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Mon fils m'a fait cocu. – Chapitre 6




« J’ai l’impression que Jean-Mi me fait subir une épreuve en partant avec sa secrétaire, pour voir mon degré de tolérance et si je souffre aussi des affres de la jalousie »

Dès qu’il fut parti, Eric n’a pas perdu une minute, visiblement lui n’en avait rien à foutre de mes états d’âme.

– Ouah Maman, on a tout une semaine que pour nous, sans trembler que père revienne trop tôt et nous surprenne, on va pouvoir prendre du bon temps en toute tranquillité.

– Mais tu sais avec qui il est parti ? Sa secrétaire, cela ne va pas être pour enfiler des perles, mais bien autre chose.

– Tu es jalouse ?

– Je ne sais pas, j’aime ton père, même si je lui fais des cornes avec toi. C’est tellement différent vous deux.

– Tu crois qu’il la baise ?

– Je pense plutôt qu’elle va tout faire pour obtenir une augmentation. C’est comme cela que cela se passe et ton père est encore un homme très séduisant et puissant. Mon souci, c’est que je ne veux pas le perdre, ni toi, c’est tellement courant que la jeunette remplace l’officielle plus âgée.

– Viens mère, je n’ai pas envie de philosopher sur le cocufiage, je veux t’aimer jusqu’à perdre haleine, même si je me sens un peu coupable.

– Tu penses que moi je ne me sens pas coupable de t’aimer de manière plus que maternelle ? J’aime aussi ta jeunesse, ton vit que tu utilises si bien à mon plaisir, ta soif de mon sexe.

Nous montâmes dans notre chambre, il était follement fébrile, je sentais qu’il voulait effacer les râles que j’avais hurlés la dernière nuit avec son père.

Rapidement je me retrouvais nue comme au premier jour, le pire, c’est que sa hâte m’excitait au plus haut point, je sentais ma poitrine se gonfler et mes tétons s’ériger, pour ne pas parler de ma vulve qui pleurait comme une madeleine.

Il se dévêtit à son tour et tout de suite, il mit sa tête entre mes jambes pour boire mon nectar, je sentais sa langue qui se démenait pour m’amener rapidement à l’orgasme.

– Déjà petite mère, tu es insatiable, je t’ai entendu la nuit dernière ce que tu as rugi ! Mais maintenant, je veux venir en toi, je suis trop excité pour rester sans me couler en toi.

Il me mit sur le dos et commença à me faire l’amour avec acharnement. Son truc devenait de plus en plus chaud et moi aussi, il ne fallut pas attendre des heures pour que nous partions les deux dans un nouvel orgasme, je ne pus me retenir de hurler mon plaisir de sentir son soc labourer mes entrailles. Enfin, repus, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre,

J’aime quand je sens son amour fou pour moi et en moi, je fis des rêves merveilleux cette nuit et au matin, voyant qu’il avait la trique, je me suis mis à lui sucer la bite jusqu’à ce qu’il décharge dans mon sophage.

Les aveux du fiston.

À notre retour, J’ai organisé une petite fête où j’ai invité Marisette, évidement, je pris quelques libertés de comportement qui ne tombèrent pas dans les yeux d’un aveugle, parlant de mon fils.

Un peu gêné, il s’approcha de moi, alors que j’étais en train de sucer le museau de Marisette.

– Père, j’ai l’impression que tu te conduis bizarrement vis-à-vis de mère.

– Mais on flirte un peu, j’ai besoin de stimulants parfois.

– Et qu’est-ce que tu dirais si elle faisait la même chose.

« Tiens c’est intéressant, où veut-il en venir, il est un peu mal placé pour me faire la morale »

– Cela dépend, si c’est juste pour se faire plaisir et que cela ne change rien à notre relation, que ferais-tu à ma place ? Le divorce, je ne tiens pas à perdre les êtres les plus chers que j’aie, même s’ils excitent ma jalousie. La séparation ? Ce qui revient au même, le mieux, c’est d’accepter qu’elle s’est fait plaisir sans autre considération.

Par exemple, si lorsque je suis absent, elle déguste un très bon plat, qui lui fait très plaisir, pourquoi je serais jaloux ou malheureux, je serais content pour elle, même si c’est moi qui habituellement cuisine. Où je pourrai être fâché, c’est si ayant préparé un excellent plat, elle déclare qu’elle va au Macdo.

– Humm je comprends, donc tu ne serais pas fâché si quelqu’un couchait avec Marie-Claude ?

– Contre elle, non, mais du partenaire, cela dépend s’il a usé de moyens déloyaux pour arriver à ses fins.

– Alors père, je dois t’avouer une très grande faute, j’ai couché avec elle et cela depuis nos dernières vacances.

– Je sais, mais je ne voulais pas perturber la vie de famille avec cela.

– Mais comment l’as-tu su ?

– Une fois en rentrant plus tôt que prévu, je vous ai surpris en pleine action, vous ne m’avez pas vu, mais moi oui, ce fut un coup rude, je suis reparti et pendant 3 heures, j’ai cogité ce que je devais faire. Je me suis tenu finalement le raisonnement que je t’ai fait tout à l’heure et je suis rentré. Je dois dire que de vous voir, j’ai eu un coup de fouet incroyable et en retournant à la maison, j’en ai fait tout de suite bénéficier ma femme, ta belle-mère. Ensuite, je l’ai un peu questionnée, l’air de rien, elle niait jusqu’à ce que je lui dise que j’avais tout vu. Je lui ai aussi présenté mon point de vue et lui ai permis de continuer avec conditions. Personne ne devait savoir que je le savais, surtout pas toi. Pas d’autre liberté à part toi et un rapport régulier de vos activités. De le savoir, je ne devrais pas l’avouer, mais c’était plus qu’un aphrodisiaque.

– Malgré cela, tu es parti avec ta secrétaire et comme m’a dit maman, ce n’était pas pour enfiler des perles.

– Mais ma secrétaire est une perle et qu’aurais-tu fait à ma place, j’étais un frein à votre plaisir et il me fallait bien une petite revanche.

De retour vers Marisette et Marie-Claude, on a remarqué qu’elles avaient l’air un peu pincées toutes les deux.

– Mes chéries, vous avez un problème entre vous ?

– Non, mon mari, cela roule comme sur des roulettes avec ta maîtresse.

– Tu n’es pas obligée de faire ta pincée, je viens d’avoir une discussion avec Eric où il m’a spontanément avoué que tu baisais avec.

– Quoi, il y a un inceste dans ta famille ? Répliqua Marisette.

– Pas tout à fait, Marie-Claude n’est pas du même sang qu’Eric et ce serait temps que vous fassiez connaissance. C’est un gentil garçon, très doux, peut-être trop, n’est-ce pas chérie ?

– Jean-Michel, tu envisages comment la suite.

– Je vous ai testé les deux, vous êtes différentes, mais délicieuses les deux, Eric n’en connaît qu’une version et cela ne me gênerait pas qu’il élargisse son champ de connaissances. On pourrait faire ce que l’on appelle une baise en commun.

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