Suite et fin du second épisode

Lorsque Louise perçut le glissement de la verge dans son orifice anal dilaté, elle en demeura étonnée. Contrairement à ce quelle appréhendait, elle ne ressentait aucune douleur spécifique : juste une légère gêne sans plus. Elle tenta alors danalyser ce quelle percevait ; si le va-et-vient du volumineux dard dans son cul se faisait sans quelle ne ressente cette souffrance quelle redoutait, elle nen percevait cependant aucun plaisir particulier. Cétait donc cela que lon éprouvait à se faire enculer ? Quelque peu déçue, Louise sabandonna cependant aux coups de boutoir, de plus en plus prononcés, de son jeune amant. Chaque pénétration du membre dans les profondeurs de ses entrailles provoquait le choc du bas-ventre de Julien contre son derrière et lui meurtrissait les fesses. Comme son regard croisa celui de Julien, elle y découvrit une certaine fixité… Ce regard plein dexaltation la renseigna sur le plaisir que son jeune amant semblait, de son côté, éprouver à lenculer. A lardeur quil mettait à pilonner son anus, il était évident quil éprouvait une certaine jouissance.

Tu es bien dans mon cul, questionna-t-elle, vicieuse ?

Oui, cest merveilleux Tu es tellement étroite de ce côté

Ça te change de mon garage à bites, plaisanta-t-elle, reprenant le qualificatif avec lequel il avait qualifié sa chatte, quelques instants plus tôt Pourquoi tu nas jamais essayé de me prendre de ce côté ?… Moi aussi javais envie de savoir ce que ça faisait de se faire enculer, mais je nosais pas te le demander de peur que tu me prennes pour une dépravée !

Et tu aimes ?

Pour linstant je ne peux pas dire que jéprouve un plaisir particulier Mais ça va peut-être venir Il faut que je mhabitue à être prise de ce côté-là

Alors quelle tentait danalyser les sensations quelle ressentait, Louise se rappela soudain de la présence de son petit-fils tapi à létage de la remise, et qui depuis son poste dobservation ne devait rien perdre du spectacle quelle devait lui offrir, ainsi écartelée, la verge de Julien plantée dans le cul. Cette soudaine pensée lui procura, encore une fois, une excitation perverse qui se traduisit immédiatement par un afflux de cyprine. Or étrangement, une soudaine onde de volupté la parcourut. Surprise, elle ressentit un début de plaisir envahir ses entrailles. Le va-et-vient de plus en plus rythmé du membre masculin entre ses fesses meurtries lui devint plus agréable. Retrouvant ses habitudes sexuelles, elle tint à le faire savoir à son partenaire dans son langage imagé.

Oui, ça vient Je crois que mon cul sest habitué à ta bite !… Hhhuuummm cest agréable

Soudain rassuré sur lacceptation de Louise à subir cette perverse intromission, Julien accéléra ses va-et-vient à lintérieur des intestins de cette dernière. Sa verge extrêmement pressée par létroitesse de lorifice anal lui procurait un tel plaisir quil sentit la jouissance prendre possession de ses organes génitaux. Pris par lintense volupté que lui procurait cette sodomie auquel il avait tant rêvé, Julien ne put retenir lorgasme qui larqua convulsivement. Telle une lance dincendie, sa queue aspergea les intestins de sa partenaire, lui remplissant copieusement le fondement de son sperme.

Oh putain que cest bon, grogna-t-il dans un spasme incontrôlable.

Louise qui peu à peu sentait le plaisir la subjuguer, imagina la semence virile de son jeune amant se répandant dans ses entrailles. Cette évocation déclencha aussitôt en elle une jouissance fulgurante, accompagnant son jeune amant dans le plaisir.

Les jambes flageolantes, les mains crochetées dans les hanches charnues de son ardente maîtresse, Julien reprit lentement ses esprits. Cest la voix de son amante qui le ramena à la réalité au bout dun instant.

Salaud, lui murmura-t-elle dune voix amoureuse, tu es satisfait ?… Tu tes bien vidé les couilles dans mon cul !… Jai eu droit à un sacré lavement !…

Les deux amants demeurèrent un long moment immobiles, intimement liés lun à lautre par le membre viril de Julien. Cest Louise qui, concentrée sur ce quelle ressentait dans son anus maintenant habitué à la présence du membre masculin, rompit le silence :

Oh, je la sens diminuer Elle devient toute molle

Julien qui de son côté sétait rendu compte que son membre perdait de sa rigidité le retira délicatement des intestins dans lesquels il venait de décharger. Libéré, le sphincter demeura un moment dilaté avant de se refermer délicatement, procurant un plaisir diffus à sa propriétaire.

Les reins moulus à être restée étendue sur le support de bois, Louise se redressa péniblement et dans un réflexe féminin, elle glissa une main protectrice entre ses cuisses. Etonnée de ne pas récupérer dans sa paume le sperme dont Julien lavait si copieusement aspergé, elle plaisanta :

Cest bien de ce côté !… Tout reste à lintérieur

Jetant un regard au membre qui navait plus rien de viril, Louise dont le désir nétait pas complètement assagi songea à redonner de la vigueur à cette verge si merveilleuse. Mais songeant à son petit-fils toujours tapi dans les combles de la remise, et qui navait certainement rien perdu du spectacle terriblement obscène qui sétait déroulé au-dessous de lui, elle préféra laisser partir son amant.

Sort tout seul, je ne voudrais pas que mon petit-fils nous voie ensemble, mentit-elle Je tattends la semaine prochaine, continua-t-elle en lembrassant tendrement, plus comme une mère que comme une amante.

Lorsque Julien, quelle surveillait eut quitté la cour de la ferme, à bord de sa camionnette, Louise se dirigea au pied de léchelle qui permettait laccès au grenier où était stocké le foin des chèvres dans lequel se cachait son petit-fils. Il fallait quelle ait une discussion sérieuse avec celui-ci

Jérémy ! Appela-t-elle… Je sais que tu es là !… Je monte !

Chapitre III

La gorge nouée par lanxiété du fait de la discussion quelle sapprêtait à avoir avec son petit-fils, Louise entreprit de gravir les barreaux de léchelle qui permettait laccès au grenier à foin. Elle devait avoir une explication avec ladolescent, il fallait quelle tente de justifier ses agissements et surtout quelle convainque ladolescent de garder pour lui ce à quoi il venait dassister.

Arrivant au fenil elle découvrit Jérémy assis, tête baissée, comme sil ne voulait pas la regarder. Sans un mot, elle sapprocha de lui et sinstalla à ses côtés.

Cest donc là que tu viens tisoler, constata-t-elle doucement ?

Comme Jérémy refusait de lui répondre, Louise lui passa tendrement la main dans ses cheveux pour retirer quelques brins de paille.

Je me doute bien que ce à quoi tu as assisté a dû te perturber, continua-t-elle dune voix quelle essaya de rendre la plus douce possible Mais je ne voudrais pas que tu me juges trop mal Tu es maintenant suffisamment adulte pour entendre ce que jai à te dire Tu dois être au courant que certaines personnes ont un besoin sexuel plus intense que dautres Toi-même, je suis certaine que le sexe te travaille fréquemment… Je me trompe ?

Jérémy, qui sattendait à ce que sa grand-mère le sermonne sévèrement pour lavoir épiée dans une activité quil naurait pas dû voir, se trouva soudainement rassuré par le ton employé par cette dernière. Soudainement tranquillisé, il retrouva son assurance et retrouva lusage de la parole :

Heu, oui

Légèrement soulagée, Louise continua, assurant sa défense.

Eh quand tu as très envie, tu dois te br te soulager ?

Bizarrement, Louise saperçut quelle narrivait pas avec son petit-fils à sexprimer avec les mêmes mots quelle employait avec son amant, et même avec son mari lors de leurs relations sexuelles.

Comme sa grand-mère semblait attendre une réponse, Jérémy se sentit forcé davouer :

Heu oui

Et bien moi aussi je suis comme toi tu sais Malgré mon âge Tu dois penser que les « vieux » nont plus de besoins sexuels, quils nont plus de rapports amoureux Cest faux ; certains, et cest mon cas, ont encore des exigences, alors que ton grand-père de son côté nen éprouve pratiquement plus Jai besoin lorsque je ressens ces envies davoir des rapports comme toi tu as besoin de te masturber, cest comme ça que lon dit ?

Particulièrement gêné, Jérémy dune voix assourdi acquiesça :

Ouuii

Si tu mas vu avec M. Louvin, continua Louise, cest parce que ton grand-père ne peut malheureusement me contenter sexuellement Il ny a rien de sérieux entre nous. Jaime trop ton grand-père malgré nos petits problèmes dus à lâge

Louise se tut, laissant le silence sinstaller entre elle et Jérémy, pour que ce dernier simprègne de ses confidences. Après quelques minutes où aucun des deux ne prononça pas la moindre parole, Louise décida de reprendre ses explications.

Tu as compris ce que je tai expliqué, mon chéri ?

Ouu oui, mamie.

Tu ne voudrais pas faire de peine à ton papi, nest-ce pas ?

Oh non !

Alors il ne faudra surtout pas lui dire ce que tu as vu !… Tu es daccord ?

Oui, je ne lui dirais rien Je te le promets !

Cest bien mon chéri, tu es un amour Ce sera notre secret

Rassurée sur le silence de son petit-fils au sujet de ses frasques amoureuses, Louise débarrassée de son anxiété attira Jérémy à elle pour lembrasser affectueusement tout en lui caressant tendrement les cheveux.

Les deux complices demeurèrent ainsi tendrement enlacés un long moment, chacun songeant à ce quil venait de vivre. Momentanément apaisée par ses deux jouissances consécutives, Louise se remémora avec émotion les voluptueux moments passés en compagnie de Julien.

Jérémy, la tête posée contre lépaule de sa grand-mère, lesprit rempli des visions des ébats amoureux, de celle-ci éprouvait une sournoise excitation à humer le parfum épicé qui sourdait du corps qui venait de connaître tant de plaisir. Excitation qui ne fit que sintensifier soudainement, lorsque baissant les yeux, il découvrit une cuisse dénudée. Lun des pans de la blouse, dont le dernier bouton nétait pas accroché, avait glissé le long de la jambe que Louise avait repliée, dénudant une cuisse pulpeuse à laspect velouté. Fixant avec émotion cette chair à lapparence moelleuse, Jérémy sentit sa gorge se nouer, tandis que dans son slip sa virilité, qui sétait quelque peu ramollie lorsque Louise lavait interpellé, se redressait inexorablement. Un désir insensé sempara de lui : pouvoir toucher cette cuisse affolante qui soffrait à sa vue Sachant son envie irréalisable, Jérémy tenta de sy soustraire en détournant son attention de lobjet de sa convoitise.

Mais, comme si sa grand-mère sétait rendu compte de sa tenue inconvenante, elle se pencha afin de remettre sa blouse en place. Jérémy ne put faire autrement que plonger son regard dans léchancrure relâchée de la blouse. La vision des deux masses de chair séparées lune de lautre par un étroit sillon fit monter dun cran son excitation. Certes il avait, quelques instants auparavant, pu contempler à loisir les appas de sa grand-mère lorsque celle-ci soffrait impudiquement à son amant ; mais cela sétait passé à plusieurs mètres de lui, alors que présentement les merveilleux seins lui apparaissaient à quelques centimètres. Les deux globes étrangement blancs par rapport au haut de la poitrine bronzée, avaient un effet autrement érotique.

Quelque peu comblée sexuellement par les deux orgasmes successifs que lui avait fait connaître Julien et rassuré sur le silence de Jérémy, Louise se laissa envahir par cette douce béatitude engendrée par ses précédentes jouissances. Mais alors quelle serrait tendrement son petit-fils contre elle, heureuse de sentir sa tête contre son épaule, une pensée soudaine lui traversa lesprit, la troublant considérablement… Le spectacle quà son insu elle avait offert à Jérémy avait certainement dû perturber fortement celui-ci. A son âge, songea-t-elle, ses sens prompts à sémouvoir avaient sûrement déclenché chez lui une montée de désir ; et réalisa-t-elle soudain, alors quelle le cajolait affectueusement, Jérémy était peut-être en proie à une érection, et cela à cause delle. Avec émoi, Louise prit conscience quelle était responsable de létat dexcitation de son de petit-fils. Ce ne serait pas la première fois, se remémora-t-elle ; le matin même, Jérémy avait fui la cuisine, une bosse significative déformant son pantalon de pyjama.

Lesprit encore brouillé suite aux instants voluptueux quelle venait de connaître, Louise prit une décision que seule la torpeur sensuelle qui lhabitait encore pouvait lui avoir soufflée. Puisque Jérémy était en proie à une érection à cause delle, elle se devait de le soulager ; comme elle le soignait étant enfant lorsquil revenait avec le coude ou le genou écorché. Sa décision prise, Louise décida de passer aux actes, inconsciente de ce que son projet avait de pervers, dincestueux même. Dans un geste naturel, elle posa délicatement sa main droite sur la cuisse nue de Jérémy, éprouvant à ce contact une onde de tendresse mêlée à un certain plaisir équivoque. Dans un souffle, elle murmura :

Je peux te poser une question, mon chéri ?

Oui, mamie, sempressa dacquiescer Jérémy, dont le contact des doigts en une caresse éthérée sur sa chair nue venait de lui procurer une douce exaltation.

Quest-ce que tu as ressentie lorsque tu nous as découvert Julien et moi en train de de enfin tu me comprends !

Décidément, ces mots quelle employait naturellement avec son amant ne parvenaient pas à sortir de sa bouche lorsquelle sadressait à son petit-fils.

En train de faire lamour, répondit Jérémy, nullement gêné dappeler un chat un chat.

Surprise par lucidité de son petit-fils, Louise demeura un moment sans voix. Mais désirant coute que coute mener son projet à bien, elle continua :

Oui quand tu nous as vus faire lamour !… Quest-ce que tu as éprouvé ?

Ne sachant que répondre à la question terriblement indiscrète que sa grand-mère lui posait, Jérémy se contenta de bégayer :

Ben Heeuuu

Comprenant que Jérémy ne se livrerait pas aussi facilement, Louise décida de prendre linitiative. Doucement, comme pour ne pas effaroucher son « bébé », elle entreprit de laisser courir sa main le long de la cuisse nue, dans une caresse de plus en plus prononcée.

Ça ta excité de me voir faire lamour, demanda-t-elle dune voix mielleuse.

Affreusement gêné par la question de sa grand-mère, Jérémy demeura un long moment silencieux avant de reconnaître dans un souffle :

Ou ouuii

Louise ressentit un immense bonheur. Enfin elle allait atteindre son but.

Cest vrai mon chéri ?… Ça ta vraiment excité ?… Continua-t-elle en frôlant nonchalamment la braguette du short, de ses doigts.

Ce simple effleurement sur la bosse que faisait son membre gonflé qui déformait le devant de son short provoqua une poussée de désir chez Jérémy. Dans un gémissement où se mêlaient plaisir et impatience sexuelle, il poussa son bas-ventre au-devant de la main ensorcelante, pour linciter à affiner son attouchement.

Bien que faible, le tressaillement qui agita Jérémy suite à son effleurement néchappa pas à Louise. Cette réaction ne fit que la conforter dans son projet incestueux. Esclave de ses sens, incapable de juger sainement son comportement, elle referma ses doigts sur la protubérance qui boursouflait le devant du short.

Oh ! Comme tu es dur, murmura-t-elle dune voix où se mêlaient tendresse et émotion soudaine.

Prise à son propre jeu, elle ressentit un vif désir à presser la forme allongée du jeune sexe en érection. Tâtant soigneusement les contours de la virilité quelle découvrait, elle songea que Jérémy, vu son âge avait été particulièrement pourvu par la nature. Lexcroissance quelle percevait sous ses doigts la surprit par sa grosseur. Il lui parut incroyable quà seize ans Jérémy puisse posséder un membre si épais !… Comme prise de doute, elle palpa plus fermement létonnante protubérance.

Lorsque les doigts de sa grand-mère vinrent à travers son short frôler son sexe en érection, Jérémy ressentit une telle montée de désir quil lui sembla quil nallait pouvoir empêcher sa verge dexploser. Dans un geste de pudeur vis-à-vis de sa grand-mère et surtout afin dempêcher cette dernière de lamener à décharger avec ses attouchements, Jérémy posa sa main sur la main qui risquait de le faire lâcher son sperme dans son slip. Ce quil redoutait.

Noonn, Mamie, réussit-il à bredouiller

Quest-ce quil tarrive mon chéri Je sens que tu as une grosse envie !… Cest à cause de ce que tu as vu ?

Que pouvait répondre Jérémy à ce genre de question ; évidemment que le spectacle auquel il avait assisté avait fait naître en lui cette formidable érection. Ce nétait certes pas courant de surprendre sa grand-mère, entièrement nue faire lamour avec un étranger. Cétait surtout les postures terriblement obscènes que sa grand-mère adoptait, qui avait porté son excitation à son comble. Elle avait exécuté une chorégraphie amoureuse dune indécence inimaginable. Joint à cela, les encouragements en termes extrêmement crus, quelle dispensait à son amant, elle qui dhabitude était dune correction exemplaire, avaient fini déchauffer Jérémy.

Ne pouvant avouer à sa grand-mère quelle était en effet responsable de son émoi sexuel, Jérémy ne réussit quà bafouiller :

Heeuuu

A sentir la forme oblongue et gonflée, sous ses doigts accentua chez Louise ce désir irraisonné. Quimporte que ladolescent quelle palpait vicieusement fût son petit-fils ; la lubricité qui sétait emparée delle lui faisait perdre toute décence, tout raisonnement. Une seule chose comptait ; sentir la douceur de la jeune verge contre sa paume, la sentir frémir sous ses doigts. Soudain impatiente, faisant fi de la main de Jérémy qui tentait de stopper ses attouchements, elle pressa plus fermement la protubérance convoitée :

Mon pauvre chéri, minauda-t-elle dune voix quelle essaya de rendre la plus sensuelle possible Tu ne peux rester comme ça !… Tu veux que Mamie te soulage ?…

Comme Jérémy ne répondait pas à sa demande, Louise insista :

Puisque cest à cause de moi que tu es si excité, cest normal que je calme cette grosse envie

La surprenante proposition que sa grand-mère lui proposait laissa Jérémy ébahi. Celle qui le soir, seul dans son lit, le faisait tant fantasmer lui proposait tout simplement de le branler La stupéfaction fut telle quil ressentit un choc émotionnel qui le statufia sur place. Il lui sembla que son bas-ventre devenait aussi dur que de la pierre, tandis que son cur saffolait subitement. Alors quil cherchait désespérément quel comportement tenir face à la déclaration que venait de lui faire sa grand-mère, celle-ci avait déjà dégrafé la ceinture de son short.

Fébrile, Louise sétait attaquée à la fermeture éclair du short. Ecartant le vêtement dégrafé, elle contempla un instant la bosse qui déformait le slip blanc, tentant de simaginer le jeune membre viril qui sy cachait. La forme allongée quelle décelait correspondait aux contours quelle avait palpés quelques minutes auparavant. Mais limpatience érotique la gagnant, elle crocheta lélastique du slip quelle tira vers le bas, dénudant le jeune sexe tendu.

Libérée du vêtement qui la protégeait, la verge, tel un diablotin jaillissant de sa boite, se redressa raide et orgueilleuse. Bien que sattendant à ce quelle allait découvrir, Louise nen resta pas moins ébahie. Lorgane sexuel qui soffrait à sa vue était tel quelle lavait pressenti lorsquelle lavait palpé en aveugle. Dune longueur normale pour un adolescent de lâge de Jérémy, la bite érigée présentait par contre une grosseur étonnante. Etonnée de cette particularité, Louise tenta de faire une comparaison avec le membre de Julien. Il lui sembla que la verge de Jérémy quelle fixait égalait en volume celle de son amant beaucoup plus âgé.

Ne pouvant résister plus longtemps, Louise referma sa main autour de la queue dressée au gland largement décalotté. Immédiatement, la douceur de la chair, jointe à la fermeté de lorgane sexuel, lui procura un sentiment de bonheur. Si lors de ses moments intimes avec Julien seul la sexualité comptait ; avec Jérémy, alors quelle tenait en main sa bitte bandée, elle néprouvait que tendresse et amour. Ce quelle sapprêtait à faire nétait pas causé par un désir sexuel quelconque, tentait-elle de se convaincre, mais simplement par affection pour ce petit-fils quelle adorait. Jérémy éprouvait un problème érotique par sa faute : aussi, en grand-mère aimante, elle se devait de lui venir en aide. Cest avec beaucoup de douceur quelle entreprit de faire coulisser ses doigts refermés autour de la tige de chair tout en fixant, attentive, la minuscule ouverture du méat, doù allait jaillir la semence intime de son ado de petit-fils.

Lorsque sa grand-mère empoigna sa verge raidie, Jérémy dont lexcitation était à son comble, ressentit comme une décharge électrique dans tout le bas-ventre. Cétait la première fois quil ressentait une telle sensation. Mais dès que la main qui pressait son membre viril commença à coulisser de haut en bas et inversement, dans une masturbation extrêmement douce, mais aussi terriblement excitante, Jérémy saffola. Le désir quil ressentait était par trop intense. Affolé, il sentit quil ne pourrait retenir la jouissance qui lui crispait le bas-ventre et quil sentait sur le point de jaillir. Une pensée fulgurante lui traversa lesprit : il ne pouvait décharger ainsi dans la main de sa grand-mère. Dans un geste dultime défense, il se saisit du poignet de cette dernière afin de limmobiliser.

Quand les doigts de Jérémy se refermèrent sur son poignet, Louise comprit immédiatement les craintes de son petit-fils. A voir son visage tourmenté par leffort quil faisait, elle sut que ce dernier était au bord de la jouissance, et quil tentait désespérément de retenir celle-ci. Cessant sa masturbation, mais sans pour autant lâcher la jeune bite, elle décida de jouer linnocente :

Quest-ce quil y a mon chéri ?… Tu naimes pas ma façon de te branler, continua-t-elle, réussissant à employer les termes quelle réservait à Julien, son amant Je ne le fais pas comme il faut ?…

Hheeuu si, réussit à répondre Jérémy ravi, mais énormément gêné dêtre ainsi masturbé par sa grand-mère.

Amusée intérieurement par la confusion de son petit-fils, Louise continua, tentant de réconforter ce dernier :

Quest-ce quil y a mon chéri ?… Tu ne veux pas que je continue ?… Laisse-moi faire, tu seras mieux après

Fixant avec émoi le gland cramoisi doù, tels des geysers, jailliraient les salves de sperme, Louise perçut une inconvenante chaleur se propager dans ses entrailles. Surprise de constater quelle pouvait ressentir une certaine excitation à branler son petit-fils, elle tenta de chasser ce malaise érotique déplacé. Cependant, comme animée dune volonté propre, sa main reprit son mouvement de va-et-vient un instant stoppé par Jérémy, le long de la bite érigée.

Dabord surpris par la soudaine augmentation de cadence que sa grand-mère apportait à sa masturbation, Jérémy ressentit une montée foudroyante de plaisir. Cessant de lutter, il sabandonna alors à lorgasme qui le cambra spasmodiquement. Dans un grognement inhumain, il tenta de prévenir sa grand-mère :

Rrhhaaa, Mamiiieee !…. Rrrhhhoooo

Avant même que Jérémy tente de lavertir de limminence de sa jouissance, Louise lavait pressentie en percevant le frémissement de la verge entre ses doigts. Elle avait aussitôt fixé la minuscule ouverture du gland, guettant le jaillissement du liquide séminal. Lorsque le premier jet blanchâtre fusa, décrivant une courbe avant de lui retomber sur le poignet, elle en éprouva un véritable bonheur. Ce quelle avait entrepris par amour filial, en décidant de soulager sexuellement son petit-fils, lui avait procuré, à linstant de léjaculation, un plaisir sensuel incompréhensible.

Les giclées de sperme se succédèrent à un rythme rapide, jaillissant par saccades de moins en moins vigoureuses, lui souillant la main et le poignet dun liquide gras et blanchâtre. Fixant cette liqueur visqueuse qui lui maculait les doigts, Louise dut faire un effort de volonté pour ne pas les porter à sa bouche et goûter à ce sperme liquoreux.

Lorsque le bourgeon de chair eut craché ses dernières salves, Louise refoulant lenvie quelle avait de le prendre dans sa bouche pour le nettoyer, comme elle en avait lhabitude avec son amant, se contenta de lessuyer avec le bas de sa blouse. Puis se nettoyant avec regret la main avec une poignée de foin, elle demanda :

Cétait bon, mon chéri ?… Ça va mieux ?…

Oh ! Oui, sempressa dacquiescer Jérémy, soudain plein de tendresse pour sa grand-mère.

Dans un élan damour, il se jeta dans les bras de celle qui venait de lui faire connaître sa première réelle jouissance.

Attendrie par ce geste daffection, Louise se laissa emporter par lémotion. Pressant le visage de Jérémy contre sa poitrine, elle passa sa main dans ses cheveux dans une affectueuse caresse.

Cest vrai que tu as aimé, questionna-t-elle, attendrie ? … Cétait aussi bon que lorsque tu le fais toi-même, continua-t-elle, emportée par un étrange sentiment pervers ?

Complètement acquis à sa grand-mère, qui venait de lui prodiguer un plaisir dune intensité encore jamais atteinte lors de ses masturbations solitaires, Jérémy sexprima cette fois sans aucune crainte.

Oh oui !

Après un moment de silence passé à méditer, une pensée subite traversa lesprit de Louise. Le cur battant elle pressa plus fortement la tête de Jérémy contre sa poitrine, comme pour échapper au regard de ce dernier. Ce quelle allait lui annoncer la perturbait considérablement, mais il fallait quelle lui en fasse part. Léjaculation quelle avait déclenchée lui avait procuré un plaisir manifeste. Les effets quelle en avait ressentis au sein de ses organes avaient été si délicieux, quelle mourrait denvie de les retrouver.

Tu sais, murmura-t-elle dune voix presque inaudible, comme si elle avait honte de ce quelle allait demander Si jamais tu avais de nouveau envie comme tout à lheure Tu Tu pourrais venir me voir Je pourrais te soulager Tu aimerais ?

Cest vrai, Mamie, sexclama Jérémy éberlué !

Mais oui, mon chéri Mais ça doit rester entre nous Il vaut mieux que ton grand-père ne sache rien Ce sera notre secret. Tu me le promets ?

Oh oui, Mamie Je te le jure !…

* *

*

Le reste de la journée se passa dans une hyperémotivité grandissante pour Jérémy. La proposition que sa grand-mère lui avait faite ne cessait de lui titiller lesprit. Oserait-il lui rappeler sa promesse lorsque le désir se ferait sentir ? Comment alors ferait-elle pour le calmer comme elle lavait fait quelques instants plus tôt si son grand-père était présent à la ferme ?

Comme sa grand-mère avait repris ses occupations journalières, soccupant des différents travaux de la ferme, désuvré Jérémy parti se promener à travers les sentiers qui longeaient les champs entourant la ferme.

Alors quil atteignait la mare où il avait lhabitude de venir, il sassit au pied dun saule pleureur et ignorant le coassement des grenouilles, il se plongea dans ses pensées ; se remémorant ce quil venait de vivre. La découverte de sa grand-mère faisant lamour avec le commerçant qui venait leur acheter des fromages lavait surpris et même choqué. Mais la vision des seins charnus, objets de ses fantasmes, lui avait fait oublier linfidélité de sa grand-mère. La découverte des généreux appas avait fait passer ladultère à laquelle sétait adonnée sa grand-mère, pour faire naître en lui une extraordinaire excitation.

Occupée à la confection de ses fromages de chèvre, Louise ne pouvait empêcher son esprit de se polariser sur ce quelle venait de vivre. Julien avait en virtuose joué avec les différentes zones érogènes de son corps, déclenchant de longs frissons de volupté dans ses entrailles, qui lavaient amené peu à peu aux portes de la jouissance. Le souvenir de lémotion qui lavait étreinte lorsque, offerte aux coups de boutoir de son amant, elle avait découvert le visage de Jérémy les épiant lui revint en mémoire. La surprise avait été telle, que bizarrement elle en avait ressenti une excitation perverse et son plaisir sen était trouvé décuplé.

Après le départ de Julien, elle sétait empressée de rejoindre Jérémy afin de ladjurer de ne rien dire de ce à quoi il avait assisté. Or au cours de la discussion qui sétait mieux passée que ce quelle avait craint, elle avait décelé la bosse significative qui déformait le devant du short de ladolescent. Etonnamment surprise par cette preuve de lémoi sexuel qui perturbait son petit-fils, elle avait immédiatement, sans réfléchir, décidé quelle devait venir en aide à son « bébé » comme elle continuait à lappeler.

Même sil avait eu lair surpris, Jérémy lavait laissé faire, acceptant même avec un certain plaisir les attouchements incestueux quelle lui avait prodigués. Mais à branler ainsi la jeune verge prête à exploser, ce quelle avait entrepris comme une thérapie afin de soulager son petit-fils, se transforma pour elle en un plaisir certain. Et lorsque le premier jet de sperme avait jailli, tel un minuscule geyser blanchâtre, cela avait déclenché en elle une véritable exaltation. Suite à cette euphorie érotique, sous lemprise de ses sens, elle avait alors proposé à Jérémy de le branler aussi souvent quil en aurait besoin !…

Ayant repris ses esprits, Louise se rendait compte que sa promesse faite dans un moment de lubricité lavait engagé dans un sentier dangereux et même interdit !… Mais alors quelle cherchait comment elle pourrait se tirer de ce mauvais pas, elle comprit soudain quelle nen avait pas vraiment envie. La sensation quelle avait ressentie à faire jouir son adolescent de petit-fils avait été dun tel érotisme que dans son subconscient elle mourrait denvie de retrouver ce plaisir ; même si cela la conduisait à un acte incestueux condamnable.

*

* *

Dix-neuf heures sonnaient au clocher du village alors que toute la famille était regroupée autour de la table de cuisine pour le diner. Maurice seul parlait, expliquant son travail de la journée : lélagage et le fauchage des bordures des chemins vicinaux. Louise et Jérémy lécoutaient en silence, se jetant de temps à autre des regards complices : chacun se remémorant les sensuels instants passés lors de labsence de Maurice.

Devenu plus assuré depuis que sa grand-mère lavait si agréablement masturbé jusquà léjaculation finale, Jérémy ne pouvait sempêcher de regarder cette dernière dun il nouveau. Attablé face à elle, il ne craignait plus de fixer avec insistance les bosses alléchantes qui déformaient le devant de la blouse.

Louise dont les souvenirs de ce quelle avait éprouvé avec Julien, puis avec Jérémy se mélangeaient en un kaléidoscope érotique, écoutait dune oreille distraite les explications de son époux. Elle navait pas été sans remarquer le regard de son petit-fils en direction de sa poitrine. La fixité avec laquelle Jérémy lorgnait ses appas la troubla, et en même temps la renseigna sur leffet érotique que sa poitrine provoquait sur les sens dun adolescent. Cétait bien la première fois que son petit-fils contemplait aussi ostensiblement ses rondeurs mammaires. Elle réalisa alors que suite à son initiative du matin, Jérémy avait pris de lassurance : cette assurance de jeune mâle qui vient de découvrir sa première jouissance grâce à une femme. Un sentiment de fierté et de tendresse envahit Louise ; Jérémy était devenu un homme et cela grâce à elle. Inconsciemment elle gonfla sa poitrine, faisant saillir les rondeurs jumelles de ses seins, sachant combien ladolescent était attiré par ceux-ci.

Le repas terminé, alors que Louise aidée par Jérémy plaçait les couverts dans le lave-vaisselle, Maurice sinstalla, comme chaque soir, devant la télé afin de prendre connaissance des dernières infos.

Libérée de ses tâches ménagères, Louise se saisissant dune de ses revues annonça :

Je vais lire dehors !…

Je peux venir avec toi, demanda Jérémy ?

Si tu veux mon chéri, répliqua Louise qui espérait cette demande.

Comme chaque soir en ce mois de juillet où les soirées sont longues et les températures douces, Louise laissant son mari scotché devant sa télé allait sinstaller sur le banc de bois placé contre la façade de la ferme. Là elle soccupait à quelques travaux de couture ou bien lisait-elle une revue. Heureuse que son petit-fils ait choisi dêtre à ses côtés, elle plaça un coussin sur le banc avant dy prendre place.

Jérémy qui pendant tout le repas navait cessé de contempler les volumineuses bosses qui déformaient le devant de la blouse fleurie navait pas tardé à éprouver un puissant désir. Le membre tendu à lintérieur de son slip soudain trop étroit, il demeura debout face à sa grand-mère, ne sachant comment lui rappeler la promesse quelle lui avait faite le matin. De plus la présence proche de son grand-père risquait fort de ne pas faciliter ses désirs.

Eh bien, mon chéri Quest-ce que tu attends pour venir près de moi ?

Résigné, Jérémy sinstalla aux côtés de sa grand-mère.

Au bout dun long moment, Louise rompit le silence qui sétait établi entre eux.

Tu te souviens comme tu aimais venir tétendre sur mes jambes lorsque tu étais plus jeune ?

Oui, Mamie !… Je peux venir ?

Mais oui mon chéri

Sans plus attendre, Jérémy sétendit sur le banc et posa sa tête sur les cuisses de sa grand-mère, comme il le faisait lorsquil était enfant. Aussitôt, comme si elle nattendait que ça, Louise glissa sa main gauche dans la chevelure de son petit-fils, éprouvant un doux bonheur à lui caresser doucement la nuque.

Tu es bien mon chéri ?

Oui, murmura Jérémy qui avait limpression de se retrouver quelques années plus tôt.

Mais si à lépoque le fait de percevoir la rondeur du ventre de sa grand-mère contre sa joue lui était indifférent, ce soir il en était autrement ; ce contact lui procurait une troublante excitation. Excitation qui ne fit que saccentuer avec la vision au-dessus de son visage des affolantes rondeurs de la lourde poitrine. Fixant ces deux proéminences, Jérémy tenta de se souvenir de leurs formes et de leurs volumes tels quil les avait découvertes le matin même libre de toutes protections. De nouveau à ces souvenirs son membre se rappela à lui en se durcissant un peu plus.

Tout en passant tendrement les doigts de la main gauche dans la chevelure de son petit-fils, Louise posa sa main droite sur le torse de ladolescent quelle caressa tendrement. Tous deux demeuraient étrangement muets, chacun se remémorant les scènes érotiques du matin ; ne sachant comment les revivre. Si Jérémy se repassait en boucle les images sexuelles où sa grand-mère lui était apparue dans une tenue et dans une activité terriblement indécente, et même obscène, Louise de son côté ne pouvait sempêcher de songer à la douceur de cette queue quelle avait tenue en main. Pouvoir de nouveau serrer la jeune verge entre ses doigts était son désir le plus cher, mais un reste de décence lempêchait de faire ce geste. Lorsque le matin même elle avait entrepris de branler Jérémy, elle était encore sous lémotion sexuelle due à ce quelle venait de vivre en compagnie de son amant ; mais présentement lextravagance de ce quelle désirait entreprendre lui apparaissait clairement, modérant ses convoitises érotiques.

Mais alors quelle tentait de raisonner ses désirs incestueux, Louise ne pouvait sempêcher de jeter de furtifs coups dil en direction du bas-ventre de Jérémy dans lespoir de découvrir une preuve dun début de désir. Aussi lorsquelle discerna soudain une bosse qui déformait anormalement le short de ladolescent elle éprouva un immense plaisir : cette découverte lincitait à assumer ses intentions perverses, refoulant du même coup ses hésitations. Rejetant alors toute retenue, oubliant ses scrupules, Louise osa poser une main dominatrice sur cette affolante excroissance.

Alors quil sétait résigné à devoir se servir de sa main pour se faire jouir dès quil serait dans son lit, Jérémy, la tête calée contre le ventre de sa grand-mère, sentit soudain la main de cette dernière se refermer sur sa virilité gonflée. Un long frémissement voluptueux lui parcourut léchine. Un espoir insensé lenvahit. Le cur battant il attendit la suite des évènements, lexcitation à son comble.

Quest-ce que je sens là, minauda Louise dun ton coquin ?…

Resserrant ses doigts autour de la forme allongée quelle percevait sous le tissu du short, elle continua sur le même ton :

Jai limpression que tu as encore une grosse envie ?… Tu ne peux pas aller te coucher comme ça, continua-t-elle après quelques secondes passées à presser la verge tendue entre ses doigts Tu veux que je te soulage ?

Décidément, les mots quelle utilisait si facilement habituellement et même avec un certain plaisir vicieux avec son amant et son mari avaient des difficultés à franchir ses lèvres, lorsquelle sadressait à Jérémy. Le jeune âge de ce dernier lempêchait de sexprimer aussi crûment quelle en avait lhabitude lors de ses frasques sexuelles.

Mais Papy, sinquiéta Jérémy.

Chut, laisse-moi faire

Soudain impatiente dassouvir ses désirs secrets, Louise dégrafa le bouton de la ceinture du short. Puis dans lespace ainsi pratiquée elle glissa une main fébrile. Ses doigts frôlèrent lexcroissance notable qui déformait le slip. Un gémissement étouffé accompagna son attouchement. La main bien à labri à lintérieur du short, Louise prolongea son effleurement le long de la proéminence que faisait le membre bandé, la frôlant du bout des doigts, singéniant à accroître le désir de Jérémy, ainsi que le sien par contrecoup.

Lorsque les doigts fureteurs de sa grand-mère sinfiltrèrent à lintérieur de son short, effleurant au passage son membre dilaté, Jérémy ressentit un intense frisson lui parcourir le bas-ventre. Mais quand ces derniers commencèrent à presser lextrémité de sa verge, dans un sursaut érotique, Jérémy se cambra brusquement, comme pour mieux offrir son membre aux attouchements. Un nouveau gémissement quil tenta détouffer séchappa de ses lèvres.

Louise, que la réaction de Jérémy à son frôlement navait pas échappée, éprouva un sentiment dextrême satisfaction : procurer du plaisir à son petit fils était devenu sa quête, depuis le matin où elle avait osé cette caresse incestueuse. Le ravissement quelle avait pris, à branler la jeune verge, lavait dabord surprise, puis quand le sperme encore particulièrement liquide lui avait poissé la main, elle en avait ressenti les effets à lintérieur de son sexe.

Pressant plus fortement le gland à travers le slip, elle questionna dans un souffle :

Cest bon ?… Tu aimes ?…

Bien quil aurait souhaité quelle pratique sa caresse à même sa verge, Jérémy bredouilla :

Oouui, Mamie

Comme si elle avait compris le vu de son petit-fils, Louise entreprit alors de fourrager à lintérieur du short afin de glisser sa main dans le slip qui protégeait encore lobjet de ses désirs. Refermant ses doigts autour du gland dilaté, elle le pressa comme elle laurait fait avec un fruit pour en extraire son jus. Mais à découvrir lextrémité sensible du membre sous ses doigts, elle éprouva un émoi dune telle intensité quelle sentit son sexe shumidifier soudainement. Comme le matin même, elle ressentit une bouffée de désir lenvahir. Massant voluptueusement la collerette du gland gonflé, Louise ressentit une envie folle de pouvoir saisir cette queue, dont le volume lavait étonné, dans sa bouche pour la sucer. Jérémy navait certainement pas encore connu de fellation. Etre celle qui lui dispenserait ce plaisir nouveau à ladolescent la fit saliver, comme si elle avait déjà en bouche le bourgeon sexuel. Mais, ce que Louise désirait surtout était de sentir ce gland quelle palpait, exploser entre ses lèvres et cracher sa liqueur intime ; sentir le sperme juvénile fuser jusquau fond de son gosier, en savourer son bouquet avant de lavaler.

Cependant, trop à létroit dans le slip ajusté qui lempêchait duvrer à son aise, Louise se contenta de frotter du bout des doigts lextrémité sensible du gland, déplaçant son attouchement jusquà la couronne délicate dégagée de son prépuce. Au nouveau soubresaut qui agita le bas-ventre de Jérémy, elle réalisa combien sa caresse devait bouleverser son petit-fils :

Cest meilleur comme ça, questionna-t-elle un brin perverse ?…

Percevant lexcitation envahir ses organes sexuels, Jérémy, comme il lavait lu sur les histoires érotiques quil parcourait sur les sites spécialisés, tenta de toute sa volonté de freiner la montée du plaisir dont il sentait lévolution. Il aurait tellement aimé que sa grand-mère puise le branler comme elle lavait fait le matin même ; quelle fasse coulisser sa main tout le long de sa queue. Comprenant que cette dernière ne pouvait, du fait de la présence proche de son époux, le branler ainsi quil le désirait, Jérémy se contenta de cette caresse, même si elle ne correspondait pas à ses attentes.

Tu aimes ?

La question de Louise parvint aux oreilles de Jérémy dans un souffle. Comme il levait les yeux en direction du visage de sa grand-mère, son regard sarrêta sur les affolantes rondeurs qui déformaient la blouse. Depuis sa position couchée, les deux grosseurs à quelques centimètres de son visage prenaient un volume impressionnant. Une soudaine envie sempara alors de lui. Timidement il porta sa main gauche jusquà lattirante poitrine pour y empoigner lun des seins opulents. Mais comme il agrippait la masse volumineuse, il réalisa laudace de son geste. Craignant une réprimande pour cet attouchement, il simmobilisa soudain, les doigts crochetés dans la lourde mamelle dont il percevait lélasticité malgré les tissus qui la recouvraient.

Mais malgré sa crainte Jérémy, sentit lexcitation croître à lintérieur de ses couilles.

Totalement surprise par cet attouchement auquel elle ne sattendait pas, Louise en cessa ses palpations sur le pourtour du gland enflé. Comment son petit-fils avait-il pu oser ce geste ?… Sinterrogeant sur la hardiesse de Jérémy, elle en vint à se questionner sur sa propre responsabilité. La réponse lui apparut clairement : si Jérémy avait eu cette audace, elle en était grandement responsable. En voulant, sous lexcuse de soulager sexuellement ce dernier, assumer son propre fantasme, elle avait permis à Jérémy de gagner en confiance ; doù cet attouchement dont il ne se serait jamais autorisé auparavant.

Acceptant son imputation dans laudace de Jérémy, Louise reprit sa perverse masturbation, non sans oublier la main qui pressait son sein.

Quest-ce que tu cherches-là, questionna-t-elle mutine ?

Craignant de nouveau une réprobation pour avoir empaumé cette rondeur qui le fascinait, Jérémy retira vivement sa main de lopulente grosseur mammaire.

Sans cesser de malaxer le gland de plus en plus dilaté, Louise qui avait éprouvé un véritable émoi sexuel lorsque la main de Jérémy avait enserré son sein, ressentit une privation évidente quand ladolescent relâcha sa prise. Aussi sempressa-t-elle de saisir la main de celui-ci pour la ramener sur sa mamelle.

Non-reste, lui murmura-t-elle Jaime que tu touches mes lolos Je sais que tu les aimes Jai bien vu comment tu les regardais

Réconforté, Jérémy ne se fit pas prier pour refermer de nouveau ses doigts sur le renflement qui déformait la blouse, le pétrissant avec une ferveur maladroite.

Oui, cest ça, lencouragea Louise dont le massage de son sein, même sil manquait de délicatesse lui procurait un certain plaisir

Ainsi encouragé, Jérémy nen malaxa que plus fiévreusement la sensuelle protubérance, y enfonçant ses doigts avec ivresse. Même si les différents tissus de la blouse et du soutien-gorge lempêchaient de palper ce sein tant désiré, il ressentait une formidable excitation à pouvoir palper cette partie féminine qui le faisait tant fantasmer. Excitation qui se répercuta en un éclair dans ses organes génitaux. Son gland massé avec un art consumé explosa subitement, éjectant avec force sa liqueur séminale.

Mammiiie, réussit-il à murmurer dans un souffle, tandis que son corps traversé par une onde sexuelle dune puissance extraordinaire sarquait frénétiquement.

Pour la seconde fois de la journée, Jérémy éprouvait une jouissance dune intensité incroyable. Jamais lors de ses masturbations solitaires il navait éprouvé un tel plaisir. Les doigts de sa main refermés sur le sein quil malaxait avant de jouir, il eut limpression que sa verge nen finissait plus de cracher son trop-plein de sperme. Haletant, il accompagna chaque giclée dun râle quil tenta détouffer, du fait de la présence proche de son grand-père.

Aux premiers soubresauts qui agitèrent le bas-ventre de Jérémy, Louise comprit que celui-ci atteignait la jouissance qui allait le délivrer de son désir. Aussitôt elle referma vivement sa main autour du gland qui allait cracher sa sève, prête à recevoir la semence virile de ladolescent dans sa paume. Lorsquelle sentit le sperme chaud lui

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