— Salut les filles, dit Nicolas à ses deux surs en passant dans le salon.
Elles se tournèrent vers lui, leurs visages identiques arborant la même expression de surprise.
— Qu’est-ce que tu fais par là toi ? Demandèrent-elles en chur.
— Je venais de passer une supère matinée à laver des voitures, lorsque je me suis dit que laver des voitures, en fait, ce n’est pas si bien que ça, alors je suis parti.
— Tu as tenu combien de temps cette fois ? Demanda Sally, l’aînée.
— trois jours…enfin deux jours et demi, où est maman ?
— Elle dort…pour changer.
— Elle vous a fait à manger ce midi ?
— Non, on s’est débrouillées, dirent-elles.
Cela énerva méchamment Nicolas, dont la mère se reposait sur ses lauriers depuis qu’ils avaient gagné à l’euromillion. Il alla dans sa chambre et la trouva toute nue sur son lit avec une bouteille à la main. Il la secoua et lui prit sa bouteille. Il la regarda du pied de lit se réveiller à la recherche de sa bouteille.
— Qu’est-ce que tu fais mon cur, rends-moi ma bouteille !
— Non, je ne pense pas.
Elle s’approcha de lui à quatre pattes et plongea sa tête contre son entrejambe.
— Allez, s’il te plaît, supplia-t-elle en se frottant la bouche contre son érection naissante.
— Je t’avais dit de faire à manger pour les filles en partant ce matin.
Elle s’assit au bord du lit avec difficulté et commença à défaire la ceinture de son fils.
— Je suis désolé mais je vais me rattraper.
Elle fit tomber le jean et le boxer.
— Ce n’est pas auprès de moi que tu dois te faire pardonner.
Elle hocha et prit la verge en bouche, Nicolas ne résista pas à lui caresser la tête. Elle le suça doucement avec une grande attention. Les jumelles entrèrent dans la chambre. Elles se mirent de part et d’autre de leur mère.
— Pourquoi tu continues à travailler Nico, demandèrent-elles.
Il expira longuement, Marine, sa mère, accéléra la fellation.
— Je ne veux pas perdre le lien social du travail, dit-il avec de petits râles de plaisir, ça va m’aider pour mes cours de management et puis toutes les deux vous avez intérêt à avoir votre bac sinon ça va barder.
Elles se regardèrent au-dessus de leur mère et dirent :
— On te l’a promis, alors on va le faire.
— Et à la rentrée je vais commencer en plus les cours pour devenir chef d’entreprise. Je ne serai plus là pour
Tina se leva et embrassa Nico, lui coupant la chique.
— OK on aura notre bac mais en échange, tu nous appartiens jusqu’à ce que nous l’ayons, dit Sally qui repoussa sa mère pour prendre sa place.
— Eh ! C’est moi qui ai commencé, ce n’est pas juste.
Elle attrapa un sein de sa fille de la main droite et la doigta de la gauche. Elle l’embrassa ensuite dans le cou.
Nicolas, la scène imprimée dans son esprit, se demanda comment ils en étaient arrivés là?
Deux ans plus tôt alors que leur père avait bu encore une fois un peu de trop. Nicolas l’avait surpris en train de battre sa mère. Il avait vécu cette scène petit enfant puis adolescent. Maintenant jeune homme, il se dit qu’il n’avait rien pu faire avant mais aujourd’hui pour une raison inconnue il décida que cela devait changer. Il attrapa le poignet de son père qui descendait vers sa mère et le repoussa. Michel, le patriarche n’apprécia pas la chose et se jeta sur son fils qui l’esquiva avec souplesse.
— Papa arrête ça tout de suite ! Cria-t-il avec fureur. J’en ai marre de toi, si tu continues j’appelle la police.
Celui-ci dit un charabia sans queue ni tête.
— Après toi, je vais aller prendre mon temps avec tes surs, répéta Nicolas qui réussit à comprendre le gros de flot d’ineptie.
Son père lui lança la bouteille qu’il avait à la main. De ce moment, il ne se souvint de rien. Sa mère lui raconta qu’il avait sauté sur son père l’avait renversé et cogné avant de tomber comme un mort. Marine prise d’une véritable fureur devant le corps inanimé de son fils avait poignardé son mari et appelé la police. Trois mois plus tard leur père était en prison et avec une ordonnance de restriction lui interdisant de reprendre tout contact avec sa famille.
Les premiers mois sans lui furent difficiles, leur mère dut retrouver du travail, après des années en tant que femme au foyer et les enfants redoublèrent. Nicolas trouva un job chez McDo pour faire le lien, mais ils vécurent mieux que jamais. Un vendredi soir après une dure journée en cours puis au travail, Nicolas rentra tard.
— Les filles, qu’est-ce que vous faites encore debout ! Allez au lit.
Il prit la télécommande de la télévision et l’éteint.
— Non, s’il te plaît, on n’a pas vu cette émission et puis on n’est pas des gosses, dirent-elles en gémissant.
Sa mâchoire se décrocha.
— Vous me suppliez ? Pour TPMP ! Vraiment, on croirait que vous avez douze ans et pas dix-huit, je pense plutôt que je vous fais une faveur.
Elles secouèrent la tête en se levant du canapé pour aller se coucher, mais leur mère entra à la surprise de tout le monde, car elle faisait des ménages de bureau la nuit.
— M’man ! Qu’est-ce que tu fais là ? Un problème au boulot ?
Marine les regarda, blanche comme un linge. Elle commença à bégayer mais rien ne sortit. Elle se dirigea vers le frigo attrapa la vodka et but une grande rasade puis se dirigea vers son fils et le serra dans ses bras de te ses forces.
— Tout va changer mon chéri.
Il resta interdit.
— Pardon ?
Elle lui montra un ticket d’euromillion.
— On a gagné, dit-elle simplement.
Sally et Tina s’approchèrent, prirent le ticket et vérifièrent sur leurs téléphones.
— Tu n’auras plus à travailler, reprit-elle en regardant son fils. Tu nous as sauvés et maintenant
— Oh putain ! S’exclamèrent les surs d’une même voix. Il y avait quatre-vingts millions…on a gagné quatre-vingts millions, finirent-elles par dire les larmes aux yeux.
Nicolas qui n’avait plus vu ses surs pleurer depuis longtemps s’assit lourdement sur le canapé. C’était fini la balance penchait enfin vers eux.
— L’équilibre dans toutes choses, énonça-t-il l’émotion le prenant.
Elles firent un câlin familial autour de lui. Ils restèrent ainsi de longues minutes. Le ticket s’échappa et tomba par terre. Il le prit, marcha vers le téléphone et le posa avec précaution à côté.
— Tu l’as su au bar, demanda-t-il à sa mère.
Elle hocha la tête.
— J’y suis passée avant d’aller au travail et
Elle haussa les épaules. Il fut pris d’un doute.
— Il faut que l’on ferme toutes les portes de la maison et tous les volets. On se met en autarcie totale jusqu’à ce que la Française des jeux en soit informée.
Elles suivirent les ordres et en l’espace de dix minutes, ils étaient murés.
— Bon maintenant qu’est-ce que l’on fait ? Demanda Nicolas, je ne pense pas pouvoir dormir et vous ?
Les jumelles firent non de la tête. Il alluma la petite lampe à côté de la télé, se dirigea vers l’interrupteur et éteint le plafonnier.
— Si quelqu’un frappe à la porte, on fait les morts.
(Le quartier n’est pas vraiment un modèle de gentillesse…j’espère que les dealers du coin ne vont pas en entendre parler avant que l’on s’en aille d’ici…partir…il le faut et rapidement.)
— Où est maman ? Demanda-t-il.
— Je suis là, répondit-elle en entrant dans la pièce avec un sac à la main. Venez par là !
Elle sortit une couverture du sac et la mit entre la télévision et le canapé puis elle jeta des coussins.
— On va rester ici tous ensemble.
Les filles se mirent par terre et Nicolas s’allongea sur le canapé. Il prit la parole.
— Maman, il faut qu’on décolle demain matin tôt et qu’on se barre dans en hôtel en ville.
Marine le regarda en tremblant le ticket à la main, elle le posa au centre de la couverture.
— Le quartier est pourri si on reste, on va se faire dépouiller, insista-t-il.
— Mais la maison
— On s’en fout, on prend tout l’argent que l’on a et on se met au vert, je vais te dire je suis déjà surpris que tu sois arrivée jusqu’ici vivante.
La mère sembla perdre le fil mais Tina prit la parole.
— Je suis d’accord avec Nico.
Sally hocha vigoureusement la tête.
— OK OK, on part avec le premier RER.
À peine avait-elle dit ça qu’un bruit suspect retentit derrière la porte. Marine se jeta sur la lampe et l’éteint.
Dans le silence de la nuit, ils entendirent une personne marcher le long de la façade de la maison. Puis les vieux volets furent secoués.
(Ils sont vieux mais avec des fermetures trois points, ce n’est pas près de s’ouvrir aussi facilement.)
Les pas se rapprochèrent de la porte, ça sonna. Dans le noir, ils ne se voyaient pas mais les filles se rapprochèrent de lui. Une nouvelle personne se rapprocha de celle à la porte.
— Les fumiers sont faits la malle.
— Fils de pute ! Momo ne va pas être jouasse de ça.
Un moment de silence se passa. La famille commença à suer à grosses gouttes.
— On défonce la porte ? Demanda l’un des gars.
Un grand coup la secoua.
— Il y a quelqu’un ? Eh oh !
Un autre coup retentit.
— Il n’y a pas de caisse dans l’allée ?
— Non rien !
C’est normal connard, on n’a pas de voiture.
— Putain Momo va nous faire un autre trou du cul.
— On colle un spotteur, ils vont bien revenir.
— Attends ! L’Pierrik nous a prévenus direct, ils ont pas pu se barrer aussi vite.
(Pierrik ? C’est le con de patron du PMU.)
Sa mère commença à sangloter. Il l’attrapa par sa mère, sa main gauche se posa sur la poitrine et il mit la droite sur la bouche.
— Y a les keufs !
— Merde, on se casse.
Ils virent la lumière des gyrophares filtrer au travers des volets. Ils respirèrent de nouveau mais ne bougèrent pas d’un iota. Ils attendirent encore et encore dans le plus grand silence et doucement, tout doucement ils se détendirent. Sally alluma la petite lampe sur la télévision qu’elle couvrit d’un torchon qui traînait là. Il libéra la bouche de sa mère.
— Je pense que le pire est passé, dit Nicolas.
— Je pense aussi, dit Marine.
— Nous aussi, dirent en chur les jumelles.
Marine remarqua que son fils le tenait toujours et surtout fermement par le sein droit.
— Dis donc toi, n’en profite pas pour me tripoter le balcon.
Nicolas remarqua ce qu’il avait en main. Il le pressa avec douceur et sentit le téton durcir sous ses doigts.
— Espèce de petit pervers, dit-elle en éloignant sa main.
Nicolas rougit comme une tomate et se défendit :
— Ils sont trop gros, je n’ai pas vraiment eu le choix pour te tenir.
— Mouais mouais.
Marine prit un mouchoir dans sa poche, le mit sur son visage et sécha ses larmes.
— Le patron de la civette a bien failli nous faire tuer, dit Tina.
Nicolas s’allongea et mit son bras sur son visage et soupira.
— Maintenant réconfort, dit Sally dans la pénombre.
Elle arriva avec quatre verres la bouteille de vodka et du jus de pomme. Elle servit les verres. Marine finit de s’essuyer les yeux et dit :
— Bien vu mon Nico…bien vu.
Elle se pencha et l’embrassa sur la joue qui n’était pas couverte et posa sa tête sur son buste.
— Allez ! On trinque à cette nuit, dirent les jumelles.
Nicolas se releva sur son coude et prit son verre.
— À notre nouvelle vie, chuchota-t-il.
— À notre nouvelle vie, reprit sa famille.
Ils burent leurs verres cul-sec.
— On va dormir là ensemble, mettez-vous à l’aise, dit leur mère.
Nicolas se rendit dans sa chambre à tâtons et récupéra un short et un débardeur, se changea et reprit sa position. Marine et les filles enlevèrent juste leurs jeans. Sally lui tendit son verre.
— Une autre tournée.
Le silence se fit moins pesant lorsqu’ils burent leurs deuxièmes verres. Nicolas le brisa pour expliquer comment il voyait le lendemain.
— Il faudra partir tôt demain matin. Je vais essayer de voir s’il y a un spotteur, sinon on prépare des sacs rapides, maman passe-moi le ticket.
Elle le lui tendit et prit le verre en échange.
— Il y a un numéro à appeler…à faire en premier demain maman.
— OK.
— On prend un taxi et on ne regarde pas en arrière.
— Oui mais s’il y a quelqu’un qui surveille ? Demanda Sally.
— On appelle les flics, ils sont là pour ça après tout, répliqua Nicolas.
La bouteille y passa, les jumelles chuchotaient et pouffait en regardant leur frère.
— Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda Marine.
— On se demande si Nico pouvait donner ton bonnet, répondirent-elles.
Leur mère pouffa aussi, leur frère rougit mais ne se démonta pas.
— Un D bien rempli, je dirais, dit-il avec un sourire innocent.
— Ho bravo, dit Marine qui retrouva le sourire.
Elle partit vers la cuisine.
— Et nous, dirent les jumelles.
Tina s’approcha buste en avant, il s’assit et mit sa main droite sur le sein gauche.
— Entre B et C.
Sally s’approcha et prit la main gauche de son frère et la posa sur son sein droit.
— Alors B ou C.
Nicolas, que l’alcool avait définitivement désinhibé ne se rendit pas compte que sa verge gonflait doucement. Malgré cela il continua à palper les seins de ses surs bien concentré.
— Alors, dirent-elles en chur.
Marine arriva devant ses enfants et resta coite, car même dans la faible lumière elle vit le short de son fils transformer en chapiteau.
— Mais qu’est-ce que vous faites tous les trois ?
Les jumelles regardèrent leur mère et dirent :
— On va voir s’il a un don pour trouver les tailles de bonnet.
— Mais regardez un peu l’effet que ça a sur lui ! S’exclama-t-elle dans un chuchotement.
— Si je devais choisir je dirais C, continua Nicolas qui n’avait pas prêté attention à la conversation et vit juste les yeux de ses surs descendre.
Elles furent pliées en quatre et tirèrent sur le short alors que, surpris, il essaya de se cacher.
— Merde je suis désolé, c’est à cause de la vodka.
Marine attrapa les verres pour éviter qu’ils ne se cassent pendant que ses enfants chahutaient. Les filles réussirent par avoir raison de la résistance de leur frère, rendu maladroit par l’alcool.
— Arrêtez, je n’ai pas de sous-vêtement, chuchota-t-il furieusement en se levant pour fuir.
Le short chut jusqu’aux chevilles. Elles se retrouvèrent devant la verge en pleine érection à quelques centimètres de leur visage. Après quelques secondes elles eurent la même idée et l’attrapèrent, l’une de la main gauche et l’autre de la droite, leurs doigts s’entrecroisèrent autour.
Nicolas se transforma en statue, son esprit se dégrisa en un quart de seconde.
(Mais qu’est-ce qu’elles foutent ? Et pourquoi j’ai la tête qui tourne comme ça.)
— Arrêtez ça tout de suite, dit-il d’une voix qui monta dans les aigus.
Il sentit les doigts presser son membre, il ne réussit pas à contenir un soupir de plaisir. Les jumelles frissonnèrent.
Marine releva les yeux et vit ce qui arrivait à son fils. Elle croisa le regard de Nicolas au-dessus de la branlette que lui faisaient maintenant ses surs. Elle le vit comme un faon pris au piège, avec de grands yeux innocents.
(Aide-moi s’il te plaît !)
Sa mère partit en fou rire en se couvrant la bouche. Elle s’approcha pour les arrêter mais glissa à genou en voyant la verge laisser échapper quelques petites gouttes de sperme.
(Elle cuite de chez cuite et je ne pense pas qu’elle les arrête.)
Elle se glissa entre ses filles et dit :
— Qu’est-ce que vous faites toutes les deux ?
— On le récompense, il a trouvé notre bonnet, dirent-elles de leurs voix parfaitement synchronisées.
(Oh ! Merde ! Je ne le sens pas bien làARRÊTEZ)
— Alors il va falloir que je le…commença-t-elle, mais elle fut interrompue par long jet de sperme qui atterrit sur son nez et sa bouche.
Le reste de la semence coula au sol et sur les mains des filles, celles-ci regardèrent leur mère et furent prises à leur tour d’un fou rire qu’elles réussirent tant bien que mal à garder silencieux.
Marine s’essuya avec sa main, elle se rendit compte que ce fut un gros jet et que le sperme était bien épais.
— Désolé maman, dit Nicolas dont les larmes montaient, je n’ai pas réussi à me retenir…j’ai été trop surpris.
Il vit que sa mère ne rigolait plus.
(Nicolas, 20 ans, un garçon courageux et apprécié a été sauvagement assassiné par sa mère. Voilà mes dames et messieurs, les nouvelles de ce soir.)
— Ce n’est pas de ta faute mon chéri, on va t’aider à nettoyer, dit-elle en se tournant vers ses filles.
Sally faisait couler le sperme de ses doigts dans la bouche de Tina, puis elles inversèrent les rôles. Nicolas contre sa volonté redevint dur, Marine sentit la tête lui tourner comme jamais, elle se dit que c’était dû à sa consommation rapide d’alcool. Elle prit une des bouteilles qu’elle avait rapportée et bue d’une grande rasade de la prune qu’elle contenait et elle s’affala sur son fils. Elle était bien, jamais elle ne s’était sentie aussi bien.
— M’man qu’est-ce que tu fais ? Demanda Nicolas d’une voix blanche.
Elle se rendit compte qu’elle avait de nouveau baissé le short de son fils qu’il venait juste de remonter avec fébrilité sur son érection.
— Ça va aller mon cur, le rassura-t-elle en attrapant le membre dur comme du bois avec sa main droite.
Elle prit la verge dans sa bouche sous le regard horrifié de son fils.
Ah mais non ! Ça ne va pas du tout !
Les jumelles se remirent de part et d’autre de leur mère et observèrent avec attention.
— Tu vois, maman te récompense aussi et te nettoie en plus, dit Tina vers son frère.
— Oui et vu que tu es le meilleur grand frère du monde, les récompenses ne font que commencer, ajouta Sally.
(Putain, on a bu de la vodka frelater ou quoi ?
…
Elles sont devenues complètement dingues. Faut que je les force à se coucher parce
Ho !)
Il éjacula dans la bouche de Marine. Elle aspira fort pour récupérer tout le sperme. Celle-ci prit son temps avant de libérer la verge qui retomba mollement.
— Mon dieu, ça faisait des mois que je voulais en refaire une, ça me grattait tellement que je n’ai pas résisté ! Ça t’a plus mon Nico ?
Il ne répondit pas, il avait sombré dans un demi-sommeil. Sally approcha son visage de la verge, pendant Marine vérifiait que tout allait bien.
— Je pense…qu’il a…eu son compte, dit-elle en savonnant à chaque mot.
— Non, on dirait…que ça revient, dit Tina qui regardait sa sur le sucer comme une folle.
Marine se servit de la prune et en donna aux filles.
— Beau tra…travail Sally, bois ça pour passer le goût.
Les jumelles toussèrent lorsque l’alcool leur brûla l’sophage, mais elles reprirent encore une rasade, Tina maintenait la trique de son frère en le masturbant. Marine se leva et fit tomber sa culotte.
— Et j’ai une envie d’une queue depuis presque un an…il est temps de remettre le couvert.
Elle monta sur le canapé et descendit difficilement sur la verge mais y arriva avec l’aide de ses filles.
— Merci, mes amours vous êtes des
Le membre érection pénétra avec facilité dans la fente trempée de cyprine.
-…anges…oui…des anges
Nicolas choisit ce moment-là pour se réveiller. Il vit sa mère monter descendre sur son sexe, il vit aussi ses surs observer l’action avec attention.
— Oh mon dieu ! C’est bon ! Fit Marine dont les yeux se remplirent de larmes.
Elle vit que son fils la regardait. Elle lui sourit et il se sentit forcé de lui répondre.
Je ne sais pas ce qui va se passer demain matin mais le réveil va être compliqué.
Sa mère le ramena au présent en l’embrassant, sa langue joua un ballet saveur gnôle dans sa bouche.
(Je vois…enfin…je goûte qu’elles ne se sont pas arrêtées à la vodka.)
— M’man ! Tu as déjà la queue de Nico, on a…droit à la bouche, gémirent les jumelles en repoussant leur mère de la bouche de leur frère.
Marine laissa la place à ses filles et décida passer aux choses sérieuses sur l’arrière, elle posa ses mains derrière elle sur les genoux de son fils et fit un grand rodéo.
Sally embrassa Nicolas pendant que Tina lui mordillait le cou. Nicolas ne résista pas plus longtemps à cette overdose de sexe. Il glissa les mains dans le dos de ses surs et commença à leur caresser le haut de ces fesses.
— Oh Nico ! Ne fais pas ta mijaurée, fit Tina, en forçant ses mains à descendre plus bas.
De ses doigts, il parcourut délicatement la vulve de ses surs. Elles cambrèrent le dos, il put facilement glisser ses doigts sous leurs strings. Il rentra ses majeurs entre leurs lèvres.
— À moi Sally ! Cria Tina.
Le visage de Nicolas fut tourné de force par Tina dont la langue dansa dans sa bouche.
— Nico, faut que tu me prennes après, chuchota Sally à son oreille.
Il enfonça son doigt plus profondément en elle. Celle-ci gémit et jouit en lui susurrant des encouragements pour la prendre après sa mère.
Il éjacula et perdit connaissance dans un même temps