Aucun de nous deux n’a remis de vêtements et c’est nu que nous nous installons pour prendre l’apéritif devant le feu de cheminée qui crépite.
Sandrine revient avec deux verres vides et les pose sur la table basse.
Elle est magnifique, remaquillée et les cheveux rassemblés dans une épaisse natte, un rouge épais et foncé sur les lèvres, et suprême raffinement le même rouge recouvre les mamelons de son opulente poitrine.
Les tétons ainsi peints sont dressés comme deux énormes framboises appétissantes à souhait.
Après un bien chaste bisou elle s’accroupit, prend un des verres et tout en m’adressant un autre baiser elle se met à pisser dedans en faisant bien attention de ne rien mettre à côté.
— A toi mon chéri !
Me dit-elle en me tendant l’autre verre.
Je n’ai pas vraiment le choix et je m’exécute avec quelques difficultés, d’une part parce que j’avais déjà uriné sous la douche et d’autre part parce que mon sexe commence à se rigidifier sérieusement.
C’est donc une toute petite dose que je réussis à servir à ma cochonne de grande sur.
Nous trinquons et j’avale d’un trait le breuvage encore chaud et odorant ; ça passe nettement moins bien que tout à l’heure dans le feu de l’action.
Je réprime un début de nausée le plus discrètement possible, car Sandrine me regarde si amoureusement que j’aurais fait n’importe quoi pour continuer à lui plaire.
A son tour elle porte le verre à sa bouche, elle boit doucement, elle déguste carrément cette urine que j’ai eu tant de mal à lui donner.
Une nouvelle fois nos bouches se soudent et nos langues s’emmêlent dans des saveurs que je ne connaissais pas jusqu’à aujourd’hui.
Heureusement pour moi cette boisson très spéciale est suivie d’une bonne rasade de vieux whisky, mais même après cela un goût bizarre persiste en bouche.
— Tu aimes les olives ?
Demande telle.
Je réponds affirmativement bien qu’aucune olive ne soit visible sur la table.
Sandrine monte sur la table basse, à genoux les cuisses écartées et en appui sur les coudes elle me présente son cul.
Son anus se tend vers moi tel une bouche qui va donner un baiser.
Et je réalise soudain qu’elle est en train de pousser comme si elle allait déféquer.
Pourtant aucun excrément, aucune crotte ne sort de cet orifice, mais bel et bien une olive verte.
Le fruit est expulsé avec un petit bruit mouillé et rebondit en touchant le bord de la table.
Je le récupère avant qu’il ne tombe par terre et le mange immédiatement.
Déjà une autre olive apparaît telle une perle au centre de l’écrin plissé de ce magnifique trou du cul, mais cette fois je suis beaucoup plus rapide et je la recueille directement dans ma bouche.
Plusieurs autres me sont encore servies par ce merveilleux distributeur, je les mange toutes sauf une que je partage avec Sandrine au cours d’un baiser passionné.
Je voudrais que cela ne s’arrête jamais, je colle ma bouche à ce cul comme une ventouse, ma langue pénètre l’anus tel une petite bite, je fouille et je suce bruyamment, je suis même étonné par la profondeur à laquelle je suis capable d’aller mais je ne rencontre plus aucune olive.
Cette dégustation perverse me fait bander à en avoir mal, aussi pour la première fois c’est moi qui prends l’initiative.
Je me redresse et place le gland violacé de ma bite contre l’illet du cul ainsi offert, l’anus déjà bien assoupli par mes caresses buccales et lubrifié par ma salive n’oppose guère de résistance à ma poussée.
Mais c’est Sandrine elle-même qui, d’un brusque mouvement vers l’arrière, s’empale sur mon sexe, et je me retrouve planté dans son cul jusqu’aux couilles.
Mon fantasme le plus cher vient de se réaliser, ma première sodomie !
Je pistonne le rectum de ma sur comme un fou, son sexe émet des bruits grotesques et obscènes à chacune de mes poussées, cela ne fait qu’augmenter encore mon excitation.
De temps en temps je me retire pour admirer le trou béant avant d’y replonger encore plus fort.
Sandrine s’est également fourrée plusieurs doigts dans la chatte, je le perçois nettement à travers la mince paroi qui les sépare de ma queue.
Son dos est luisant de sueur que je lèche en me penchant vers elle, du coup mon sexe a glissé hors de son fourreau anal, elle me hurle de revenir, c’est la panique et me voilà dans son vagin.
Ma queue va d’un orifice gluant à l’autre, son cul est tellement dilaté que je ne sais même plus si je suis dans sa chatte ou son anus, les deux semblent maintenant trop larges pour ma bite.
Le point de non-retour approche, j’agrippe ses hanches pour bien rester au fond, je veux jouir dans son cul et c’est dans un long cri commun que je déverse mon foutre dans les entrailles de Sandrine.
Des spasmes la secouent encore lorsque je retire mon sexe de son anus.
Le spectacle est merveilleux, elle est sur les genoux, le visage et le buste posés à même la plaque de verre qui constitue la table de salon et ses seins ainsi écrasés dépassent largement de chaque côté de son torse.
Mais le plus envoûtant c’est son cul qui semble ne plus vouloir se refermer, un trou sombre au bord rougi d’où sécoule les traces de ma jouissance, et je ne résiste pas à l’envie d’y porter ma bouche afin de le nettoyer jusque dans les moindres replis.
L’amour ça creuse et nous finissons tout de même par manger quelque chose de plus solide.
Je ne m’attarderai pas sur le sujet puisque cela s’est fait de manière tout à fait normale et convenable, la seule fantaisie que nous nous sommes accordés concerne le vin.
Pas question d’avaler le contenu de son verre, il faut le garder en bouche pour en abreuver son partenaire en lui donnant un baiser torride ; inutile de préciser qu’avec une telle méthode la bouteille n’a pas fait long feu.
C’est donc un peu éméchés, et ivre de bonheur en ce qui me concerne, que nous avons gagnés la chambre à coucher.
Ce qui se passera jusqu’à mon départ le lendemain matin pourrait largement faire l’objet d’un autre récit, je vous laisse le soin de me dire si vous avez envie de le connaître