Je m’appelle Aude, j’ai 42 ans, mariée, un enfant. Je suis brune, 1m68, élancée et sportive (danse) et plutôt appréciée des hommes…

J’ai longuement hésité à raconter cette aventure qui a commencé il y a maintenant trois ans. Je travaillais alors à Paris dans une administration dont je tairai le nom. J’avais pour mission le suivi de dossier administratif avec 3 autres de mes collègues femmes également.

Le temps aidant, la plus ancienne d’entre-nous, Christine, a fait valoir ses droits a une retraite bien méritée. Comme cela se fait dans pas mal d’administrations un recrutement a été fait dans le but de la remplacer et un tuilage d’un mois entre la partante et l’arrivant a eu lieu.

Chose nouvelle dans ce service, il s’agissait d’un homme…

Il s’appelait Serge, 45 ans, brun, marié, bel homme. Je dois dire qu’il s’est rapidement imposé à son nouveau poste. J’ai très vite sympathisé avec lui ! Il y a des personnes sans que l’on ne sache trop pourquoi que vous avez l’impression de connaître depuis longtemps. J’ai assez vite vu que je ne le laissais pas indifférent d’autant plus que nous occupions le même bureau et travaillions quotidiennement sur les mêmes dossiers.

Sans aller plus loin on peut dire que nous avions une relation amicale avancée, que son charme opérait. Je n’ai cependant jamais penser à plus le concernant.

Tout a changé la semaine du départ en retraite de Christine. Avec un certain nombre de collègues, nous avons décidé de fêter son départ dans un restaurant parisien. Nous étions un dizaine. Pour une telle occasion je me suis glissé dans ma jupe préférée, je porte un bustier en soie avec un veste sombre. Plus intimement des sous-vêtements satins noirs. La soirée s’étirant quelques-uns ont choisi de rentrer plus tôt et nous nous sommes retrouvés un petit nombre, 6 exactement, à rester jusqu’au bout de la soirée.

Mon histoire commence donc à la sortie de ce restaurant. Nous sommes encore 6 mais il n’y a plus qu’un véhicule pour rentrer. A part Marc qui conduit, tout le monde a un peu bu et s’entasse tant bien que mal dans la berline. Je me retrouve sans place ce qui déclenche quelques fou-rires…

— "Ce n’est pas grave, je peux prendre le métro."

— "Surement pas, tu as vu l’heure" dit Marc qui a déjà démarré le moteur "Vous pouvez peut-être vous serrez un peu derrière ?"

Je suis devant la porte arrière ouverte et Serge est assis à la première place.

— "On est déjà bien serrés mais tu peux venir sur mes genoux si tu veux ! Marc roulera prudemment…"

Joignant le geste à la parole Serge saisit ma main et me tire à l’intérieur du véhicule. je suis prise de court et me retrouve assise sur ses genoux sans avoir donné mon avis. La porte claque dans mon dos et la voiture démarre.

Je sens la chaleur de ses jambes et de son torse. J’essaie de m’installer au mieux mais j’ai aussi son souffle chaud au niveau de mes cheveux.

— "Je suis désolé, ça va aller pour toi ? Ce n’est pas très confortable ?"

-"Tout le plaisir est pour moi ne t’inquiète pas."

Nous devons faire quelques km et c’est l’occasion de parler boulot. La conversation accapare mes collègues mais Serge, nouveau dans la boîte, ne participe pas à la conversation. Je ne me sens pas très concerné non plus vu mon installation. Soudain Serge approche sa bouche de mon oreille…

-"Je ne sais pas comment ils font pour trouver encore l’énergie pour parler boulot !"

-"Je ne sais pas en effet, j’ai du mal à suivre aussi…"

-"Aude, je peux te demander de te déplacer un peu ?"

-"Oui oui bien sûr !"

Serge pose alors sa main sur le coté extérieur de ma cuisse pour me soulever littéralement et me déplacer plus près de lui tout contre son corps…

Avant de fixer ma position il glisse sa main sous ma fesse droite.

-"Serge, que fais-tu ?" lui dis-je discrètement en me tournant vers lui.

Il me regarde fixement puis dis :

-"Je m’assure que tu sois bien installée. Profite du voyage c’est tout !"

Son aplomb me laisse sans voix. Je ne réagis pas me disant que j’ai du mal comprendre mais que vu ma position je n’ai pas trop le choix.

Mais Serge n’en a pas fini. Il dit à Christine assise près de nous :

-"Christine, Aude a un peu froid, tu peux me passer ma veste que j’ai déposée sur la plage arrière ?"

Christine s’exécute et place la veste sur mes jambes.

Aussitôt, je sens l’autre main de Serge se poser fermement sur le côté extérieur de mon autre cuisse. Il m’enserre fermement les hanches.

Je le regarde d’un air furieux mais il me décoche un sourire, se penche vers mon oreille : "Chuuuuut…!"

Ainsi tenue il parvient à imposer à mon bassin des déplacements sur ses genoux. Je commence à baisser ma garde je le sens. Je sens surtout son sexe dur qui frotte régulièrement entre mes fesses. Je n’ose plus le regarder.

Je crois qu’il sent que je ne dirai rien. Sa main droite glisse sur le coté de ma jupe pour saisir la fermeture éclair qu’il fait descendre doucement…

Je me tourne vers lui et discrètement lui dit :

-"NON…"

-"Mais si… allons… " me répond-il sur le même ton.

Je détourne la tête et regarde vers l’avant.

Je sens sa main glisser dans l’ouverture latérale de ma jupe et se poser sur mon ventre. Je l’avoue, cette situation me trouble au plus haut point et une chaleur m’envahit doucement. Il essaie de passer sa main plus bas mais malgré plusieurs tentatives n’y parvient pas. Mes jambes ne peuvent s’écarter davantage à cause du manque de place.

Serge change alors de stratégie, sa main remonte sous mon haut et il parvient à dégrafer mon soutien-gorge.

J’ai l’impression que tout le monde m’observe. Je suis figée…

-"Tu es bien silencieuse ?" Me dit Christine. "Au fait, tu as des nouvelles du dernier dossier d’inscription ?"

Je réponds à Christine en lui expliquant que le dossier est parti à la signature et que j’attends son retour. Pendant que nous échangeons, c’est le moment que Serge choisit pour soulevé mon soutien-gorge dégrafé et saisir mon sein droit à pleine main. J’en ai le souffle coupé… La chaleur de sa peau, sa main curieusement un peu caleuse, son assurance…

-"Tu es sûre que tout va bien Aude ?" me dit Christine.

-"Je crois qu’elle a peut-être un peu bu" dit Serge en pinçant maintenant mon mamelon droit entre ses doigts pendant que sa main gauche me caresse le genou et le début accessible de ma cuisse.

-"Nous sommes bientôt arrivé…" dit Marc."Encore 10 min et je te dépose Aude"

Instantanément Serge retire sa main et parvient tant bien que mal à rezipper ma jupe. Seul mon soutien-gorge est ouvert mais masqué par ma veste, heureusement.

Je me retourne vers Serge. Je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche…

-"On se retrouve lundi au boulot Aude, il me tarde de travailler avec toi. Et il me semble que certains dossiers sont en bonne voie."

Je ne sais que répondre, la porte s’ouvre, je salue tout le mon d’un baiser de la main et la voiture repart.

Je rentre et me couche machinalement à côté de Bastien mon mari qui dort à poings fermés.

Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Je suis prise entre excitation et colère à cause de mon manque de réaction.

A ce moment-là je suis très loin d’imaginer jusqu’où allait m’emmener cette soirée.

Les suites très rapidement…

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