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L'envers du décor – Chapitre 3




Le lendemain, lever tardif, un brunch était improvisé sur la terrasse. Caché derrière mes lunettes de soleil, javais tête dans le cul, un peu, mais pas dans le bon.

Domi, elle, avait lair de sortir dune cure de jouvence, comment fait-elle ?

Elle est gaie, et sattaque même à une bouteille de rosé sortie du frigo. Pour quelquun qui boit plutôt modérément, siffler du rosé sous le soleil à midi est exceptionnel. Pour ma part, javoue que cest le genre doccasion que je ne manque pas, surtout lorsque je nai rien de spécial à faire en suivant, surtout en si bonne compagnie.

François est déjà sur le départ. Je comprends quil part chasser à courre chez un ami à lautre bout du département. Guillemette, elle, est partie chez une copine un peu plus tôt pour passer la journée à la plage.

    Habituellement je sais que Dominique suit son mari lors des chasses, mais ce matin là le climat entre les deux ne sétait visiblement pas arrangé. Elle répondait à peine à sa conversation, et sentant de lorage dans lair de cette matinée ensoleillée, je préférai méclipser à la piscine.

Allongé sur mon transat, je bullais comme un bienheureux.

Des pas sur le gravier, puis les claquements de chaussures à talons sur les dalles entourant le bassin me sortirent de ma torpeur. Si dans un premier temps, ma paupière navait pas beaucoup denthousiasme à souvrir, la vision qui soffrit à moi acheva de me réveiller : Domi était sublime parée dun bikini blanc dune indécence totale : le haut se contentait de cacher le bout de ses petits seins, et le bas, un string minimaliste avait une couture centrale dont la seule vocation était de souligner et séparer les lèvres de son sexe.

Ajouté à cela un grand chapeau blanc, une paire de lunette à la Jacky Kennedy et une paire de mules noires, javais sous les yeux la version miniature et mure dune playmate en goguette.

Elle posa ses affaires sur le transat à coté du mien, passant et repassant devant moi, me permettant de détailler son corps fin. Elle se trempa dans leau azur, et remontant vers moi, je m’aperçus quen plus dêtre outrageusement petit ce maillot devenait totalement transparent une fois trempé !

Les émotions de la veille au soir me submergèrent à nouveau. Notre flirt interrompu mais laissait un goût dinachevé dans la bouche, mais, dégrisé, javais beaucoup moins de courage pour remettre sur le tapis ce que nous avions entamé la veille. Cela n’empêcha pas mon sexe de gonfler. Pour pallier à une situation gênante, je me mis sur le ventre.

Domi, installée sur son transat ouvrit un magazine. Tournant la tête, javais une vue imprenable sur le profil de ses seins aux pointes brunes qui se dressaient et apparaissaient à travers le fin tissus.

-On est pas bien là ? me fit-elle.

— Oui, cest super. Et bienvenu après les folies dhier soir…

— Quelles folies ? demanda-t-elle ingénument.

— Bin tu mas sauté dessus quand même…

Certes, ce nétait pas lexacte vérité, mais je préférais cacher ma gène par ce genre de boutade. Évidemment, elle se récria :

— Comment ça ? je ne me souviens pas…

Cétait du lard ou du cochon ? Avait-elle vraiment oublié ? Dans ce cas là les pendules étaient remisent à zéro, je navais quà garder cet épisode dans une zone sombre de mon cerveau, et hop, nous étions reparti pour un petit tour.

Pour couper court, jannonçais que jallais me rafraîchir dans leau. je ne relevais pas son sibyllin oui tu sembles en avoir besoin quelle me répondit.

Je fis quelques longueur, espérant que cela méclaircirai les idées. Javançais en aveugle sur un terrain miné : javais envie delle cétait indéniable, et depuis longtemps. Nous avions entamé quelque chose sur le coup dune soirée arrosée, et à présent elle semblait mallumer et se moquer gentiment de moi. Avec nimporte quelle autre femme jaurai tenté ma chance, mais avec Domi, la chandelle du jeu pouvait me brûler à un degré qui aurait forcément laissé des séquelles.

Elle me rejoignit en plongeant dans leau, mais elle avait oublié denlever ses lunettes de soleil quelle avait mis sur ses cheveux. Galamment je plongeai pour les récupérer, mais au moment de lui rendre, j’eus envie de jouer un peu, et lui retirai hors de portée dés quelle tentais de sen emparer. Elle se jetait contre moi pour les attraper, saccrochait à mes épaules, collant son corps au mien en riant.

Nous luttâmes un moment, jen profitais pour lenlacer, et je sentais parfois, subrepticement, ses fesses se coller à mon bas ventre où mon sexe avait repris toute sa vigueur.

Peu à peu, nos effleurements se firent plus prolongés et pressants. Elle ne se dérobait pas, ses seins sétaient échappés de leur petit écrin, et je commençais à être sérieusement excité. Alors quelle était face à moi, je tentais de lembrasser, mais elle se déroba alors en plongeant et en séloignant sous leau.

Avais-je été trop loin ? Pourtant, je suis certain quelle en avait envie, ou alors cest une super allumeuse.

Dépité, et un peu énervé, je me dirigeai vers le bord, et massis les jambes pendant dans leau. Mon érection était visible à lautre bout du jardin, mais je men foutais. Après tout, elle avait bien remarqué quelle mexcitait, je ne voyais pas pourquoi je men cacherai plus…

Elle revint vers moi, en une lente brasse que je ne pouvais m’empêcher de trouver sensuelle. Elle vint prendre appui sur mes cuisses. Mon sexe se dressait sous mon maillot à quelques centimètres de son visage, elle le voyait, et je voyais quelle le voyait. Je restai dans lexpectative ma précédente initiative sétant soldé par un refus.

Elle posa alors sa main sur ma verge tendue, menvoyant une décharge électrique le long de léchine.

-Tu veux quoi ? me demanda-t-elle.

— Toi…Tout…Tout ce que tu veux.

— Ma bouche ?

Je ne jugeai pas utile de répondre. De toutes manières mes neurones sétaient lancés dans une sarabande effrénée où la cohérence navait pas sa place.

Elle tira sur mon maillot me libérant. Ses yeux étaient brillant, elle fixait ma queue, la prit dune main et linclina vers elle. Lentement, elle la mit dans sa bouche. Cétait chaud, et étonnement humide bien que je fus encore mouillé de mon bain. Délicieux !

Putain ma belle-sur, fantasme de mes fantasmes, me taillait une pipe magnifique de douceur ! Il valait mieux que j’arrête dobserver sa belle bouche distendue par le diamètre de ma verge, sinon jallais exploser immédiatement. Je me laissais aller en arrière, m’allongeant sur les dalles chaudes, terrassé par le plaisir. Le plaisir, depuis lépicentre de mon bas ventre, se diffusa dans tout mon corps, m’ôtant toute volonté et je ne résistai pas lorsque je senti monter ma jouissance.

Incapable de résister jexplosai, il me sembla que la bouche maspira encore plus. Un feu dartifice à Las Vegas.

Lorsque je repris mes esprits, jétais toujours dans la même position. Me redressant, ne sentant plus la présence de Dominique autour de ma queue, je la vis séloigner vers la maison, balançant sont petit cul aux belles fesses séparées par le string blanc. Je cru avoir rêvé, mais ma bite mollissante sous le soleil était une preuve tangible que Domi venait de me sucer comme une morte de faim…

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