De retour de vacances, j’en profite pour vous raconter la suite de mon fantasme, donc maintenant Solange sait que Emilie et moi avons couché ensemble, cela ne semble pas la troubler, et elle me demanda très directement si j’aimerais coucher avec elle, ma réponse fut un oui bien sur, comment en aurait-il pu être autrement, donc maintenant j’en avais deux à satisfaire, une avertie et une à décapsuler comme j’aime dire, un week-end de trois jours devrait suffire, pour faire d’une pucelle une vrai salope, j’ai donc commencé par l’embrasser tendrement, avant de lui prendre la main et de la conduire dans ma chambre, la plus spacieuse, j’avais besoin d’intimité rien qu’avec elle, je l’ai déshabillé, lentement caressant son corps, avec douceur et délice, je la sentais un peu tendue, mais la qualité de mes caresses et les mots doux, le ton de ma voix, l’ont peu à peu détendu, je savais qu’avec elle je devais prendre le temps, ce que je fis, les caresses se portèrent sur sa poitrine, après lui avoir embrassé les aisselles, mes mains caressent ces seins assez gros, mes doigts jouent avec ces mamelons, tiraillés, agacés, sucés, roulés entre les doigts, elle a commencé à gémir presque tout de suite, les caresses se prolongèrent assez longtemps je collais mon corps contre le sien, je sens sa sueur perler puis ruisseler de son corps je savais aussi qu’elle avait le con trempé, une bonne chatte bien rasée, l’odeur de la cyprine s"éleva bientôt dans la pièce, cela me procura une excitation, plutôt intense, il était temps de pousser plus avant mes investigations, poursuivre l’exploration du magnifique corps de ma soeurette, jamais Emilie, mais Solange dépassa mes espérances, plus sensible, plus sensuelle, plus amoureuse en fait, jaccède à son fruit défendu, qui allait devenir mien, l’odeur et le liquide qui coulait depuis le début en fait fut rapidement débarbouillé, je ne travaille que sur des sexes propres, un coup de langue pour laver ce con puis un cunnilingus s’en suivit, les orgasmes senchaînèrent, explosant de toute part, ses hurlements à chaque orgasmes témoignèrent de son intense plaisir, elle ne simulait pas, c’était vraiment du plaisir puissance infini, elle me supplia de lui portai le coup de grâce elle voulait ma queue dans le ventre, mais non ma chérie, tu vas souffrir encore avant d’avoir Paulo entre les cuisses , je veux te faire mourir de plaisir, je suis un genre de sadique, la souffrance des femmes dans le plaisir mexcite, follement, un satyre en puissance, un inconditionnel de la souffrance par le plaisir, elle coulait littéralement, s’en suivit un annulingus qui valait lui aussi son pesant d’or, je ne me suis par contenté de lui lécher le sphincter, je suis allé beaucoup plus loin enfonçant ma langue bien profond, goûtant le goût de son cul, puis un, deux, et enfin trois doigts bien profond, et après avoir dilaté ce trou du cul je savais que je passerais facilement, enduit de salive, je lui ai enfilé un gode monstrueux, sa réaction fut immédiate un hurlement de douleur suivi de plusieurs des mêmes hurlements mais de plaisir cette fois, après plusieurs va- et-vient et un nouvel orgasme, elle s’écroula repue, la suite après un court instant de repos, lui laissera un souvenir inoubliable , la suite plus tard .

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