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Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra.

Je suis Franck à l’époque je venais d’avoir 18 ans et ma mère, Christiane, ne savait plus quoi faire de moi, tant j’étais un bon à rien. Il avait été convenu que je passerai les mois de juin juillet et août chez ma tante Geneviève qui a deux filles Sophie et Muriel. Au fond de moi, j’étais très heureux car je trouvais la maman comme les filles très mignonnes ; mes cousines ayant juste un an et deux ans de plus que moi. Cela m’a fait tout drôle quand elles sont venues me chercher car cela faisait un an que je ne les avais pas vues et elles étaient encore plus belles que l’année précédente. Ma maman aussi était très belle et voilà bien longtemps que j’avais pris l’habitude d’aller me faire un petit plaisir dans ses petites culottes souillées. Je pense que Christiane était trop gentille avec moi et n’arrivait pas à se faire respecter, mon père nous avait quittés alors que je savais à peine marcher, je n’en ai qu’un très vague souvenir ; pour ne pas dire aucun. C’est quand même avec un petit pincement au cur que j’ai quitté ma maman pour trois mois, un dernier gros câlin et je me retrouvais dans la voiture de Geneviève direction son domicile. Je savais pertinemment quà mon retour de chez Geneviève il allait falloir que je rentre dans le droit chemin en classe ou que je rentre dans la vie active.

Nous étions tous les quatre dans la voiture, Muriel et Sophie étaient à l’arrière avec moi, coincé entre ces deux superbes jeunes femmes j’étais déjà aux anges. Il faisait chaud, j’étais en short et mes deux cousines avaient des jupes assez courtes, nos cuisses étaient en contact et cela ne me laissait pas indifférent. Bien que faisant un mètre soixante-dix-huit, les trois femmes étaient plus grandes que moi et des sportives confirmées dans le domaine du basket. Geneviève me mettait facilement quatre centimètres dans la vue et ses filles m’en mettaient six ou sept. Il m’est souvent arrivé de tirer sur l’élastique en pensant à mes cousines tout comme à ma tante, les lignes de Christiane me plaisaient aussi énormément mais j’étais un peu gêné de jouir en pensant à ma mère. Au bout d’une demi-heure de route, sous les contacts des cuisses de mes cousines, mon érection commençait à bien se montrer et il me restait encore deux heures à rester collé entre les deux surs.

— Ta maman a besoin d’un peu de repos, car tu lui mènes un peu la vie dure.

— Tu vas passer trois mois avec nous et j’espère que tout se passera bien.

— Je suis sûre que tout va bien se passer, Muriel, Sophie et moi allons mettre du nôtre pour que tu te sentes bien parmi nous.

Voilà comment Geneviève me présentait mes trois mois de vacances chez elle. Bien que nous ne nous voyons pas énormément avec mes cousines, nous étions assez complices et nous nous envoyons souvent des SMS et communiquions par internet. Elles avaient des petits copains mais cela ne durait jamais bien longtemps car les études et le sport passaient toujours bien avant. À l’arrière dans la voiture, nous échangions des regards complices, nous commentions un peu ce que nous allions faire ces trois mois durant, tout comme nous commentions ce que nous voyions le long de la route.

Pendant que Geneviève était au volant, elle me présentait un peu mon programme durant ces trois mois.

— Il va falloir que tu contribues aux tâches ménagères quotidiennes dans la maison.

— Il y aura la vaisselle, le ménage, nettoyer les sanitaires et tout plein d’autres tâches qu’il faudra partager.

Je répondais par l’affirmative à tout ce qu’elle me disait car cela me semblait évident.

— Tu vas te fondre dans notre famille comme tu n’imagines pas.

Cela me paraissait évident vu que nous étions cousins cousines.

Un moment mes deux cousines ont passé chacune un bras dans mon dos, et elles m’ont fait un gros bisou sur chacune de mes joues. Heureusement que mon érection était dissimulée dans mon short car là, elle avait légèrement augmenté. Pendant que j’avais le droit à mes deux baisers, elles posèrent leur autre main sur chacune de mes cuisses, nous étions vraiment très intimes tous les trois. Là ce fut la catastrophe, elles ont découvert que j’étais en érection et pas une petite…, elles se sont empressées de dire à leur mère que j’avais la gaule.

— Alors comme ça gros coquin, mes filles te mettent une érection.

— Ne me dis pas que Sophie et Muriel te font envie.

— Ta maman m’a dit que tu te faisais un petit plaisir dans ses petites culottes que tu prenais dans le bac à linge sale.

Je ne vous raconte pas comment je me suis retrouvé mal à l’aise dans la voiture, car en plus mes deux cousines me regardaient bizarrement avec un grand sourire. Le pire c’est que mon braquemart est devenu encore plus gros, du coup il commençait à être bien visible malgré mon short.

La fin du trajet risquait d’être longue pour moi, d’autant que mes deux cousines avaient toujours leurs mains sur mes cuisses.

— Est-ce que tu as déjà eu une aventure avec une fille.

— Vu que tu te fais du bien le soir dans ton lit avec tes petites culottes de ta maman, je pense que tu dois être en manque.

L’orientation de cette conversation commençait à vraiment le mettre mal à l’aise, j’ai quand même répondu à ma tante comme quoi je n’avais eu des aventures réelles avec des filles mais juste à échanger des baisers. Pendant que j’étais en train de prendre la parole, les mains de mes deux cousines venaient d’entrer en contact avec mon sexe bien en forme. J’avais l’impression de rêver car mes cousines n’arrêtaient plus de remonter leurs mains, de nouveau j’ai eu droit de gros baisers sur les joues de leur part. Maintenant mes cousines venaient de prendre possession de mon sexe et manifestement, ce n’était pas la première fois qu’elles en touchaient un.

J’étais en train de me dire que je m’étais mis dans un piège mais je ne connaissais pas le dénouement.

— Ta mère m’a avoué qu’elle était un peu perdue avec toi, je lui ai dit que tu as allais passer les vacances avec nous et que tu reviendras on ne peut plus sage pour la rentrée.

Le programme m’avait l’air honnête, vu que je passais de nombreuses vacances avec ma tante et mes cousines, j’avais une totale confiance en elles. Pendant que la voiture roulait à une allure tranquille mes deux cousines prenaient vraiment bien soin de moi. J’étais vraiment impressionné par l’assurance qu’avaient Sophie et Muriel à me caresser le sexe d’autant que c’était une forme d’inceste. Après rapide et mûre réflexion je me disais que le plaisir pouvait largement passer le tabou de l’inceste. Mes cousines étaient maintenant en train de me faire beaucoup de bien pendant que ma tante m’excitait par ses propos. Quand nous avons quitté l’autoroute, j’ai compris que nous n’étions pas loin de leur domicile, il nous restait maintenant vingt petites minutes avant d’arriver. Pour avoir pris ce chemin des dizaines de fois, ou avec ma mère ou avec ma tante, je le connaissais par cur maintenant.

Mes cousines étaient tellement efficaces, que je commençais à avoir peur d’éjaculer dans mon short tellement elles s’y prenaient bien. Je ne vous raconte pas la honte j’aurais pu avoir si j’avais fait pleurer mon sexe, c’est vrai que tous les trois nous étions très intimes, que nos corps n’avaient plus de secret depuis le temps ; mais en arriver là aurait été une première.

— Maman on est en train de le masser et il a l’air d’adorer.

Je ne reconnaissais plus mes cousines nous avions tellement de secrets ensemble maintenant, elles divulguaient tout à leur maman. J’espère que tout ce que nous avions vécu auparavant, elles ne l’avaient pas raconté à leur mère, mais aujourd’hui j’en arrivais à douter.

— C’est bien mes filles, vous voyez, vous arrivez à donner du plaisir à un homme.

— En plus d’aimer renifler les petites culottes de sa maman, il aime bien se faire caresser par les filles.

Je ne reconnaissais plus mes cousines par leur comportement, mais encore moins ma tante par ses propos crus qui me mettaient mal à l’aise.

Je ne sais pas si mes cousines ont compris que je ne pourrai pas tenir jusqu’à la fin du trajet mais elles ont cessé de me caresser. Pour compenser l’arrêt de leurs caresses, pour la première fois de ma vie, je les ai embrassées ou plutôt ce sont elles qui sont venues me voler des baisers. Muriel et Sophie ainsi que leur maman Geneviève pratiquaient le basket à très haut niveau, du coup elles avaient une condition physique bien meilleure que la mienne, tout cela pour vous dire qu’elles étaient plus fortes que moi. Avec leurs forces, je ne pouvais que subir et à aucun moment je ne pouvais prendre d’initiative d’autant qu’elles étaient deux. Quand l’une cessait de m’embrasser, l’autre prenait le relais toujours avec plus de gourmandise, il aurait fallu être stupide pour se plaindre du traitement qu’elles m’infligeaient.

— Je ne t’entends plus mon petit Franck.

Je sentais le ton ironique de Geneviève car je savais qu’elle nous voyait dans le rétroviseur, elle savait parfaitement que ses filles étaient en train de rouler des gamelles à leur cousin.

Ça y est nous venions d’arriver chez elles, une belle et grande maison avec un immense terrain dans une grande ville de Touraine. De mon côté j’étais rassuré car en sortant de la voiture j’allais pouvoir me défaire des assauts répétés de mes cousines ; dans cette belle berline allemande en provenance d’Ingolstadt, j’étais pris en sandwich, pour ne pas dire immobilisé. Le coffre s’est ouvert tout seul et j’y ai pris mon sac à dos où se trouvaient mes effets personnels, la maison était toujours aussi belle spacieuse et surtout bien agencée. Pour vous faire une idée Muriel, Sophie et Geneviève avaient chacune leur chambre et il y avait encore deux chambres d’amis. J’ai fait comme si j’étais chez moi en allant poser mon sac dans la chambre que j’utilisais habituellement quand je venais passer mes vacances ici. Mes deux cousines sont parties intégrer leur chambre alors que ma tante est venue s’assurer que je s’installais bien. Geneviève était adorable avec moi, elle faisait en sorte que je me sente comme chez moi sous son toit.

Pendant que ma tante était dans ma chambre, elle est venue m’expliquer quelques petites choses.

— Maintenant que tu es majeur et sur les consignes de ta maman, cette année tu vas vivre à notre rythme.

— Comme tu le sais, mes filles et moi pratiquons le basket et nous allons avoir pas mal de compétitions ou de manifestations amicales ou tu viendras nous accompagner et nous soutenir.

— Tu devras s’adapter au mode de vie féminin de la maison.

Je ne voyais aucun inconvénient à tout ce que me présentait Geneviève, bien au contraire, j’étais très heureux de m’intégrer à cent pour cent dans cette branche de ma famille que j’aime tant. Après ce briefing de ma tante, je suis parti voir mes cousines dans leur chambre, j’avais toujours grand plaisir à me retrouver avec elles. À vrai dire j’avais un peu envie de mettre les choses au point par rapport à ce que je venais de vivre dans la voiture avec elles. Quand j’ai commencé à aborder le problème elles m’ont cloué le bec en me disant que, désormais j’étais majeur et que elles comme moi pouvions faire tout ce que nous désirions.

Elles m’ont expliqué que leur maman les avait éduquées ainsi, à savoir être libérées, n’avoir aucune limite dans le désir et dans l’accomplissement de ce dernier. C’est ainsi que j’ai appris que cela faisait des années qu’elle avait envie de s’occuper de moi et que la première occasion qui s’est présentée à elles, elles ont sauté dessus. Ils se sont levés pour me rappeler qu’elles étaient plus grandes que moi, mais aussi bien plus baraquées. Il ne leur a fallu que quelques secondes pour abuser un peu de la force et me défaire de mon short et de mon boxer, ce n’était pas la première fois qu’elles voyaient mon sexe, mais la première fois qu’elles dirigeaient les opérations. Je ne faisais que subir, c’est ainsi qu’en quelques instants elles se sont retrouvées assises sur le lit, jambes écartées, en ayant au préalable retiré leurs culottes. Elles m’ont fait m’agenouiller, puis m’ont collé leur culotte sous le nez pour me les donner à sentir. En un an, mes cousines étaient devenues des femmes dominatrices, je ne sais pas si j’étais leur première victime, mais cela n’était pas pour me déplaire. Voilà comment en cette fin d’après-midi, je découvrais l’odeur d’autres minous celui de ma maman, en l’occurrence de deux jeunes femmes qui commençaient vraiment à me faire tourner la tête.

Ces deux culottes sentaient vraiment fort et je n’ai pas pu me retenir les déposer ma langue pour en découvrir le goût qui lui aussi était assez fort.

— On ne s’est pas lavé le berlingot depuis deux jours en sachant que tu te chargerais de nous faire la toilette intime cet après-midi.

Elles venaient de m’expliquer qu’il allait falloir que je me plonge entre leurs jambes, pour me délecter de leur nectar qui sentait bon la marée. Vu que je tardais un petit peu à passer à l’action, c’est Muriel qui m’a saisi la tête pour la plonger entre ses jambes poisseuses à leur jonction. C’était la première fois que je faisais ça, je me sentais un peu dominé par ses deux cousines, mais le fruit de mes coups de langue était vraiment formidable. Déjà quand je léchais les culottes encore humides de ma maman, cela me donnait un aperçu, mais là c’était du cent pour cent réel. Au début j’étais un peu timide, mais au bout de quelques minutes, je lui ai largement écarté les jambes pour avoir un meilleur accès à sa vulve.

— Je vois que mon cousin commence à prendre confiance.

— Tu vas voir notre maman nous a donner libre cours pour ce qui est de ton éducation sexuelle.

De mon côté, je ne pensais qu’à une chose, laisser libre cours à ma gourmandise et savourer ce délicieux nectar qui suintait de la figue de Muriel. Pour montrer sans doute que c’est elle qui dirigeait les opérations, Muriel prenait un malin plaisir à appuyer sur ma tête régulièrement, ce qui fait que mon visage était complètement recouvert de cyprine odorante. Pendant ce temps, pour ne pas me laisser à l’abandon, Sophie a saisi mon sexe qui était en pleine forme et s’est mise à me caresser entre les fesses. Il ne lui a pas fallu bien longtemps pour que son majeur vienne me titiller l’entrée de mon issue de secours. À ma grande honte je me tortillais dans tous les sens de plaisir car son doigt commençait à me procurer des sensations très agréables et inconnues à ce jour.

— Ta tante tu nous as dit que tu serais très sensible, à cet endroit-là.

Décidément, ma tante avait l’air de bien connaître les hommes ; même sil n’y en avait plus dans sa vie depuis bien longtemps. Sophie avait déposé une noix de salive à l’entrée de mon rectum et elle avait complètement entré son doigt pour me masser l’intérieur.

Le plaisir qu’elle me donnait avec son doigt commençait à être insupportable et j’étais en train de me demander si on n’allait pas me faire éjaculer, tellement elle me faisait du bien. Je ne pouvais pas cacher le plaisir qu’elle me procurait tant mon érection était énorme, d’autant que mon sexe était dans son autre main. En même temps j’essayais de me concentrer sur le cunnilingus que j’étais en train de pratiquer sur Muriel, je sentais qu’elle aussi allait finir par prendre son pied. Quand elle a fini par jouir, elle a saisi un oreiller pour le mordre et ne pas crier, par curiosité et j’ai continué à la butiner et j’ai fini par cesser quand j’ai vu que cela devenait insupportable pour elle. Muriel m’a saisi la tête que je vienne l’embrasser, chose que je fis sans me faire prier et avec beaucoup de gourmandise. De son côté Sophie n’avait pas lâché mon petit cul, au bout de quelques minutes elle a réussi à me faire éjaculer. Tout est parti dans sa main, j’avais honte d’avoir joui avec une telle caresse ; elle est partie se laver les mains dans la salle de bain pour revenir quelques instants ensuite et me présenter son entrejambe car elle aussi voulait sa part. Je n’ai pas eu trop le temps de savourer les baisers que j’ai changé avec Muriel Sophie était pressée de se faire nettoyer la moule.

Telle une poupée gonflable, Sophie m’a positionné entre ses jambes, le visage encore maquillé de la cyprine de sa sur contre sa figue bien désireuse et surtout poisseuse. L’odeur et le goût y étaient encore plus forts mais cela n’était pas repoussant, mais plutôt excitant et attirant. Contrairement à sa sur, son clito était extrêmement sensible et à chacun de mes coups de langue à cet endroit, je la sentais soupirer très fort. Rapidement elle s’est mise à pousser de petits cris ce qui me réconfortait sur les parties sensibles de son entrejambe. De son côté Muriel qui maintenant avait les mains libres a elle aussi déposé une noix de salive à l’entrée dans mon petit trou, mais ce coup-ci pour y glisser deux puis trois doigts, j’étais littéralement en train de me faire sodomiser par ma cousine.

— Tu sais Sophie, son petit cul ne demande qu’une bite.

— Je suis sûr que son anus est plus accueillant que le nôtre.

Pendant que ma cousine se confessait à sa sur, je sentais ses doigts aller et venir le plus loin possible, je commençais à avoir peur qu’elle veuille me fister. Mon sexe était encore fermement maintenu et je réalisai que j’allais un nouveau éjaculer suite à cette visite anale.

— Muriel j’ai personnellement pu constater combien son petit cul était accueillant, et je peux aussi te confirmer que c’est un très bon brouteur de minou.

Quelques minutes après ces mots, Sophie prenait à son tour son pied sous mes coups de langue, et étouffait ses cris elle aussi dans un oreiller. De mon côté j’ai éjaculé pour la deuxième fois en vingt minutes, mais ce coup-ci j’éjaculais dans mon short car Muriel ne voulait pas se salir les mains. Je venais de faire jouir mes deux cousines, juste avec ma langue, c’était une première pour moi, pendant quelles venaient de me faire découvrir le plaisir par mon petit trou. Au fond de moi j’étais un peu embêté car je n’allais plus pouvoir enfiler mon short plein de sperme, manifestement mes cousines ont lu dans mes pensées, elles m’ont dit de ne pas m’inquiéter elles avaient une solution de rechange pour moi. J’étais un peu curieux de savoir ce qu’elles allaient manigancer, quelle ne fut pas ma surprise quand elles m’ont tendu une jupe très douce qui descendait légèrement au-dessus du genou.

— Maman ne veut que des filles à la maison, bienvenue au club.

Elles me l’ont fait enfiler, sans trop vraiment me laisser le choix, j’étais tout nu en dessous ; le reste de mon sperme coulait à l’intérieur de la jupe toute douce. Vu la finesse de la robe cette dernière ne pouvait pas dissimuler mon érection ; bien évidemment, c’est ce moment-là Geneviève a choisi pour rentrer dans la chambre.

En espérant que ce premier chapitre de cette nouvelle histoire vous a plu

Gros bisous à vous

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