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Angel' seven. II. Kim – Chapitre 5




Docilement, elle se pressa d’obéir, et elle sentit immédiatement qu’on lui tirait les cheveux en arrière, lui redressant la tête brutalement. Et là elle eut là une vision effroyable :

l’Ange au corps musclé, rouge comme un écorché, lui présentait à hauteur de visage un vit énorme et tendu comme un arc, une colonne de chair aux veines noueuses et aux battements visibles, surmontée d’un gland gros comme un oeuf de canne, tout gluant, transpirant, visqueux, presque vivant !

Elle n’avait jamais vu un pareil chibre, et elle fut parcourue d’un frisson d’admiration, de crainte et de plaisir.

Elle n’eut pas le loisir de le contempler plus de trois ou quatre secondes car il lui engouffra dans la bouche, et comprenant qu’elle n’avait intérêt ni à protester ni à refuser le membre, elle se mit à le sucer avec application.

Après tout, elle voulait qu’il sache qu’elle savait y faire, qu’elle n’était pas une femmelette mais une vraie femme d’expérience qui savait donner du plaisir aux hommes, et elle avait une réputation à tenir !

Et puis elle espérait connaissant comment fonctionnent les hommes qu’il jouirait ainsi assez vite et qu’elle mettrait fin à ses caprices en même temps que le plaisir le viderait de ses envies lubriques.

Malheureusement, si cette belle salope était dotée du corps splendide dont rêve tous les hommes, son esprit ne brillait malheureusement pas par sa perspicacité ni son sens logique.

Car cette créature n’avait pas grand-chose en commun avec les mortels, et sa physiologie si tant qu’il en avait une était aussi surnaturelle que ses pouvoirs.

Aussi, sa bouche dut subir les assauts et les va-et-vient puissants et rapides du membre durant une bonne dizaine de minutes alors qu’aucun signe d’une jouissance prochaine de la créature mâle ne s’annonçait.

L’énorme gland butait même à chaque coup contre sa glotte, manquant de l’étouffer, et elle avait grand peine à reprendre sa respiration tant la grosse colonne de chair remplissant sa bouche laissait peu de place pour que l’air y passe.

Il lui semblait que l’énorme queue gonflait au fur et à mesure davantage et s’engouffrait à fond de plus en plus loin à chaque fois.

Elle s’efforçait de respirer par le nez et de coordonner ses inspirations et expirations aux mouvements de piston, tout en essayant tant bien que mal de sucer avec ses lèvres et sa langue le gros gland élastique.

Le géant rouge grognait de plaisir, lui secouait la tête en la tenant fermement par la chevelure, mais ne montrait toujours aucun signe de jouissance imminente.

Elle, par contre, dont tout le corps était agité des soubresauts de ce coït buccal, commençait à ressentir des coliques de plus en plus fortes dans tout son ventre, comme si son gros intestin se rebellait contre les gros ufs d’or implantés en elle.

Elle se mit à gémir, sentant qu’elle allait en expulser un.

Sans qu’elle ait à dire ce qui se passait en elle et ce qui allait arriver, l’Ange, comme s’il lisait dans ses pensées, se retira de sa bouche et contourna son corps juste à temps pour apercevoir un oeuf doré qui commençait à pointer hors de l’anneau de son illet.

D’un geste impérieux il repoussa de son gros doigt l’oeuf de métal et le rentra à nouveau en elle. Elle laissa échapper un gémissement de déception, comprenant qu’elle n’allait pas être libérée.

Non seulement, il ne la laissa pas l’évacuer, mais immédiatement le gland prit la place de son doigt et il poussa son avantage, rentrant sa queue démesurée dans le petit orifice de Kim.

Se sentant sodomisée d’autorité, et réalisant avec quel phallus, elle poussa un cri de surprise, qui se prolongea par un râle :

le monstre commençait à l’enculer de son énorme vit, la pénétrant progressivement, et s’enfonçant de plus en plus loin en elle, faisant par la même occasion remonter les lourds oeufs qui devaient lui déchirer les entrailles !

Grossie comme une femme enceinte, à quatre pattes comme une chienne, elle subissait désormais les assauts du monstre : la grosse queue coulissait en de longs va-et-vient par son fondement, et on entendait les bruits métalliques des ufs d’or qui se télescopaient, s’entrechoquaient.

Elle avait l’impression qu’il lui remontait l’estomac, elle essayait de se cramponner, de se retenir, les mains crispées sur tout ce qu’elle arrivait à saisir comme aspérités au sol (c’est-à-dire presque rien), tandis qu’il lui bousculait le bassin à chaque butée contre ses fesses à la manière d’un percuteur.

Il lui prit même les cuisses, la souleva comme si elle n’était qu’un fétu de paille, et la promena à la manière d’une brouette sans cesser ses va-et-vient, puissants mouvements de reins, quasi surhumains.

Elle poussait un cri à chaque coup de pine, avait l’impression d’être une poupée de chiffon, et encaissait les coups de boutoir qui commençaient à faire monter des sensations inouïes dans son bas-ventre, son utérus, son rectum, ébranlés comme jamais.

Elle se sentait totalement à sa merci, totalement en sa possession possession matérialisée sous cette étreinte puissante (ses mains de géant lui emprisonnaient les cuisses, ses grands doigts crispées sur sa chair), et elle sentit des vibrations monter de son bas-ventre, de son rectum, et elle fut secouée de violents orgasmes qui se succédaient sans relâche, la vidaient à chaque fois, lui arrachant des cris terribles montrant son total lâcher-prise, qui emplissaient tout l’espace ; il se repaissait de ses cris de femelle en chaleur, cris de victoire pour lui, riant à chaque  fois à grands éclats satisfaits, sans cesser néanmoins pour cela de la besogner.

Et soudain, comme une apothéose, elle sentit survenir l’impensable, l’incroyable, l’inimaginable :

elle sentit une chaleur remonter dans sa gorge, une grosseur aussi… elle ouvrit la bouche et elle cracha un oeuf d’or, puis à nouveau un autre ; cet ahurissant phénomène se reproduisit jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus, et qu’elle se trouve libérée du poids de tous ces oeufs qui lui alourdissaient le ventre.

Elle avait l’impression que son anus en feu, en surchauffe, était un trou béant, et le monstre continuait à la fourrer avec force. Allégée par le poids de l’or en moins, elle était secouée comme un pantin, mais elle se caressait la chatte avec vigueur, espérant encore faire venir de nouveaux orgasmes.

Elle n’avait jamais encore éprouvé une telle jouissance, ni avec son Steve (qui était pourtant bien membré et plutôt athlétique et vigoureux) ni avec tous les amants qu’elle avait eus avant… et elle ne les comptait plus, pourtant.

Elle avait l’impression que l’énorme queue qui la ramonait de bas en haut prenait à chaque seconde plus d’épaisseur, et que son propriétaire allait à chaque coup de reins plus loin en elle, comme si elle s’allongeait également démesurément.

Soudain, un phénomène prodigieux se produisit : elle sentit quelque chose dans le fond de sa gorge, puis dans sa bouche… : elle ne put que constater avec effroi que c’est l’énorme gland qui lui ressortait entre les lèvres à chaque coup de pine !

Ceci pourtant sans qu’il ne l’étouffe car elle continuait de respirer normalement.

Et cette petite gourde qui avait plutôt été un cancre à l’école, avait eu une scolarité très brève et n’avait donc aucune notion d’anatomie, ne s’inquiéta pas de quel chemin cet énorme membre prenait en elle, ni de qu’il provoqua comme dégât dans son corps.

L’Ange finalement se retira d’elle, la laissant toute pantelante et avec l’impression qu’un bulldozer lui était passé sur le corps ou plutôt : à travers le corps.

Elle gardait la posture qui avait été la sienne dans les dernières minutes de cette vigoureuse saillie, c’est-à-dire reposant sur ses genoux, le cul en l’air, sa poitrine et ses épaules écrasées sur le sol.

Elle sentit que le monstre lui enfilait à nouveau un doigt dans son fondement, puis deux, puis trois, puis la main entière, puis le poignet, et il la ramonait lentement, et de plus en plus loin… jusqu’à ce qu’elle vit des doigts sortir de sa bouche, lui toucher les lèvres, le nez… L’Ange devait être un peu facétieux !

Puis après quelques minutes de ce traitement, c’est dans sa chatte qu’il introduisit la main, doigt après doigt, et elle sentit son vagin investi d’un poing volumineux qui commença à faire de lents allers et venue.

Elle poussa des cris de surprise et de plaisir, sa chatte ayant été jusqu’à là moins dilatée que son fondement, elle se mit à couler, à crier, et de nouveaux orgasmes montèrent, d’abord de faible intensité, puis de plus en plus violents au fur et à mesure que le géant butait contre son utérus, l’ébranlant, provoquant des vibrations terribles, mutant en ondes de plaisir.

Elle se mit à hurler, tout en évacuant des grands jets de cyprine avec la puissance d’un geyser.

L’Ange riait, elle poussait des cris de désespoir et de jouissance, avec la sensation que ça ne prendrait jamais fin.

Au bout de longues minutes, il finit par la lâcher et se plaçant devant elle, ne la laissa pas s’effondrer de fatigue, il la tira par sa longue chevelure et l’obligea à se redresser sur les genoux.

Elle eut devant les yeux la vision de son vit monstrueux (au moins trente centimètres de long sur sept de large), noueux, palpitant, énorme, ligneux comme une branche d’arbre, et surmonté d’un gros champignon écarlate et gluant.

Elle vit les palpitations prendre de l’ampleur, comme un coeur qui battait, puis soudain elle reçut en pleine figure un jet épais et abondant, comme une crème blanche, chaude et épaisse, qui lui fit comme un masque gluant, puis un autre, et encore un autre…

Elle dut en recevoir largement plus d’une dizaine, ça dégoulinait lentement dans son cou, sur ses cheveux, sur ses seins.

Il finit même par lui enfourner le bout de son vit dans la bouche et elle se remit à le sucer ; et alors que ça n’était juste que pour un « nettoyage », que l’éjaculation était terminée, elle sentit l’énorme membre se dilater à nouveau et reçut de pleines bolées de cette semence blanche et épaisse, et encouragée par le monstre qui, impérieusement, lui ordonna « Avale ! Avale ! », elle déglutit et absorba de grandes quantités de cette gelée démoniaque.

Elle sentit à nouveau son estomac se dilater sous le poids de tout ce liquide, son ventre se mit à gargouiller, puis elle fut prise de crampes coliques de plus en plus intenses… Elle gémit, se mit à crier.

L’effrayant géant la saisit par le cou et la fit s’accroupir au-dessus d’un énorme trou, qui faisait comme un cratère s’ouvrant sur les entrailles de la terre et dont on ne voyait pas le fond, elle se soulagea :

de grands jets de substance blanche jaillirent de son anus grand ouvert, c’était un flot gigantesque qui s’en échappait, mais loin d’être effrayée, elle se sentait libérée, la tension de son ventre s’apaisait.

Elle jeta un coup d’oeil vers le cratère, et aperçut une créature d’allure démoniaque, rouge, mais plutôt féminine, qui avait la bouche ouverte et avalait avec délectation la semence blanche qui lui tombait dessus.

Avec un frisson d’horreur elle constata que cette créature ressemblait de façon troublante à sa mère !

Ensuite elle se sentit soulevée, avec douceur, transportée, et elle eut l’impression de sombrer dans le sommeil plutôt que de perdre connaissance.

Elle se réveilla dans la chambre somptueuse du yacht, dans son lit moelleux, avec une sensation de bien-être intense.

Bien entendu elle ne ressentait aucune brûlure sur ses fesses ; son anus et son ventre n’étaient  aucunement douloureux, et elle était convaincue qu’il n’y aurait aucune marque visible sur sa peau.

Steve était debout à ses côtés, près du hublot. Il ricana :

«  – Eh bien. Tu as bien dormi. Tu es littéralement tombée de fatigue hier soir. Après le spectacle, quand le mage t’a fait réapparaître et t’a ramenée dans la salle en te tenant par la main, tu avais l’air d’être dans un état second.

Mais qu’est-ce qu’il t’a fait ce mage ? » rit-il.

Elle se tourna, ronronna d’un air sensuel, et sourit de plaisir :

« – Va savoir. »

A la suite de cette croisière, Steve fut surpris quand il s’aperçut que Kim avait acheté des boules de geisha, les plus grosses qui existaient.

Et elle se mit avec plaisir à pimenter leurs ébats de jeux sexuels de plus en plus pervers :

elle lui demandait de lui remplir la chatte de ses boules à la taille impressionnante, de faire de même dans son rectum puis de la sodomiser avec force.

Il s’en étonna, mais ne se plaignit pas quand il découvrit avec quelle force elle jouissait, aspergeant tout ce qui trouvait derrière elle de violents geysers de cyprine tandis qu’il lui fourrait le cul à grands coups de pine.

Même s’il se demanda aussitôt, un brin jaloux, s’il n’y avait pas un homme, un mec un peu tordu, qui l’avait initiée à ces trucs, il ne se fit plus prier :

quel homme peut se plaindre d’avoir une femme aussi belle, aussi bien foutue… et aussi salope ?!

Un jour, juste après leurs ébats, elle le regarda et lui demanda, minaudant :

« – Dis, chéri. Est-ce que tu trouves que je suis radine ? »

FIN DE LA SECONDE PARTIE

Avertissement :

le jeu qui consiste à s’enfiler des ufs (quelle qu’en soit la matière) dans l’anus et le rectum est un pur fantasme (déjà mis en page par le Marquis de Sade dans Justine et les malheurs de la vertu), mais ne vous amusez jamais à le faire : par le biais du péristaltisme intestinal (ondes de progression de l’intestin qui peuvent se faire dans le sens inverse) les ufs ou les boules pourraient remonter et provoquer une occlusion intestinale (potentiellement mortelle) que seule une opération chirurgicale peut traiter.

C’est pourquoi les boules de geisha sont reliées entre elles par une petite ficelle que l’on laisse toujours dépasser grâce à laquelle on peut les ressortir.

Sans ficelle c’est très dangereux.

J’espère que le caractère surnaturel de l’histoire n’aura échappé à personne (ni un uf ni un membre masculin ne pourrait remonter de l’anus jusqu’à la bouche et en ressortir )

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