SCENE DE MENAGE

Il fait chaud ! Très chaud !! Trop chaud !!!

Ça fait une semaine que cette canicule nous plombe sans aucun nuage à l’horizon. Mais la vie doit bien continuer malgré tout ! Après un petit-déjeuner très matinal, pour profiter de la fraîcheur du jardin, nous décidons de faire un peu de ménage tant que la chaleur n’a pas encore atteint son paroxysme. Nous nous répartissons les tâches : toi le séjour, moi la cuisine et les sanitaires.

En cette saison, qui dit ménage dit tenue légère ! Moi en boxer, toi en nuisette, chacun vaque à son ouvrage, chiffon à poussière, aspirateur, serpillière… Debout dans une chaise, tu entames le lavage des vitres. Pschit, pschit, pschit ! Un peu de produit et ton bras, armé d’un chiffon, s’active à frictionner les vitres. Les mouvements saccadés de ton bras secouent nerveusement tes seins et tes fesses qui gigotent sensuellement. Voir tes fesses rondes se trémousser ainsi librement sous le fin tissu, devant mes yeux, éveille en moi une envie de les apprivoiser, de les dompter s’il le faut.

Je me rapproche silencieusement de la chaise du haut de laquelle tu mets du cur à l’ouvrage, absorbée par ta corvée, tu ne me vois pas arriver. Quand mes deux mains se plaquent subitement sur tes globes, tu sursautes et manques de perdre l’équilibre. Mais ton chevalier servant te retient dans ses bras puissants et tu restes debout sur la chaise, les fesses au niveau de mon visage.

Mes doigts pétrissent, ma bouche embrasse la chair généreuse. De bisou en bisou, mes lèvres se rapprochent de ton sillon que mes mains écartent. De haut en bas, le bout de ma langue caresse la fine peau jusqu’à atteindre ton orifice le plus intime. Tu dois apprécier la caresse, car tu relèves ta nuisette et cambres les reins pour faciliter mon exploration. Ma langue s’enhardit donc et lèche avec persévérance ton anneau plissé. Tu gémis, tu aimes sentir mon souffle chaud sur ton cul, tu aimes sentir ma langue humide monter à l’assaut de ton sphincter. Et moi j’aime les effluves farouches, musqués qui se dégagent de cette zone interdite.

Je te sens réceptive alors je mouille un doigt pour le frotter sur ton illet froncé. Il palpite sous la caresse, m’invite à aller plus loin, plus profond… Je lèche abondamment le passage pour le lubrifier et je positionne mon doigt inquisiteur sur ton anus. Un doux massage pour apprivoiser la bête puis j’appuie plus fermement pour que mon doigt pénètre tes chairs contractées. Ton bassin vient au-devant de ma pression, signe que tu aimes ce contact et que tu souhaites que je persévère. Mon doigt ressent le relâchement qui commence à s’opérer, il entame des petites rotations lentes pour ne pas te brusquer.

Mon doigt se retire. Tu te tournes vers moi, ton regard inquiet semble me dire :

Non ! Ce n’est pas déjà fini ? Je commençais juste à ressentir un peu d’émoi…

Je souris ironiquement. Mais non ce n’est pas fini ! Deux doigts sont dans ma bouche pour s’enduire de salive avant de replonger dans ta raie. Ils te pénètrent facilement et s’enfoncent presque entièrement. Mon pouce s’aventure dans ta fente inondée et rejoint les deux autres doigts de part et d’autre de la fine membrane qui les sépare. J’entame un massage de tes organes internes qui fait monter ton excitation. Ton cul est totalement offert à mes doigts et tu geins de plaisir sous mes caresses intrusives. Il est temps de passer aux choses sérieuses, car mon sexe, tendu à l’extrême ronge son frein depuis bien longtemps.

Je me retire soudainement de toi et disparais dans la cuisine. Un peu surprise et déçue de te retrouver « délaissée » en si bon chemin, tu remplaces mes doigts par ta main qui va réveiller ton clitoris du fond de sa tanière. Tes doigts fins fourragent dans ta toison et stimulent ton petit bouton enchanteur. De mon côté, je récupère une noix de beurre dans le frigo que je fais fondre sur ma barre enflammée. Le contact du beurre froid sur ma peau me fait percevoir à quel point je suis « chaud ».

Je reviens vers toi en enduisant minutieusement le corps gras sur ma hampe. Je te retrouve assise sur le bord de la chaise, une main caresse tes seins lourds aux pointes fièrement saillantes pendant que l’autre est entre tes jambes largement écartées.

Eh bien ! On ne s’ennuie pas dis-donc ?

Oh pardon ! Je me suis sentie si seule tout à coup…

Je crois que tu n’es qu’une dévergondée qui mérite un châtiment…

Oh oui ! Punis-moi par là où j’ai fauté…

Alors relève-toi et tourne-moi le dos !

Docile, tu te relèves, mets ton fessier sous mon nez et cambre les reins exagérément. De ma main libre je te claque sèchement une fesse puis une autre et encore une bonne série bien appuyée. Ta peau imprime les marques rouges de mes doigts. Tu cries de douleur à chaque coup asséné. Enfin, je transforme la fessée en caresses afin que la douleur se diffuse.

Tu vois ce qui arrive aux vilaines filles qui font des bêtises !

Oui, oui ! Mais maintenant, je vais être gentille…

C’est très bien, mais la punition n’est pas finie… Comme tu t’es occupée toute seule de devant, moi, je vais m’occuper de ton derrière…

Oh non ! Pas ça !!

Mais si ! Je vais farcir ton petit trou de vicieuse !

Je te claque encore une fois chaque fesse puis ma main grasse plonge dans ton vagin à la recherche de cyprine. Ta fente dégouline du précieux fluide et je ressors mes doigts tout englués que je remonte le long de ta raie. Je masse doucement ton orifice pour t’inviter à le décontracter, mais tu ne desserres pas l’étau de ton sphincter. Je t’applique alors une nouvelle fessée, plus légère pour te rappeler qui est le maître en cet instant. Je plante deux doigts dans ton anus qui s’enfoncent maintenant facilement. Tu es prête pour la phase suivante.

Je t’appuie sur la nuque, t’invite à te plier en avant et à poser tes coudes sur le fond de la chaise. Tu dandines ton cul bien ouvert par la position. Je pointe mon dard devant ton trou luisant et pousse mon bassin. Mon gland écarte tes chairs, ce qui te fait un peu mal. Je t’invite à respirer plus profondément et à te détendre, mais je continue ma lente progression.

Tu vas voir ! Bientôt tu me demanderas d’aller plus fort…

Ça y est ! La tête de mon pieu vient de passer la barrière de ton cul. Tu te plains encore un peu de la dilatation, alors je fais une pause sans bouger. Je regarde mon sexe planté entre tes fesses prêtes à être avalées par tes entrailles. Je profite de ce moment de répit pour malaxer tes seins qui pendent vers la chaise. C’est alors toi qui commences à venir au-devant de ma queue en reculant ton bassin.

Vas-y maintenant, dit-elle ! Donne-moi la punition que je mérite…

Je suis surpris par cette façon d’inverser les rôles et de faire de ta punition un moment lubrique. Mais tu me connais bien, je suis bien trop excité pour m’arrêter à ce stade. Alors lentement, je m’enfonce profondément et je ressors, faisant coulisser ma tige sur chaque millimètre de ton boyau. Tu apprécies cette caresse, au combien intime et comme je l’avais prédit, tu m’implores :

Oh s’il te plaît ! Défonce-moi vraiment ! Fais de moi ta chienne…

N’attendant que ce signal, je t’assène de grands coups de bassin contre les fesses. Tu es sous l’emprise totale de ton sexe, de ton désir, de l’orgasme qui monte en toi inexorablement. Tu es ailleurs, dans une autre dimension, ton esprit ne t’appartient plus… Mes mains s’accrochent à tes hanches et tout ton corps tressaille sous la violence de mes bourrades. Ta tête remue dans tous les sens, tu dis que c’est trop bon, que tu n’as jamais ressenti ça. Tu me supplies de ne pas arrêter. Tu hurles ton plaisir, un long cri provenant du fond de tes entrailles. Des spasmes te traversent de part en part, secouant ton corps convulsivement. Je ralentis un peu le rythme, mais t’administre toujours de profondes pénétrations.

Au bout de quelques instants, je sais que j’ai atteint le point de non-retour, pour moi aussi la délivrance n’est pas loin. Dans un ultime sursaut, je jette toute mon énergie dans le final qui s’annonce et alors que je sens mon sperme jaillir dans ton fondement, tu jouis à nouveau intensément. Nos cris rauques se mêlent dans l’air ambiant alors que nos jouissances se confondent en un orgasme simultané qui nous comble d’allégresse.

Je n’en peux plus ! Je m’affale sur ton dos et caresse tendrement tes seins. Toujours planté en toi, je sens tes muscles pelviens se contracter méthodiquement autour de mon sexe ramolli comme si tu me trayais de l’intérieur. Quelle délicieuse sensation de se sentir vivant de ce côté si souvent oublié, dissimulé, refoulé.

Tu roucoules de bien-être sous mes doigts cajoleurs. Tu pousses un petit cri de surprise lorsque mon sexe s’échappe d’entre tes fesses. Tu te redresses, te retournes et nous nous embrassons langoureusement. Mes mains parcourent tes épaules, ton dos, tes hanches, tes fesses… C’est si bon de sentir ta chaleur, d’exister par le contact de nos peaux fusionnées.

Il fait chaud ! Les vitres attendront… Après nos ébats torrides, nos corps en sueur, et particulièrement tes fesses en feu, ont grand besoin de se rasséréner sous une pluie d’eau fraîche. Je t’entraîne sous la douche, peut-être pour de nouveaux batifolages ?

21/10/2019

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