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Je me suis mis à la gym – Chapitre 2




Salut c’est votre feuille de lycra

J’étais donc en train de faire mon premier cunnilingus à une infirmière, comme moi, élève au cours de gym. Je n’ai pas été bien long à prendre de l’assurance et commencer à promener ma langue partout et manifestement Marie avait l’air de bien aimer mon côté aventurier. Au moment où je commençais à prendre un grand plaisir à me délecter de son jus intime, elle a préféré donner fin à ce petit plaisir car elle sentait que le cours allait prendre fin. Elle s’est rhabillée puis nous sommes sortis du vestiaire pour aller rejoindre le cours qui effectivement prenait fin. J’ai feint la personne qui se remettait de sa douleur et Marie me regardant en étant fière de ses soins prodigués. Franck est venu me voir pour savoir comment j’allais, puis une fois rassuré il s’est éloigné en me collant une petite tape sur le cul.

Vu que le cours était fini nous nous sommes rendus au vestiaire les garçons d’un côté les filles de l’autre. Ce coup-ci je n’ai pas traîné dans les vestiaires et je me suis carrément dit que je prendrai ma douche à la maison. J’étais sorti du gymnase quand j’ai senti que l’on me prenait par le bras, c’était Marie qui me saisissait en me rappelant que je n’avais pas fini ce que j’avais commencé. Sur le coup je n’ai pas vraiment compris sa requête mais elle m’a fait comprendre qu’il fallait que je finisse la langue que j’avais entamé. Elle m’a emmené dans sa voiture il m’a dit que par la même occasion elle allait me ramener chez moi. Sa voiture était de marque tchèque et elle était vraiment superbe si je puis dire. Nous habitions dans la vallée de chevreuse et moi j’étais sur le plateau du côté des Molières.

Au moment où elle allait prendre la direction pour me déposer chez moi, elle a bifurqué pour aller dans un petit endroit très peu fréquenté dans l’obscurité. Elle a fait attention en se garant à n’être visible de personne, là elle m’a fait descendre de la voiture pour que nous fassions à l’arrière. Une fois installés j’étais vraiment subjugué par l’espace qu’il y avait à l’arrière dans ce véhicule. Marie s’était changée au profit d’une jupe relativement courte et d’un tanga, elle s’est confortablement installée et calée dans la voiture. Elle s’est débarrassée de son tanga elle me l’a donné à sentir et maintenant elle écartait largement les cuisses. Elle m’a saisi une main, puis me rapprochant, elle m’a saisi la tête pour la plonger directement sur son abricot.

J’étais totalement offert à cette femme qui dirigeait les opérations; elle m’étonnait surtout qu’en tant qu’infirmière, elle soit à ce point directive et autoritaire. Toujours est-il que la nous étions au calme et elle me tenait fermement la tête entre son minou et je devais lui faire sa toilette et peut-être accessoirement lui faire prendre son pied. J’étais déjà descendu à la cave avec une copine, mais c’était sous les draps et je n’avais pas vraiment vu ce que je faisais. Là, la petite touche poètique était en fait la pleine lune qui nous illuminait dans la voiture, j’ai essayé de trouver une position la plus confortable possible. J’étais donc maintenant à genoux derrière le siège passager pendant que Marie avec la jambe gauche derrière le siège conducteur et sa jambe droite en l’air accroché sur le dossier du siège arrière.

Il n’y a pas à dire mon infirmière était d’une grande souplesse et surtout elle avait une grosse envie de se faire nettoyer sa friandise. En même temps que je posais ma langue de nouveau sur son minou j’étais en train de me dire que ça se trouve j’étais en train de faire du bien à la mère d’un copain ou d’une copine. Marie avait l’âge de ma mère mais elle était quand même beaucoup plus belle. Bien que Marie ait pensé à laisser les vitres avant entrouvertes dans la voiture cela commençait à sentir un peu le minou. J’apprécie beaucoup la sensibilité du clito de ma partenaire tout comme ses petites lèvres qui la faisaient réagir au moindre petit coup de langue. En fait cette maman était en train de me faire mon initiation et au fond de moi je me disais que pour une première j’étais vraiment gâté.

Si je puis dire, Marie avait eu la délicatesse de ne pas se doucher, mais mon petit doigt me dit qu’elle avait préparé son coup. Son entrejambe avait exactement le même goût qu’une demi-heure auparavant, elle n’avait pas besoin d’appuyer sur ma tête. Je faisais en sorte de me servir de mon nez pour lui donner des sensations et je faisais en sorte que tout mon visage soit maculé de cyprine. Pour une initiation je peux vous garantir que je me lâchais, je ne me fixais aucune limite pour donner du plaisir à ma partenaire. En tant que petit puceau, j’étais assez fier car je faisais soupirer de plaisir cette maman. Sa position aidant, je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai poussé le vice jusqu’à aller lui poser ma langue sur son petit trou. J’avais manifestement trouvé un point faible, car à partir de là; elle s’est mise à pousser des petits cris et à sursauter à chaque fois que j’effleurais son conduit.

Je n’étais pas du tout expert mais quand j’ai senti sa respiration s’accélérer et surtout s’approfondir, j’en ai conclu que elle était sur le point de prendre son pied. Les minutes qui suivirent ont confirmé ma supposition, Marie à serré ma tête de toutes ses forces contre son intimité et elle a poussé un cri fou; comme un cri de détresse, elle venait de prendre son pied. Pendant plusieurs secondes, je me retrouvais en apnée; mon nez ainsi que ma bouche étaient carrément calfeutrés avec son minou. Puis la pression a cessé, elle reprenait maintenant ses esprits; à ce moment, elle était d’une douceur et d’une fragilité que je ne connaissais pas en une femme. Marie est restée entre deux eaux une bonne dizaine de minutes avant de reprendre ses esprits.

Il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour reprendre le dessus et me débarrasser de mon jean et sur tout de mon justaucorps. Je vous laisse imaginer dans quel état était mon sexe; elle l’a saisi en douceur pour le caresser, mais aussi le jauger me semble-t-il. Vu la tournure des événements j’étais parti pour perdre mon pucelage; car j’avais déjà caressé une fille, j’avais déjà brouter le minou d’une fille, mais je n’avais jamais pénétré une fille. Elle a saisi plus fermement et agrippé mon sexe puis a tiré ce dernier vers le sien; j’étais obligé de la suivre en avançant mes genoux dans la voiture. Elle m’a interrogé en me regardant dans les yeux pour savoir si j’avais déjà fait ça, en toute honnêteté je lui ai répondu par la négative. Maintenant elle était en train de caresser l’entrée de son vagin avec le gland de mon sexe, je pense qu’elle se faisait beaucoup de bien mais accessoirement elle m’en faisait aussi beaucoup.

Je me suis positionné pour pouvoir donner un coup de rein quand elle m’y autoriserait, je ne savais pas si j’allais avoir mal le premier coup mais je savais que j’allais prendre du plaisir quand même. Avec son autre main elle a tiré mon visage au sien pour m’embrasser amoureusement; nos langues se sont rejointes. En me relevant à elle elle avait fait approcher mon sexe et c’est ainsi que je l’ai pénétré tout en douceur; à ma grande surprise cela ne m’a occasionné aucune douleur. J’ai commencé à glisser en elle et je ne savais pas à quel moment j’allais arrêter de rentrer en elle. J’ai réalisé à ce moment-là que la nature était bien faite et qu’en fait mes petites boules se sont mises à taper sur ses fesses. Ce qui indiquait que j’étais, pour ainsi dire, arrivé en butée, cette sensation de coulisser dans son vagin était source de plaisir intense.

J’ai commencé à prendre confiance en moi puis je me suis mis à aller et venir en Marie en essayant d’aller toujours plus profondément. Maintenant mon infirmière était accroché à mes fesses et, elle aussi, essayait de me faire aller encore plus loin en elle. Avec ses mains qui s’étaient agrippés à moi, elle me faisait encore plus d’effet et du coup mon sexe grossissait et se frottait un peu plus à ses parois intimes. Sans vouloir être prétentieux je trouvais que pour une première je ne m’en sortais pas mal. À ma grande honte au bout de 10 minutes je n’ai pu me retenir et je lui ai balancé énormément de liqueur au plus profond d’elle. Pour me rassurer elle m’a dit que c’était normal, pour une première en général l’homme avait une petite tendance à partir rapidement.

J’ai continué à aller et venir en elle encore un petit peu mais c’était pour la forme; tout comme Marie, j’étais en train d’avoir moi aussi mon petit contrecoup après mon éjaculation. Marie s’est mise à m’embrasser amoureusement tout en me félicitant pour avoir perdu mon pucelage. Elle m’a dit aussi que pour une première je ne m’en étais pas mal sorti et qu’elle serait heureuse que les prochaines fois lui soient réservées. Elle a retiré ses jambes pour s’allonger sur la banquette arrière, elle a quand même veiller à ce que ces petites fesses ne soient pas en contact direct avec le siège. De cette façon, si cela venait à couler cela ne coulera pas dessus; elle préférait souiller sa jupe de mon sperme plutôt que de tacher le siège de la voiture. Nous sommes restés l’un sur l’autre une bonne dizaine de minutes Histoire de savourer ce moment de douceur.

Ensuite Marie m’a aidé à remettre mon justaucorps et demandé de renfiler mon pantalon, nous nous sommes refaits présentables puis sommes de nouveau passés à l’avant de la voiture et elle m’a déposé dans la rue devant chez moi. Comme mardi je suis rentré chez moi avec la tête dans les nuages, comme mardi avant de prendre ma douche je me suis allongé sur le lit et me suis fait un petit plaisir avec le tanga que m’avait laissé Marie. Tout le weekend j’ai pensé à tout ce que j’avais vécu cette semaine, ma maman m’a dit que j’étais un peu bizarre mais je lui ai expliqué que j’étais un peu courbaturé après mes cours de gym. Le dimanche après-midi je suis parti faire du VTT dans les bois histoire de me changer les idées, à mon retour, je suis mis à travailler car j’étais étudiant à la fac d’Orsay.

Le dimanche soir, j’ai reçu un sms; à ma grande surprise c’était un message de Marie qui me disait qu’elle avait avait envie de vite me revoir. J’étais un peu flatté qu’une femme d’au moins 25 ans de plus que moi ait envie de refaire des folies avec moi. En même temps comment pouvais je lui refuser, elle qui m’avait pris mon pucelage. Je lui ai répondu que ce serait avec grand plaisir que j’aimerais la revoir mardi, au cours de gym. Le mardi venu je suis arrivé vers 7h40 pour un cours à 20h bref le temps de me préparer, Franck est arrivé en même temps que moi. Rapidement j’ai vu qu’il attendait ce petit moment magique celui de me fermer mon zip et en profitait pour subrepticement me déposer quelques caresses. Vu que nous étions pour l’instant que tous les deux dans le vestiaire il en a profité pour me caresser le sexe; je me suis laissé faire car, il faut l’avouer, ses caresses étaient très agréables.

Quand un autre homme est arrivé, nous sommes sortis du vestiaire pour nous rendre dans la salle; nous n’étions que tous les deux dans la salle pour l’instant et Franck n’a eu aucun attouchement à mon égard mais seulement des mots évocateurs. Je commençais à prendre confiance en moi dans cette tenue qui mettait en valeur mes atouts bien masculins, par contre au niveau du suivi du cours il y avait encore beaucoup de boulot à faire. Il fallait que je me fasse une raison, à tous les cours j’allais avoir une érection visible de tous et surtout toutes. Comme aux cours précédents, j’ai eu le droit à des caresses assez précises mais dissimulées de la part de Franck, puis ensuite à la fin du cours je suis parti. Le vendredi, même manège, j’ai eu le droit à me faire caresser par Franck dans le vestiaire avant le cours puis après quelques attouchement furtifs pendant le cours puis je suis parti.

De la même façon qu’au cours du vendredi précédent, Marie m’a attrapé par la main et s’est proposée à me ramener, à la différence du dernier coup c’est que ce coup-ci il y avait Coralie qui l’accompagnait. Tout comme Marie, Coralie était une grande et très jolie femme d’à peu près le même âge. Nous montâmes dans la voiture mais ce coup-ci j’étais à l’arrière avec Coralie, ce soir le trajet allait être un peu plus long car nous ramenions Coralie chez elle à Limours. Pendant le parcours en discutant nous nous découvrions un peu plus tous les trois, ainsi Coralie était à la tête d’une petite PME d’une quarantaine de personnes. Je ne sais pas trop ce qui m’arrivait mais j’avais une petite tendance à me coller à elle, son parfum ne me laissait pas pas indifférent. Ce qui m’a le plus étonné c’est que Coralie est venue poser sa main sur ma cuisse; puis elle est montée jusqu’à mon entrejambe jusqu’à venir me caresser le sexe. 

Marie ne voyait rien mais mon petit doigt me dit qu’elle était au courant de ce qui se passait à l’arrière de sa voiture. 10 minutes durant Coralie m’a caressé l’entrejambe au point même de libérer mon sexe pour me le masturber tout discrètement. Marie nous a informé qu’on arrivait bientôt, à mon grand étonnement cela n’a pas du tout dérangé Marie qui a continué sa masturbation. Quand nous sommes arrivés, grande a été ma gêne car Coralie tenait toujours mon sexe en main. Coralie a lâché mon sexe, je me suis empressé de le dissimuler dans mon pantalon; puis elle m’a pris par la main en sortant de la voiture. Là, elle m’a dit qu’elle aimerait que je passe la soirée avec elle, Marie à rajouter que je pourrais même passer la nuit sur place. En gros je ne maîtrisais même plus mon planning. Marie m’a demandé d’appeler ma mère pour l’informer que je ne dormirai pas à la maison ce soir, chose que je fis sous forme d’un SMS.

Voilà comment je me suis retrouvé invité à passer la soirée chez Coralie et elle avait invité par la même occasion Marie. Il était 22h et Coralie nous a réchauffé des nems, nous en avons facilement mangé une bonne vingtaine à nous trois en sachant que c’est moi qui en ai mangé le plus. Coralie a montré à Marie où aller prendre sa douche puis ensuite c’est elle qui est partie se doucher. Toutes les deux sont ressorties dans de magnifiques nuisettes longues en lycra et près du corps. Maintenant elles m’ont invité à faire de même à savoir aller prendre moi aussi ma douche, c’est vrai que ce n’était pas un luxe et que j’avais projet de le faire en rentrant chez moi. J’étais un peu gêné car je savais que Coralie avait des enfants, je n’avais pas envie de me retrouver tête à tête avec eux dans la maison.

Coralie a deviné ma gêne et m’a invité à aller prendre ma douche dans la salle de bain de sa chambre. Cela m’a fortement rassuré du coup je suis parti prendre une douche réparatrice, je comptais aussi sur cette dernière pour calmer un peu mes ardeurs; car mine de rien Coralie m’avait bien chauffé dans la voiture. Je suis facilement resté un bon quart d’heure sous la douche, quand je suis sorti j’ai très apprécié la douceur et l’épaisseur des serviettes. S’essuyer devenait un plaisir, ces pièces de coton me prodiguaient un bien fou; bon assez rêvassé; je n’étais pas chez moi, il fallait que je me rhabille. Quand je suis sorti de la salle de bain, grande fut ma surprise de constater que mes vêtements n’étaient plus là. À la place se trouvait une magnifique robe en lycra viscose qui devait au moins me descendre jusqu’aux chevilles.

En espérant que ce nouveau chapitre vous ait plu

Gros bisous et bonne année 2018 

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