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Perte de contrôle – Chapitre 8




Maîtresse avait mis tellement dénergie dans mon dressage et la transformation quElle voulait faire de moi, quElle en profitait pleinement et sans plus se retenir. Bien éduquée, il est vrai que je prenais dorénavant tout en charge sans quElle nait besoin de plus rien dire. Bien entendu toutes les corvées de la maison étaient de ma responsabilité même si jétais rarement dans des conditions idéales pour les réaliser. Mais je nétais devenu plus quun objet de compagnie pour Elle, Lui facilitant la vie à la fois par mon service, ma présence, ma souffrance, et lutilisation de mes biens dont Elle avait pris pleinement possession sans que je ny puisse rien.

Le soir, une fois mes tâches domestiques réalisées, je lattendais à genoux derrière la porte, comme une chienne attend le retour de sa Maitresse. Elle ne tenait pas compte de moi et pouvait ne pas rentrer sans même me prévenir, je restais alors toute la nuit à attendre ma raison de vivre, heureuse dêtre ainsi toute dévouée à Elle. Au féminin car après tout le dressage et les transformations quElle mavait imposées, parfois en prenant des risques avec sa déontologie, Elle voulait que je me pense ainsi, être transgenre, sans plus aucun autre repère quElle et Son absolu possession.

Outre les piqures dhormones, je prenais également un régénérateur cellulaire qui avait fait des merveilles sur ma peau définitivement et intégralement épilée. Celle-ci était douce et pâle, grâce aussi aux heures de gymnastique que je devais faire, surveillée par la caméra. Mais je naurais jamais pensé ne pas obéir, je crois que cela métait impossible. Mes seins avaient fortement poussé, comme mes tétons sétaient bien développés. Maîtresse mavait Elle-même posé deux anneaux aux tétons, de très gros anneaux soudés, qui offraient ainsi un cercle parfait de 8 mm de diamètre, et étaient bien visibles sous mes tenues de latex lorsque je devais sortir faire des courses, ou lorsquElle voulait mexhiber. Néanmoins ma carrure dancien homme virile néquilibrait pas le galbe de mes nouveaux attributs, aussi Maitresse me fit poser des implants en silicone par un de Ses collègues. Les implants étaient vraiment volumineux, et je remplissais aisément un bonnet D, sans que cela ne semble démesuré. Maîtresse adorais mhumilier et me battre sur ces seins si proéminents, et ne manquait jamais de les étirer avec des poids sur les anneaux de mes tétons. Ceux-ci étaient devenus terriblement sensibles en grossissant, et je supportais difficilement les pinces crocodiles quElle minfligeait longuement, juste pour le plaisir de mentendre gémir sous mon bâillon. Cétait pour Elle une source dexcitation sans fin, et je ne comptais plus Ses orgasmes à Se caresser sous mes yeux malheureusement impuissants. Je rêvais de pouvoir ne serait-ce que La lécher, la caresser, mais tout ceci métait définitivement interdit. La regarder évoluer restait un privilège qui me nourrissait de passion et de désir de la satisfaire plus encore.

Lorsque je me regardais dans la glace, et jy prenais goût, le choc était chaque fois aussi fort. Bien sur cette imposante poitrine que je vivais plus comme une contrainte que comme un embellissement, ne laissait pas indifférent. Maître aimait beaucoup jouer avec, me la gifler avant que je ne le suce profondément. Mais le reste du corps était tout aussi surprenant pour moi. Maitresse avait décidé de remodeler aussi mon visage. Le bistouri avait été discret, mais le changement patent. Les yeux avaient été légèrement bridés, le nez affiné, les lèvres gonflées. Plus brutal, les pomettes avaient été retravaillées. Au final, avec lépilation de mes sourcils, et de ma voute capillaire, le visage qui était présenté était indubitablement féminin. Avec laide de lesthéticienne, javais appris à me maquiller, Maître aimant les femmes très maquillées et aux ongles foncés. Ceux-ci devaient être toujours impeccablement longs et préparés, en variant des teintes rouges, vertes ou bleues, toujours soutenues.

Ma taille était travaillée en permanence, je portais un corset de contrainte, fait en acier, pour accentuer encore le travail sur mes cotes. Leffet sur mes hanches était visible, et javais une silhouette, ne serait-ce que mes épaules, qui était totalement féminine. Maîtresse adorait cette transformation et ce côté multi sexuel que javais aujourdhui, sachant que mes couilles étaient chaque jour plus mises en valeurs par les étireurs qui les éloignaient de près de 15 cm de leur base. Les torturer était devenu pour Elle une habitude, et son imagination était sans borne. Elle navait pas peur des conséquences et javais souvent limpression quElle désirait les détruire. Et je ne me trompais pas. Pour Son anniversaire Maîtresse me demanda de Lui faire un cadeau. Elle mavait tout pris et je navais plus rien, ni droit à rien, aussi Sa demande fut-elle difficile à réaliser. Il me fallait alors être imaginatif, aussi le jour venu, je vins à genoux à Ses pieds, lui remettre mon cadeau. Je Lui proposais, puisquElle aimait tant mes couilles, de me percer chacune delles avec un large anneau, et ainsi de les infibuler. Elle pourrait alors à chaque anniversaire augmenter la taille de lanneau. La réaction de Maîtresse fut au-delà de mes espérances, je La sentie se remplir dune rage sexuelle comme Elle en avait souvent, et que jadorais même si jen étais la victime. Serrant mes couilles étirées de Ses ongles, Elle me fit monter dans Sa chambre, attacha mes couilles au plafond, et les cravacha jusquà ce que je mévanouisse, tout mon poids supporté par ces délicats organes. Malgré la douleur déjà subie, Maitresse et Maitre décidèrent de réaliser mon cadeau le soir même, bien sûr sans anesthésie. Je fus immobilisé sur la table, les jambes écartelées. Ma ceinture de chasteté fut otée pour pouvoir opérer aisément. Ce nétait pas la première fois que je subissais des aiguilles dans cette partie si sensible, mais cette-fois ci laiguille traversait de part en part mes testicules et avec un diamètre bien plus important que je ne pensais. Jimaginais que Maîtresse commencerait par 2 mm, mais cest une aiguille de 4 mm quElle prit. Je La regardais intensément pour Me remplir dElle tandis quElle enfonçait laiguille dans cette partie si molle, avec une jouissance rarement atteinte. Les anneaux en place, le résultat était très dérangeant, ce qui plut à Maitresse, et je mis moins dun mois à cicatriser

Jadmirais le sadisme de Maitresse et chaque souffrance quElle minfligeait était pour moi la preuve de Son affection. Tant quElle jouissait de Son pouvoir et de mes cris, javais la certitude de Lui appartenir et de pouvoir ainsi continuer à être Son jouet. Un soir, pour agrémenter sa lecture, Elle mhabilla dune combinaison en latex intégrale, violette, ne laissant que deux fins tuyaux, enfoncés dans mes narines, pour respirer. Ma bouche avait été remplie de Sa culotte du jour en guise de bâillon, les bras retournés dans le dos, les jambes liées lune à lautre par de multiple sangles, en position à genoux, sans pouvoir bouger au risque de tomber sur le côté. Je portais mon corset metallique quElle avait serré le plus possible pour me rendre la respiration difficile, mais surtout pour faire pression sur mon ventre déformé. Préalablement à combinaison, Maitresse mavait remplie de 3 litres deau mélangée à du laxatif et du vinaigre, bien fermée par le nouveaux plug 24/7 installé depuis quelques jours. Ce plug déformait mon bassin tant il était large, et mempêchait, pour linstant de marcher totalement. Jétais ainsi au pied de son lit, dans une situation infernale, le ventre remplit de spasme et de douleur de brûlure, sans avoir le droit de bouger, mais avec lautorisation de gémir pour ainsi agrémenter sa lecture. Maîtresse sendormit ainsi en lisant, éteignant la lumière dans la nuit et me laissant ainsi veiller longuement sur Elle. Je navais pas le droit de dormir. Le lendemain, Elle se réveilla amusée de me voir toujours là pleine de souffrances et partit à Ses consultations sans prendre la peine de me délivrer. Ce nest que dans laprès-midi que Maître passant pour se soulager en moi, me trouva dans cette très fâcheuse posture et pris sur Lui de me libérer. Jétais anéantie de souffrance et Il mautorisa à aller me reposer en attendant le retour de Maîtresse. Non sans lavoir avalé, comme Il avait pris maintenant lhabitude de le faire. Maîtresse faisait tous Ses besoins avec moi, mais Maitre limitait à la partie liquide.

Javais tellement enduré que cela ne me gênait plus. Maîtresse mavait prévenu quà la prochaine grande soirée fétichiste à Paris, je serais de corvée de chiotte. Un cabinet serait ainsi installé au-dessus de mon visage, le reste du corps immobilisé dans une fosse, et je servirais de toilettes aussi bien pour les Femmes que pour les Hommes. Je nétais pas trop inquiet, sachant que les déjections seraient sans doute que liquide, même si cétait atrocement humiliant. Ayant imaginé cela Maîtresse samusa en toute discrétion à saupoudrer quelques éléments de buffet de poudre laxative, afin dalimenter le balai vers les chiottes humaines mises à disposition. Il se trouva que les réactions dépassèrent ses plans, et je passais une soirée atroce à admirer ces culs dHommes et de Femmes mutilisant pour Leurs besoins les plus abjectes. Maitresse mavait réduite à être une chiotte humaine, et parfois une ânesse que lâne de Maitre montait.

Et ce soir devait être le grand soir. Malgré mes ballet boots, javais appris à tout faire avec même à courir, y compris avec la barre décartement qui limitait mes pas, je me précipitais à ouvrir à nos premiers convives. Couverte dune combinaison en latex, ne laissant que mes yeux effilés émerger, le corps totalement corseté et contraint, mes seins parfaitement moulés avec les anneaux saillants, seul mon sexe encagé et mes couilles émergeaient côté face, et lanneau de mon plug côté pile avec une queue de cheval impressionnante qui y était enfoncée. Limpression dans la glace et dans les yeux des visiteurs montrait un succès certain. Les Hommes comme les Femmes étaient vraiment attiré par cette créature que Maîtresse avait fabriquée au gré de Ses humeurs et de Son sadisme. Je mafférais à servir les apéritifs auprès de chacun, sans que personne ne me reconnaisse. En effet, je connaissais bien chacun des convives, les ayant fréquentés dans mon ancienne vie, dominateurs venus avec leur soumise, ancienne soumise qui étaient venues soient seules, soient accompagnées, avec tous et toutes javais eu des contacts très forts en SM et je comprenais que Maîtresse avait décidé ainsi de mexposer et parachever son uvre de déconstruction. Mais je nallais pas y perdre que mon image.

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