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Mon initiation – Chapitre 1




Je venais juste d’avoir 16 ans, j’habitais Paris, et pour cette nouvelle année scolaire, mes parents avaient décidés de me mettre en internat à une centaine de Km de Paris…

Dans ma famille, que des filles, soeurs, cousines… J’étais le seul garçon. Bien sur comme tous les enfants, j’avais eu l’occasion de jouer au docteur et les filles auscultaient le seul garçon disponible et moi j’auscultais les filles…

Devenant plus grand, une fois par semaine j’allais dans les douches municipales avec un copain, nous prenions une cabine commune et évidemment nous avons fini par jouer à "touche-pipi"…

En ce début d’année scolaire je me retrouve donc interne pour la première fois. Le dortoir était composé de 40 box, 20 de chaque coté d’une allée centrale, en bout de cette allée, d’un coté les WC et de l’autre coté, la chambre du pion chargé de surveiller le dortoir, cette chambre avait une fenêtre occulté par un rideau, que le pion pouvait écarté pour jeter un coup d’oeil dans l’allée centrale. Les 2 portes, celle des WC et celle de la chambre du pion se faisait face…

J’avais sympathisé avec mon voisin de box qui était également de la région parisienne. Un soir, après l’extinction des feux, je me suis glissé dans son lit et …

C’est lors de sa ronde après l’extinction des feux que le pion nous a surpris, et qu’il m’a ordonné de retourner immédiatement dans mon lit, ce que je fis à vif allure. Quelques minutes après j’ai eu envie d’uriner et je me suis donc rendu aux toilettes…

J’étais en train de pisser quand le pion, en pyjama également, est entré dans les WC et s’est mis à pisser à côté de moi. Quand j’eu fini, je me dirigeai vers la porte que j’ouvris, c’est alors que la main du pion m’a empoigné par la nuque, ma vivement fait traverser le couloir, ouvert la porte de sa chambre et m’a projeté à l’intérieur…

Il s’est assis sur son lit, m’a fait tenir debout devant lui, m’a ordonné de mettre les mains derrière le dos, d’écarter légèrement les pieds et de regarder par terre. J’étais dans cette position quand il m’a tenu le discours pour me dire que je n’avais rien à faire dans le lit d’un copain, et que si il disait cela au surveillant général je serais immédiatement renvoyé…

Voyant que j’avais fort peur dêtre renvoyé, il m’a dit que ça ne tenait qu’a lui que je le sois ou pas. A un moment j’ai relevé la tête, j’ai reçu alors une paire de gifle et il m’a ordonné de gardé les yeux baissés, je me suis exécuté…

C’est après cela qu’il m’a demandé si je bandais dans le lit de mon copain, il a insisté et j’ai dit oui, il a mis sa main dans ma braguette, en a sorti mon sexe qui immédiatement s’est mis à durcir dans sa main, il à commencé à me masturber doucement m’a demandé si j’aimais ça, j’ai fais un signe de tête pour lui dire que oui…

Il a du se rendre compte qu’il avait la situation en main, son gros sexe en érection était sorti de la braguette de son pyjama, il m’a pris une main, a mis son sexe dans ma main et m’a dit de faire comme il me faisait, j’étais terrorisé, je l’ai gentiment masturbé, et vlan de nouveau une gifle car j’avais regardé son visage. « Baisse les yeux » il m’a dit…

C’est alors qu’il a fait glisser mon pantalon de pyjama sur mes pieds, m’a fait mettre les mains sur son lit, s’est glissé derrière moi, a appuyé sur ma nuque pour que je me courbe, et, j’ai senti sa main qui se glissait entre mes fesses, il est allé me caresser l’anus…

En ce temps là, il n’y avait pas de gel. Les gens utilisaient la salive et la vaseline, et bien sur pas de préservatifs…

C’est donc de sa salive qu’il a utilisé pour faciliter l’introduction d’un de ses doigts, puis d’un deuxième. Durant un long moment il m’a « travaillé » l’anus. il m’ordonnait de me taire et de ne pas bouger, j’obéissais…

Puis, j’ai senti qu’il essayait d’introduire quelque chose de beaucoup plus gros que ses doigts, il forçait j’ai poussé un cri de douleur, il m’a mis une main sur la bouche pour étouffer mes cris de douleurs, il a continué son introduction, si long et si gros, mon dieu que j’avais mal…

Quand il fut entièrement introduit, il a commencé à faire des vas et vient, la douleur disparaissait peu à peu pour faire place à une sensation moins désagréable. Il m’a demandé s’il retirait sa main de ma bouche est-ce que je crierai… j’ai fais signe que non, il à alors retiré sa main, je n’ai pas crié…

Il a continué à me besogner longtemps, puis il a accéléré le rythme, ses mains enserraient mes hanches il me serrait fort, ses ongles entrèrent dans ma chair, et il c’est immobilisé, il se vidait en moi, il m’ensemençait. Jéprouvai alors une sensation beaucoup plus agréable que précédemment…

Après s’être retiré, il m’a ordonné de remettre mon pantalon, de reprendre la position, tête baissé, mains derrière le dos, pieds légèrement écartés, et il m’a interdit de parler de ce qui c’était passé et il m’a dit qu’il ne dirait rien au surveillant général, tant que je lui obéirai sans discuter. Quand lors de sa ronde d’après extinction des feux, s’il tapotait sur le pied de mon lit, ça voulait dire que je devais attendre 10 mn, avant d’aller le rejoindre dans sa chambre, puis il m’a dit de retourner dans mon lit…

Je n’ai plus pensé qu’a ce qui c’était passé et 2 ou 3 jours après il a tapoté sur le pied de mon lit. A la fois, je redoutais ce signal et je l’espérais, j’ai attendu 10 longues minutes avant de m’extraire de mon lit et d’aller avec crainte et envie ouvrir sa porte. Il m’attendait…

Il m’a dit alors comment ça devait se passer à l’avenir, quand je rentrerai dans sa chambre. Je ne devais rien dire, me mettre nu, mettre les mains derrière le dos, écarter légèrement les pieds et baissé la tête en attendant ses ordres…

Durant toute l’année scolaire, il a tapoté sur mon lit a raison de 2 à 4 fois par semaine, et j’ai toujours obéis. Si par malheur, étant trop fatigué, je m’étais endormi, il venait me secouer dans mon lit et je devais aller dans sa chambre, et la dès que j’avais pris la position, soit il me giflait soit il me donnait plusieurs coups de ceintures sur les fesses…

Durant toute l’année scolaire, j’ai été impatient de le rejoindre, heureux de le servir, heureux qu’il me brutalise parfois, heureux de lui obéir, heureux qu’il me prenne comme sa femelle obéissante, c’est lui qui m’a fait connaître ces plaisirs que par la suite (et jusqu’à aujourd’hui) j’ai recherchés sans cesse…

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