni dans un sac à dos du matériel nécessaire à mon entreprise.

21h30, je toque donc à sa porte, Laurie m’ouvre la porte

— Tiens, Jérémy, qu’est-ce que tu fais là ?

— Laurie, c’est jeudi, et le jeudi c’est

Après avoir ouvert la porte, je la vis ouvrir les yeux en grand et rougir. Un instant j’ai cru que j’allais me faire remballer avant même d’avoir passé le pas de la porte.

— c’est sodomie ? Me chuchota la belle.

— Gagné !

Laurie repris ses esprits et m’invita à entrer dans sa chambre/studio

Elle m’invite à m’asseoir sur son lit tandis qu’elle s’affaire à préparer un verre de vin pour moi, une bière pour elle et quelques amuse-gueules, elle met un peu de musique. Mon entrée fracassante est presque oubliée, nous discutons de choses et d’autres, nous rions comme lors de nos conversations virtuelles… nous buvons aussi un peu mais pas trop.

Vers 23H30 minuit, la conversation s’anime un peu, commence à tourner autour du sexe. Il faut dire que l’actualité du moment était particulièrement chargée. Les médias avaient-ils sûrement un sujet important à nous cacher.

Toujours est-il que le sujet revient à la sodomie. Laurie rougit un peu, comme lors de mon arrivée à sa chambre, mais elle semble aussi intéressée. D’ailleurs, elle ne tarde pas à m’avouer que cette pratique la fascine et que nos discussions du jeudi la mettaient souvent dans un état d’excitation avancé. Je trouvais là le moment idéal pour me lancer.

— Si tu veux passer à l’acte, je peux te faire ça très bien et en douceur.

— Vrai… vraiment ? Hésita-t-elle.

— Promis. Et si tu n’aimes pas, je n’insisterai pas !

— Proposition plutôt honnête, tu as quoi à me proposer de plus, me lança-t-elle en regardant la bosse naissante à mon entre-jambe.

Je me levais donc et baissais mon pantalon, sans plus de cérémonie, laissant apparaître l’outil principal du reste de notre soirée. Pour la deuxième fois de la soirée, je la vis ouvrir les yeux en grand puis son regard passer plusieurs fois de mon entre-jambe à mon visage.

— Tu comptes vraiment m’introduire ça dans le… enfin ça !

Sans vouloir me vanter, il est possible que la petite n’ait pas vu de sexe comme le mien dans ses soirées étudiantes. Pas nécessairement très long, c’est surtout la largeur de mon pénis qui l’aura affolée. 5,7cm au plus large pour 17cm de long, rien d’extraordinaire donc, mais suffisamment pour étonner une jeunette de 19ans qui s’est engagée à vivre sa première sodomie.

— Ne t’inquiète pas, je sais m’en servir comme il faut. Maintenant il va falloir que tu présentes tes atouts.

Laurie se leva donc sans quitter mon sexe des yeux et commença le déshabillage de son joli corps. Comme prévu dans mon imagination, elle découvrit un corps bien ferme et ses formes, quoique peu développées, étaient bien équilibrées. Son 85A et son petit sexe à la toison entretenue soulignaient à la perfection ses grands yeux, alors aimantés sur mon anatomie.

Je m’approchai donc, aussi nu qu’elle, et posai une main sur son épaule. Seule mon érection nous séparait pendant que j’appliquais sur son front un doux baiser avant de descendre dans son cou. Ma main glissa sur son petit sein tandis que l’autre, posée sur sa hanche la colla contre moi.

Je la fit s’allonger sur le flanc sur son lit et farfouillait dans mon sac, le temps de trouver un préservatif et le liquide adapté à la préparation de ma partenaire.

Une fois le préservatif posé, je déposais quelques gouttes de liquide sur 2 doigts que j’appliquais ensuite sur la rosette de Laurie. Celle-ci se tendit et gémit un peu alors que j’entamais le massage. La petite semblait apprécier le traitement puisque sans m’approcher de son vagin, elle commença à onduler du bassin. Je complétai donc mon massage en glissant mon autre main entre ses cuisses pour m’occuper de son clitoris, sorte de diversion pour lui introduire lentement, quelques instants plus tard, un doigt dans son anus. Laurie ne laissa plus aucun doute quant au massage que j’appliquai à son anatomie et devait interrompre mes attouchements avant qu’elle ne jouisse.

Je me relevai, me nettoyai rapidement la main et me glissai contre elle. La bouche dans son cou, je guidai mon sexe vers son orifice et l’introduisis avec précaution. À chaque blocage, je faisais un pause, laissant le temps à mon amante de s’accoutumer. Je progressais ainsi, par petites étapes, jusqu’à la garde. Le premier retour se passa plus facilement et je pu rapidement commencer à pomper le cul de Laurie qui montra son plaisir par le retour des mouvements de son bassin. La coquine, et j’en étais bien heureux, prenait un plaisir non dissimulé à sa première sodomie.

C’est sans changer de position que je besognai la belle Laurie, seules mes mains bougèrent, parcourant son corps et profitant de ses seins, de ses hanches et de sa chatte trempée qu’un doigt tenta de visiter sans y parvenir.

Pour ne pas traumatiser ce joli petit cul plus que nécessaire, je me forçais à éjaculer assez rapidement, ne doutant pas du plaisir pris par ma partenaire.

Nous sommes restés ainsi quelques instants, le temps pour mon sexe de réduire suffisamment de taille et le sortir sans dégât.

Il faut croire que Laurie avait apprécié cette première expression car, avant de nous quitter, elle me demanda si je revenais le jeudi suivant. Question à laquelle je répondis par la négative, justifiant d’une surcharge de travail.

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