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Une vieille cochonne – Chapitre 1




Je venais de fêter mes seize ans, les vacances scolaires commencaient. Je devais attendre encore un moi avant d’accompagner mes parents en camping, ils travaillaient jusqu’à la fin de Juillet. Pour éviter que je m’ennuie, ils me proposèrent d’aller chez ma grand mère en province, l’air de la campagne ne pouvait que me faire du bien ! Et je m’y plaisait beaucoup.

Elle habitait un hameau, constitué d’une dizaine de maisons, habitées principalement par des retraités qui avaient toujours vécu là. Quatre autres veuves, quatre couples et depuis peu un très jeune couple avec de jeunes enfants. Ma grand mère était veuve depuis 5ans, malgré une pension confortable elle avait préférée rester vivre ici . Elle avait quatre copines qui comme elle frisaient les soixante cinq ans et avec lesquelles elle faisait régulièrement des veillées, tricotaient ou jouaient aux cartes en dégustant quelques sirops de leur composition. Une vie paisible de gens heureux.

Je profitais de mes vacances pour faire du sport, notamment du footing au travers des champs. Il m’arrivait aussi de passer l’après midi à poser des collets comme me l’avait appris mon grand père, pour capturer des lapins sauvages ou encore courir les bois pour chercher des myrtilles.

Un après midi, je longeais un talus pour repérer des passages récents ou je pourrais poser mes collets. Je scrutais et avançais lentement quand j’entendis des voix de l’autre coté du talus. Je prêtais l’oreille :

    * allez Nénette tu vas pas faire la difficile aujourd’hui !

    * non Jean pas la, j’ai pas envie !

    * d’habitude c’est toi qui demande et tu en veux toujours plus.

    * oui mais tu sais, j’aime pas trop faire ça debout, je préfère au lit.

    * si tu préfères allongée, la fougère est sèche.

    * dans ce cas là je préfère quand même debout. Minaudât elle

Je me hasardais a jeter un oeil en écartant discrètement la fougère sur le talus. De l’autre coté je reconnus Jeannette – dite Nénette – une amie de ma grand mère. C’est une grande femme plantureuse avec un peu de rondeurs, un cul d’enfer, d’énormes nichons dont on admirait le galbe opulent dans l’échancrure de ses chemisiers. Leur chaire laiteuse m’avait souvent amené a me branler en y pensant. Avec elle un paysan d’une ferme voisine que je connaissais de vue.

Et sans manière, Nénette s’était penchée en avant, pliée en deux, elle avait ramenée sa jupe sur ses reins et l’avait coincée dans sa ceinture. Elle ne portait pas de culotte, du coup je me régalais du spectacle de ses grosses fesses laiteuses aussi, larges et bien rondes. En haut de ses cuisses le duvet abondant de sa toison cachai sa chatte.

Le spectacle m’avait excité d’emblée. Il avait eu le même effet sur le paysan qui avait promptement enlevé son pantalon, exhibant une jolie queue bien trapue et toute raide. Il enfilait la femme debout collé à ses fesses, lançant des coups de reins secs qu’elle semblait apprécier :

    * hein cochonne que tu aimes çà !….. dit le que ça te plait les coups de bite.

    * oh oui que c’est bon ! …… prend moi fort mon salaud ! ….. J’aime ta bite dans mon ventre ! ……… Ca fait deux jours que je n’en n’ais pas eue !…

    * il t’en faut tous les jours cochonne !….. C’était qui la dernière fois ?

    * c’était Pierre, mais avec les travaux des champs personne n’est libre depuis deux jours….. J’en avais envie.

    * tu vois que tu voulais bien !…. Je sais qu’il t’en faut tous les jours et même souvent plusieurs fois dans la journée….. Quelle gourmande ! ! !

    * oh oui ! ….. C’est si bon !….

Ce dialogue m’éclairait sur les besoins de Nénette et son goût pour la queue. Peut être ne refuserait elle pas la mienne ? Pendant ces réflexions personnelles elle se faisait pistonner de plus en plus fort, l’homme ahanait contre son cul, donnant des coups plus saccadés auxquels elle offrait sa chatte luisante. Il soufflait maintenant comme un phoque en disant :

    * ça vient !… prend ça !.,.. prend tout !…cochonne !….

    * va s y, remplie moi salaud !…. que c’est bon !….

Je me branlais devant le spectacle de cette vieille salope qui courrait les champs pour se faire défoncer par tous les paysans du coin. Cette vieille cochonne en chaleur m’avait terriblement excité, j’éjaculais une bonne rasade de foutre.

Ils avaient terminés leurs ébats, elle s’essuyait la chatte, rabaissait sa jupe sur son cul nu et annonçait qu’elle allait rentrer. Dans ma tête j’imaginais le moyen pour la baiser à mon tour, j’avais envie d’elle, et comme c’était une gourmande ! ! Connaissant très bien les lieux je décidais de l’attendre dans un chemin à 200 mètres du hameau. Elle serait obligée de passer par la pour rentrer.

Je l’attendais, décidé a être direct. Je faisais semblant de fouiner dans les fougères, elle arrivait vers moi, joviale comme toujours surtout qu’elle me connaissait :

    * Bonjour Marcel (c’était moi). Alors la chasse est bonne ?

    * Oh oui très bonne même !

Je lui montrais deux lapins rangés dans ma besace, en même temps je lui dit :

    * tu sais Nénette je t’ai vue dans le champs avec Jean, il avait l’air de te faire du bien, et toi tu avais l’air d’aimer ça !

Un sourire aux lèvres et sans se démonter, elle répondit :

    * ça t’a plu ?

    * oh oui beaucoup, j’aurais aimé être à la place de Jean.

Nénette me scrutait de partout, toujours souriante. L’oeil malicieux elle dit :

    * si ça te dit, vient jusqu’à chez moi. On va passer par le jardin derrière, c’est plus discret,

Elle voulait certainement éviter qu’on nous vois. Elle me fit entrer dans la cuisine me servit un grand verre de cidre en me demandant d’attendre cinq minutes. J’entendais de ?eau couler dans la salle d’eau. Elle était revenue, vérifia que les rideaux étaient bien tirés, la porte de l’entrée bien fermée, puis revint s’asseoir près de moi.

L’échancrure de son corsage était bien plus ouverte qu’à notre arrivée, ses gros nichons rebondis semblaient vouloir sortir de son vêtement. Elle avait vu mon regard gourmand. Elle me dit :

    * ils te plaisent ? tu aimerais les caresser ? allez va s y ! après ce que tu as vu ça ne me gène pas et moi j’aime beaucoup qu’on me les masses.

En parlant elle s’etait penchée et rapprochée de moi. Je plongeait ma main entre les globes laiteux. Quel régal de sentir ces mamelles souples sous mes doigts, de pouvoir la masser sans retenue, cette chaire qui m’avait tant fait fantasmer. Je bandais très fort, elle a vu la bosse de mon pantalon, et sans manière commençait à la caresser au travers du tissus avant de la libérer. La vieille était habile elle avait mis ma bite à l’air avec dextérité. Elle se penchait pour prendre ma queue entre ses lèvres.

Elle me fit lever, se levant aussi, se collant contre moi, elle avait sorti ses seins, elle plaquait ma tête dans la vallée charnue. Debout contre elle j’en profitais pour relever sa jupe, masser ses fesses rebondies, puis aller à la découverte de sa chatte velue. Elle était trempée, la cochonne mouillait déjà ! Elle m’invitait à aller dans la chambre pour être plus à l’aise.

Que cette femme ait le même age que ma grand mère ne me gênait pas, ses rondeurs étaient appétissantes et du moment que j’allais la baiser, le reste m’importait peu  ! ! Dans la chambre elle m’avait déshabillé entièrement, elle s’était dévêtue aussi. Elle était en guêpière rouge à dentelles, ses seins posés sur des balconnets renforcés. Elle ressemblait a une belle des années folles que j’avais vu sur des photos anciennes.

Allongée sur le lit elle me caressait partout, embrassant chaque recoin de mon corps, insistant sur ma queue, mes couilles, plongeant vers mon anus, pour recommencer a nouveau. Sa langue virevoltait, mon corps semblait la mettre en folie.

Elle s’allongeait sur le dos, m’attirant au dessus d’elle tête bêche, elle me demandait de lui ’ bouffer la chatte’, me conseillant sur la façon de faire. J’avais la bouche et les joues gluantes de sa mouille, ses poils étaient trempés de son plaisir. Pendant ce temps elle me pompait la bite comme une gloutonne, jouant avec mon trou du cul qu’elle agaçait d’un doigt, ça me provoquait des contactions agréables.

Elle me demandait de lui ’ cracher dans la gueule ’ elle voulait ’ boire mon foutre’. Je l’averti que j’avais déjà joui tout à l’heure, elle n’en n’avait cure, disant que ca me rendrait plus résistant pour la suite. Elle pompait plus fort encore, m’astiquant la bite, me malaxant les couilles. Les poils de sa chatte me collaient aux joues dégoulinants de mouille. Comment résister à ce traitement ? Je giclais aussi fort que la fois précédente, elle n’en perdait pas une goutte. Quelle vieille salope ! Une vraie éponge à foutre.

Ele continuait de me sucer, plus doucement maintenant, pour me ’ remettre en état de marche’ comme elle disait. Ses caresses sous et autour de mes couilles, sa langue sur mon gland, m’avaient rendu ma raideur. Je bandais a nouveau durement.

Nénette se plaçait a genoux sur le lit ses grosses fesses en l’air, m’invitant :

    * allez petit vicieux, viens enculer cette salope de Nénette. Défonce moi le cul ! Encule moi à fond salopard !

Comment résister à une telle invitation ? A genoux derrière elle, je me régalais de caresser ses fesses rebondies et offertes. J’avais posé mon gland sur sa rosette lubrifiée par sa propre mouille. Je fus quand même étonné de la facilité avec laquelle j’entrais dans ce petit paradis mon sexe était pourtant assez conséquent.. Je m’enfonçait jusqu’aux couilles. Je la prenais à coups secs, me retirant entièrement pour m’enfoncer à nouveau, jusqu’à plaquer mes bourses a ses fesses laiteuse. Elle continuait ses litanies, réclamant :

    * allez plus fort !…. vas y défonce moi…. Plus vite mon beau petit cochon !…. plus profond, pousse a fond petit vicieux !….

Je m’étais agrippé a ses hanches pulpeuses pour donner des coups de reins plus fort, qu’elle semblait vouloirque je sois plus violents encore. En plus de ma queue je réussis a lui glisser mon pouce dans l’anus, massant les entrailles. Je continuais de le pistonner. Heureusement que j’avais joui déjà deux fois auparavant sinon j’aurais déchargé trop vite tant c’était bon. La vieille salope appréciait elle aussi et ne maquait pas de le dire tout fort.

Quelle cavalcade ! J’étais déchaîné tapant à grand coups de reins, continuant de lui triturer le cul avec mon pouce coincé par ma bite, Mon rêve était devenu réalité, je baisais cette vieille salope plantureuse, qui hantait mes fantasmes le soir au lit, et pour laquelle je me branlais depuis déjà deux ans. Son cul était à moi !

Je résistais à mon plaisir depuis une bon moment bien qu’elle me réclamait de lui remplir le cul, ou de l’inonder foutre ! Mais la plus belle résistance est obligée de succomber à de tels appâts. Dans un dernier assaut je jouissais en râlant mon plaisir, mes doigts incrustés dans ses hanches, mon ventre collé a ses fesses.

Allongé près d’elle pour souffler, mes mains continuaient de la caresser. Les derniers spasmes de son plaisir diminuaient, Nénette me remerciait du plaisir qu’elle avait eue, me faisant promettre de recommencer ’ quand je voudrais’. Je retournais discrètement par ou nous étions arrivés. A mon retour ma grand mère me trouva ’ une petite mine ’..

Le lendemain matin en déjeunant, grand mère me dit :

    * Nénette a vu que tu avais rentré et rangé mon bois pour l’hiver, elle m’a demandée si ça te dérangerait de rentrer le sien quand tu aurais le temps, et aussi que tu lui fasses certaines bricoles qu’elle a en attente.

La fine mouche de Nénette avait trouvée les moyens pour m’attirer ’ officiellement ’ chez elle sans faire jaser. Pouvais je refuser de lui ’faire quelques bricoles’. Pas sur que j’accompagne mes parents au camping à la fin du moi, j’avais ’mieux ’ à faire ici.

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