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Ma marraine est une fabuleuse créature – Chapitre 1




Je m’appelle Laurent et j’ai 20 ans. Je fais 1m78 pour 75kg, cheveux châtains aux yeux vert.

Pendant les vacances de Pâques, ne trouvant de job étudiant nul part, ma marraine Carole eut la gentillesse de me faire travailler à son boulot. Il fallait repeindre les murs du jardin ainsi que ceux d’une pièce du bureau.

En conséquence, je me présente le premier en tenue de travail c’est à dire un vieux jeans ainsi qu’un T-shirt sale que je destinais depuis à la peinture. Me montrant ce que je devais faire, elle me demanda combien de temps je mettrais et je lui répondus que j’en aurais pour une semaine et demi tout au plus.

La première semaine se déroula sans encombre et je terminai l’ensemble des murs du jardin. Je me mis donc à peindre ceux d’une pièce de la maison. Il faut savoir qu’il n’y a pas grand monde qui travaille dans cette entreprise, seulement ma marraine et son patron. Elle venait de temps en temps surveiller comment ça se passait.

Tout allait bien jusqu’au jour le plus chaud où la température monta à 45 degrés. Il faisait une chaleur intenable aussi décidai-je de me mettre pieds et torse nus pour que les vêtements ne me collent pas à la peau. Je fus surpris alors de voir Carole sur le pas de la porte dans une petite robe blanche de soie avec un décolleté qui plongeait jusqu’à mis ventre et qui laissait ainsi apparaître une bonne partie de ses seins. Ma marraine est une belle brune d’une quarantaine d’année, fait 1m66 pour environ 65kg. Elle possède des seins vraiment très gros et n’a jamais été marié. Bref, mon regard fut rapidement attiré par ce décolleté plongeant ce que bien sur, elle remarqua

— Pourquoi me regardes-tu comme cela? Il fait chaud et puis de toute façon, mon patron ne viendra pas aujourd’hui. Il n’y a que nous et je suppose que ma robe ne te dérange pas? me dit elle.

— Non. Bien sur que non. C’est juste que je ne savais pas que tu portais ce genre de robe.

— Je ne la met qu’en de rare occasion. Alors ça avance bien? Je vois qu’il ne te reste plus qu’un mur à faire.

— Oui je devrais avoir finis ce soir.

— C’est parfait. Tu as très bien travaillé. Tu veux boire quelque chose ? Tu as l’air d’avoir chaud.

En disant cela, elle se rapprocha et glissa le bout de son doigt sur mon dos légèrement en sueur. Cela me donna un frisson d’autant plus qu’elle était fraîche. Puis sans faire attention, elle raclât de la peinture et réussit à s’en mettre sur elle.

— Mince, dit elle. Bon je vais prendre une douche et essayer de retirer cette tâche de peinture de ma robe. En plus cela me fera du bien.

Elle partit donc en direction de la salle de bain. L’entreprise se trouvait en fait dans une maison dont le premier étage avait été transformé pour en faire des bureaux ce qui fait qu’il y avait une douche. Elle entra dans la pièce et referma derrière elle. Je fut pris d’une envie de la voir nue. Son corps me faisait envie surtout après l’avoir vue dans cette petite robe qui laissait apparaître une bonne partie de ses seins si rebondis. Et puis, n’avait elle pas essaye d’obtenir quelque chose de moi juste avant. Je me dirigeai donc vers la salle de bain et tente de l’apercevoir par la serrure. Manque de chance, il y avait la clé de l’autre côté de la porte. J’écoutai le jets douche jusqu’au moment où il s’arrêta. Je retournai précipitamment à ma peinture. Quelques minutiers suivirent jusqu’à ce qu’elle se retrouve à nouveau à l’entrée de la pièce. Elle avait remis sa robe qui a présent était propre et…mouillée en plus d’être transparente. Bon sang! Ses seins étaient apparents en dessous de la robe.

— Tu sais qu’on vois tout, lui dis je en tentant de me calmer.

— Oui je sais.

— Pourquoi fais tu cela? m’écriais je. Tu me fais terriblement envie. Alors arrête je t’en prie.

— Mon pauvre lapin. Je te fais vraiment envie?

— Mais oui. Tu es si belle. Laisse moi te voir nue.

Elle se dirigea vers moi tout en laissant tomber sa robe le long des magnifiques courbes de son corps. Je bandais de plus en plus et cela commençais même à faire mal du fait que ma queue était coincée dans mon slip. Sonia se rapprocha encore jusqu’à ce que nos corps se touchent. Son corps mouillé contre moi me faisait le plus grand effet. Je l’embrassa goulûment tandis que mes mains se baladaient dans son dos, massaient ses fesses pour ensuite malaxer ses seins si rebondis. Je prenais un immense plaisir et elle aussi, à ce que je voyais. Nos langues l’entremêlaient alors que ses mains décidèrent de se diriger vers mon pantalon. Elle s’accroupit devant moi, déboutonnes mon pantalon et me l’abaisse. Elle abaisse légèrement mon boxer afin que ma tige prenne un peu l’air. Elle fait tout de même un peu plus de 19cm. Je sens sa main commencer des mouvements le long de mon pénis et vois son autre main titiller son entre-jambe duquel je vois dégouliner un liquide le long de ses jambes jusque par terre. Tout à coup, elle ouvre grand la bouche et enfonce mon gland le plus possible jusqu’à ce que je sente mon gland toucher le fond de sa gorge. Elle a un sacré coup de langue car il ne faut pas longtemps pour que plusieurs jets de sperme ne remplissent le fond de sa bouche. Elle lèche même les petites goûtes qui perlent le long de mon pénis. A mon plus grand bonheur, ça ne s’arrête pas là. Je la prend dans mes bras et la porte jusqu’à son bureau où je la pose sur ses fesses avant de tout virer d’un coup de main. Je la dispose mieux sur le bureau puis, je commence à présenter ma verge à l’entrée de sa chatte. Il n’avait pas fallu attendre bien longtemps avant que ma longue tige ne reprenne de la vigueur. Ainsi, je la pénétrai d’un coup sec et enfonçai mes 19cm jusqu’au fin fond de sa chatte ce qui eu pour effet de lui arracher un hurlement de bonheur et de plaisir. Nos corps se frottent et chaque mouvement procure à l’autre un plaisir intense. Profitent que ma verge soit au maximum, je commence alors quelques mouvements de bassin tout en lui suçant les tétons et en lui léchant la poitrine du bout de la langue. Elle ne tarde pas à avoir un orgasme à partir duquel une grande quantité de son jus sortie de sa chatte, le long de mon pénis. Ne voulant plus m’arrêter, je lui demande de se retourner et de se mettre à quatre pattes sur le bureau, les fesses tournées vers moi. Tout doucement, je lui léchai l’anus afin de le lubrifier puis je mis un doigt pour terminer après quelques minutes avec toute ma main à l’intérieur de son cul pourtant si serré au début. Évidemment, je décidai d’introduire ma verge dans son petit trou si accueillant. Je commençai donc à la baiser par son cul tandis que mes mains parcouraient son minou et ses seins. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir ce qui s’avéra être exact puisque j’éjaculai de grandes quantités de sperme dans son trou du cul. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle introduisit ses doigts dans son cul pour y récolter mon sperme. Je me rendis compte à ce moment là que ma marraine était une véritable salope mais ça me plaisait énormément. Nous étions là, tout les deux nus et venions de passer un moment qui deviendrais non seulement inoubliable mais également le premier d’une longue série.

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