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Les dessous d?une Orpheline – Chapitre 1




Monique dumont percourut la pièce du regard, en se demandant désespérément s?il restait encore quelque objet à vendre. Toute ce qui avait une certaine valeur était déjà parti. Les halos plus clairs sur le murs, là où les mirois avaient été accrochés, et la niche vide à l?endroit où le beau secretaire avait été encastré lui donnant envie de pleurer.

— Que puis-je faire ? S?écria-t-elle. Mon Dieu ! Que dois-je faire ?

Il semblait incroyable que tout que tout se fût déroulé si vite. Le sentiment de securité de bonheur qui l?enveloppait avait disparu; maintenant, le ciel lui tombait sur la tête. Lorsqu?un an auparavant, son père avait fait une chute de cheval au cour d?une partie de chasse et s?était brisé la colonne vertébrale, sa mère avait cru que le monde s?écroulait, en fait, ils avaient été très heureux ensemble, sans être riches, ils possédaient assez d?argent pour profiter de leurs chevaux et des quelques arpents de terre qui entouraient leur propriété.

Ensuite, la mort de son père avait revelé qu?il avait acumulé les dettes. Toutes fois, ce n?était pas le résultat d?une vie tumultueuse. Il n?avait pas payé ses impôts et devait une comme considérable à l?autres personnes.

Impuissante, Monique avait vu sa mère dépérir peu à peu, et c?était un spectacle insupportable, en effet, celle-ci était encore très belle et avait toujours ressemblé à une jeune fille.

Puisqu?elle ne desirait plus vivre. Madame Dumont se laissa mourrir, tout simplement, afin de rejoindre son mari. C?est à ce moment-là que Monique comprit qu?elle était seule au monde. Et plus terrible encore, complètement démunie. La maison lui appartenait car elle était fille unique.

Ensuite, elle avait rapidement trouvé un emploi comme hôtesse d?accueil dans un salon de beauté. Et puis, un jours, elle s?était inscrite à un concours organizé par une revue de cinéma. Même dans ses rêves le plus fous,

elle n?avait jamais imaginé gagner. Pourtant, ce fut elle qui remporta le prix:; cinq mille dollars plus un séjour d?une semaine à hollyood en compagnie de la personne de son choix.

Hollywood, un endroit magnique que Monique ne connaissait qu?à travers ses lectures. Hollywood un rêve devrnu réalité. Elle n?hésita pas. Elle fit son balluchon et parti avec sa meilleure amie Noëlle. Partir n?était pas un problème. Une semaine à holywood, au Lord Hotel sur le célèbre Sunset boulevard. Monique et Noëlle eurent à peine le temps de respirer. Le magazine les faisait photographier dans toutes leurs activités, depuis l?exploration de disneyland jusqu?au déjeuner avec Richard Gere. Richard Gere ! Monique pensa défaillir, finalement, il fut très gentil et drôle, il enprit les deux jeunes filles par les épaules pour une photo. La semaine a passé comme un éclair. Avec dans les yeux la ferveur étincelante des nouveaux convertis, elle déclara à Noëlle :

— Je reste. Je vais devenir actrice.

Noëlle tenta de la raisonner sans succès. Tous les hommes rencontrés à hollywood avaient dit qu?elle aurait dû faire du cinéma. Alors, pourquoi ne pas tenter le coup ? Elle avait les cinq mille dollars du prix et, si elle

faisait attention, elle pouvait tenir quelques mois. Pas question de gaspiller son argent en rentrant à l?hotel. Donc, il lui fallait d?abord trouver un endroit pour vivre. Le photographe lui donna le numero d?une

connaissance qui louait des chambres. Elle téléphona et, une heure plus tard, elle était dans une pièce, à l?arrière d?une grande maison pleine de coins et recoins, elle dit à la propiétaire, une rousse :

— Je vais être actrice.

— Bien sûr, et moi, je vais épouser le pape.

— Comment ?

— Non, rien…….

Ce n?était pas si facile de devenir actrice. Il fallait à songer à l?avenir. Monique apprit qu?il lui faudrait des photos et un agent. En six semaines, il lui fit avoir quatre entrevues. Aucune ne se matérialisa sous la forme de propositions. Seulement Yvonne, une actrice de film porno l?invita :

— Tiens, J?offre une virée à Hawai, ma loute.

Tous frais payés. Monque n?en croyait pas ses oreilles, quelle chance elle avait eue de tomber une amie aussi chouette qu? Yvonne ! Bien sûr, elle était trop maquillée et portait des vêtements criards. C?est trop tentant,

ça ne se refusait pas.

Elles arrivèrent tard dans la nuit après un vol plein de tourbulences. Un taxi les conduisit en une vingtaine de minutes de l?aeroport au Hawai Village Hotel. Elles entrèrent dans le hall. Yvonne se dirigea vers la reception. La chambre était propre. Il y avait télévision, vue sur la piscine et lit à deux places. Yvonne ressortait de la salle de bains, entièrement nue. Elle plaça les mains sur les hanches, se trémoussa pour faire

trembloter ses gros seins. Monique passe se refugier sous la douche en se disant que, finalement, elle n?avait peut-être pas été si bien inspirée d?accepter le voyage à Hawai.

— ’Ah! ça fait du bien d’être dans l’eau, après une journée de vol en pleine chaleur !’

Lorsque elle coupa l’eau, Yvonne prit la serviette et s’approcha de la douche. Elle ouvrit la porte et sortis juste devant elle, déplia la serviette et l’enveloppa dedans en commençant immédiatement à lui frotter le

dos.

— ’Allez vite !!’

— ’Ok c’est bon ! Je peux me sécher toute seule !’

— ’Mais si je t’aide ça ira plus vite, aller sèches toi les cheveux pendant ce temps’

Monique s’attira devant le miroir qui surplombait une grande vasque, à côté de laquelle se trouvait une autre serviette. Yvonne l’en saisi et la sécha la tête pendant que Monique continuait à s’essuyer. passant vite du dos aux fesses, puis remonta sur le devant jusqu’à ses seins qu’elle prit soin de sécher (enfin de caresser) avec délicatesse, puis elle redescendit sur les jambes, puis, elle se retourna et essuya son ventre, avant de s’attarder quelque peu sur son minou.

— ’Bon ça va ! Je suis toute essuyée, maintenant ?’

— ’Non ! Attends, il reste un goutte là’

Elle avança sa tête entre mes jambes et déposa un baiser sur la touffe.

Elle m’assit sur le bord du lit, me coucha sur le dos avant de remonter les pieds sur le lit en l’écartant bien les jambes et posa sa main sur le mon sexe .

— ’Continue ma chérie !’

Elle resta devant Yvonne en se caressant les seins. Yvonne reprit alors ses caresses sur la chatte. Puis elle passa sur le côté du lit, monta dessus, l’enjamba et ce plaça à cheval au dessus de Monique sans se reposer sur son ventre. Elle voyait ainsi le dessous de son entre jambe bien ouvert. Elle y glissa ses doigts et repris sa masturbation en faisant pénétrer un doigt dans son intimité. Après quelques secondes, elle le ressortit, il était luisant de cyprine, elle le frotta sur l’un de ses tétons, étalant dessus le jus dont il était enduit. Puis elle s’approcha un peu de son visage et se caressa la fente avec son autre téton, comme il était très gonflé et dur, elle s’écartait les lèvres pour le faire pénétrer à l’intérieur.

Yvonne approcha sa bouche de la touffe de poils et se mit à la lécher, puis sa langue vint se poser sur la fente, c’est alors que Monique se décidée à lui caresser les seins. Mais comme j’étais un peu trop haut par rapport à elle, et que ses coups de langue commençaient à se faire de l’effet, sa main s’occupa de ses fesses et de son ventre.

Lorsqu’elle glissa sa langue entre ses lèvres, Monique se cambrait de plaisir, aussitôt elle l’enfonça un doigt dans le sexe, bien au fond, et le laissa là, tout en continuant de me lécher et de me pénétrer de sa langue.

Monique ressentais un tel plaisir, que presque instinctivement sa main se glissa entre ses cuisses. Elle écarta immédiatement ses jambes pour laisser le passage libre. Celle-ci était trempée, douce et terriblement chaude,

Yvonne y glissait un doigt et le tournait légèrement de droite à gauche. Doucement elle donnait de petits coups de reins qui la faisaient se rapprocher . Puis Monique sentit qu’un deuxième doigt s’enfonçait en elle, sa langue ne s’occupait plus que du clitoris, son plaisir était à son comble pourtant Monique ne sentait pas la jouissance arriver.

Elle commença de petit va et viens dans la chatte de Monique, puis effectua des mouvements plus grands, c’est alors que elle a eu envie de l’embrasser, de la mordre, Yvonne ne savais pas quoi, mais elle voulait sentir quelque chose sur sa bouche. Après ce changement de position, son sexe était juste devant ses yeux, plus précisément juste devant sa bouche, et elle n’eut qu’à l’ouvrir pour que sa langue s’enfonce en elle. Yvonne but tout de suite son jus d’amour qui était délicieux, autant qu?elle adore le sperme des hommes, autant là elle fut agréablement surprise par cette délicieuse substance, (Elle comprenait alors pourquoi les hommes aimaient tant ça). Yvonne lui léchait la chatte goulûment. Mais après quelques minutes, n’ayant pas l’habitude sans doute, elle commençait à l’essouffler. Yvonne sentit que Monique n’étais finalement pas à l’aise et se retourna vers elle.

— ’C’est pas ça hein ?’

— ’Excuses moi Yvonne, c’est délicieux ce que tu me fais j’y prend vraiment un grand plaisir, mais…’

— ’T’inquiète pas, c’est normal, t’est hétéro, ce qui te manque c’est une vrai pénétration avec un gros sexe bien dur, non? c’est pas vrai ?’

— ’Oui sans doute, mais j’aime que tu me lèche la chatte comme ça et tes doigts sont délicieux’

— Je suis encore une jeune femme, je n’ai que 19 ans. J’adore la romance et tout ce qui s’y rapporte. J’aime qu’un homme me courtise un peu et me soumette à toutes sortes de fantaisies farfelues, c’est très rare que je

fais les premiers pas.

Yvonne l’aperçoit en train d’essayer une robe légère et courte. Yvonne admire ses seins fermes et bien galbés. Monique est sexy, sensuelle, même provocante et n’a nul besoin d’un soutien-gorge. Elle aime visiblement se

contempler devant une glace, puis elle se déshabille entièrement. Elle met ensuite des bas noirs, des jarretelles et une guêpière, puis enfile la robe.

Elle est splendide.

En arrivant dans le club, la musique déversait un bpm tonique et une mélodie soul qu?elle adorait. ?a commençait bien et immédiatement, Elle allait danser pour donner libre cours à ses jambes et à son corps. Ils danssaient tout d’abord assez éloigné et il était agréable de se laisser aller sur les rythmes imprimés par les enceintes.

Attirée par une chanson endiablée de Madonna, Moniqu gagna le centre de la piste pour danser en solo. Très sensuelle, Monique se tortillait et se déhanchait sous les décibels. Au bout de dix minutes de danse sur des

rythmes effrénés Elle avait remarqué que l’homme assis sur le tabouret, était tourné vers elle et ne cessait de l`observer évoluer sous le halo de lumière.

L?homme entraîna Monique sur la piste. Pendant une dizaine de minutes, les slows se succédaient et le couple bougeait à peine. Monique aimait se trémousser sur ces danses lascives. Elle ondulait des hanches sous l’impulsion de la musique et du moindre des mouvements de son corps sculptural se dégageait une sensualité torride.

Le ventre de Monique s’écrasait en ondulant sur celui de son cavalier. En dansant, l?inconnu parlait à l’oreille de Monique et celle-ci semblait apprécier la galant cavalier qui la maintenait étroitement serré contre lui, une main installée sous la veste, à la hauteur des reins, alors que son autre main caressait le cou gracile.

L’ingéniosité qu’il déployait pour la séduire puis pour l’exciter pendant ces danses était presque obscène. Monique semblait commencer à vibrer dans ses brasSatisfait, il saisit avec douceur, son visage entre ses paumes, et sa bouche prit longuement ses lèvres frémissantes, les baisa vingt fois, cent fois et glissa sa langue dans la bouche où une autre langue l’attendait. Sous l’emprise du savant baiser. L?homme comprit à ce moment l? que Monique était nue sous sa robe.

— ’J’adore qu’un mec bande pour moi… J’ai follement envie de faire l’amour !’

Monique voulait le sentir de plus en plus dur, de plus en plus gros contre sa chatte. Il était lui aussi terriblement excité et profitant de son abandon. Elle écarta immédiatement les cuisses, et il put masturber son

clitoris avant de faire entrer un doigt entre ses lèvres vaginales. Elle était très humide, il fut donc facile de l’investir.

Il dirigea de l’autre main sa verge vers l’entrée de son sexe. Elle écarta encore plus les cuisses, et mon gland commença à se frotter contre ses grandes lèvres bien lubrifiées. il commençait à la pénétrer lorsqu’elle se crispa et eut un mouvement de recul.

— Qu’est-ce qu’il t’arrive? demandais-je, je te fais mal?

— Non, non! C’est ma copine qui m’appelle.

— Laisses tomber! Elle attendra, dis-je au bord de l’explosion, mon gland toujours à demi enfoncé dans son vagin.

— Je ne peux pas, il faut que j’y aille, dit-elle en cherchant à se dégager.

N’ayant aucun goût pour le viol, il la libérait, et, très frustré, il remit sa verge dans sa prison tandis qu’elle rejoignait la salle du bar. Elle avait à peine terminé la difficile entreprise de réinsertion qu’elle

revenait vers lui.

— Attends-moi, je vais reconduire ma copine à l’hôtel et je reviens.

Un quart d?heure plus tard Monique reapparut. Cet inconnu lui inspirait confiance, elle ne savait pas pourquoi, mais c?était comme ça……..Elle lui déballa tout, depuis son premièr jour à hollywood jusqu?à son aventure avec Yvonne.

— J?ai un ami que tiend un petit hotel. On va vous trouver une chambre.

Trois semaines passèrent, à allure d?enfer. Son amant lui montra tout. Ils explorèrent des plages blanches désertes, des recifs de corail bigarrés de poissons ex?tiques. Le fantastique paradise Park. Pourtant, en son for interieur, elle devait bien se l?avouer : elle envie de lui. Monique brûlait du désir d?être totalement possedée par ce corps dur et puissant. Lorsqu?il l?embrassait en lui souhaitant bonne nuit. Il lui dit que chantait dans un piano-bar, mais en vérité, il était acteur assurait-il. Il avait quitté Los Angeles parce qu?il avait besoin de souffler.

—  ?a fait quelque mois que je suis ici. J?avais du bollot à la pelle à Hollwood , films, shows, télé…..mais j?avais besoin de repos. Monique était impressionnée.

— Vraiment ?

— Bien sûr. Tu ne m?avait pas reconnu quand on s?est rencontré ? Elle secoua la tête

— Je ne regarde pas souvent la télé.

Et une semaine plus tard, ils se mariaient. Une cérémonie toute simple.

’ Merci Yvonne. Tu as changé ma vie. Grâce à toi, je suis la fille la plus heureuse du monde ! ’

FIN

Merci de m?avoir lu, et n?hésitez pas à m?envoyer vos commentaires….

Ici, S?o Paulo – Brésil  ?crivez-moi [email protected]

Ivan Ribeiro Lagos

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