Le lendemain, nous dûmes quitter Marcel. J’avoue que ce couple à trois m’excitait particulièrement. J’aurais souhaité continuer quelque temps à me faire prendre et lécher aussi bien par les hommes que les animaux. La bite du cheval était une vraie découverte pour moi. Cette queue d’étalon longue et large avait bien rempli ma fente. Avant que je le quitte, Paul laissa Marcel s’amuser encore un peu avec moi. Je me couchais sur la table de la cuisine avec un simple tablier. Marcel ouvrit mes cuisses et me lécha. Il s’appliqua à humidifier chaque recoin de ma chatte. Il prit quelques photos de ma fente, de mon cul me demandant de me caresser un peu, les jambes bien écartées. Puis, il me mit à genoux sous le regard de Paul et me tendit sa bite dure. Je la léchais sous l’il un peu jaloux de mon beau-père. Je gémissais d’excitation. Marcel éjacula longuement un sperme épais et chaud que je m’appliquais à avaler. Avec des petits coups de langue, je nettoyais la queue. Marcel m’embrassa à pleine bouche et me remercia, en me caressant les fesses.
Je repartis avec Paul en voiture, sans ma culotte, comme la veille. Il faisait encore chaud et nous roulâmes les vitres ouvertes, sur les départementales et la nationale. Dès notre sortie de la ferme, mon beau-père m’avait relevé le bas de la robe, pour laisser ma fente bien visible et il m’ordonna d’ouvrir mes cuisses. De temps en temps, il passait sa main pour me caresser et la regardait. Les chauffeurs de camion étonnés nous klaxonnaient. Ils devaient être excités en apercevant ma fente de leur camion. Cette exhibition me plaisait. J’aimais les faire fantasmer. Au bout de deux heures, nous nous arrêtâmes sur une aire d’autoroute.
— Tu as été une belle salope ce weekend. Tu t’es fait baiser comme une chienne et je n’ai même pas pu en profiter, autant que j’aurais voulu. Il va falloir que tu te fasses pardonner.
Paul sourit et se pencha vers moi. Il était déjà en érection. Nous étions garés un peu à l’écart sur le parking. Quelques camions étaient garés à quelques mètres de nous. Mon beau-père passa sa main sur ma chatte très humide. Il me doigta directement m’obligeant à bien dévoiler ma chatte pour le laisser me pénétrer. J’avoue que ça ne ma déplaisait pas d’être un objet de fantasme pour mon beau père. Je me mettais à le provoquer de plus en plus souvent en exhibant ma chatte épilée ou mes seins en forme de poire aux tétons roses. Très souvent, il se laissait prendre au jeu et je me retrouvais vite avec sa bite en bouche ou les cuisses écartées. C’est ce que je voulais.
Je gémis sous la pression des doigts dans ma fente. Je mouillais comme une chienne. Grâce à Paul, je m’étais rendu compte que je jouissais facilement, contrairement à d’autres femmes. Je suis autant vaginale que clitoridienne ce qui explique mon plaisir à me faire sauter ou à sucer.
Mon beau-père dégagea mes seins et se pencha pour les prendre en bouche sans continuer de me caresser. Il sortit les doigts humides de ma chatte et vint caresser mes lèvres du bout des doigts. J’entrouvris ma bouche rose pour lécher les doigts recouverts de ma mouille un peu salée.
— Viens on sort de la voiture. Rabats ta robe, me dit-il
Obéissante, je m’exécutais sentant la chaleur du soleil sur ma peau sans culotte, à travers la robe. Il me prit par la main et m’entraina dans une maisonnette. Une fois à l’intérieur, je me rendis compte qu’il s’agissait des toilettes pour hommes. Arrivé au fond, il m’adossa au mur et m’embrassa à pleine bouche en me pelotant. Je faisais onduler mes hanches et laissais mon beau-père se faire plaisir, en gémissant. Je jetais un coup d’il à l’entrée espérant que personne n’allait venir nous déranger.
Je sentis ma robe tomber par terre. J’étais nue, exhibant mes formes généreuses. Ma chatte épilée laissait voir le haut de ma fente et mes tétons durs.
— On devrait s’enfermer dans les toilettes, dis-je
— Tu aimes t’exhiber ma salope. Laisse les autres en profiter et fais-moi plaisir. C’est moi qui décide, pas toi. Je n’ai pas terminé ton initiation. Viens me sucer !
Je me mis à genoux et il sortit sa bite. Il la tenait bien droite. J’avançais mes lèvres et sortit le bout de ma langue. Je me mis à lécher du bout de la langue le gland rose et décalotté. Je caressais le frein. Puis, je me mis à le suçoter comme une sucette. Ma langue gourmande finit par avoir envie de découvrir toute la longueur de cette bite chaude et se mit à la lécher lentement puis rapidement sur toute sa hauteur. Ensuite, je la branlais bien droite lentement, puis plus rapidement. Je recueillis quelques gouttes de sperme du bout de la langue. Je savais que mon beau-père aimait être sucé par sa belle-fille cochonne. Paul me maintint la tête et j’engloutis la bite virile. Il se branlait dans ma bouche et j’aimais être son jouet sexuel.
Il me redressa et j’aperçus un camionneur en train de nous mater. Paul l’avait vu et ça lui plaisait de m’exhiber. J’avoue que ça me plaisait de pouvoir exciter cet homme et le narguer alors qu’il ne pourrait pas me fourrer.
Mon beau-père m’installa sur un lavabo et m’écarta les cuisses. Le camionneur se rapprocha pour voir ma chatte. Il était à un mètre, sa bite tendue, sortie du pantalon. Il se branlait doucement.
Paul se pencha. Il me lécha et je gémissais en regardant la bite du camionneur. Mon beau-père me bouffait la chatte excité à l’idée qu’un autre me matte. Sa langue courrait partout sur ma chatte, suçant mon clitoris, pénétrant ma fente.
Paul se releva la bite tendue et me la planta profondément, vigoureusement, écartant bien ma chatte. Avec deux doigts, j’écartais le haut de ma chatte pour laisser voir mon clitoris que je caressais parfois.
— Vas-y baises moi. J’aime être ta salope !! Encore, plus profond. J’aime être ta cochonne.
Les deux hommes étaient excités par mes paroles, que je répétais régulièrement. Mon beau-père éjacula en grognant un long jet chaud de sperme. Je me penchais pour nettoyer sa bite, avec des petits coups de langue en gémissant. Paul me réinstalla les cuisses ouvertes sur le lavabo. D’un signe il invita le camionneur. Un autre venait d’arriver dans les toilettes et regardait le spectacle. Trois hommes me mataient, à présent. Docile, je me laissais faire. Le premier camionneur me caressa les seins et regarda ma fente. Il me doigta.
— Amuse-toi, elle aime ça, mais ne la fourre pas !! Ordonna Paul
J’attrapais la bite chaude et virile du camionneur. Elle était large. Je la branlais et parfois je caressais le gland avec ma fente dégoulinante. L’autre camionneur venait de sortir sa bite et se tenait près d’eux sous l’il satisfait de Paul. J’attrapais l’autre camionneur que je branlais également. Le premier éjacula un sperme épais sur ma chatte. Je me penchais pour le nettoyer avec ma bouche. Sa bite avait un gout animal. Un autre camionneur rentra encore. Il m’en restait encore deux à satisfaire. Je gémis et regardais Paul ne sachant si j’allais réussir.
— Vas-y ma cochonne. Tu ne vas pas laisser ces messieurs bander sans jouir alors que tu les provoques !!!
Docile, je me mis à genoux. Les deux camionneurs ne se firent pas prier. J’en prie un en bouche. Je le dévorais goulument. Sa bite était longue et fine. Il avait le torse musclé et recouvert de tatouages. L’autre se glissa derrière moi. Il me doigta et caressa mes seins. Puis, il me pencha en avant et vint coller sa bite contre ma fente. Il se frotta fort sur mon clitoris. Le camionneur dans ma bouche, remarquant que je me laissais faire, décida de se faire plaisir. Il maintint ma tête et entreprit de faire des vas et vient plus fort avec sa bite dans ma bouche. Toujours à quatre pattes comme une chienne, je gémissais et dus prendre les deux hommes dans ma bouche à tour de rôle. Le premier camionneur, que j’avais déjà fait jouir, se mit derrière moi et me lécha la chatte. Mes gémissements s’intensifiaient et je jouis, mon hurlement de plaisir étouffé par les deux bittes. Chacun son tour, les hommes dans ma bouche éjaculèrent, pendant que je gémissais encore fort. Ma bouche fut pleine de sperme collant et appétissant. Je nettoyais à nouveau les deux bites des camionneurs qui restèrent regarder la fin du spectacle. Le camionneur qui venait de me faire jouir m’allongea par terre. Il frotta sa bite sur tout mon corps et m’écarta les cuisses. Il plongea deux doigts dans ma chatte et me fit goutter le sperme qui était dedans. Je gémissais à nouveau excitée par ses gestes. Puis, il mit sa bite au-dessus de mon visage. Je la gobais littéralement. Il m’avait apporté tellement de plaisir avec sa langue ! Sa bite gonflait, palpitait. Il la retira et vigoureusement la branla au-dessus de mon visage. Je tirais la langue pour recevoir des gouttes de son divin sperme. Il m’inonda le visage de sperme chaud et liquide. Du bout de la bite, il étala soigneusement son jus sur mes lèvres et mes joues, puis plongea son gland entre mes lèvres pour que je la nettoie.
Lorsqu’ils furent partis, je remis ma robe en souriant à mon beau-père. Il avait aimé me mater. Il refusa que je nettoie le sperme sur mon corps, encore excité.
— J’aime t’initier ma chaudasse. Tu es une vraie chienne docile et provocante. Un vrai objet de plaisir.
Une fois rentré, il m’amena dans la salle de bain. Il me déshabilla et me nettoya sous l’eau chaude profitant encore de cet instant pour me caresser…