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Un amour de grand'mère ! – Chapitre 1




epuis le début de l’été, Aurélien était en vacances chez sa grand-mère Monique.

Bernard, son mari était décédé dans un accident voilà bientôt deux ans déjà. Elle habitait seule maintenant la grande maison près de Royan. Bâtie sur la corniche, au milieu des pins, elle surplombait la mer. C’était une des rares demeures pleines de charme qui avait échappé au bombardement à la fin de la guerre.

Habituellement, sa fille Nathalie et son mari Philippe accompagnaient leur fils, mais cette année ils étaient partis aux USA pour un voyage d’étude, lui laissant Aurélien pour la durée de leur séjour à l’étranger.

La canicule sévissait depuis plus d’une semaine et l’air marin ne parvenait pas à dissiper la chaleur étouffante. Même la nuit, l’air était irrespirable. Cet après-midi là, Monique était allongée nue sur son lit, les persiennes de la fenêtre de sa chambre fermées. Elle somnolait évitant tout mouvement. Aurélien quant à lui était descendu se baigner dans la petite crique en bas de la propriété. Bien que le chemin des Douaniers permît à n’importe qui d’y accéder, elle était le plus souvent déserte.

Soudain, elle fut tirée de sa torpeur par les cris d’Aurélien dans le hall au rez-de-chaussée.

— Mamie, Mamie, vite, je me suis fait piquer par une vive ! J ’ai le pied paralysé ! J’ai mal ! J’ai mal !

— Ne bouge pas, je descends, assieds-toi ! J’arrive !

Elle enfila juste sa robe qu’elle boutonna tant bien que mal tout en descendant l’escalier. Aurélien, assis par terre sur le carrelage, tenait son pied à deux mains.

— Fais-moi voir ton pied, mon petit chéri. Je sais, ça fait très mal mais je vais brûler le venin.

Elle alluma une cigarette et approcha le bout incandescent près de la piqûre.

— Ça va passer ! La chaleur détruit le venin !

— Mais tu vas me brûler !

— Cesse de geindre ! Ce que tu peux être douillet ! Attends, je vais te frictionner avec du vinaigre.

Lorsqu’elle revient de la cuisine avec la bouteille de vinaigre, elle s’accroupit sur ses talons et commença à frotter doucement la plante du pied. Aurélien grimaçait tant la douleur était encore intense. Patiemment, elle le massait remontant le long de la jambe. La douleur s’estompait lentement et le contact des mains de sa grand-mère sur sa peau lui parut subitement agréable.

Était-ce le fait que pour conserver son équilibre sa grand-mère écartât les jambes, le tout est qu’il ne pouvait détacher son regard des cuisses que la robe légère à moitié boutonnée, découvrait largement. Elle se dandinait sur ses talons et il pouvait apercevoir dans la pénombre son sexe à la jointure. Elle n’avait pas de culotte. Il avait bien sûr déjà vu sa grand-mère en maillot mais cette nudité en partie dissimulée l’émouvait bizarrement. Il sentit affluer le sang le long de son propre sexe. Ce n’était plus sa grand-mère mais une femme qui le touchait. Renversé sur le dos, en appui sur ses coudes, il ne pouvait contrôler ni dissimuler son début d’érection. Sa verge gonflait son slip encore mouillé qui collait à sa peau.

— Qu’est-ce qui t’arrive mon chéri, je ne rêve pas ! On dirait que tu bandes ? Ne me dis pas que c’est moi qui te fait cet effet ?

Surpris par la crudité du terme employé, il ne savait que dire. Sans réfléchir, il répondit utilisant le même registre.

— Je ne sais pas ! Mais tes cuisses ouvertes et ton ventre nu sous ta robe ? !

— Mais tu m’as déjà vue en maillot !

— Oui, mais ce n’est pas pareil !

— C’est nouveau ça ! Voilà que tu parles comme un homme maintenant ! Qui t’a appris ces manières, petit dévergondé ! T’as pas honte ?

Le ton de la voix de Monique démentait qu’elle fût réellement offusquée. Presque une invitation à poursuivre, d’autant que ses mains continuaient à masser doucement les mollets, remontant sans raison apparente plus haut sur les cuisses. Aurélien bandait ferme. Impudique, le bout de sa queue sortait maintenant de son slip. Monique, à son corps défendant, se sentait flattée. Elle, une femme de 63 ans, était donc encore désirable. Qu’importe que cette bite en érection fût celle de son petit-fils ! Elle était encore bandante et elle en était tout émue ! Elle ne pouvait détacher son regard de cette queue juvénile ! Elle sentait cette chaleur bien connue qui envahissait tout son bas-ventre, ses reins. Et cette moiteur de sa peau entre ses cuisses. « Je mouille ! » pensa-telle.

— Regarde Mamie, tu m’excites tellement que ma queue va éclater !

— Mais c’est vrai qu’elle est belle, mon chéri ! Elle est toute gonflée ! Et dire que c’est à cause de moi ! Dis-moi t’es-tu déjà masturbé ?

— Oui, je me branle souvent, j’adore ça !

— L’as-tu déjà fait avec quelqu’un ?

— Non, Mamie ! T’es folle !

— Alors laisse-moi faire, je vais t’aider à te soulager mon petit lapin ! Tu vas voir comme Mamie va s’occuper de son petit !

Tout en parlant, elle releva les jambes de son petit-fils pour faire glisser le slip. La bite longue et fine, libérée, telle un ressort vint se coller dure et dressée sur le ventre découvrant ainsi le cul et les couilles du garçon. Aurélien s’abandonnait au bon vouloir de sa grand’mère. Soudain il sentit la caresse de ses longs cheveux dénoués sur son ventre. Elle avait saisi son sexe, le serrait dans sa main et tirait doucement sur le prépuce pour décalotter le gland, rouge vif, gorgé de sang. Tout son corps tressaillit sous les petits coups de langue dont elle le gratifiait. Il crut défaillir lorsque sa bouche enroba son sexe et l’aspira. Sous l’intensité de la caresse, la douce chaleur humide de la muqueuse buccale, tout son corps vibrait. C’était extraordinaire, nouveau. Jamais il n’avait ressenti un tel plaisir. Elle pompait sa bite lentement, l’enfonçait au fond de sa gorge puis la faisait ressortir pour jouer de la pointe de sa langue sur le filet.

Monique préférait ne pas penser au caractère scabreux de la situation. Deux ans qu’elle n’avait plus sucé une queue, elle qui aimait tant faire décharger son mari sur sa langue ! Et ces petites couilles qu’elle roulait entre ses doigts, deux petites noix rien que pour elle !

— Mamie, arrête ! Je vais jouir ! Arrête, je sens que ça vient !

— Tais-toi et laisse-toi aller. Ne te retiens pas mon petit amour !

— Mais je vais jouir dans ta bouche !

— Oui, je sais ! Vide-toi sur ma langue ! Je veux ton sperme dans ma bouche, le sentir gicler et l’avaler !

— Mais c’est dégoûtant, Mamie !

— Tais-toi, laisse moi te finir ! Ta bite est toute dure ! Bande pour ta Mamie, bande fort !

La violence de l’éjaculation la surprit alors que le gland était au plus profond de sa gorge. Elle suffoqua étonnée par la quantité de sperme qui jaillissait. Le liquide chaud et onctueux tapissait l’intérieur de sa bouche. Elle faillit s’étrangler ! Rien à voir avec celui de Bernard, son époux, les derniers temps avant qu’il ne disparût !

Elle déglutit avec gourmandise tout le foutre qui fondait sur sa langue. D’une main elle tripotait les couilles d’Aurélien tandis que, de l’autre, elle pressait le bout de la hampe pour en extraire les dernières gouttes qu’elle recueillit religieusement sur la pointe de sa langue.

Sans attendre, elle s’allongea sur le garçon et forçant ses lèvres, elle enfouit sa langue dans sa bouche. Insensible au mouvement de recul de son petit-fils, sa langue jouait avec celle d’Aurélien. Elle pesait de tout son poids sur le corps du gamin. Elle ne se contrôlait plus. Elle était redevenue la chienne qu’elle avait toujours été. Une chienne en chaleur qui avait besoin de s’envoyer en l’air. Depuis deux ans elle vivait dans l’abstinence et voilà que soudain tout remontait à la surface. Un besoin de se faire prendre ; tout son corps, trop longtemps privé, réclamait ! Qu’importe que ce fût son petit-fils ! L’inceste ne la gênait pas, au contraire cela l’excitait même ! Elle se frottait contre lui, écrasant sa poitrine contre le corps nu du garçon. Qu’il la pelote, qu’il lui masse les fesses, qu’il la touche ! Son bassin ondulait sur la bite qui collait à son ventre, encore chaude et gluante.

Elle allait tout lui apprendre, elle serait son initiatrice. Ce serait un secret entre eux deux. Elle serait sa femelle et lui pourrait faire ce qu’il voudrait d’elle !

— Tiens goûte ton sperme, petit salaud ! Goûte ce que tu m’as fait gicler dans la gorge !

— Mamie, tu m’étouffes ! Tu m’écrases !

Aurélien essaya de se dégager. Les cuisses chaudes de sa grand-mère enserraient son sexe qui débandait. Les deux mamelles ballottaient au-dessus de ses yeux. Il les empoigna et mordit les deux bouts.

— Aïe ! Pas si fort ! Tu m’abandonnes déjà ? Tu n’as pas aimé ?

— Si, bien sûr ! Mais il faut que j’aille me laver les dents !

— Ah bon ! C’est parce que j’ai fourré ma langue pleine de ton sperme dans ta bouche ? Tu n’as pas aimé le goût ? Tu apprendras ! Les cochonneries, il n’y a rien de meilleur, mon petit chéri !

Elle se souleva enfin. Elle était moite de partout. Ses cuisses poissaient. Mais ce n’était pas uniquement dû à la fournaise ambiante. Elle ôta sa robe dégageant sa nudité. Impudique. Debout jambes écartées au-dessus du garçon, elle frottait son entre-cuisses avec la robe roulée en chiffon.

— Je coule de partout ! Regarde dans quel état tu me mets, petit cochon ! Touche ma peau, elle dégouline de sueur ! Putain, je mouille de partout !

— Tu n’as qu’à prendre une douche, ça te rafraîchira !

— Entendu, mais alors on la prend ensemble. Tu me frotteras le dos, viens !

Elle montait l’escalier la première. Il la suivait et pouvait contempler à loisir son cul et sa chute de reins. La marque blanche du string plongeait dans la raie qu’il avait juste à hauteur des yeux. Il glissa sa main entre les fesses amples, lourdes, tombantes. La peau était douce au toucher. Monique trébucha sur une marche et il se trouva, le nez collé à ce fessier qui l’attirait tel un aimant. Il reniflait son odeur forte et enivrante de femme ! Monique écarta ses fesses de ses deux mains.

— Eh bien ! Tu es aussi vicelard que ton grand-père l’était ! Ça promet ! Tu ne veux pas comme lui me culbuter dans l’escalier quand même !

— Mamie, arrête de dire des saletés, tu me fais rebander !

— Oui, je vois ça, c’est du propre ! Tu devrais avoir honte ! N’oublie pas que c’est ta grand-mère que tu tripotes !

— Oh ce que tu sens bon, attends, laisse-moi te lécher !

— Allez ! viens, la douche va te remettre les idées en place !

— Oh ! Ça peut attendre, Mamie, j’ai trop envie !

— Sale petit cochon !

Elle n’en pensait pas un mot, mais elle prenait plaisir à utiliser un vocabulaire cru pour l’exciter, ce petit vicieux ! Il lui fallait profiter du peu d’innocence qui lui restait encore, ça n’allait pas durer !

Elle avait perdu toute notion de la réalité. Elle était redevenue la jeune fille coursée par son frère. Il y avait si longtemps déjà !

Ils tombèrent sur le grand lit enlacés. Nu, la verge tendue, il se vautrait sur son corps qu’il pétrissait maladroitement. Il lui mordait les bouts des seins, puis l’embrassait à pleine bouche à en perdre haleine, reniflait ses dessous de bras.

Une main glissée entre ses cuisses lui branlait la chatte sans ménagement. Il ne pensait qu’à son propre plaisir, elle en était consciente, mais elle aimait sa fougue. Il y avait si longtemps qu’elle n’avait pas subi un tel assaut ! Tout son corps réclamait. Elle fondait sous les doigts qu’il avait introduits dans son sexe. Elle releva ses jambes pour lui faciliter la tâche.

— Doucement petit amour ! Prends ton temps ! Tu me défonces !

— Oui Mamie, oui mais c’est si bon !

— Viens me lécher, tu vas voir, je suis sûre que tu vas aimer l’odeur et le goût de ma chatte. Tu sens comme je suis mouillée ?

Il se laissa glisser pour enfouir son nez entre les cuisses. Les grandes lèvres charnues gonflées, ouvertes, dégageaient le vagin. Sa langue lapait les petites lèvres comme l’eut fait un chien. Il prit entre ses lèvres le clitoris qui pointait, sorti de son capuchon et le suçait comme un bonbon. Monique gémissait. La chaleur montait dans son ventre et ses reins. Elle souleva ses fesses pour lui montrer le chemin plus bas. Elle sentait que son anus était ouvert, les secrétions de son rectum suintaient le long de sa raie.

— Bouffe-moi le cul ! Fourre-moi avec tes doigts et ta langue ! C’est encore meilleur que devant !

— Mais c’est dégueulasse, Mamie !

— Tais-toi, branle-moi le cul, j’en meure d’envie !

A genoux entre les cuisses grandes ouvertes il examinait l’intimité de sa grand-mère.

La sueur collait les poils à la peau autour du cratère tout plissé et plus foncé. Une invitation à y pénétrer !

D’abord il introduisit timidement le bout de son majeur qui fut comme aspiré lorsque le sphincter se resserra. Il l’enfonça plus profondément. C’était chaud et mouillé comme dans la chatte mais plus serré.

— Aurélien, branle-moi, doucement. Ton doigt dans mon cul me rend folle ! Mets-en un deuxième et masse l’anus pour bien m’ouvrir.

— Je crois que je vais encore jouir, tu sais Mamie ! J’ai le bout de ma queue en feu !

— Ah non, attends ! Tu vas m’enfiler, moi aussi je veux jouir, avec cette fois ta bite dans ma chatte ! Allez ! , viens fourrer ta grand-mère !

Il s’allongea sur elle. Elle prit sa pine dure comme une trique entre les doigts, frotta sa fente avec le gland puis l’introduisit dans sa chatte. Instinctivement il commença à la limer. Elle était tellement mouillée qu’on entendait les clapotis à chaque va-et-vient. La tension était telle qu’ils furent surpris par l’éjaculation. Il se vidait dans ce ventre chaud. A chaque giclée il donnait un coup de rein pour s’enfoncer à fond, son sperme épais semblait ne jamais se tarir. Sa grand-mère avait replié ses jambes sur son dos et tendait son cul pour mieux engloutir cette bite qui était toujours aussi dure. Elle jouissait, son ventre rempli du foutre de son petit-fils !

Enfin vidé, il s’écroula sur elle de tout son poids. Elle le serrait fort sur sa poitrine et l’embrassait à pleine bouche.

Elle profita de ce qu’il était encore dur pour avoir un deuxième orgasme.

— Branle-moi encore avec ta bite, je vais encore jouir !

— Mais je suis crevé !

— Allez ! , donne-moi encore quelques coups de queue, s’il te plait !

Il prit appui sur ses bras et la lima lentement tout en la regardant dans les yeux. L’orgasme monta très vite. Elle jouissait et il pouvait voir le masque du plaisir sur le visage de sa grand’mère.

Elle ouvrit les yeux et lui sourit. Ce qu’elle était belle pensa t-il avec un brin de fierté. Il y était sûrement pour quelque chose !

— Putain, quel paquet tu m’as mis ! Alors, mon petit chéri, le pied ! Hein ?

— Non Mamie, il ne me fait plus mal ! ! !

Chris. A suivre….

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