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Drague avec mes fesses – Chapitre 22




Nous restons seules avec Sandrine. Après avoir fait la vaisselle et tout rangé, nous nous installons sur le divan. Hector se lève et vient vers nous. Nous commençons par lui offrir nos sexes grands ouverts. Sa langue se pose sur mon périnée et remonte jusqu’à mon clitoris. Sandrine se penche sur moi pour me gober le sein gauche, de sa main gauche, elle vient me pincer le téton droit. Ces trois actions simultanées me font jouir très vite, mais Hector reste sur mon sexe, et Sandrine sur mes seins, il ne me faut qu’une minute pour repartir dans un second orgasme. Je me laisse aller, je profite du moment autant que je peux, mais, soudain, l’image de Carole apparait, j’explose dans un troisième orgasme qui me laisse inerte. Je referme mes cuisses, Hector s’en fout, il va entre celles de Sandrine qui lui ouvre au maximum en se calant bien sur le divan. Moins de deux minutes plus tard, elle jouit, revenue à moi, je me penche sur son sein droit pour l’aspirer, le sucer et le mordiller. Ma main droite va lui pincer le téton du sein gauche. Comme moi, elle repart dans un nouvel orgasme. Mais Sandrine a des capacités à jouir incroyables, je reste sur ses seins pendant qu’Hector lui lèche le sexe, elle jouit de nouveau trois fois de suite, je ne m’arrête de la titiller quand je vois qu’elle referme ses cuisses, rejetant Hector. Je l’allonge sur le divan, mais poussée par une pulsion, je la tire jusqu’à ce qu’elle ait les jambes pendantes au bout du divan, lui ouvre un peu les cuisses et pose ma bouche sur son clitoris. Je l’aspire, le mordille, le suce, le lèche pour la faire jouir une nouvelle fois, mais elle n’en peut plus.

Merci ma Julie, merci, mais je suis complètement HS, j’aimerais me laisser aller sur le divan.

Ok, je te laisse.

Hector est très excité, sa bite sort de son fourreau, il me donne envie. Je vais m’allonger sur le gros pouf, sur le dos en écartant un peu les jambes. Hector vient vers moi, renifle ma vulve et me monte dessus. Il donne de grands coups de reins, mais ce n’est pas la position habituelle, nous sommes en missionnaire, nous nous faisons face. Je remonte mes jambes pour lui ceinturer le corps. Cela ouvre encore plus mon sexe, mais il a toujours du mal, sa bite est trop haute et me passe au-dessus. Je remonte mon bas ventre pour le coller à son ventre, il trouve enfin le chemin du paradis, m’enfonçant son sexe jusqu’au bulbe qui commence à gonfler. Comme d’habitude, il donne de grands coups de reins à un rythme endiablé, me faisant monter dans les tours très vite. J’ai mon premier orgasme quand il m’enfonce son bulbe, je suis secouée de violents tremblements, je le serre dans mes bras de toutes mes forces pour bien m’imprégner de son sexe, ce qui déclenche un second orgasme, mais il n’a pas l’air d’apprécier, il se secoue pour me faire lâcher prise. Nous restons dix bonnes minutes comme ça, je suis bien, sur le dos, un énorme sexe dans la chatte qui me remplit de son foutre. Quand Hector me libère, je reste quelques secondes les jambes en l’air ouvertes en savourant l’effet que me fait le sperme d’Hector qui s’échappe de mon sexe pour couler sur mon périnée et mon anus. Mais au moment où je vais me relever, des mains m’immobilisent les jambes et une bouche vient se poser sur mon sexe encore sous le charme de cette grosse bite. Sandrine vient boire le sperme d’Hector qui coule entre mes fesses. Elle me lèche entre les fesses, remonte sur mon anus, ce qui me fait vibrer, nettoie mon périnée pour finir en aspirant ce qui reste de sperme dans mon sexe. J’explose dans un nouvel orgasme. Quand elle juge que je suis propre, elle me libère et m’aide à me lever.

Je ne me lasserais jamais de son sperme, c’est un délice.

Je sais.

Nous allons prendre une douche et décidons d’aller faire une balade. Elodie nous a dit qu’on pouvait laisser Hector seul un petit moment sans qu’il en souffre, nous sortons seules. Comme d’habitude, jupe ultra courte, chemisier plus ou moins transparent, blouson, escarpins et c’est tout. Nous prenons le métro jusqu’à Châtelet, puis la une jusqu’à George V. Sur les Champs, beaucoup de monde, nous drainons quelques Parisiens. Je décide d’aller faire un tour au centre d’exposition Citroën. Nous montons l’escalier en colimaçon, lentement, il faut donner du spectacle. Arrivées en haut de l’escalier, il n’y a personne, nous nous appuyons sur le garde-fou, dos à l’escalier. J’entends une voix d’homme.

Putain, tu as vu ces culs ?

Je regarde vers le bas, deux hommes d’une trentaine d’années montent l’escalier les yeux rivés à nos fesses. Je donne un petit coup de coude à Sandrine, nous nous retournons toutes les deux assez vite. Nos jupes volent un peu, mais maintenant, ils disposent d’une vue parfaite de nos chattes luisantes. Nous quittons notre place pour aller de l’autre côté de la voiture exposée pour faire semblant de regarder les offres de gadgets. Les hommes viennent vers nous.

Bonjour mesdemoiselles, vous montrez toujours vos fesses de la sorte ?

Elles ne vous plaisent pas ?

Il faudrait être complètement con pour ne pas apprécier le spectacle, mais là n’est pas ma question.

Oui, nous sortons tous les jours habillées de la sorte.

Mais pourquoi, il fait froid, comment faites-vous ?

Parce que nous aimons ça et que ça nous excite de nous montrer.

Nous aussi, ça nous excite de vous voir habillées comme ça.

On peut vérifier ?

Ils se regardent un peu étonnés, mais l’envie prend le dessus, ils acquiescent de la tête. Ma main, comme celle de Sandrine, se posent sur leur braguette, nous tombons sur deux bâtons bien raides. Un des hommes tend la main vers les fesses de Sandrine qui lui facilite la tâche en se collant à lui. Je me colle à l’autre homme, une main vient immédiatement se poser sur mes fesses et le caresser. Elle descend vers les cuisses, essaye de se glisser entre. J’écarte un peu les jambes, un doigt vient vérifier l’état de mon sexe. Je vois que Sandrine s’est mise sur la pointe des pieds en écartant les jambes, nous avons toutes les deux un doigt dans le sexe. Une autre main se pose sur mon pubis, un doigt titille mon clitoris, je n’en peux plus, je jouis sur ces deux doigts en me cramponnant au meuble d’exposition. Sandrine jouit elle aussi, mais des voix donnent le signal de la fin de la récréation, les deux hommes nous libèrent et nous aide à nous remettre. Je regarde Sandrine, elle me fait non de la tête. Elle n’a pas envie d’aller plus loin, moi non plus.

Désolées les mecs, mais nous devons y aller.

Vous n’avez pas à être désolées, ce fut un plaisir de faire votre connaissance.

Ils nous prennent la main et y déposent un baiser. Je les regarde avec un air moqueur.

Savez-vous messieurs qu’on ne fait jamais de baise-main à une jeune fille ?

Non, mais tant pis, et bonne fin d’après-midi.

Nous les quittons pour rejoindre les Champs. Nous allons dans un sex-shop acheter de la graisse anale chauffante, j’ai remarqué que la graisse de Guillaume était plus efficace que mon gel anal. Nous finissons par rentrer vers seize heures trente, Hector nous fait la fête, et c’est quelque chose avec une telle masse. J’ai l’intention d’initier Carole à la sodomie ce soir, je vais chercher mes godes dans un tiroir de ma chambre. Quand Sandrine me voit entrer dans le salon avec ça, elle applaudit.

Super, des godes, je ne savais pas que tu en avais autant.

Oui, j’en achète au moins deux ou trois par an, la première fois, je venais d’avoir dix-huit ans, mes parents n’habitaient plus ici, je suis allé dans un sex-shop avec une amie étudiante comme moi, mais plus âgée, j’en suis ressorti avec quatre, un vibro, un réaliste petit, un réaliste plus gros et un gonflable. Maintenant, j’ai toute la collection des réalistes, de deux centimètres de diamètre et quinze centimètres de long à sept de diamètre et trente de long, dont celui-là avec son énorme gland de neuf centimètres de diamètre, j’ai eu beaucoup de mal à le trouver, ça n’existe que sur internet, le tout avec de belles couilles, comme tu peux le voir.

Et que comptes-tu faire avec ?

Carole veut que je l’initie à la sodomie, j’aimerais qu’on choisisse lesquels je vais utiliser ce soir.

Super, je crois qu’Elodie veut elle aussi être initiée, on pourra faire d’une pierre deux coups.

Ou d’un gode deux culs.

Comme tu veux.

Je les étale sur la table basse. Sandrine les touche, soupèse, suce, elle est tout excitée.

Tu veux en essayer un ?

Oui, mais dans le cul, il faut que j’aille me préparer.

Tu as tout ce qu’il faut dans ma salle de bain.

Ok.

Elle va dans la salle de bain pendant que je nettoie tous les godes, ils n’ont pas tous servi dernièrement, surtout les plus petits, je veux laisser le choix à Carole. Sandrine revient assez vite.

Je suis prête, nickel chrome, j’ai vu du gel anal dans un tiroir.

On ne va pas l’utiliser, j’ai remarqué que la graisse de Guillaume était plus efficace, c’est pour ça qu’on vient d’en acheter.

J’avais compris, badigeonne-moi le fion, j’ai envie du gros.

Ok.

J’enduis ses fesses et son anus de graisse en en glissant dans son anus avec mes doigts. Elle se tortille de plaisir. Elle me passe le plus gros de tous.

Celui-là me paraît bien.

Comme tu veux, tu t’en sens capable ?

Bien sûr, j’ai pris aussi gros dans le fion, seul son gland m’impressionne, tu iras doucement au début d’accord ?

Ok.

Elle se met à quatre pattes, je me badigeonne le cul avec la graisse, je compte bien qu’Hector vienne m’honorer de sa bite dans le cul pendant que je m’occuperais de Sandrine. Je m’agenouille derrière elle, je présente le gland du gode sur les fesses de Sandrine et pousse, elles s’ouvrent, je bute sur sa rondelle, force doucement. Le sphincter s’ouvre lui aussi sans difficulté, laissant le gland s’enfoncer doucement dans son rectum. Au moment où sa rondelle se referme derrière le gland, sur la tige du gode, je sens Hector me monter dessus. Sa bite bute contre mes fesses, je réussis à m’en saisir pour la guider vers mon anus. Il me pénètre d’un seul coup de reins. Sandrine ressent le coup de butoir.

Je présume qu’Hector s’occupe de toi.

Oui, dans le cul comme toi.

Hector me secoue de ses coups de butoir, ce que je répercute dans le cul de Sandrine. Il ne met pas longtemps à s’immobiliser pour me remplir de son bulbe, Sandrine se tortille de plus en plus.

Oui, je vais jouir, continu, je viens, je viens, AAAAAAAHHHHHHH

Elle se raidit et jouit en poussant un grand cri.

AAAAAAAAHHHHHHHH, oui, AAAAAAAAHHHHHHHH

Je l’imite, remplie par la bite d’Hector, mais je suis plus discrète.

Oui, oui, MMMMMMMMMMMMMMMMMMMM

Les cris de Sandrine ont alerté Guillaume qui est de nouveau devant sa fenêtre. Hector me remplit toujours de son sperme. Sandrine se dégage pour aller se mettre face à la fenêtre, elle pose sa main gauche sur son pubis et se masturbe devant Guillaume, pendant que je suis de nouveau secouée par un nouvel orgasme. Hector finit par me libérer, mais il s’occupe de mon cul grand ouvert en léchant son sperme qui s’écoule pour bien me nettoyer, il ne s’arrête que quand il s’est entièrement refermé. Je me redresse pour voir Sandrine en plein délire jouissif devant Guillaume qui sourit. Je me mets derrière elle, me colle à elle, lui prends les seins dans la main pour en pincer les tétons. Elle explose dans un terrible orgasme, qui manque de lui faire perdre l’équilibre. Quand elle est de nouveau calme, elle fait un signe à Guillaume, qui lève le pouce, et vient s’allonger sur le divan. Elle finit par somnoler pendant que ma main se promène sur sa peau dans une caresse la plus aérienne possible.

…/…

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