(… suite…)

Lorsque Jehan revint à lui, il était couché sur le sol dur, un sol en terre battue. Il faisait noir. Son cur cognait dans ses tempes son visage était poisseux poisseux ? Il se remémora la scène, lui sur ses genoux, suçant cette verge verte mais qu’est-ce qui lui avait pris ? Il s’assit. Sa tête allait mieux, mais il entendit toujours un « boum ! boum ! boum ! » Il se rendit compte que ce n’était pas les battements de son cur, mais des tambours, tout proche Il se mit debout. Il constata qu’il était entièrement nu Petit à petit, ses yeux se firent à la pénombre. La pièce n’était pas grande, il devait être dans une hutte de briques sommaires. Il devina une porte, sur le mur en face de lui. Il marcha doucement jusqu’à la porte, tâtonnant pour être sûr de ne rien rencontrer dans son chemin. Plus il s’approchait de la porte, plus il entendait des bruits, de l’autre côté. De petits, cris, de drôles de gémissements. Il arriva à la porte, et tenta de l’ouvrir elle n’était pas fermée, et s’ouvrit sans problème !

Il sortit du noir, et entra dans une autre pièce sans fenêtre, mais éclairée par des torches. La pièce était beaucoup plus grande, et ce qui s’y passait le cloua sur place ! Devant lui, une femme humaine s’empalait sur le sexe vert, bandé, d’un orc couché sur le sol à chaque fois qu’elle remontait, on voyait le sexe tendu mouillé de sa mouille à elle à côté, une autre humaine était à quatre pattes sur le sol, un orc la prenant en levrette, enfonçant son gros sexe vert dans l’anus dilaté de la fille, qui gémissait de plaisir tout en suçant avec gourmandise le sexe tendu d’un autre orc debout devant elle sur sa gauche, une elfe était prise par trois gobelins, tout aussi vert que les orcs, mais moins fort, de corpulence légèrement plus petite que celle des humains, et avec des oreilles pointues sur sa gauche, une autre elfe était couchée sur une table, un orc tenant ses jambes levées, et s’enfonçant dans son cul tandis qu’elle poussait des cris de plaisir Il faisait très chaud dans la pièce, qui sentait le sperme, la sueur, la luxure et le stupre et l’on n’entendait que des sons de pénétration et de gémissement de plaisir tout cela lui faisait tourner la tête son sexe commença à se redresser les images, les sons il devait résister, résister et fuir mais l’odeur était tellement attirante, cette odeur de sperme si délicieux non, non, il fallait résister !

— Ah, mais je vois que notre prince s’est réveillé !

Il se tourna, et vit la mystérieuse créature avec son manteau noir, qui avait toujours le capuchon relevé et les traits cachés.

— Qui êtes-vous ? Mais c’est vous qui avez lancé ce défi dans la forêt ! C’est vous qui avez manigancé tout ça ???

Soudain, une main attrapa le prince, un orc qui était près de la porte, et le poussa sans ménagement le prince roula au sol, tombant près de la fille qui s’empalait sur le sexe bandé de l’orc Jehan ouvrit de grands yeux en voyant un petit zizi, tout glabre, danser de haut en bas, tandis que l’orc s’enfonçait dans l’anus qui le recevait avec anticipation et plaisir, tellement qu’il en mouillait la verge verte et dure Devant son air hébété, la « fille », qui devait avoir son âge, et avait une jolie paire de seins, qui dansaient comme son petit zizi au gré de la pénétration, lui sourit, puis attrapant sa tête, colla ses lèvres aux siennes, et l’embrassa, leurs langues se mélangèrent Le prince se recula, mi-dégoutté, mi-excité Il trébucha contre l’orc qui prenait la fille en levrette, et se retrouva de nouveau au sol là aussi « la fille » avait un petit zizi, qui se balançait lui aussi au rythme des coups de boutoirs de l’orc qui lui ramonait l’anus avec plaisir Soudain, elle jouit, un sperme très liquide et blanc coulant de son petit zizi, tandis que l’orc se vidait dans son petit cul il sortit son membre encore bandé, dont le gland était maculé de sperme, tandis que l’anus de la « fille » palpitait encore, grand ouvert, du sperme s’écoulant lentement le long de ses petites testicules, de ses cuisses L’odeur, forte, prenait de plus en plus le pas sur la réflexion, d’un Jehan tout perdu et au comble de l’excitation L’orc attrapa le prince par le cou, et amena sa bouche contre son sexe

— Nettoie !

Il n’eut pas le temps de dire « non » que l’orc enfonça son sexe dans sa bouche résister ne lui vint même pas à l’esprit, le goût et l’odeur, comme une drogue, avaient pris le contrôle de son cerveau, et il ne se débattit pas, mais commença à lécher et à sucer cette verge avec délectation, son sexe se cabrant sous le plaisir qu’il en retirait ensuite, l’orc, estimant sa verge bien nettoyée, amena la tête de Jehan vers le cul de la « fille » le prince voulut se reculer, mais l’odeur était trop forte, et ce sperme si alléchant sa langue se posa sur la cuisse de la fille, remonta, léchant le sperme qui y coulait elle en frissonna de plaisir puis la langue du prince atteint ses petites testicules glabre, son scrotum maculé de sperme, qu’il lécha avec application avant d’arriver à son petit trou, encore béant sa langue y plongea, lapant tout le sperme qu’il pouvait L’autre gémit de plus belle, tandis que l’orc qu’elle suçait se vidait dans sa bouche Elle se retourna alors, la bouche et les lèvres pleines de sperme, et embrassa Jehan à pleine bouche, partageant avec lui le sperme qu’elle avait en bouche, lui l’avalant, puis sa langue fouillant, léchant la bouche, les lèvres, la langue, le palais de l’autre pour en avoir encore plus, encore plus de sperme, encore plus de plaisir Une voix raillée rit derrière lui

— Ah, ah, ah, tu es déjà complètement dedans, princesse ! Pourtant, ils ne t’ont pas encore brisé, comme ils ont brisé les autres mais bientôt, tu seras comme elles une nouvelle acquisition de choix dans le harem

La bouche goûtant ce si délicieux sperme, le prince se retourna la fille sur la table avait également un zizi tout autour de lui, toutes ces beautés qui gémissaient de plaisir et qui étaient prises par des orcs ou des gobelins, étaient toutes des garçons féminisés

— Harem mais pourquoi ? Je pensais que les orcs préféraient les femmes humaines, qu’ils violaient pour qu’elles portent leurs bâtards

— Oui, ça c’était avant la guerre ! Mais à cause de votre victoire, non seulement les femmes ne sont plus si facilement accessibles, mais en plus, nous ne savons plus nourrir les orcs qu’elles mettent au monde. Car dès qu’un orc s’accouple avec une de vos femmes, ou une elfe, elle est enceinte, à chaque rapport, ça ne manque pas, tellement le sperme des orcs est fertile Seulement, les territoires dans lesquels vous nous avez exilé ne supportent aucune de nos cultures, et le pillage est devenu difficile les orcs trop nombreux ont commencé à se battre entre eux, et à s’entre-tuer comme des animaux, pour un peu de nourriture. C’est pour cela que je suis intervenu, pour que ça s’arrête !

Il fit tomber son manteau, révélant le visage d’un gobelin, très très vieux. Jehan le reconnu, c’était l’ancien roi des gobelins, connu pour être très malin, autant que fourbe !

— Maintenant, la reproduction est surveillée, et nous ne prenons des femmes que pour ça, mais de temps en temps, en fonction de nos besoins, bien planifiés mais les orcs et les gobelins ont des besoins sexuels puissants et constants, ils sont tous le temps excités, et là, on ne peut pas leur dire de faire ceinture, où ils deviennent fous ! Je leur ai donc appris à faire ces nouvelles femmes, qui ne tombent jamais enceinte, et qui sont brisées bien plus vite que des vraies femmes, leur plaisir est tellement fort que très vite, elles ne savent plus se passer d’une verge bandée, ni de son sperme ! Et ce sera ton sort !

— Jamais ! Ja

L’orc qui ramonait le cul de la fille sur la table poussa un cri rauque, jouissant en elle puis il retira son sexe bandé Jehan voyait le sperme, qui coulait de l’anus béant sur la table, et de la table au sol il devait résister ce sperme à l’odeur si forte il devait résister ! … ce sperme à la consistance si crémeuse il devait résister !!! ce sperme au goût si appétissant, si délicieux quand il coule dans la gorge, quand il fait exploser ces sensations de plaisirs dans le cerveau puis dans tous le corps comment résister ???

Sous le rire du gobelin, il ne put s’empêcher de se ruer sous la table, léchant le sperme au sol, puis se mettant sur ses genoux, léchant le sperme sur la table, avant de laper celui qui coulait de l’anus de la « fille », qui couina de plaisir sous les coups de cette langue fouilleuse

— Il est temps que tu apprennes ta vraie place, prince ! Que le rituel commence !

A ces mots, l’orc près de Jehan et de la « fille » sur la table prit le prince par le cou, et le souleva Jehan essaya de se défaire de la main de l’orc, mais ce dernier était trop fort pour lui Le tenant par le cou, il le souleva du sol, les pieds du prince battant dans le vide il le tenait suffisamment fort pour que Jehan ne puisse se libérer, et soit privé d’un peu d’oxygène, mais pas trop fort pour ne pas l’étrangler

Cinq gobelins, dont les fronts, les nez et les joues étaient peints de lignes et de cercles rouges, arrivèrent en faisant une sorte de danse la tête de Jehan lui tournait, tous ce sperme avalé, l’odeur dans la pièce, la chaleur aussi et l’autre qui serrait son cou sa vision se brouilla, il voyait ses êtres verts avec leurs marques rouges qui dansaient devant lui, puis autour de lui leurs sexes bandés qui semblaient tous toujours le montrer du gland de si jolies verges et chacun des gobelins avaient autour de la taille une ceinture, avec une sorte de pot en céramique fixé au niveau de leur nombril, pots qui avaient les mêmes signes rouges peints sur leur pourtour les cinq gobelins dansaient autour de Jehan, et trempant leurs mains dans le pot, les sortaient gluantes et recouvertes d’une sorte de crème étrange, de couleur pourpre, crème qu’ils appliquaient sur les pieds de Jehan puis au tour suivant sur ses jambes puis sur ses cuisses puis sur son pénis, ses testicules, ses fesses la crème semblait chaude, et irradiait sa chaleur dans le corps de Jehan L’orc qui le tenait le rabaissait un peu, ses pieds touchèrent à nouveau terre mais il était à demi conscient les gobelins purent ainsi appliquer la crème sur son ventre, son dos, sa poitrine au tour suivant son cou puis au tour suivant son visage à part ses cheveux tout son corps était enduit de cette crème, et il chauffait, tout partout, sur la peau comme en dedans

L’orc le lâchât, et il tomba sur ses genoux, toussant un peu, avec l’impression d’étouffer Trois des cinq gobelins se reculèrent un peu, et commencèrent un chant ancien, chant scandé par le bâton du roi des gobelins, avec lequel il frappait le sol à la fin de chaque strophe. Les deux autres gobelins appliquaient de la crème sur leurs verges tendues ils étaient les deux mieux membrés des cinq, même si leurs sexes bandés avaient une taille légèrement inférieure à un sexe humain.

Le premier s’avança, et présenta son sexe luisant de cette crème pourpre à la bouche du prince. Ce dernier avait la tête qui tournait de plus en plus, comme s’il était complètement ivre, et le corps de plus en plus brûlant dans un état de semi-conscience, il se laissa faire quand le gobelin poussa son sexe dans sa bouche, appliquant la crème sur sa langue, sur son palais Il sentit l’autre s’agenouiller derrière lui, poussant son gland contre son anus, la maculant de cette crème pourpre un frisson de peur le parcourut, il allait le sodomiser ! Mais dans l’état où il était, ses muscles devenant comme du coton, il ne savait même plus bouger l’autre poussa, et l’anus du prince s’ouvrit, gobant le gland du gobelin, puis sa hampe, alors que la créature verte se poussa en lui La douleur fit monter des larmes aux yeux de Jehan, mais en même temps, associé à cette douleur, une sensation de plaisir l’aiguillonnait la verge dans sa bouche badigeonnait toute l’intérieur de sa bouche de crème pourpre, tandis que celui dans son cul faisait la même chose avec son rectum et sa prostate le tout étant à la fois douloureux et tellement plaisant

Soudain, le sexe dans sa bouche se cabra, et le gobelin se retira, rapidement, pour ne pas jouir dans la bouche du prince il alla vers le fonds de la salle, où une sorte d’idole était sculptée dans un pilier de la hutte. Il se masturba et se fit jouir au pied de la statue, son sperme macule le bas du bois et le sol, comme une offrande le gobelin qui avait pris sa virginité anale le prit par les hanches, se poussant le plus loin possible qu’il pouvait en lui, ses petites testicules vertes frappant doucement contre les grosses testicules du prince et lorsque le prince sentit ce sexe se cabrer au plus profond de lui, il était lui-même au bord d’un orgasme mais comme le premier, le second gobelin se retira, et alla jouir au pied de l’idole, comme une offrande.

L’anus forcé de Jehan palpitait, et ce dernier sentit comme un vide en lui étrange un vide qui devait être rempli Le roi des gobelins s’avança vers lui, tout en frappant le sol de son bâton. Arrivé tout près du prince, il frappa une dernière fois le bâton sur le sol, et le chant s’arrêta Jehan vit alors que tous le regardaient, et que d’autres orcs s’étaient joints à ceux déjà présents

Souriant, le roi des gobelins approcha sa tête de celle du prince

— Maintenant l’orgie va commencer mon prince je vous préviens, faites très très attention cette crème est à la fois physique, un puissant aphrodisiaque qui va décupler en vous les sensations de plaisirs mais elle est aussi magique et son pouvoir magique va se libérer en vous à chaque fois que vous jouirez plus vous jouirez, plus elle vous transformera donc si j’étais vous j’essayerai de ne pas trop me laisser aller au plaisir he, he, he

Le roi des gobelins se recula, toujours riant puis son rire s’arrêta, et il leva son bâton vers le toit de la hutte ce fut le signal de la curée les orcs et les gobelins se ruèrent vers Jehan et les « filles » qui étaient là Dans un état de semi-conscience, Jehan vit l’elfe se faire soulever de la table pour se retrouver à genoux sur le sol, tandis qu’un orc fourrait déjà son sexe bandé dans son petit cul encore un peu béant de la précédente pénétration, tandis qu’un gobelin venait pour lui mettre son sexe bandé dans la bouche mais Jehan ne vit plus rien, il se retrouva projeté au sol, puis soulevé quelque chose de beaucoup plus gros que le gland du gobelin venait se mettre contre son anus un orc allait le prendre par derrière ! Une lueur de lucidité lui traversa le cerveau

— Non, il est trop gros, vous allez me déchirer en deux !

Mais l’orc n’en avait cure, de sa main puissante il écarta les fesses du prince, et d’une poussée son gland transperça l’anus de Jehan, puis sa hampe ce sexe énorme qui entrait en lui arracha un cri de surprise et de douleur au prince, mais étant déjà au bord de l’orgasme tout à l’heure, cette soudaine intrusion, et ce frottement contre sa prostate, lui donna aussi un orgasme foudroyant, un jet de sperme jaillissant de son gland avant d’atterrir sur le sol de la hutte. Soudain, la crème sur sa peau devint luisante, et une nouvelle vague de chaleur traversa sa peau, sa chaire, jusqu’à ses cellules

— Oh non, la crème me transforme !

Tous ses poils furent comme brulé, disparaissant en fumée, jusqu’à la racine mis à part ses cheveux, Jehan se retrouvait totalement glabre sur tout le corps et une voix dans sa tête lui disait que ce serait permanent

— Il ne faut plus que je jouisse il ne faut plus que je jouisse !

Mais le sexe énorme de l’orc allait et venait en lui, caressant de façon puissante sa prostate la crème pourpre à l’intérieur de son corps intensifiait ces décharges de plaisirs Il se tourna et vit que c’était Ragnak qui l’avait réellement dépucelé et fait jouir par sa pénétration puissante son torse puissant, son bassin qui allait d’avant en arrière, sa verge puissante qui le crassait de l’intérieur du corps c’était tellement bon ! La crème qui intensifiait le plaisir, faisant petit à petit disparaître la douleur Un gobelin passa devant lui, et lui pinça le nez ce faisant il ouvrit la bouche, et le gobelin y enfonça son pénis raide, et vert il baisa la bouche du prince, ses petites testicules battant doucement contre le menton de celui-ci avant de jouir assez rapidement dans sa bouche mmmm ce goût bon sang, j’adore le sperme « Non non il ne faut pas que je jouisse » Son sexe battait déjà comme un fou, tandis que le plaisir montait en lui il mit toute ses forces pour contenir le plaisir, l’éjaculation mais soudain, Ragnak se planta bien au fonds de lui, et éjacula dans son rectum, le remplissant de son sperme chaud et abondant « Il jouit en moi ! Il se vide les couilles dans mon petit cul ! » Cette pensée, la sensation du sperme chaud dans ses entrailles, ce fut trop, et il jouit une seconde fois, un jet de sperme déjà moins abondant la crème sur son corps brilla à nouveau, et il vit son pénis rétrécir, ainsi que ses testicules, qui lui semblèrent devenir plus plate également il sentit au fonds de lui que cela voulait dire qu’il ne pourrait plus jamais avoir d’enfant

Ragnak se retira de son anus, qui resta béant, du sperme coulant sur ses testicules et ses cuisses cette sensation de vide fut plus forte que la précédente, le sexe de Ragnak étant évidemment beaucoup plus gros que celui du gobelin c’est donc avec un soupir d’aise qu’il sentit un nouveau sexe le remplir, un autre orc plongeait en lui et commença à la ramoner rapidement ce sexe qui allait et venait en lui, frottant puissamment sa prostate c’était tellement bon ces orcs si virils qui le prenaient comme le faible qu’il était le faible femelle il se sentait tellement femelle sous leurs puissants coups de boutoirs et c’était si booooon il jouit encore une fois la crème pourpre brilla à nouveau, son pénis rétrécit encore, ainsi que ses testicules, tandis que ses hanches et ses fesses se remplirent une autre sissy atterrit devant lui couchée sur le dos, les jambes relevées par un orc qui besognait son petit cul, un autre avait dû jouir sans sa bouche, car il y avait encore pleins de sperme sur ses lèvres Jehan amena sa tête vers elle, elle semblait semi inconsciente, ravagée par le plaisir il lui lécha les lèvres, sa bouche s’entrouvrit un peu, il l’embrassa, sa langue léchant celle de la sissy, dans sa bouche qui goûtait fortement le sperme le plaisir s’emparait de lui, le submergeait L’orc qui allait et venait dans le cul de la sissy sortit soudain sa verge du petit trou, et le présenta à la bouche du prince, qui la lécha puis l’avala avec délectation, tandis que l’autre jouissait dans sa bouche en même temps que l’orc qui le sodomisait jouissait dans son cul « du sperme dans la bouche et dans le cul, mes deux trous remplis, quelle coquine je fais ! » Cette pensée, le sperme qui le remplissait l’excitait de trop « Je ne dois pas pas jouir jou je je veux jouir c’est trop bon, je veux jouir, encore et encore jamais je n’ai eu un tel plaisir dans la vie c’est trop bon ! » Il jouit une nouvelle fois la crème brilla à nouveau, de petits seins apparurent sur sa poitrine, tandis que son visage se féminisait un peu mais il n’en avait cure, ravagé de plaisir

Il suça un autre orc, tandis qu’un gobelin le sodomisait le gobelin ne dura pas longtemps, mélangeant son sperme à celui des deux orcs passés avant lui, et heureusement, car après le passage des orcs, le petit sexe du gobelin ne donnait pas beaucoup de sensation à l’anus du prince il fut remplacé par un autre orc, à la grande satisfaction de Jehan, qui accompagnait maintenant les coups de boutoirs pour avoir le maximum de sensations, le maximum de plaisirs Une autre sissy était debout devant lui, un orc allant et venant entre ses fesses tellement d’orc avait jouit en elle que du sperme coulait de ses fesses sur ses jambes, spermes que Jehan léchait, tout en se faisant ramoner par un cinquième orc. L’orc qui allait et venait dans la sissy se retira en un coup, et envoya son sperme sur le visage et la tête de Jehan L’odeur était trop forte il jouit encore une fois, son petit sexe n’éjaculant plus, coulant d’un liquide pâle ses seins grossirent, tandis que son visage se féminisait encore un peu

Un gobelin qui passait par là vis ses nouveaux seins, et commença à les triturer, à les lécher, suçant puis pinçant ses tétons c’était un plaisir nouveau pour Jehan, une sensation nouvelle, amplifié par la crème qui l’amena à une nouvelle jouissance L’orc qui le sodomisait se vida en lui, remplacé par un autre ce dernier souleva Jehan de terre comme s’il ne pesait rien, et calant le dos de la nouvelle sissy contre son poitrail puissant, l’empala sur sa verge bandée puis il le fit monter et descendre le long de ce pieu, les seins et le petit zizi de Jehan se balançant de haut en bas, jusqu’à se vider en lui, provoquant un nouvel orgasme chez le prince puis il l’abandonna sur la table couché le dos sur la table, Jehan ne resta pas tout seul longtemps bien vite cinq gobelins l’entourèrent il en branla deux, un dans chaque main, un autre enfonça son pénis bandé dans sa bouche, tandis que les deux autres le sodomisèrent d’abord à tour de rôle, mais l’anus de Jehan étant tellement béant, ils purent s’y mettre à deux en même temps ils se vidèrent en lui, tandis que ceux qu’il masturbait jouir sur son ventre, son visage pas le temps de dire « ouf ! » qu’il était sauvagement retourné sur la table, et qu’un sexe d’orc s’enfonçait à nouveau en lui il jouit encore, et perdit connaissance, ravagé de sexe et de plaisir

Même dans son état d’inconscience, il était encore et encore utilisé à un moment, il reprit légèrement conscience, il n’était plus sur la table, mais empalé le sexe d’un orc assit lui-même contre un des piliers de la hutte Jehan vit son ventre rebondit à cause de tous le sperme qu’il avait ingéré, par le haut ou pas le bas il passa doucement sa main sur ce ventre rebondi « on dirait que je suis enceinte enceinte de ces orcs forts et puissants mmmmm » il sourit, s’enfonçant mieux sur son pal de chair, jusqu’à ce que celui-ci jouisse encore en lui, et qu’il perde conscience pour de bon

* *

— Princesse, cette fois c’est la fin. Il faut venir à son chevet

Le médecin était pâle. Le roi allait mourir. Le Grand Chancelier se tourna vers la princesse.

— Et le Prince n’est pas encore revenu de sa mission ?

Les yeux perspicaces du Chancelier se posèrent sur ceux de la princesse. Elle rougit et ne soutint pas son regard.

— Non nous n’avons pas de nouvelles

— Je n’aime pas ça si votre père le roi meurt cette nuit, il faut un couronnement rapidement, sinon nos ennemis vont penser que nous sommes en état de faiblesse, et vont en profiter pour rompre les traités que nous avons passé avec eux. Il faut faire revenir le prince, et vite !

De nouveau, la princesse ne soutint pas son regard, semblant ailleurs en elle, un feu nouveau s’était allumé, qui la consumait : le remord. Avait-elle bien fait d’envoyer son frère face à un danger inconnu, qui devrait le disqualifier pour le trône ?

— Princesse, je sens que quelque chose ne va pas, et l’heure est grave il faut

Mais le Chancelier fut interrompu par un brouhaha venant de la porte du bureau où il s’entretenait avec la princesse Bérénice et le médecin. La porte s’ouvrit brusquement, laissant passer le capitaine des gardes, sale, il avait dû chevaucher sans arrêt Le chancelier se tourna vers lui, livide

— Le Prince ?

Le Capitaine toisa la princesse, d’un regard mauvais.

— On s’est fait avoir, il y a eu sortilège ! Peut-être que la sorcière pourra mieux l’expliquer que moi !

— Expliquez-vous !

— Les orcs étaient bien plus nombreux que d’habitude, mais au lieu d’un combat général, ils ont proposé un combat de champion. Le prince contre leur chef. Mais au lieu de combattre, le prince, qui est doué au combat à l’épée, il il s’est jeté aux pieds de l’orc et et il s’est prostitué à lui !

Un silence pesant s’installa. Bérénice était aussi pâle qu’une morte. Le Chancelier la regarda, puis regarda le Capitaine.

— Mais comment par quel sortilège

— Un étrange personnage en noir dit que la princesse savait comment du une substance créant cet état au prince lui a été administrée

Les yeux du capitaine étaient accusateurs et sa voix avait porté par les portes ouvertes les gardes, et les quelques nobles dans l’antichambre entendirent, et leurs yeux tentèrent curieusement de voir dans le bureau le chancelier se reprit.

— Capitaine, tenez votre langue ! Et fermez cette porte !

L’homme, ferma la porte, mais déjà ceux qui avait entendu parlèrent entre eux la nouvelle se propagerait vite : la princesse essayait de se débarrasser de son frère, elle l’avait vendu aux orcs !

Dans le bureau, la princesse était pâle, et respirait avec difficulté. C’était un piège ! Le chancelier la regardait, l’air déçu, puis reporta son attention sur le capitaine.

— Et le Prince est-il encore vivant ?

— Vous savez ce que les orcs font de leur prisonnier ! Soit il est mort, soit il est dans un état pire que la mort un jouet sexuel sur patte

La princesse ne put retenir un hoquet de surprise.

— Et c’est sa faute à elle ! Cette sorcière !

— Allons Capitaine, reprenez-vous ! Nous n’avons aucune preuve de ses allégations, sauf le témoignage suspect d’’un ennemi et le prince avez-vous essayé de le délivrer ?

— Ils étaient trop nombreux j’avais laissé deux hommes pour suivre les orcs et localiser leur village, afin de revenir avec plus de soldats. Mais en chemin, nous avons établi un camp pour dormir quelques heures et faire reposer les chevaux. A notre réveil nous avons trouvé les têtes de ces deux plantés sur des piques, à quelque distance du camp impossible de localiser le prince les montagnes sont vastes, cela prendra des mois pour le retrouver et dans quel état le retrouverons-nous ?

Le Chancelier parut réfléchir intensément soudain, des cloches sonnèrent, un glas, froid et lugubre le roi était mort ! Les yeux de la princesse d’agrandirent elle était responsable de la déchéance de son frère et elle n’avait pas été au chevet de son père pour ses derniers instants c’était trop pour elle, toute pâle elle s’évanouit

Le Chancelier se précipita pour la relever, mais pas le Capitaine, qui la regardait toujours d’un il mauvais. Le chancelier se tourna vers lui.

— Pas un mot de cette histoire à quiconque, sinon je vous jure que vous le payerez de votre vie, et ce sera douloureux, croyez-moi ! Quoi qu’il ce soit passé, quoi qu’elle ait fait, il faut préserver le Royaume ! Le prince, si nous le retrouvons un jour, ne sera sans doute pas en état de régner donc elle sera intronisée Reine demain, comme le veut la coutume un couronnement royal le lendemain d’un décès royal, comme le jour suit la nuit

— Ce n’est pas juste !

— Ce qui ne serait pas juste, c’est de laisser le Royaume se déchirer ! Il faut un souverain, et nous n’avons plus qu’elle sous la main alors allez, et vous et vos hommes taisez-vous à jamais ou gare à vous !

* *

Ainsi donc, la princesse Bérénice fut sacré reine le lendemain. Son règne n’allait pas être facile, car la rumeur se répandit qu’elle avait vendu son frère aux orcs pour pouvoir régner. Lorsque cette rumeur commença à se propager, le Chancelier fit assassiner le Capitaine et les soldats qui avaient accompagné le prince, mais cela ne mis pas fin aux rumeurs au contraire, cela les amplifia, car si l’on avait fait disparaître ces hommes, c’est qu’il s’était bien passé quelque chose des nobles se rebellèrent, n’obéirent pas aux ordres de la souveraine, qui dût se battre et les soumettre durant tout son règne A cela s’ajoutait sa solitude, plus personne ne la regardait de la même façon, et ses propres remords, qui la rendirent triste, tout sa vie, ce qui rendit son mariage malheureux Enfin, dernier malheur, les orcs parvinrent à s’unir, à se regrouper, et revinrent pour une nouvelle guerre avec les humains, que les elfes ne voulurent pas aider, profitant de la division du Royaume

* *

Epilogue 

Une ferveur particulière régnait dans le camp des orcs. Avant de mourir, dû à son âge avancé, le roi des gobelins avait réussi à les unir. Les clans de la Lune noire, de la main blanche, du loup sanglant, du sanglier rageur, avaient été les premiers à se réunir. Comme ils étaient les clans principaux, les autres avaient suivi. Ils étaient maintenus réuni, avec les deux clans de gobelins ayant survécu à la dernière guerre, pour entamer une nouvelle guerre avec les humains. Et en plus les elfes n’interviendraient sans doute pas. C’était le bon moment pour fondre sur les humains, et semer la terreur, la destruction et le pillage sur leurs terres

La majorité des chefs étaient réunis dans la hutte principale. Ils avaient tergiversé longuement, et finalement avaient élu Galdir le borgne comme roi des orcs. Il était plus âgé que Ragnak, son neveu, mais son expérience avait parlé pour lui. Et il était aussi costaud que n’importe quel jeune guerrier ! Une longue table en bois avait été dressée, Galdir étant assis à son extrémité. Tous le long, les chefs des clans orcs tapaient bruyamment de la main sur la table, vidant broc de bière sur broc de bière puis, Ragnak se leva, et le silence se fit

— Galdir, toi qui est devenu notre chef à tous laisse-moi t’offrir un cadeau de choix ! Une concubine royale, pour un orc royal !

Une jeune femme apparut, au bout de la table ses jambes fines et douces, ses fesses rondes et fermes, sa poitrine ferme, ses yeux bleus et ses longs cheveux blonds attirèrent tous les regards vêtue de voiles blanc transparents, un anneau d’or dans le nez, un autre dans son nombril, et son petit zizi glabre lui donnait un air encore plus provocateur elle avança sensuellement le long de la table, jetant des illades à ces orcs si virils ces derniers sifflaient, tapaient du poing sur la table la concubine, Jehanne, arrive au bout de la table, jetant un regard sensuel à Galdir, qui la dévorait des yeux et elle n’était pas en reste ! Il faut dire qu’elle était en manque, cela faisait plusieurs jours qu’elle n’avait plus eu de rapports sexuels ni n’avait bu de sperme

Elle s’assit sur le rebord de la table, face à Galdir, joua sensuellement avec ses seins, avant de se coucher sur le dos, ramenant ses jambes vers elle, proposant son joli cul rond et son anus palpitant au nouveau roi des orcs celui-ci sourit, défit son pagne et se leva

— Merci mes guerriers ! A notre victoire sur les humains !

Et ayant bougé les voiles, il plongea son sexe bandé dans l’anus de l’ex-prince, s’y enfonça en un coup, totalement les yeux de la concubine se révulsèrent de plaisir enfin il était rempli ! Enfin une verge puissante le pénétrait totalement ! Des jours qu’elle attendait ça ! Déjà en extase, son petit sexe jouit un sperme très liquide Le chef enserra ses seins dans ses mains viriles, provoquant chez elle des feulements de plaisir, la besognant sans retenue, ravi de lire l’extase dans ses si jolis yeux bleus Il la prit par les hanches, pour la posséder encore plus fortement comme elle aimait être dominée par ces mâles bien membrés, comme elle aimait être prise comme la faible femelle qu’elle était ! Toute sa vie ne tournait plus qu’autour de cela, et lorsqu’elle ne servait pas dans le harem de Ragnak, elle n’attendait que le moment où les guerriers rentraient de la chasse, pour avoir un beau membre à sucer, à lécher, à prendre en elle, et à se régaler de son nectar

Le chef se poussa en elle en laissant échapper un râle puissant, se vidant en elle, la remplissant de son sperme abondant Puis il se retira, l’anus palpitant trempé de sperme, levant ses bras vers le ciel, tandis que les autres chefs sifflaient, et tapaient du poing sur la table

— Mes amis, merci à vous comme il convient à un hôte, je partage ce qui est à moi avec vous prenez-la fille, amusez-vous avec elle, cette nuit, avant qu’elle ne rejoigne mon harem Ragnak, suis-moi, nous allons préparer notre plan de bataille !

L’ex-prince ne régissais pas au fait qu’ils parlaient de son royaume, de son trône seul comptait le plaisir or là, il n’y avait pas de verge en lui, il était si vide c’est avec un contentement évident qu’il vit les chefs des clans venir vers lui, les pagnes enlevés, les verges bandées bien dure il se pourlécha les babines, en ouvrant ses cuisses et sa bouche, attendant le plaisir et le sperme

The End

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