On va plonger quelques mois plus tard. Il y a bien d’autres découvertes, expériences et plaisirs à raconter, mais on y reviendra. Après avoir raconté les deux premiers chapitres, j’avais très envie de vous partager cette histoire-ci.
Cela fait donc plusieurs mois que je m’ébats avec Charlotte et Tony. Charlotte est sexuellement surprenante, créative et autoritaire. Tony est plutôt joueur, partageur et opportuniste. Moi, je les suis surtout et la plupart du temps, me plie à leurs envies. Après tout, je suis peu expérimenté (voire pas du tout sur certains terrains où ils m’emmènent) donc autant les laisser faire mon "éducation". Et puis, même si je ne prends pas les rênes, je prends un plaisir dingue dans les aventures qu’ils créent rien que pour nous.
La soirée qui se profile ne pouvait être qu’une idée de Charlotte. Je n’avais même pas besoin d’en avoir la confirmation, la lecture de ce seul SMS me l’assurait: " Ce soir, 20h35, une villa aux abords de la ville. Sois SUPER ponctuel, à la minute près. " A cela était ajoutée l’adresse du lieu de débauche du soir. Parce qu’aucun doute possible, un texte aussi court, sans aucune trace de notre affection mutuelle, résonnant comme un ordre, menait immuablement à une soirée de sexe. Seul le lieu était inhabituel. Mais cette tigresse n’avait laissé aucune place pour un interrogatoire, aussi minime soit-il. Il me faudrait donc, une fois de plus, me laisser aller à la surprise, avec un peu d’appréhension et surtout beaucoup d’excitation.
Respectant scrupuleusement les indications qui m’avaient été données, je ne sonnais à la porte qu’à 20h35 pile. Il suffit de quelques secondes avant que la porte ne s’ouvre. Un grand baraqué se tenait dans l’embrasure, me toisant de haut en bas comme s’il m’analysait à l’aide d’un il bionique. Le teint basané, les muscles saillants, un regard profond qui devait être envoûtant une fois qu’un peu de douceur y était déposée, il était clairement bel homme. J’en vins à me dire que si la surprise était là devant moi, la soirée allait être paradisiaque. Une chose est sûre, mon amie n’avait pas fait les choses à moitié. Une fois son analyse terminée, celui qui ressemblait plus à un garde du corps qu’un majordome me laissa entrer. Le hall de la demeure était gigantesque, magnifique. On se serait cru dans un de ces films où une famille riche et célèbre possède une maison trois fois trop grande pour ses habitants. Une jeune femme que je ne connaissais pas est venue m’arracher à mes rêveries.
Des cheveux aussi noirs qu’un corbeau, des yeux verts qui vous transpercent en une demi-seconde, un sourire à faire fondre le plus froid des hommes…
Et surtout, surtout, une robe blanche tellement moulante qu’elle ne suggérait pas, elle décrivait les formes parfaites de ce qui commençait à ressembler à un mirage. Aucun doute possible sur le fait qu’elle ne portait aucun sous-vêtement, c’est à se demander s’il y avait seulement la place, tant le tissu semblait être sa deuxième peau. Hébété par la beauté qui se tenait devant moi, je restais figé dans une espèce d’attente de ce qui allait arriver. C’est finalement elle qui rompit ce moment de contemplation:
Bienvenue. Je suis Lise et je serai votre hôtesse de la soirée. Vous êtes prié d’enfiler cette tenue. Je vais vous conduire à votre chambre.
Tout à coup, mes esprits revinrent au triple galop. J’attrapais Lise par la taille, et tout en collant son corps contre le mien, lui susurrait à l’oreille: " Lise, je sens que cette soirée va être inoubliable.
Oh, mais nous y comptons tous, Monsieur. Tout sera fait en ce sens, j’y veillerai personnellement" répondit-elle de manière lascive, tout en laissant glisser sa main gauche de mon torse jusqu’à mon sexe qui durcissait à la vitesse de l’éclair.
Et elle me repoussa d’un air espiègle et partit devant. Je la suivais sans perdre une miette de ce magnifique fessier qui semblait m’appeler. Elle a fini par ouvrir une porte qui donnait sur une chambre à la hauteur de ce que laissait présager le luxueux hall d’entrée. J’ai pénétré le premier dans la pièce sous le sourire encourageant et sexy de mon accompagnante, impatient de pouvoir coller à nouveau mon corps contre le sien. Je balayai la pièce d’un regard circulaire. Bizarrement, la première chose qui me frappa, c’est l’énorme lit qui trônait fièrement au milieu de ce décor incroyable.
Eh bien, Lise, si vous avez une copine à inviter, nous ne serons pas trop de trois pour remplir ce lit.
J’avais à peine terminé ma phrase que la porte claquait derrière moi. Un tour de clé suivit. J’étais donc enfermé… et seul. Je m’attendais à ce qu’une surprise se cache dans la chambre, mais rien ni personne ne surgit. J’en venais à être frustré de l’abandon de Lise, moi qui me voyais déjà passer un moment de rêve avec cette sublime créature. Je savais pourtant trop bien que c’était un des jeux préférés de Charlotte: créer la frustration pour faire monter le désir au plus haut point. L’ennui me gagna pourtant et je m’assoupis. Je me mis à rêver tout de suite. Mon hôtesse était revenue et était en train de me sucer divinement afin de me réveiller. Son regard de coquine m’excitait au plus haut point. Elle me montait alors dessus, faisant disparaître mon sexe fièrement dressé en elle. Ses mouvements de reins me comblaient de bonheur. Au fur et à mesure de mes soupirs de plaisir, elle accélérait le rythme, me poussant toujours un peu plus vers l’extase.
Elle se retirait alors et me présentait sa croupe, m’invitant à la prendre en levrette. Je ne me fis pas prier et m’enfonçai en elle aussi profond que possible. J’entamais alors des mouvements de plus en plus rapides, de plus en plus forts comme si je voulais la transpercer. Elle en réclamait toujours plus. Je sentais monter la jouissance, j’allais pouvoir me finir en elle, moi qui n’avais pensé à rien d’autre depuis que j’étais entré dans cette maison.
Réveillez-vous, il est temps de vous habiller, on vous attend.
Lise était au-dessus de moi, mais toujours vêtue, et tout ce qu’il s’était passé n’était qu’un tour de mon esprit. Une couche de frustration supplémentaire vint donc s’ajouter.
Tout en maugréant, je me redressai en position assise. Mon hôtesse me tendait la tenue qu’elle m’avait donnée avant d’entrer dans la chambre.
Tenez, enfilez ça et ne traînez pas.
Je sortis du lit et obéis. Je commençais à me déshabiller et remarquai tout à coup que la belle Lise ne détachait pas son regard de moi.
Si vous me regardez me déshabiller, je dois pouvoir en voir autant.
Oh, vu vos gémissements de tout à l’heure, il semble que votre imagination fasse très bien le travail. Enlevez vos sous-vêtements aussi, vous ne devez avoir rien d’autre que la combinaison.
Si vous voulez mes sous-vêtements, il faudra venir les chercher vous-mêmes.
A votre service.
Un large sourire vint se planter en travers de mon visage. Je pensais avoir gagné. Elle s’avança vers moi, planta ses yeux dans les miens, colla nos corps l’un contre l’autre et se laissa glisser le long de mon torse. Arrivée à bonne hauteur, elle baissa mon caleçon avec ses dents, découvrant mon sexe encore bien raide des rêves à peine évanouis quelques minutes plus tôt. Elle passait alors sa langue tout le long de ma queue, m’arrachant des râles de désir profond et d’impatience. N’en pouvant plus de ce petit jeu, j’attrapais l’arrière de sa tête et dirigeai sa bouche, délicatement, mais fermement, vers ma bite. Elle la prit en bouche jusqu’au fond de sa gorge. Elle profita de la sensation de plaisir intense que cela me procura pour repousser ma main qui avait un peu lâché prise, et s’écartait de moi.
Dépêchez-vous, on y va.
Je n’en revenais pas. Elle se moquait littéralement de moi. Je n’avais qu’une chose en tête, l’attraper, l’allonger sur le lit et la baiser sauvagement. Mais elle tournait déjà les talons en direction de la porte. Je n’eus d’autre choix que de m’habiller et de la suivre. La frustration était telle que je ne voyais rien du décor qui nous entourait, captivé par les fesses de Lise et tout ce que j’avais envie de lui faire. Je dus me retenir à maintes reprises pour ne pas lui sauter dessus. Charlotte m’arracha à ces rêveries juste devant une énorme double porte blanche. Je vis mon hôtesse s’éloigner vers une autre porte. Je ne pensais plus la revoir. Je m’apprêtais à protester et à interroger Charlotte. Celle-ci me coupa net et me dit: " A partir de maintenant, tu ne dis plus un mot, tu fais ce qu’on te dit, rien de plus, rien de moins." Elle tatoua ma combinaison blanche d’un gigantesque numéro trois. "Tu ne seras plus appelé que comme cela jusqu’à la fin de la cérémonie".
On aurait dit qu’elle parlait d’un sacrifice sectaire. "Tu vois cette porte là-bas, celle par laquelle Lise est partie ? Tu vas y entrer, t’asseoir dans le fauteuil qui fait face au lit et ne pas bouger jusqu’à ce que quelqu’un te donne un ordre contraire. C’est bien compris ?"
Docile, je hochais la tête en guise d’acquiescement. "Vas-y, et n’oublie pas, pas un geste, pas un mot, juste t’asseoir et regarder".
Je marchai sur les traces de Lise. Je commençais à être trop malmené que pour pouvoir réfléchir. J’obéissais aveuglément. Sur le pas de la porte, j’entendais des soupirs et une voix féminine manifestement satisfaits. J’entrais et me figeai un instant. Lise était étendue sur le dos, complètement nue, un homme que je n’avais jamais vu était en grande entreprise entre ses cuisses ouvertes. Elle me regarda et me désigna le fauteuil face au lit. J’allais m’y asseoir. Je sentais une rage alimentée par une jalousie profonde envers l’homme sur le lit de la femme qui me faisait fantasmer depuis des heures. Il la léchait tant et si bien qu’elle se tortillait dans tous les sens. Ma frustration se décupla encore lorsque je vis l’homme se redresser et pénétrer la belle hôtesse sans ménagement. Ils s’assuraient toujours de se mettre de façon à ce que je ne puisse pas perdre une miette du spectacle. Ma queue semblait vouloir transpercer ma combinaison.
Aucune horloge alentour, mais je suis persuadé que ce "supplice" dura bien une grosse heure. Après être passés par toute une série de positions, les deux amants semblaient au bord de la jouissance. Alors, comme dans mon rêve un peu plus tôt, Lise présenta sa croupe et l’homme vint la prendre en levrette. Il semblait rebondir sur les fesses de la jolie brune à chaque coup de reins qu’il lui donnait. Elle hurlait de plaisir. Au bout de quelques minutes qui me parurent interminables, il eut un dernier coup de reins, plus fort que tous les autres, et ils jouirent ensemble. L’homme s’affala sur le lit, Lise se leva, vint vers moi, m’embrassa à pleine bouche, me prit par la main et me fit quitter la pièce. Du sperme coulait le long de ses magnifiques jambes. Elle me ramena devant la double porte blanche et l’ouvrit: "Numéro trois, entrez."
Je me retrouvais dans une énorme pièce circulaire complètement vide. Ou presque. Un long canapé rouge était placé au milieu de ce qui avait presque les allures d’une arène. J’étais plongé dans une semi-obscurité et n’arrivais pas à comprendre d’où la voix qui m’avait ordonné d’entrer se trouvait. C’est en levant la tête que j’eus ma réponse. Autour de la pièce, à l’étage, se trouvait un large balcon. Comme si j’étais sur une scène, face à des spectateurs. Et il commençait à ne faire aucun doute qu’effectivement, j’allais être une attraction de leur soirée. La voix était celle de Charlotte qui trônait telle une présidente de cérémonie. Tout autour d’elle, j’apercevais une dizaine de personnes ou plutôt d’ombres, la faible lumière m’empêchant de distinguer quoi que ce soit d’autre. On était en plein milieu d’une réunion secrète d’un club de petits riches cherchant à assouvir des fantasmes et à vibrer sexuellement.
J’apprendrais plus tard que Charlotte est effectivement leur maîtresse de cérémonie et est chargée, avec Tony, de recruter et amener les personnes jusqu’à eux.
En face de moi, sur une petite table, un large vase contient des boules numérotées.
Plongez votre main dans le vase, tirez une boule et annoncez-nous le numéro.
Il ne fait aucun doute qu’elle prenait son rôle très au sérieux, allant jusqu’à me tutoyer comme si j’étais un parfait inconnu.
Numéro 8.
Mâle numéro 3, embrassez-la.
Je m’approchais d’elle, posais ma main sur son visage et l’embrassais à pleine bouche. "Stop". Nous nous arrêtions. "Très bien, je vois que vous avez bien compris le principe. Nous allons vous laisser libres de vos mouvements. Arrangez-vous pour que chacun de nos invités en ait pour son argent. Dès que l’un d’entre eux vous aura choisie, il pourra intervenir à sa guise. Je transmettrai alors ses ordres, vous devrez les exécuter, quels qu’ils soient. Que les corps se déchaînent."
Nous avons recommencé à nous embrasser langoureusement. Toute cette tension sexuelle m’avait, sans que je m’en rende vraiment compte, énormément excité. Très vite, j’ai senti les mains de numéro 8 me déshabiller. Alors qu’elle commençait à descendre en même temps que ma combinaison, mon sexe pratiquement dans sa bouche, notre maîtresse de cérémonie est intervenue: "Vous venez de trouver acquéreur. Numéro 3, vous allez allonger numéro 8 sur le canapé. Léchez-lui sa petite chatte."
J’en étais tout autant ravi, aimant goûter de ma langue au sexe de mes amantes, que frustré, j’avais envie de profiter de mon plaisir. Mais nous exécutions les ordres. Je la poussais donc délicatement jusqu’au canapé, mes yeux plongés dans les siens, tous deux dévorés par un besoin irrépressible de se laisser aller au plaisir sous toutes ses formes. J’étais désormais entre ses cuisses grandes ouvertes. Dès le premier effleurement de ma langue sur son clitoris, numéro 8 a été comme parcourue d’un courant électrique. Son corps s’est légèrement soulevé, tendu. Elle mouillait abondamment. Finalement, cela m’amusait de la voir abandonner à ma bouche comme cela. Je m’appliquais, me fiant à ses soupirs et ses mouvements de bassin pour lui procurer un maximum de plaisir. Quelques minutes plus tard, son corps s’est complètement crispé, elle a attrapé ma tête pour la plaquer encore un peu plus contre sa chatte.
Elle jouit, ses cris rebondissant en échos sur les murs vides, sa mouille me coulant un peu dans la bouche. Elle se détendit ensuite, se rallongeant sur le canapé. J’avais pris tellement de plaisir à son plaisir à elle que j’étais, moi aussi, à deux doigts d’exploser. Je lui grimpais dessus, embrassant ses seins, remontant jusqu’à sa bouche. Elle attrapa ma queue de sa main, ce simple contact me procurant des sensations dix fois supérieures à d’habitude pour un geste si anodin. Elle me retourna sur le dos, se retrouvant au-dessus de moi. Elle m’embrassait partout, descendant de nouveau vers mon sexe. ENFIN…
Elle le prenait en bouche. C’était divin, sa langue jouait avec mon sexe, ses allers-retours le long de ma queue…
Oh, bon sang, c’était incroyable. Mais cela ne dura que peu de temps. "Numéro 8, empalez-vous sur sa queue". L’espace d’un instant, j’étais furieux. Je mourrais d’envie de me faire sucer et au bout d’une petite minute, ils avaient interrompu cela. Ce sadisme me paraissait volontaire.
Elle, elle ne se fit pas prier. Elle vint à califourchon sur moi, engloutissant ma queue dans sa chatte. Ses petits mouvements de départ laissèrent très vite la place à de grands coups de reins, nous arrachant à tous deux des soupirs de plaisir. Après quelques minutes, je ne réfléchis plus, je la retournais sur le dos, me plaçais entre ses cuisses et la pénétrais, l’assénant à mon tour de grands coups de reins. Toute cette excitation pendant des heures, ces frustrations à répétition m’avaient transformé en un animal, une bête uniquement à la recherche du plaisir. Cela avait l’air de plaire à numéro 8. Elle fit mine de s’échapper, à 4 pattes devant moi. Je la rattrapais, la montais par-derrière. Ainsi en levrette, je me rendis compte qu’elle avait en fait un très beau cul. Je la baisais comme ça sauvagement, nous criions de plaisir tous les deux. "Oh oui, encore, encore, je viens". Elle jouit une deuxième fois. Nous fûmes tout de suite arrêtés par un nouvel ordre: "Encule-la".
Je vis numéro 8 redresser la tête, peu rassurée par ce nouvel ordre. J’hésitais donc, l’animal se calmant quelques secondes. Je n’avais pas envie de faire quelque chose que mon amante n’aurait pas aimé. L’injonction vint une deuxième fois, comme pour effacer notre hésitation: "Encule-la !". Numéro 8 se résigna, l’orgasme tout récent aidant à l’abandon dont elle faisait preuve. Elle remit son cul à ma hauteur. Je présentais ma bite à l’entrée de son petit trou. Nul doute que ce n’était pas dans ses habitudes sexuelles, voire même peut-être que c’était la première fois. Je dus forcer un peu pour entrer. Un petit peu d’abord. Je m’arrêtais. "Ca va ?" Elle me fit un signe de tête. Je m’enfonçais alors entièrement en elle, toujours doucement. Elle eut un petit gémissement, moi un râle de plaisir. Je commençais des allées et venues dans ce superbe cul. Très doucement d’abord. Je sentais numéro 8 se détendre au fur et à mesure.
Je sentais aussi l’animal en moi prêt à reprendre le premier rôle. Quand elle eut cette fois un gémissement de satisfaction, ce fut comme le signal de départ: la bête était de retour. Je redevins sauvage. Accélérant mes assauts, je ne pensais cette fois plus qu’à moi et au plaisir que cette sodomie me procurait. Ma respiration s’accélérait, mon plaisir s’intensifiait à chaque coup, j’approchais moi aussi de l’orgasme. "Tu as autorisation de te finir dans son cul".
Oh, merci, un autre ordre m’aurait terriblement déçu. Numéro 8 compléta ce magnifique tableau: "Oh, oui viens, viens en moi, remplis-moi". Sur ces mots excitants d’encouragement, j’éjaculais dans son cul en hurlant de plaisir. Nous sommes retombés sur le canapé, épuisés par le plaisir intense que nous venions de partager. Deux ou trois minutes plus tard, on reçut l’ordre de repartir chacun par la porte par laquelle nous étions entrés dans la pièce. Je me retournais une dernière fois pour regarder ses fesses s’éloigner dans l’obscurité.
A la sortie de la salle, Lise m’attendait, de nouveau habillée comme lors de mon accueil. On me fit transiter à nouveau par la chambre dans laquelle la magnifique hôtesse m’avait enfermé un peu plus tôt. Je pris une douche, regrettant que numéro 8 ne soit plus avec moi. Je m’endormais ensuite sur le lit, toujours complètement nu. J’attendais de savoir s’il convenait de quitter la maison ou s’il y avait encore un programme prévu pour moi.