Dans la grande maison de campagne de mes grands-parents, nous nous retrouvions chaque été pour des vacances familiales. C’était une maison ancienne, mais où tout le confort moderne avait été aménagé. La seule particularité, qui ne m’avait jamais vraiment intrigué jusqu’à ce que je me rende compte qu’il n’en était pas de même chez mes amis, était qu’il n’existait pas de douches. Ou plutôt, que celles-ci étaient réunies dans une vaste pièce commune, un peu comme dans certaines piscines municipales. Il pouvait donc arriver, et en fait cela se produisait assez souvent, que l’on se douche en même temps que d’autres membres de la famille. Très tôt, donc, j’ai pris l’habitude de voir nus mes grands-parents, mes parents, ma tante, sans compter bien sûr cousins et cousines.
L’adolescence ne changea rien à cette habitude, même si certaines pudeurs se manifestaient parfois. Mais en même temps, la douche familiale devint un moment fournisseur de beaucoup de souvenirs durablement ancrés dans ma mémoire. Le plus troublant se produisit alors que j’avais quinze ans. Je venais de disputer une partie de tennis avec ma jeune tante, sour cadette de mon père, mais née bien plus tard. Lorsque j’arrivai dans la salle des douches, comme nous l’appelions, je m’arrêtai net sur le seuil, le souffle coupé par la surprise. D’un côté de la salle, mon grand père était en train de prendre ma grand-mère par derrière. Appuyée au mur de la douche, les jambes largement écartées, les yeux fermés, Mamie gémissait sous les coups de rein de son mari, qui faisaient tressaillir sa poitrine assez généreuse. Il était déjà arrivé, dans la moiteur permanente de cette salle, de surprendre quelques gestes assez intimes. Mais c’était la première fois que j’y voyais un réel accouplement. Et ce qui me stupéfia le plus fut que face à mes grands-parents, de l’autre côté de la salle, se trouvaient mes propres parents, qui les regardaient en souriant. Le sexe dressé de mon père montrait assez le plaisir qu’il prenait à regarder ses parents dans leur démonstration sexuelle. Quant à ma mère, elle avait tout bonnement glissé sa main entre ses cuisses serrées, et les pointes dressées de ses seins dénonçaient sa propre excitation.
Soudain, je sentis qu’on me poussait à l’intérieur de la salle. C’était ma tante, qui ne parut pas surprise outre mesure par la scène qui me troublait tant.
— Allez, entre, me dit-elle. Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais vu ça ?
Et elle regarda à son tour, sans aucune discrétion, ses parents qui jouissaient en même temps. Je regardais à nouveau vers ma mère, qui avait accéléré le mouvement de sa caresse, les yeux rivés sur le sexe de son beau-père qui débandait lentement. Soudain, mon père m’aperçut.
— Tiens Jérôme, s’exclama-t-il. Tu tombes bien. Je vais réaliser un de mes plus vieux fantasmes. Et je te rappelle que tu n’as pas intérêt à refuser.
Quelques jours plus tôt, il m’avait surpris en train de me masturber avec un sous-vêtement de ma mère, et il m’avait menacé de tout lui dire si je lui désobéissais en quoi que ce soit.
— Et c’est quoi, ton fantasme, demanda ma mère d’une voix rauque que je ne lui connaissais pas, la main toujours entre ses jambes.
— Voir mon fils se faire sucer par ma mère. Tu ne peux pas le laisser dans cet état, après ce que tu lui as montré, Mamie !
— Je suis d’accord pour te prêter ma femme pour ton fantasme, fiston, lança mon grand-père. Mais alors, tu me prêtes la tienne. Vu comment elle fixe mes attributs, j’aimerais savoir comment elle saura s’en occuper.
En quelques instants, tout fut bouleversé autour de moi. Agenouillée à mes pieds, ma grand-mère léchait lentement mon sexe tendu à l’extrême. Ses mains caressaient mes fesses, mes bourses, remontant sur ma poitrine. Pour ma part, une de mes mains jouait avec ses seins, mais je ne pouvais pas descendre jusqu’à son sexe presque entièrement rasé. Mes yeux suivaient, juste à côté de moi, le lent va-et-vient que la tête de ma mère faisait sur le sexe de Papy. Elle ne le touchait pas avec ses mains, laissant seulement sa bouche et sa langue lui redonner de la vigueur. De l’autre côté de la salle, mon père et sa sour s’étaient étroitement enlacés et se caressaient mutuellement, sans perdre une miette du spectacle que nous leur offrions. C’est alors que j’ai osé un geste que je ne me pensais pas capable d’accomplir : tendant ma main libre, je me mis à caresser la poitrine plutôt menue de ma mère. Le contact de ses seins fermes suffit à me faire exploser dans la bouche de ma grand-mère, qui continua néanmoins sa fellation, comme si elle souhaitait me redonner de la vigueur. En me contorsionnant un peu, je réussis à me pencher suffisamment pour atteindre le pubis de Maman, qui ne se déroba pas. C’est alors que je croisais le regard de mon père, qui avait pénétré sa sour, penchée en avant.
— Elle suce bien, ta mère, me lança-t-il. Tu devrais l’essayer.
Avant que j’aie pu réagir, Papy s’était retiré de la bouche de Maman, et lui tenant la tête par les cheveux, la présenta à mon sexe raide, que Mamy continuait à masturber légèrement. Je n’oublierai jamais la douceur de la bouche maternelle, lorsqu’elle m’engloutit entièrement. Je n’ai pas tardé à me déverser en elle, et elle avala la majeure partie de ma jouissance. Pendant ce temps, Mamie était allée rejoindre mon père, son fils, qui la posséda à même le sol dallé, tandis que mon grand-père sodomisait sa fille.