Introduction:
Elodie est une jeune secrétaire de 24 ans qui travail dans une petite entreprise commerciale. Elle est blonde aux yeux verts clairs, les cheveux coupés au carré, elle mesure 1m65. Elle est très belle malgré quelques kilos en trop, mais qui sont bien répartis, notamment dans ses deux gros seins bien ronds et dans ses fesses bien pleines. La patronne de l’entreprise est elle aussi assez jeune. Elle s’appelle Caroline, elle a 28 ans. Caroline est une sublime métisse d’1m68. Elle a des longs cheveux noirs, le visage bien dessiné, des lèvres pulpeuses, les yeux bruns et la taille fine. Mais malgré sa taille fine Caroline a elle aussi deux beaux seins mais plus petits que ceux d’Elodie, ainsi qu’une paire de fesses vraiment attirante. C’est simple le corps de Caroline est parfait. Caroline est une célibataire lesbienne, mais évidemment personne dans l’entreprise ne le sait. Cela fait deux ans qu’Elodie est la secrétaire de Caroline, et depuis deux ans Caroline fantasme sur sa secrétaire blonde. Sans jamais avoir osé passer à lacte. Les deux femmes s’entendent très bien au travail, elles rigolent ensembles mais ne se voit jamais en dehors de l’entreprise. Elodie vivait avec son copain depuis deux ans mais il l’a quittée la semaine dernière pour une autre fille, il lui a appris qu’il la trompait depuis plusieurs mois. Elodie est donc logiquement perturbée en ce moment, elle sourit moins, parle moins et semble moins concentrée. Caroline s’aperçoit de ces changements mais ne souhaite pas interroger sa secrétaire sur sa vie privée.
Aujourd’hui Caroline arrive à son entreprise peu après 9h30, comme tous les jours elle salue la dizaine de salariés présent dans les différents bureaux. C’est une patronne respectueuse et appréciée de ses employés. Puis elle entre dans le bureau de sa secrétaire, c’est un passage obligé pour atteindre le sien.
"-Bonjour Elodie. Comment tu va aujourd’hui?
-Bonjour Caro ça va et toi? J’ai mis le courrier sur ton bureau comme d’habitude, il y en a pas beaucoup se matin." Vu leur peu de différence d’âge les deux femmes se tutoie. Elodie à répondu avec un sourire forcé, mais Caroline ne veut pas la questionner.
"-Ça va très bien. Ok merci pour le courrier, tant mieux si il y en a peu. A plus tard."
Caroline entre dans son bureau pose sa veste et son sac à main, s’assoie à son bureau et écoute le message sur son répondeur. Le message est celui de monsieur Martin, un important client qui est très en colère. Il reproche à Caroline de ne pas être venue à deux reprises à des rendez-vous pour affaire. Il dit qu’il va immédiatement aller chez les concurrents. Caroline est surprise par ce message car elle ne se souvient pas avoir eu de rendez vous récents avec ce client. C’est Elodie qui s’occupe de prendre les rendez vous et de les noter sur l’agenda de sa patronne. Caroline utilise l’interphone pour appeler sa secrétaire.
"-Elodie viens dans mon bureau tout de suite avec l’agenda, s’il te plait.
-J’arrive."
Elodie prend l’agenda et entre dans le bureau de sa jeune patronne. Elle lui tend l’agenda et Caroline regarde aux pages d’hier et avant-hier. Il n’y a pas de rendez vous de notés avec monsieur Martin.
"-Dit moi, est-ce que monsieur Martin a appelé pour prendre rendez-vous avec moi récemment?
-Euh…oui avant hier et hier aussi car tu n’y es pas allé la première fois. C’est ce qu’il m’a dit.
-Pourquoi tu nas pas marquée ces rendez-vous sur l’agenda? Et pourquoi tu ne m’en as pas parlé?
-Je croyais l’avoir fait. T’es sur que je ne t’en ai pas parlé?"
Caroline est en colère contre sa secrétaire.
"-Non tu ne m’en a pas parlé! C’est un double oublie grave tu comprends?! Monsieur Martin était un important client, tu le sais en plus!! C’est une faute professionnelle!!"
Elodie reste debout devant le bureau de sa patronne, elle ne dit rien, elle baisse les yeux. Au bout de quelques secondes des larmes commencent à perler sur ses joues. Elodie est toujours immobile, elle sanglote en silence. Caroline, qui s’aperçoit que les nerfs de sa secrétaire lâchent, se lève et s’approche de celle-ci puis lui dit sur un ton calme et posé.
"-Qu’est-ce que tu as Elodie? C’est à cause de se que je viens de te dire que tu pleure?
-Non Caro, c’est juste que je ne suis pas dans mon assiette en ce moment. Pardonne moi. Mon copain ma quitté pour une autre, j’étais cocu depuis plusieurs mois. Je sais que ça n’a rien à voir avec le travail mais j’ai du mal à me concentrer depuis une semaine. Je suis vraiment désolé."
Elodie continue de pleurer, Caroline la sert délicatement dans ses bras pour la consoler, comme le ferait une amie. Mais cela fait deux ans que Caroline fantasme sur sa secrétaire. Elodie porte une jupe moulante et un chemisier fin qui met en valeur se deux gros globes. Caroline sent se corps chaud contre elle, et cela lui donne des idées perverses, pendant qu’Elodie continue de sangloter sur son épaule.
"-Ecoute, je crois que tu as besoin de repos, je t’accorde ta journée et si tu veux se soir tu peux venir boire un verre chez moi vers 20h. Nous parlerons de tout ça, si tu souhaite en discuter avec moi bien sur.
-C’est très gentil, merci beaucoup Caro. Je viendrai avec plaisir se soir, ça me ferra du bien de parler.
-De rien, tu sais ça fait deux ans que tu es ma secrétaire, alors si je peux te remonter le morale ça me fait plaisir. Maintenant rentre te reposer. A se soir chez moi. Repose toi bien Elodie.
-D’accord à ce soir, encore merci Caro."
Elodie quitte le bureau de sa patronne, récupère ses affaires et rentre chez elle. Caroline explique aux autres employés qu’Elodie ne se sentais pas bien sans donner plus de détails. Puis elle poursuit sa journée de travail comme si de rien n’était.
A 18h Caroline quitte son entreprise, elle rentre chez elle, prend une douche, puis enfile une robe bleu légère, qui laisse apercevoir la naissance de ses seins et qui s’arrête au dessus du genou, ainsi si elle se baisse trop l’on aperçoit son string assortit à la couleur de sa robe. Elle ne porte pas de soutien gorge et ajoute à cela une paire de chaussures à hauts talon qui la grandis de quelques centimètres. Puis elle attend l’arrivée d’Elodie en regardant la télé.
A 20h10 on sonne à la porte de son petit pavillon. La jeune métisse se lève et va ouvrir. Elodie est là, elle porte un simple jean, un t-shirt qui fait ressortir ses deux grosses mamelles et une paire de chaussures basses.
"-Bonsoir Elodie. Ça va mieux? Tu t’es bien reposée?
-Bonsoir Caroline. Oui merci. C’est très gentille de m’inviter se soir. Je suis heureuse de pouvoir parler à quelqu’un."
Elodie est toujours sur le pas de la porte. Elle regarde sa patronne. La robe bleue contraste avec la peau caramel de Caroline. Elle trouve sa patronne très élégante et se sent ridicule dans son jean et son t-shirt.
"-Ta robe est vraiment belle. Je suis désolé d’être habillé si simplement.
-Ne t’en fais pas. Ton t-shirt te met très bien en valeur."
Elodie rougit légèrement, elle sait que son t-shirt laisse tout deviner de sa poitrine opulente.
"-Vient, rentre, fais comme chez toi. On ne va pas discuter sur le pas de la porte."
Elodie rentre et Caroline lui fait visiter la petite maison, qui se compose d’une chambre, d’un bureau, d’un grand salon, d’une petite cuisine, d’une salle de bain, d’un WC et d’une cave. Les deux jeunes femmes s’installe sur le canapé et commence à discuter en buvant un verre de vin blanc.
Elodie explique ses problèmes de cur à sa nouvelle confidente. Caroline l’écoute avec attention et la conseil comme le ferait une amie. Les deux femmes discutent pendant deux bonnes heures et la bouteille de vin est vide. Caroline fixe les seins d’Elodie. Elle a l’habitude de là voir porter des chemisiers au bureau et là dans se t-shirt moulant, les seins de sa secrétaire sont encore plus attirants. Elle a remarquée qu’Elodie l’avait reluqué à plusieurs reprise. Alors lorsque celle-ci lui demande si elle n’est plus en colère pour ses fautes professionnelles. Caroline décide de sauter sur l’occasion pour faire une proposition à sa secrétaire, en manque d’affection.
"-Maintenant que tu m’a expliquée les raisons de tes fautes, je ne suis plus en colère contre toi, au contraire tu peux compter sur moi pour t’aider moralement… Mais tu comprendras, que deux erreurs comme celle que tu as commises ne peuvent rester impunis. Les autres salariés ne comprendraient pas.
-Tu n’es pas sérieuse?! Je ne peux pas perdre mon emploi. Je croyais que tu voulais m’aider à retrouver le sourire?!
-Bien sur, je suis ton amie. Mais je suis aussi chef d’entreprise. Je n’ai pas vraiment le choix, sinon je te garderai.
-Je t’en supplie! Si tu me licencie je ne m’en sortirais jamais. S’il te plaît garde moi!"
Caroline voit de la détresse dans les yeux vert clair d’Elodie. Son regard est un véritable appel à l’aide. Bien sur Caroline ne souhaite pas licencier sa secrétaire, elle veut juste la mettre dans une situation qui l’oblige à accepter son offre. Et en voyant se regard inquiet elle se dit que c’est le bon moment.
"-Ecoute Elodie. J’ai une solution à te proposer qui pourrait te permettre de garder ta place. Mais je te préviens c’est un peu…spécial."
Elodie est encore plus inquiète.
"-Euhh… va-y propose.
-Voilà, tu es clairement en manque d’affection et de repères, tu as besoin de quelqu’un pour te guider, quelqu’un en qui tu as confiance, quelqu’un qui t’aime et qui ne te décevra pas. Je te propose de devenir ma soubrette."
Elodie à cru s’évanouir lorsqu’elle a entendu ce mot. Pendant quelque secondes elle croit avoir mal compris. Mais le regard dominateur de la jeune métisse ne trompe pas.
"-Euhh…Ta soubrette… C’est à dire???
-C’est à dire, t’installer chez moi et être à mon services. Satisfaire le moindre de mes désirs, même sexuelle évidemment. En gros je te propose de devenir ma chienne."
Puis comme pour appuyer ses propos et finir de convaincre sa secrétaire. Caroline se lève, se place face à Elodie et commence à se caresser le corps au travers du tissu de sa robe. Elle plote ses seins, ses tétons pointent légèrement, elle caresse ses cuisses puis se retourne et se penche, de manière à ce que son string soit bien visible. Caroline voit qu’Elodie n’a pas détournée le regard. Elle est sous le choc et en même temps sous le charme de cette jeune et sublime métisse.
"-Si tu accepte ma proposition. Je promets de te rendre heureuse. J’ai de l’argent tu ne manqueras de rien, tu conserveras ton emploi. Au travail tout sera comme avant, mais une fois ici tu devras m’être totalement soumise. Bien sur si tu n’es pas une bonne soumise: tu seras soumise. Tu devras me donner du plaisir et je te promets que si tu es sage tu en prendras également. Jamais je ne te trahirai. Tu l’as compris je suis une lesbienne dominatrice, cela fait deux ans que je fantasme sur toi et se soir j’ai compris que nous étions faite l’une pour l’autre. Je veux t’aimer à ma façon. Maintenant je vais aller dans ma chambre me changer. Si tu es encore là lorsque je reviens alors c’est que tu accepte ma proposition, dans ce cas là je veux que tu sois nu. Si tu refuse, la porte est ouverte tu peux partir, mais dans ce cas inutile de venir travailler demain, tu recevras ton chèque pour le licenciement."
Elodie n’a pas bougé d’un pouce, durant tout le discours de Caroline, elle la fixait en restant immobile. Caroline va dans sa chambre. Elle retire sa robe, son string et enfile un corset en cuir blanc qui s’arrête sous ses seins, de manières à les soutenir pour les faire ressortir. Le corset s’arrêtant juste au dessus de son pubis, elle met un string en cuir blanc également et des bas blancs, puis une autre paire de chaussures à hauts talons. Le blanc de ses <<vêtements>> contraste avec sa peau métissée. Elle est vraiment magnifique. Elle fouille dans son armoire et trouve un collier en cuir ainsi qu’une laisse et une paire d’escarpins à talons plats. Au moment de retourner dans le salon, Caroline n’entend aucun bruit mais elle est persuadée qu’Elodie l’attend totalement nue. Non pas parce qu’elle aurait peur de perdre son emploi, mais parce que Caroline sent que l’amour qu’elle porte à Elodie est réciproque. Pendant que Caroline se changeait, la jeune secrétaire est resté sous le choc de la proposition de sa patronne. Elle réfléchie, elle ne peut pas perdre son emploie, mais elle n’est ni lesbienne, ni soumise. Elle pourrait partir, mais la déclaration d’amour de Caroline avait l’air sincère et puis elle à l’image de Caroline qui se caresse, dans sa tête. Finalement à force de réfléchir, Elodie n’a pas bougée, elle est toujours assise sur le canapé et bien sur elle est toujours habillée lorsque que sa patronne redescend.