Bonjour à tous, je me présente: Emma, 19 ans, brune de 1m75 pour 55 kilos, et un petit 90B. Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée l’an dernier. J’étais étudiante en droit, et je devais effectuer un stage en juridiction. J’avais été acceptée dans un petit Tribunal en province, chez un juge aux affaires familiales (JAF).
Le premier jour, je m’étais réveillée aux aurores, stressée. Les magistrats ne sont pas forcément des gens très chaleureux. Je me suis préparée avec soin; sous vêtements sexy mais pas vulgaires, une petite jupe moulante noire, et un chemisier cintré mettant ma poitrine en valeur. Une paire de talon aiguille et un maquillage léger agrémentaient le tout. J’arrive au tribunal, la boule au ventre, et je me présente au policier de garde. Il m’indique le bureau de mon maitre de stage. Je monte les escalier et ouvre une porte. Premier obstacle, le garde m’a dit d’aller au fond du couloir, mais le couloir va aussi bien vers la droite que vers la gauche. C’est alors qu’un homme sort de son bureau, il me regarde, me voit hésitante et me demande: "Vous êtes Madame F?", je lui réponds que oui mais qu’il peut m’appeler Emma. Il a l’air gentil, je me sens plus à l’aise. Il m’installe dans son bureau, et après s’être présenté rapidement et m’avoir parlé de ses fonctions, il me propose de lire des dossiers. J’accepte, il pose devant moi une pile de dossiers, parlant presque toute de familles en difficulté. J’attrape un nouveau dossier, quand celui si s’échappe de mes mains et glisse par terre. En me penchant pour le ramasser, j’entends un craquement qui n’a pas échappé au JAF. Je me relève et il me demande si tout va bien. Je lui dis que oui, mais voyant son regard gêné, je baisse les yeux. Je comprends que le craquement venait de mon chemisier, les deux premiers boutons n’ont pas résisté. Ils pendent lamentablement, et révèlent mon soutien gorge, un push up en dentelle blanche. J’enfile mon manteau pour cacher le drame, et je m’excuse, rougissante et de nouveau mal à l’aise. Le JAF prend le parti d’en rire, me disant que ce n’est pas grave. La glace est de nouveau brisée.
Quand je lui pose des questions, son regard s’égare souvent vers mon décolleté sauvage. Mais je ne suis pas gênée, au contraire, ça me plait. Ca m’excite. Et puis le personnage n’est pas mal du tout: il n’est pas très grand, noir, avec un sourire ravageur, des yeux pétillants.
A la fin de la matinée, il me propose de déjeuner avec lui, mais je lui dit que je préfère rentrer chez moi me changer, j’habite à deux pas du tribunal. Devant ma réponse, il me dit "Dommage" avec un clin d’oeil.
Je rentre et j’enfile un chemisier ample, je ne vais pas faire la même erreur deux fois. Je retourne au tribunal, je retrouve le JAF là bas, et je passe l’après midi dans son bureau à lire encore une tonne de dossiers, pour l’audience du lendemain.
Vers 18h, sa journée finie, le JAF me demande ou j’habite. Je lui explique, et il me dit alors que c’est sur sa route, et qu’il va me raccompagner. Je lui dit que ce n’est pas nécessaire mais il insiste. Nous quittons donc ensemble le tribunal. Nous discutons de tout et de rien, de nos vies. Il me demande de façon déguisée si j’ai un petit copain, ce à quoi je réponds négativement. Une fois devant ma porte, il m’embrasse la joue et me murmure "à demain" à l’oreille. Je suis surprise, mais contente.
***
Une fois chez moi, je ne perds pas de temps. En effet, je dois retrouver des copines au bar un peu plus tard dans la soirée. Je décide de me changer, je mets une robe noire, je me maquille un peu plus: mon rouge à lèvres vermeil met en valeur ma peau blanche et mes cheveux bruns. Une fois prête je sors. Le bar est tout prêt de chez moi. Je marche, mes écouteurs dans les oreilles, plongée dans mes pensées. C’est alors que je vois une main saisir la mienne brusquement. Je sursaute, je relève la tête, et je vois le JAF. Il tient un sac dans sa main, il vient d’aller faire des courses. Je lui souris, et il me demande ce que je fais dehors. Je lui explique ma petite virée nocturne. Il rit, et me dit de faire attention à moi, et d’essayer de ne pas trop briser de coeur. Il me laisse partir en me disant "tu es superbe, j’aimerai te voir comme ça au tribunal".
Je reprends ma route, et rejoins mes amies.
***
Lendemain matin, le réveil n’est pas difficile. Mais je me souviens des paroles du JAF la veille. J’ai envie de lui faire plaisir. Mais je suis en stage. Je choisis un jean slim et un chemisier en cache coeur, mais très large. Quand je me penche on voit nettement mes seins retenus par le soutient gorge de dentelle rouge. Je porte un petit string assorti. Je met le même rouge à lèvres que la veille.
J’arrive dans son bureau "Bonjour Emma, tu es très belle, ravissante". Je garde ma contenance, je n’ai plus 15 ans, je n’ai plus l’âge de rougir sous les compliments. Je m’installe, et reprends mon activité de la veille. Lui se replonge dans ses dossiers.
Lassée par ce calme, je me lève, me penche vers lui pour lui montrer un élément du dossier que je ne comprends pas. Il lève la tête, et ses yeux accrochent mes seins dévoilés. Son regard perdu, il ne dit rien. Puis il se ressaisit et répond à ma question. Il me demande ensuite de fermer la porte de son bureau pour qu’il puisse passer un coup de téléphone. Emoustillée, je ferme la porte, mais il était sérieux. Il passe un coup de téléphone à un collègue. Une fois l’appel terminé, il se lève pour rouvrir la porte, mais il fait un détour. Il est derrière moi, je le sens dans mon dos, je sens qu’il s’approche. Il pose la main sur mon épaule, elle passe sous mon chemisier et caresse ma peau. Il se penche, et murmure à mon oreille "J’ai envie de toi", il mordille le lobe de mon oreille puis s’écarte et ouvre la porte. Mon coeur bat à toute vitesse, je sens que mon string est trempé. J’ai envie qu’il me baise là, tout de suite. Mais c’est trop risqué.
A l’heure du déjeuner, il me propose de nouveau de manger avec lui. Mais j’ai d’autre plan, je lui dis de venir déjeuner chez moi. Il me regarde droit dans les yeux, je ne respire plus, j’attends sa réponse: "D’accord".
Nous marchons silencieusement l’un à côté de l’autre. Nous arrivons devant mon immeuble, j’ouvre la porte et le fait entrer. Dès que la porte claque, alors que je cherche l’interrupteur, je sens dans l’obscurité une main qui m’attrape. Le JAF me prend par la taille, il m’attire contre lui. Il m’embrasse, sa langue joue avec la mienne. Je suis collée à lui, je sens une bosse intéressante dans son pantalon. Sa main à lui s’aventure dans mon jean, elle écarte mon string, et commence à jouer avec mon clito, je suis trempée. Cela ne lui échappe pas, il introduit un doigt dans ma chatte, puis deux. Je commence à respirer fort, à gémir. Mais un voisin peut sortir ou entrer à n’importe quel moment. Je me dégage, lui prends la main, en l’entraine dans les escaliers. Je déverrouille ma porte et je le tire à l’intérieur. Il se précipite sur moi. Il enlève mon manteau, mon chemisier. Il m’embrasse, me lèche, dans le coup, les épaules, il descend vers mes seins. Il les libère du soutien gorge. Il suce, il mordille, il tète, je gémis de plus en plus fort. Il continue sa progression, bientôt je ne suis plus qu’en string. Il approche sa main, mais je la repousse. Cette fois c’est mon tour. Je le déshabille, l’embrasse sur tout le corps. Il ne porte plus que son boxer, la bosse est prometteuse. Je l’enlève, sa bite est grosse, elle est magnifique. J’en ai l’eau à la bouche. Je lève la tête, le regarde dans les yeux, et commence à donner des petits coups de langue sur le gland. Je le suce, je passe a langue le long de sa hampe, il met sa tête en arrière, il soupire, les yeux fermés. Il m’attrape la tête, il s’enfonce dans ma gorge. Il me baise la bouche, je manque de m’étouffer à plusieurs reprises. Quand il s’arrête, il me relève et me pousse sur le lit. Il enlève mon string, écarte mes cuisses et commence un cunni. Je sens sa langue sur mon clito, elle tourne autour, elle descend, arrive à mon vagin, elle entre dedans. Il sait ce qu’il fait, il lèche, il avale ma mouille. Il me baise avec sa langue. Je gémis, c’est trop bon. Je sens l’orgasme qui monte, monte, incontrolable, et il explose. Je crie, je jouis.
J’attire sa tête vers la mienne, je l’embrasse à pleine bouche, je goute à mon propre jus. J’attrape une capote, il l’enfile. Il me regarde dans les yeux, s’allonge sur moi. Sa bite cherche le chemin de ma grotte, il la trouve. Il s’y enfonce en grognant. Je suis tellement mouillée, il n’a aucun mal à faire entrer sa bite. Mais elle est si grosse, ma chatte se referme sur elle.
Il commence à faire des va et viens, doucement, puis de plus en plus vite. Mais moi ce que j’aime c’est quand sa bite touche le fond de mon con. Je le regarde et je lui dit:
"- Plus fort, baise moi plus fort
— Putain, t’en as vraiment envie de toi, je vais te défoncer
— Je veux que tu me baises, comme une chienne."
Il fait des mouvements plus amples, j’en ai le souffle coupé mais j’adore ça.
"- Elle est bonne ma bite?
— Oui, elle est bonne dans ma chatte
— Salope, t’en avais envie hein?
— Ouiiii!
— Quand j’ai vu tes seins hier, j’avais envie de te baiser sur mon bureau, comme une salope. T’es une salope hein?"
— Oui je suis une salope!
— Je vais te baiser pendant tout ton stage, tu vas voir, et même après! Ta chatte est trop bonne!"
Nous gémissons, nous crions. Je sens que je vais jouir, je me contracte, je le serre contre moi et je me laisse partir. Il continue ses va et viens sous mes encouragements. Puis il s’arrête, il sort de ma chatte, enlève la capote. Il commence à se branler, je le regarde dans les yeux, avec un regard de salope, soumise, la bouche ouverte. Il serre les dents:
"Putain je vais te juter à la gueule, tu vas prendre! Tiens!"
Quatre giclées de sperme s’écrase sur mon visage et sur mes seins.
Après un bref repos, nous prenons une douche, nous nous rhabillons avant de retourner au Tribunal.
A suivre…