— Bonjour, Mademoiselle, entrez donc.

Comme tous les samedi après-midi, Magaly pénétra dans ce grand appartement du 17? arrondissement pour donner un cours particulier d’Anglais à François. Le père de François, lui avait ouvert la porte. Il l’impressionnait toujours un peu, par sa voix forte et tranchée, ses costumes toujours impeccables, son allure autoritaire bien qu’il ait entre 45 et 50 ans.

— François vous attend dans sa chambre, travaillez bien.

Magaly suivit un petit couloir et se rendit dans la chambre du jeune homme. François avait à peine 18 ans et représentait le garçon typique, bien élevé dans une famille bourgeoise, il était beau, ce qui ne gâchait rien. Sa chambre était grande, claire, et Magaly était toujours un peu jalouse en contemplant les différents meubles et aménagements, tellement l’ensemble était sympathique et confortable. Bien sûr on y retrouvait le désordre des garçons, mais les objets étaient gais, les couleurs chaudes, et les tableaux et affiches très vivants.

Magaly serra la main de François et s’approcha du bureau derrière lequel il travaillait ? ou faisait semblant. Il faut préciser que François a un poil dans la main et préfère s’amuser et faire du sport plutôt que travailler. D’où la volonté de son père de lui donner des cours supplémentaires d’anglais pour limiter la casse scolaire.

— Bonjour, as-tu bien lu le livre que je t’avais recommandé ?

— Je ne l’ai pas tout à fait fini, répondit-il, le vocabulaire était très difficile à comprendre.

— Bien, nous allons le revoir en détail.

Et Magaly s’assit à coté de lui, en sortant le livre. Ils commencèrent à relire et expliquer les expressions complexes.

L’attention de François allait alternativement du livre vers le chemisier légèrement échancré. Il faut avouer que Magaly est très séduisante et porte bien ses 23 ans. Elle est brune, coiffée plutôt court, des yeux noisette surmontent un nez droit et une bouche aux lèvres très roses. François a rarement pu contempler ses dents parfaites car elle sourit peu pour conserver un soupçon d’autorité. En revanche, son corps est excitant. La poitrine est agressive, surtout en ce mois de mai où elle tend un chemisier léger. Rapidement, François connaît beaucoup mieux tous les détails du soutien gorge que ceux de la leçon.

De son coté, Magaly sourit intérieurement en remarquant les regards en coin. Elle se rappelle ses premières rencontres amoureuses et la tendre gaucherie de ses jeunes amants. Que de bons souvenirs ! Malheureusement aujourd’hui, ses relations sentimentales sont plus maigres, et la curiosité du jeune homme la rajeunit et la flatte. Tandis que la leçon se poursuit, elle s’amuse de temps en temps à se pencher en avant, et faire ainsi découvrir à François toute la profondeur du sillon de ses seins.

— Excusez-moi de vous interrompre, dit le père de François en surgissant dans la chambre, j’ai besoin de faire une course, et je ne reviendrais qu’avant le dîner. Bon travail, et à la semaine prochaine Mademoiselle.

— Bien papa, nous serons sages, répondit François en plaisantant.

Et M. Dubosc quitta l’appartement, sous le regard du professeur et de l’élève qui l’enviaient d’aller profiter à l’extérieur de la douceur du printemps.

— Poursuivons, reprit Magaly, dans cette phrase, quelle est la différence entre ’ to stroke ’ et ’ to palpate ’ ?

— Euh.

— L’un veut dire caresser, et l’autre palper.

— Ah bon, répondit François, moyennement intéressé par la subtilité.

— Si, regarde, ’ to stroke ’, et mécaniquement elle lui caresse le bras, ’ to palpate ’ et elle lui palpe le bras.

Magaly se demanda brusquement ce qui lui avait pris, mais au fond cela l’amusa de toucher la peau de ce garçon beau et sportif, et de le titiller un peu. De son coté François avala rapidement sa salive. Bien sûr, il n’était pas un débutant sur le plan sentimental, mais ce contact avec une femme de 24 ans, ainsi que ses nombreux regards plongeants l’avait émoustillé.

— Ah oui. C’est un peu la même différence qu’entre ’ embrasser ’ et ’ baiser ’, dit-il en rougissant légèrement.

— Et comment traduis-tu cela en anglais ?

— Euh, ’ to kiss ’ et ’ to fuck ’ continua-t-il un peu gêné.

Magaly s’amusait beaucoup de ses questions, mais commençait aussi à regarder François avec plus d’attention. Il n’est vraiment pas mal. Et cette situation de pseudo domination lui plaisait assez. Elle reprit.

— Explique-moi la différence en anglais.

François commença à bredouiller des explications confuses multipliant les erreurs grammaticales. Son esprit était ailleurs. Ses yeux allaient, vers les yeux de Magaly, puis sa bouche, puis sa poitrine. Il conclut ses explications en disant :

— C’est plus facile à expliquer par un exemple pratique.

— Tiens donc, n’es-tu pas un peu prétentieux, répliqua Magaly en avançant légèrement les lèvres par provocation. Elle sentait monter le long de sa colonne vertébrale un frisson d’excitation.

François se précipita en avant, posa ses mains sur les cuisses de Magaly, avança sa bouche et rejoignit ses lèvres, d’un baiser appuyé.

— ?à c’est ’ to kiss ’, dit-il en souriant, et il laissa ses mains.

— Pas mal, dit-elle, mais quelques progrès restent à faire.

— Je ne demande qu’à progresser répondit François du tac au tac.

Elle venait de prendre sa décision. Après tout, pourquoi ne pas prendre un peu de bon temps avec ce garçon. Au moins elle pourrait le guider à sa guise, alors que trop souvent les hommes agissent avec précipitation et brusquerie.

— D’accord, lève-toi et viens contre moi, je vais t’apprendre ça aussi, à condition que tu obéisses parfaitement à mes ordres.

François ne se fit pas prier. Il se coula en face de Magaly, la serra contra lui en posant des mains sur ses hanches. Il sentit sa ferme poitrine contre la sienne, leurs pubis respectifs se touchaient. Il sentit une érection monter à grande vitesse.

— Doucement, lui dit-elle,

Et elle commença à l’embrasser doucement lui montrant comment caresser une lèvre puis l’autre, puis les deux, comment laisser sa langue glisser à l’intérieur de la bouche par petites touches, revenant titiller la commissure des lèvres, puis poursuivant le long ballet des deux langues enlacées. François écoutait, goûtait à sa salive, ne pensait qu’au ballet des deux bouches, et aux sensations exquises de ce contact charnel.

Evidement, son sexe commençait à lui faire mal tellement il était tendu, et ses mains ne demandaient qu’à s’activer en dessous du corsage, mais il restait obéissant.

Magaly avait décidé de prendre son temps. Elle alla s’allonger sur le grand lit, et lui demanda de se déshabiller. Il s’exécuta rapidement, révélant une trique de taille très raisonnable et fièrement dressée.

— Voilà qui est prometteur. Viens et déshabille moi doucement, tout en me léchant.

François s’avança et attaqua le chemisier en commençant par le bas, bouton par bouton. Sa langue suivit la trace des boutons, puis il libéra les seins en se jetant sur chaque téton. Ses mains malaxèrent habilement chacun des lobes pendant que sa langue excitait les aréoles roses et hérissait leur extrémité. Magaly soupira de plaisir. Elle conseillait François pour qu’il prolonge les caresses mais elle sentait le désir monter en elle.

— Enlève le bas, murmura-t-elle, alors que François avait déjà bien attaqué la besogne en glissant une main dans sous la jupe.

Il retira doucement la jupe puis fit glisser la culotte le long des jambes tout en les caressant des mains. Elle lui guida alors le visage vers son sexe déjà bien humide et écarta largement les cuisses.

— Regarde, sens et goûte, le sexe d’une femme doit être découvert avant d’être honoré. Prends le temps de l’épanouir pour faire durer le plaisir.

Et elle s’allongea en arrière pour mieux goûter des caresses. Quel délice de se faire brouter la chatte par un jeune homme encore patient et doux !

François caressa doucement les lèvres humides avec son index, tout en l’introduisant de plus en plus fréquemment à l’intérieur. Il s’enhardit à sucer le clitoris bien apparent, ce qui déclencha une première vague de plaisir chez Magaly. Malgré tout, la patience de l’adolescent avait des limites, et en remontant doucement ses baisers vers le nombril, la poitrine puis le cou, il rapprocha sa verge du sexe de Magaly, et d’un petit coup de bassin fit pénétrer le gland dans la fente, puis s’enfonça d’une poussée irrésistible.

— Ecarte-toi un peu, et reprends-moi plusieurs fois dit-elle dans un souffle. Elle se laissait maintenant totalement faire, toute à l’écoute de son plaisir.

François se redressa, la saisit par les jambes et la pénétra de nouveau. Sa verge s’enfonçait facilement dans les parois bien dilatées, et il contemplait le spectacle de ces allers-retours puissants. Souvent il ressortait totalement pour mieux aller se ficher au fonds du vagin, pubis contre pubis. L’odeur de mouille lui montait à la tête et il jouit brutalement au même moment que Magaly.

Quelques instant plus tard, reprenant son souffle, Magaly se retira et s’assit sur le lit.

— Bien, lui dit-elle, au moment où la porte s’ouvrit.

M. Dubosc entra en expliquant que le magasin était fermé, mais ses explications s’arrêtèrent net à la vue des deux amants, nus sur le lit.

— Rhabillez-vous immédiatement et suivez-moi hurla-t-il.

Il laissa à peine le temps à Magaly de remettre son chemisier et sa jupe, la saisit par le bras, l’emmena vers son bureau, et ferma la porte. Il s’adossa à son bureau en croisant les bras et laissa Magaly debout au milieu de la pièce.

— J’attends vos explications.

Magaly bredouilla quelques mots en présentant ses excuses. Elle s’était inexplicablement laissée aller, peut-être suite à la chaleur ou la fatigue. Elle ne recommencerait pas. Enfin elle baissa les yeux. Quelle poisse ! Elle se retrouvait comme une gamine prise en faute et attendant sa punition. En plus, elle était nue sous ses vêtements et l’on devait voir sa poitrine en transparence derrière son chemisier.

— Venez ici.

Elle s’approcha en face de lui.

— Mademoiselle, votre conduite est inqualifiable. J’avais placé mon fils sous votre responsabilité pour que vous l’éduquiez, mais je ne parlais pas d’éducation sexuelle dont vous semblez être experte.

— Non, non, pas du tout, je suis loin d’être experte.

— Je ne vois qu’une solution pour oublier cet incident.

Il posa ses mains sur les épaules de Magaly, la força doucement à s’agenouiller, son visage à la hauteur de la braguette, et attendit.

Magaly releva les yeux, puis devant le hochement de tête de M. Dubosc, elle regarda de nouveau le renflement derrière le pantalon. Bien sûr, elle n’était plus une oie blanche et elle comprenait maintenant très bien ce que l’on attendait d’elle. Elle hésita quelques instants, puis commença à défaire la ceinture.

Elle sortit le sexe et commença à le caresser, puis l’engloutit dans sa bouche. Il prit rapidement une dimension conséquente, manifestement plus gros que celui de François. Magaly s’activait consciencieusement, afin de satisfaire sa tâche le plus rapidement possible. Elle léchait délicatement le gland violet, puis l’aspirait goulûment, mais M. Dubosc semblait avoir de la résistance.

— Je vois effectivement que vous avez encore beaucoup à apprendre, lui dit-il soudain. Ne vous inquiétez pas, à mon tour d’être votre professeur.

Il se retira de sa bouche, la souleva par le bras, et la poussa fermement sur le bureau, le ventre en avant. Il la prit doucement par la nuque, maintenant d’une main la tête contre le feutre du bureau. De l’autre main, il souleva la jupe de Magaly, puis saisit sa verge et l’enfonça tranquillement dans le sexe de Magaly. Celle-ci émit un ’ non ’ de réprobation, mais n’osa pas bouger. M. Dubosc était en train de l’enfiler jusqu’à la garde en levrette.

— Restez calme, lui dit-il. Au point où nous en sommes.

Magaly était en train de se faire sauter comme une soubrette, la jupe sur les reins, le cul bien à l’air, et le pieu de M. Dubosc allant régulièrement au fond de son ventre. Il la tenait maintenant fermement de ses deux mains sur les fesses et prenait tout son temps, semblant apprécier la situation. Cette position ne la laissait d’ailleurs pas si indifférente, car il la baisait bien. Sa bite allait et venait tantôt de droite à gauche, tantôt de haut en bas. Il n’hésitait pas à se retirer plusieurs secondes, lui caressant les deux seins, puis la reprenait soit doucement, soit à la hussarde en l’embrochant brutalement. Le bruit du contact avec ses fesses montrait que M. Dubosc la possédait totalement, et elle commençait à mouiller sérieusement, ce qui ne passait pas inaperçu.

— Alors, c’est bon lui demanda-t-il ?

Elle n’osa pas répondre mais poussa un soupir de plaisir. Après avoir dominé le fils, c’était maintenant le père qui la dominait. Il reposa soudain sa main sur sa nuque.

— Mademoiselle, il est bon de tout connaître avant d’apprendre l’amour aux autres. Je souhaite donc parfaire votre éducation.

Il lui glissa alors un doigt mouillé dans l’anus.

— Non, pas ça, gémit-elle sans conviction, alors que son sphincter venait de se relâcher et que le doigt pénétrait profondément sans difficulté.

Ses paroles ne pouvaient masquer son état. Magaly se mit à respirer plus rapidement au rythme de l’intromission. Maintenue fermement sur le bureau, elle ne pouvait pas vraiment se débattre, mais ne le souhaitait pas non plus. M. Dubosc avait maintenant attaqué son petit trou avec un second doigt qui pénétra aussi facilement. Il allait et venait, tournant régulièrement la main pour élargir le passage.

— Comment ? lui demanda-t-il. Et il se plaça solidement derrière elle, massa solidement les fesses de ses mains viriles, puis écartant calmement les deux lobes il plaça son gros gland à l’entrée de l’anus bien préparé.

— Je n’ai pas bien entendu.

Il rentra.

Magaly ouvrit la bouche, mais aucun son ne sortit. M. Dubosc venait de la sodomiser.

Elle sentait ses chairs se dilater progressivement sous le passage de l’énorme sexe. Celui ci avançait d’un centimètre puis se retirait, puis avançait encore inlassablement. Les mains continuaient de maintenir ses fesses bien écartées, ce qui permettait la pénétration la plus profonde. Magaly sentait cette colonne de chair la pénétrer de plus en plus profondément, et malgré elle, sa jouissance montait. C’était bon d’être enculée. Sans oser dire un mot, elle appréciait d’être prise de cette façon, et ressentait intensément l’émotion de son corps. Le pénis coulissait bien dans son ventre et elle ne ressentait aucune douleur. Enfin le pubis de M. Dubosc vint buter contre ses fesses. Il était au fond, et se mit à la pilonner consciencieusement, en de puissants allers-retours.

Cette sodomie dura longtemps. M. Dubosc la fit même se retourner et la reprit par devant. Il maintenait maintenant ses jambes en l’air et reforça de nouveau son anus. Cette fois-ci le sexe rentra sans effort tellement Magaly avait été limée et lubrifiée. Elle n’était plus qu’un jouet entre ses mains, et se laissait faire, poussant de plus en plus régulièrement des soupirs de satisfaction. Il se déversa enfin en elle laissant son dard fiché longtemps dans son cul en signe de victoire, puis se retira. Il se rhabilla et lui dit.

— Vous pouvez maintenant terminer la leçon de mon fils, et lui apprendre de nouvelles choses. A la semaine prochaine.

Il ferma la porte et quitta l’appartement.

Magaly se rhabilla pensivement. Bien sûr, il avait honteusement abusé d’elle, mais finalement l’expérience n’avait pas été désagréable. Elle sentait encore le passage du membre de M. Dubosc au fond de ses reins. Sa plus grande frustration était de ne pas en avoir profité pleinement, vu les circonstances.

Elle se dirigea vers la chambre de François qui attendait nerveusement. Il avait remis son pantalon, mais restait torse nu.

— Alors ? lui demanda-t-il.

— Ton père et moi avons eu une explication, lui dit-elle, mais tout est arrangé. Il m’a même proposé de poursuivre ton éducation. Dans un sens, il est rassuré que tu ne sois plus puceau. Nous allons terminer notre leçon. Approche-toi.

Magaly avait décidé qu’il fallait conclure positivement cet après-midi et évacuer le stress accumulé. Elle descendit brusquement le pantalon, et regarda le sexe de François malheureusement bien rabougri. Elle le prit délicatement dans sa main, le caressa doucement, et entreprit une fellation consciencieuse pour lui redonner une taille respectable. En parallèle, elle se massait doucement le clitoris.

— Allonge-toi sur le dos, dit-elle une fois qu’elle fut arrivée à ses fins.

François s’allongea sur le lit, la pine au garde à vous, et Magaly s’agenouilla au-dessus de lui, les jambes écartées, les fesses tournées vers son visage. Il contempla quelques instants les grandes lèvres légèrement humides, et la rondelle brune de l’anus. Puis elle lui saisit le sexe et s’assit tranquillement dessus, le faisant pénétrer dans le sien. La branlette du clitoris avait déjà bien lubrifié l’intérieur, et il rentra sans effort. Magaly menait la danse, se concentrant sur son plaisir intime, elle guidait la pénétration et les va et vient pour optimiser ses sensations. Elle frissonnait de plaisir, en poussant de petits soupirs.

François n’était pas en reste et matait la montée et la descente avec délice. Ses mains avaient pris possession des fesses et il s’amusait à les soulever, et les écarter au rythme de Magaly.

Ensuite, elle se releva légèrement, repris dans sa main le sexe de François, maintenant au plus haut de sa forme, et le positionna en face de son trou du cul. François regardait avec fascination son gland turgescent se coller contre les muqueuses de l’anus, puis s’enfoncer doucement à l’intérieur, au fur et à mesure que Magaly s’abaissait. Les parois s’écartaient délicatement pour laisser le passage à la tête brûlante. Et brutalement celle-ci fut aspirée à l’intérieur. Magaly poussa un soupir de contentement. Quel pied ! Elle saisit sa moule à pleine main, glissant deux doigts à l’intérieur du vagin, et entama une caresse intime pour doubler son plaisir. Après quelques secondes elle reprit délicatement sa descente infernale, laissant le mât de François prendre sa place au creux de son ventre. Ce dernier ne voyait plus rien et ferma les yeux. Il était au bord de l’éjaculation, et se concentrait pour ne pas transpercer tout de suite cette superbe femelle, sur grand coup de rein en avant.

Cependant, la tension était trop forte pour les deux. Magaly enfonça le membre jusqu’à la garde, et après seulement quelques aller-retour, il explosèrent de jouissance dans un long râle, et restèrent dans cette position plusieurs minutes pour reprendre leur respiration.

Magaly se releva avec regrets, posa un petit baiser sur la joue de François, et commença à se rhabiller.

— C’était très bon, sourit-elle.

François n’en pensait pas moins, et répondit précipitamment

— On recommencera la semaine prochaine ?

— On verra. Cela dépendra de tes progrès en Anglais. Et elle quitta la chambre en faisant un petit signe de la main.

Inutile de préciser que François eut une excellente note d’Anglais au BAC.

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