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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 13




Chapitre 13 : Déjeuner coquin et Gloryhole pour Kate et sa fille.

— Maman, quand papa rentre à la maison ?

C’est Aurélie qui me crie çà en passant loin de moi et se dirigeant vers la buanderie. Je continue d’empoussiérer la TV sans lui répondre et croyant que je n’ai pas entendue ;

— Maman ! Quand papa rentre ?

OK, elle a décidé de me rendre folle aujourd’hui. Depuis la fin de semaine ou Gina a passé la nuit à la maison, ma fille semble un peu différente, plus énergique et prête à m’aider dans la maison. Je me suis souvent demandé si j’ai imaginé les gémissements en provenance du haut de l’escalier dans ce moment incontrôlable de passion avec Gina et si c’était un de mes enfants qui nous regardait à ce moment-là. Était-ce Aurélie ? Ou Eric ? Peut-être que j’ai juste imaginé tout cela pour croire que c’était l’un d’entre eux. Je marche en direction de la buanderie en me demandant si je voulais qu’ils me voient avec Gina ? Oh, je suis aussi perverse que mon fils et Gina.

Je vais voir ce que ma fille fabrique et en entrant je suis accueilli par le spectacle de ma fille se penchant pour retirer des vêtements du sèche-linge pour les mettre dans le panier à linge. Je suis resté étonné et fort surprise quand je regarde son cul. Elle est vêtue d’un minuscule slip en soie rouge et rien d’autre. Ces jambes étant écartées pour un meilleur équilibre je vois nettement son jeune sexe comprimé par le tissu. Je pourrais lui faire une réflexion mais je ne le fais pas et je reste là à regarder chaque détail de sa chatte.

— Maman ! Quand est ce que papa rentre à la maison ? hurle-t-elle à nouveau.

— Aurélie, Arrête de crier ! Je suis là.

Elle sursaute et se redresse face à moi, et ses jeunes et beaux seins me sautent aux yeux. Je reste un moment à l’admirer en souriant et je me demande pourquoi ma bouche est tout d’un coup sèche.

— Tu pourrais t’habiller un peu plusnon ?

Elle à un léger sourire incertain, mais ne se couvre pas

— Maman, tu m’as déjà vue dans d’autres conditions plus intimes et je ne pense pas que ce soit important. À moins que mes seins ne te dérangent…

Je baisse mes yeux pour cacher mon excitation devant ma fille. Ses seins son magnifiques, bien en chair, ronds avec de petits tétons et de tendres aréoles autour. Mes yeux se portent sur son ventre très légèrement bombé et une seconde sur son entrejambe avant de la regarder de nouveau. Mon cur bat et je remarque ce petit sourire qui traverse son visage et qui me dit qu’elle jouit de me tourmenter de cette façon, ou tout simplement qu’elle profiter de mon regard insistant. Parfois je la soupçonne d’avoir des sentiments trop forts pour les femmes. Ou peut-être que c’est-elle qui était en haut des escaliers alors que je bouffais la chatte de Gina. Oh mon Dieu, je n’espère pas. Ma fille m’est trop précieuse pour assister à la déchéance et la soumission de sa mère.

— Non chérie, tes seins ne me dérangent pas, je… j’aime bien te voir caracoler à moitié nue. Il suffit de ne pas laisser ton frère te voir comme ça, çà pourrait être embarrassant, tu vois ce que je veux dire

Ouf, j’ai presque dit « J’aime regarder tes seins » avant de me reprendre in extrémis. C’était moins une ! Il faut que je sois plus prudente à l’avenir si elle continue à me mettre dans ces situations.

— Oh, avec Eric je ne me gène pas, mais je ne voudrais pas lui donner des idées.

Qu’est que çà signifie ? Saisissant son panier elle passe devant moi pour sortir et son parfum frais atteint mes sens et ravive mon excitation. Elle s’arrête un instant et se penche sur le côté opposé de la porte avec ses seins vers moi. Je remarque que ses petits tétons ne sont plus mous mais bien durs et dressés.

— Tu sais maman, tu devrais parfois essayer, on se sent comme libre de toute entrave, libre d’esprit. Surtout quand nous restons juste nous même.

Elle regarda mes seins sous ma chemise simple.

— Huuummm maman, je vois que tu es excitée, je me trompe ?

Confuse, je baisse mes yeux et je remarque avec embarras que mes propres tétons sont au garde-à-vous, bien visible sous ma chemise de nuit. Je la regarde inquiète mais tout ce que je vois c’est son magnifique sourire. Jai peur qu’elle ne lise en moi et qu’elle réalise que suis excitée par elle. Je ne dis rien, je ne nie rien car je sais que cela sonnerait faux.

L’arrière de son slip remplace son beau sourire, et elle s’éloigne avec mes yeux qui restent collés sur son cul et ses fesses qui se balancent. Jessaie de reprendre ma respiration et je secoue ma tête pour effacer mes pensées obscènes.

Je fini mon petit ménage et je fais du café pour ma fille et moi en me demandant ce que nous allons faire aujourd’hui. Paul va rentrer demain soir et je sais que j’ai besoin d’arranger les choses avec lui. Nous devons être plus proche à nouveau afin que notre relation ne se dégrade plus s’il venait à découvrir quoi que ce soit.

Je me sens coupable pour ce qui c’est produit avec Frank et il faut que je me concentre sur mon mari. Je me souviens comment il a apprécié quand j’ai pris le contrôle de nos rapports sexuels, donc il faut que je prépare quelque chose de spécial pour son retour.

— Chérie, j’ai besoin de sortir faire des courses et ton frère ne sera pas la jusqu’à demain. As-tu des plans pour aujourd’hui ?

— J’espérais que nous passerions la journée ensemble maman.

En fait, çà me plait bien, j’ai souvent peu de temps avec ma fille sans Eric et on pourrait passer une bonne journée entre femme tant qu’elle ne me vamp pas trop avec son corps sexy.

— J’ai d’abord un truc que je vais aller acheter toute seule et ensuite je suis toute à toi.

— Maman ! Je viens avec toi.

Oh non, pas cette fois, pas pour ce que j’ai prévu de faire

— Ma chérie, je ce serait mieux si j’y vais toute seule.

— Mais Maman, où vas-tu ? Sa curiosité prend le dessus.

— C’est une boutique spécialiséeheu pour acheter des choses… des choses pour ton père et moi, je pense que c’est préférable d’y aller seule.

— Pas du tout, je veux y aller ! Ça m’intéresse S’il te plait

Elle est tellement mignonne avec ses cheveux noirs, bien en place et légèrement maquillée et elle fait plus jeune que son âge tout en étant très attirante comme une lolita.

— Hum, çà peut être gênant. Si je t’emmène avec moi promets-moi de ne jamais rien dire à ton frère, ou quelqu’un d’autre

— Je promets, répond-t-elle rapidement.

— Ok, on s’habille et on y va.

— Attends, où allons-nous ?

— Tu verras.

Je pense que cela peut être amusant. Elle est très excitée mais n’a surement pas idée de l’endroit ou je vais l’emmener. Elle comprendra vite une fois arrivé.

Je mets ma robe préférée et attend patiemment ma fille en bas. Elle descend en mini jupe serrée et un débardeur sans rien dessous car je vois nettement la marque de ses tétons. Ses belles cuisses sont découvertes très haut et quand elle se tourne sur le coté je vois une partie de ses seins par l’échancrure des aisselles. Vraiment sexy ma fille!

Je me sens tout d’un coup trop habillée et instinctivement je déboutonne le bouton du haut de ma robe

— Maman, on déjeune au resto avant ?

— Oui, chérie, je t’emmène dans un resto que je connais bien.

Il nous faut à peine cinq minutes pour rejoindre le petit restaurant italien et la serveuse nous donne une table au fond du restaurant et nous voila installées côte à côte dans ce coin tranquille.

Très vite le garçon vient prendre notre commande de boissons. Il est grand et jeune, probablement de l’âge de d’Aurélie avec des yeux bleus et des cheveux blonds. Dès qu’il c’est approché ses yeux ne quittent pas Aurélie.

— Maman, je boirais bien du vin Italien.

— Aurélie, je suis au volant, je ne peux pas boire.

— Tu prends juste un verre dans ce cas.

Tout au long de ma brève conversation avec Aurélie, le garçon garde ses yeux sur les seins de ma fille. Je ne suis pas jalouse mais il ne m’a pas regardé une seule fois !

— Ok, juste un verre. Nous allons prendre deux verres de vin rouge, dis-je au garçon.

Il jette un dernier regard sur Aurélie et s’éloigne.

— Whaou, t’as vu comment il me détaillait du regard. J’ai eu l’impression qu’il aurait aimé voir mes seins sortir de mon débardeur ! Dit-elle en riant.

— Oui, j’ai remarqué. Il n’a pas même pas eu un seul regard pour moi !

— Maman ! C’est un mec et la façon dont je suis habillé l’a hypnotisé et je parie qu’il ferait pareil avec toi si tu en montrais un peu plus.

— J’en doute. Tu es si belle et si jeune.

— Et moi je maintiens mon parie qu’il peut s’intéresser seulement à toi.

J’ai un sourire de doute sur cette affirmation.

— Profite-en ma puce, moi je n’ai pas besoins d’attirer son attention.

— Oh, mais tu le souhaiterais peut-être

— Eh bien, peut-être un tout petit peu, et je ri.

— Bon, voyons voir. Tout d’abord il faut un décolleté plus profond.

Ma fille tend sa main et retire un bouton de plus.

Je baisse les yeux déjà un peu excitée et je vois que le dessus de mes seins est maintenant bien visible.

— Maman, tu as un soutien-gorge ! Dit-elle avec déception.

Je lui réponds en riant :

— Bien sûr chérie, je suis marié, je ne peux pas étaler mes seins à tout le monde quand je suis dehors…

— Tu vas devoir t’en débarrasser ! C’est la seule façon pour que çà marche.

Je soupire mais j’ai envie de jouer le jeu de ma fille.

— Huuummm, tu as raison, on va voir. Je vais aller aux toilettes et m’occuper de çà. Si le garçon revient entre temps occupe le un instant et maintient l’ambiance pour moi.

Après avoir verrouiller la porte derrière moi et remontant ma robe je glisse mon slip sur mes cuisses et je vois que l’entrejambe est déjà humide. Je retire mon slip et je réalise que j’étais juste supposé enlever mon soutien-gorge ! Salope ! Ces mots dans mon propre esprit me fait lâcher un faible gémissement de mes lèvres. Comme je suis venue ici sans un sac à main et que je n’ai pas de poche je glisse mon slip derrière le rouleau de papier toilette et j’enlève mon soutien-gorge. Je serais ravi de voir le visage de la femme qui trouvera mon slip et je me demande ce qu’elle fera avec. Le jeter tout simplement ? Ou peut-être… le sentir… et le garder… et peut-être même de le porter. Dieu la pensée de la chatte d’une autre femme en contact avec mon slip me fait mouiller un peu plus et mon cur bat plus vite. Je me ressaisi et je sors des toilettes.

— Tu en mis du temps, me dit Aurélie dès que je m’approche d’elle.

M’asseyant à côté d’elle, je pose mon soutien-gorge à coté de moi.

— Je voulais m’assurer que la vue serait bonne pour notre pauvre garçon.

Je remarque le vin sur la table.

Je prends mon verre et je bois jusqu’à ce qu’il soit vide.

— Alors notre serveur c’est bien rincé l’il sur tes seins ou sur autre chose ?

— Mamaaannn !s’exclame Aurélie.

Elle ri et a prend une petite gorgée de vin en me regardant de haut en bas.

— Oui, il m’a bien reluqué comme avant. Maman, bouton du haut…

Je baisse les yeux et je me rends compte que j’ai boutonné les boutons du haut de ma robe. J’enlève deux boutons.

— Pas suffisant, dit Aurélie en regardant mon décolleté.

Mon Dieu, elle est folle ! Si je déboutonne un bouton de plus j’exposerais le dessous de mes seins ! Mais je fais ce qu’elle me dit.

— Wouai, joli ! Maintenant écarte un peu sur le coté comme ça.

Aurélie a déplacé suffisamment ma robe sur les côtés, pour exposer mes seins et ma gorge mes tétons tout juste couverts. Les doigts de ma fille se déplacent sur mes seins pendant qu’elle fait çà en frôlant mes tétons déjà durs qui m’envoient des frissons dans le corps. Je fais de mon mieux pour cacher l’excitation qu’elle me procure.

— Oooh, maman tes tétons m’ont l’air bien tendus

Et elle touche carrément l’un d’eux.

Bien que je devrais me reculer je la laisse jouer avec, même si ce n’est pas ce qu’une maman devrais faire.

— Bien, ma demoiselle, ça suffit.

Notre garçon réapparaît et il remarque immédiatement dans quel état se trouve ma robe. Il ouvre de grands yeux pour montrer son excitation et son désir.

— Puii puis-je prendre votre commande maintenant ? Demande-t-il sans me quitter des yeux.

Aurélie et moi essayons de ne pas rire et passons notre commande.

Alors qu’il prend la commande d’Aurélie, je fais fait semblant de chercher quelque chose dans mon sac à main à côté de moi et je tords mon corps pour l’atteindre. Ce mouvement fait glisser ma robe vers le bas et un de mes tétons apparait. Ma grande auréole et son téton sont furtivement hors du bord de ma robe. Je reste dans cette position assez longtemps pour qu’il puisse avoir une belle vue, mais quand je me retourne vers l’avant, mon téton reste toujours exposé. Puisqu’il n’y a personne autour, je décide de rester comme ça.

Non seulement le garçon mais aussi ma fille regardent mes seins avec excitation et envie. Mon coté maman me dit "arrête", couvre toi mais mon coté salope apprécie l’attention sexuelle que je provoque. Le siège au-dessous de moi se mouille pour des raisons évidentes, et j’espère que ma robe n’aura pas une grande tache humide derrière elle, mais je m’en fou.

Dans le feu de l’action je lève mes mains derrière ma nuque et fermant les yeux je fais semblant de m’étirer. Du coup mes deux seins quittent les limites de ma robe.

Dès que je l’ai senti j’ouvre rapidement mes yeux et je porte mes deux mains devant mes seins.

— Oh, je suis extrêmement désolé et confuse. Cette robe est parfois tellement ingérable

Il me semble qu’il va s’évanouir. Non ! Il se reprend, ses yeux s’agrandissent un peu plus et je vois le contour de quelque chose de dur dans son pantalon.

— Oh, ne vous inquiétez madame, ce n’est rienje comprends bien, articule-t-il difficilement.

J’écarte mes mains, montrant mes seins à nouveau.

— Je vous remercie de votre compréhension. Je vais arranger çà.

Je prends mon temps pour ramener les côtés de ma robe sur mes seins juste jusqu’à ce qu’ils couvrent mes mamelons.

— Je crois que nous allons reprendre deux verres de vin nouveau

Il s’éloigne à regret me semble -t-il et ma fille s’exclame excitée:

— Mon Dieu maman ! Je n’en reviens pas de ce que tu as osé faire !

— Moi non plus !

— T’as vu ses yeux ! Ils ont faillit sortir de leurs orbites !

Elle rigole et se mettant plus prêt de moi me prend la main.

— C’est tellement amusant et chaud que pouvons-nous faire d’autre ?

— J’en ai fais plus que je n’aurai du. Maintenant c’est ton tour.

Je regarde le débardeur de ma fille. Humm, quoi faire de plusà moins que…

— J’ai une idée

J’attrape le bas de son débardeur pour le faire entrer dans sa jupe ce qui tend le tissu sur ses seins, assez bas pour exposer une grande partie de ses seins mais les tétons tout juste cachés mais pas ses aréoles rose sombre. Aurélie déjà excitée se penche en arrière face à moi et met une jambe pliée au niveau du genou sur le siège. Je la regarde surprise mais ne dis rien.

En enfonçant ma main sous sa jupe pour coincer le bas du débardeur mes doigts sont passés sous le slip et j’ai senti qu’elle est aussi humide que moi. La regardant je la vois rougir la bouche ouverte. Mes doigts glissent plus loin pour sentir sa peau lisse jusqu’à ce que j’atteigne le haut de sa chatte et c’est vachement humide !

Je sais que je dépasse les bornes des limites (comme dirait un petit garçon à son poisson rouge dans une PUB) limites qu’une mère ne devrait pas franchir avec sa fille et dans un sursaut je commence à sortir ma main mais Aurélie me la bloque immédiatement. Nous échangeons un regard complice et lentement elle repousse ma main vers le bas jusqu’à ce que mes doigts atteignent son clitoris, à ce moment-là elle jette sa tête en arrière et gémit.

— Aurélie… chuchotais-je sachant que je devrais arrêter çà.

Elle pousse ma main encore plus loin et mes doigts trouvent l’ouverture de sa chatte. Je ne peux croire qu’elle ose faire çà en public ! C’est si intime et c’est ma fille ! L’hérédité peut-être Elle doit être sacrément excitée car je sens que çà coule entre ses jambes.

— Aurélie ! Stop !

Elle ouvre ses yeux comme si elle sortait d’un rêve. Je vois le garçon qui revient et je retire rapidement ma main pour me remettre toute droite sur mon siège. Mes doigts sont brillant d’une humidité suspect et je garde ma main sous la table.

— Voici le vin », dit-il alors que ses yeux vont de moi à Aurélie.

Soudain, je sens ma fille toucher ma main mouillée sous la table et ses doigts s’entrelacent avec les miens répandant son jus sur les siens. Elle frotte doucement mes doigts, d’un toucher sensuel sachant ce qu’est cette moiteur.

— Avez-vous besoin d’autre chose ? Demande le serveur.

— Non, merci Ai-je tout juste réussi à dire.

Nous sommes toujours main dans la main et elle frotte toujours doucement, me rendant folle excitée par ce que nous faisons. Je commence à répondre à son toucher et moi aussi je joue avec cette humidité glissante. C’est tellement sensuel ! Je la regarde et elle me sourit. Après avoir jeté un coup d’il aux alentours elle déboutonne sa jupette et la retire et son slip suit le même chemin ! Elle place les deux vêtements sur le siège entre nous.

— Aurélie, Qu’est ce qui te prend ! Que veux-tu faire ?

Une nouvelle fois, elle souri sans rien dire. Mon cur bat si vite que je peux presque sentir ma robe se déplacer sur ma poitrine. Je baisse mes yeux pour voir ma fille complètement nue de la taille aux pieds. Elle descend sa main entre ses cuisses et glisse son doigt sur toute la longueur de sa chatte jusqu’à ce qu’elle plonge un doigt dedans. Je regarde son doigt disparaitre à l’intérieur de son trou, et ma bouche pleine de salive je dégluti pour l’avaler.

Je prends mon verre et je bois une longue gorgée de vin qui doit déjà commencer à avoir des effets sur ma libido.

Ma propre main à soulevé le bord de ma robe et je l’ai tirée jusqu’à ce que ma chatte soit visible, après avoir regardé autour pour m’assurer que personne ne regarde de notre coté. Aurélie a immédiatement regardé ma chatte et en léchant ses lèvres, elle joue avec sa chatte.

— Aurélienous sommes complètement folles. On pourrait avoir des ennuis

— T’inquiète pas maman, oh… personne ne peut nous voir.

Je mouille énormément ! Je colle 2 doigts dans mon trou pour avoir le plaisir de sentir quelque dans ma chatte. Ma fille me regarde faire mais je ne peux plus m’arrêter. Je me penche et place mon coude sur le dessus de la table avec ma main sur mon visage pour me cacher de toute personne qui pourrait nous voir de loin, Aurélie fait de même. Nous sommes tournées l’une vers l’autre et chacune d’entre nous a mis un genou plié sur la banquette. De loin on pourrait croire que nous sommes assises entrain de chuchoter entre nous.

Aurélie me regarde puis dirige ses yeux sur ma chatte qui est maintenant bien visible pour elle comme la sienne pour moi. Souriante elle déplace sa main humide jusqu’à sa bouche tout en regardant mes réactions. Je pense qu’elle a vu mes yeux élargir. Son doigt a hésité près de ses lèvres entrouvertes et je vois même des gouttelettes de cyprine dessus. Je la regarde faire tout en jouant avec ma chatte quand lentement elle touche ses lèvres et fait glisser son doigt humide d’un coté à l’autre. Je regarde ma fille et un long frisson me traverse. J’ai envie de faire comme elle mais pas devant elle.

Je pense qu’elle doit être satisfaite que je la regarde. Elle atteint de nouveau sa chatte et replongeant dedans elle collecte plus de son jus féminin. Elle porte de nouveau son doigt mouillé à sa bouche, mais cette fois, elle le met dans sa bouche et serre ses lèvres autour pour sucer son propre jus de chatte. Oh, elle joue à la petite salope ! Comme sa mère ! Plus elle le fait plus j’ai envie de faire la même chose pour sentir mon jus qui est stocké entre mes jambes. La regardant sucer ses doigts, je porte ma main vers ma figure mais je me reprends juste à temps. Non, je ne peux pas !

Aurélie a un sourire espiègle sachant combien j’ai envie de faire la même chose. Encore une fois, elle imbibe son doigt dans sa chatte et suce pour boire sa cyprine. Je la regarde et je ne me laisse pas aller à mon envie et je remets ma main sur ma chatte. Tout à coup, elle saisit mon poignet, elle retire mes doigts de ma chatte et me force la main vers le haut. Cm par Cm mes doigts très humides s’approchent de ma bouche. Je sens ma résistance faiblir, ma main est molle dans sa main, la fin est inévitable.

Ni l’une ni l’autre ne parle jusqu’à ce que mes doigts humides atteignent ma bouche, et un gémissement s’échappe de mes lèvres quand Aurélie pousse l’un de mes doigts mouillés à l’intérieur de ma bouche tout en me regardant attentivement. Mes lèvres se resserrent autour et devant les yeux de ma fille, je suce avec délectation mon jus intime. Et je n’arrête pas ! Quand elle lâche mon poignet, je rouvre mes yeux que j’avais fermés dans une fausse pudeur et je la vois me regarder sucer mes doigts. Pour une raison que je ne m’explique pas, son expression espiègle devient grave et excitée.

Je remets deux doigts à l’intérieur de ma chatte, et je me baise toute seule, peur de les sortir et de ce que je ferais avec eux, mais la saveur qui reste dans ma bouche me pousse à gouter encore ce doux jus. Je sors mes doigts et à nouveau je les pousse aussi profond que possible dans ma bouche presque qu’à m’étouffer moi-même. Je lèche et suce et je sens mon excitation sexuelle montée rapidement et je perds le contrôle de mes actes.

Je remets 3 doigts dans mon trou baveux et je me baise rapidement et entendant de petits gémissements je m’aperçois que ma fille fait de même !

Voyant sa jeune chatte violée par ses propres doigts et la regardant lécher plusieurs fois ses doigts je sens que je vais perdre pied dans pas longtemps. Quand je reporte une nouvelle fois mes doigts dégoulinants vers ma bouche Aurélie saisit à nouveau mon poignet. Je reste perplexe, elle ne va pas m’empêcher de faire çà, je veux encore sucer mon jus de chatte devant elle ! Je sens sa main tirer la mienne vers elle et je reste figée. NON !

— Aurélie, nonil ne faut pas

Mais elle ne m’écoute pas car elle est dans un tel état d’excitation sexuelle et elle tire mes doigts vers sa bouche. Tout mon corps est raide comme une planche de bois quand mes doigts s’installent à moins d’un cm de sa bouche. Les yeux d’Aurélie quittent mes doigts mouillés pour me regarder dans les yeux et elle met un de mes doigts sur sa langue rose. Non, non, non, elle ne peut pas faire cela, crie je ne sais qui, dans ma tête, mais je reste impuissante à éloigner ma main. Je regarde fascinée ma fille refermer ses lèvres rouges et roses autour de mon doigt mouillé et elle suce !

— Huuuuummmmmmm gémit-elle doucement.

Elle sort ce doigt et le remplace par un autre et puis un autre jusqu’à ce qu’ils soient tous propres. Elle lâche mon poignet et je reste là à la regarder jouer avec elle-même. Je suis choquée qu’elle est pu faire çà mais comblée sexuellement au-delà de ma compréhension. Je veux encore me déguster moi-même et un peu confuse, je replace ma main sur ma chatte trempée pour juste mouiller mes doigts et m’en tenir là. Mais Aurélie ne l’entend pas ainsi. Une nouvelle fois elle m’attrape et me tire vers elle.

— Oh non Aurélie, que fais-tu ? Tu ne devrais pas…

— Je proteste vraiment pour la forme car elle remets dans sa bouche mes doigts humides et suce frénétiquement. pourquoi je ne l’arrête pas ? Elle déguste ma chatte, ma propre fille avale mon jus de chatte ! J’ai vraiment besoin de plus de vin. Après avoir pris une grosse gorgée je la regarde et elle aussi de façon interrogative. Je me doute bien de ce qu’elle veut mais je ne peux me résoudre à le faire.

Le garçon de salle me sauve en apportant notre plat à la table. J’ai tiré ma robe vers le bas mais Aurélie est nue de la taille aux pieds et j’ai peur qu’il puisse la voir malgré quelle a tiré la nappe sur elle. Apparemment tout se qui l’intéresse c’est nos seins bien en vu.

Nous mangeons en silence, chacune perdu dans ses pensées, de ce qui s’est passé. Pourquoi je lui ai permis çà ? Pourquoi est-ce que je ne l’ai pas empêchée ? La seule explication c’est mon désir pour Aurélie et l’excitation de mes sens dans cette situation en public.

— Maman, Tu… n’es pas en colère contre moi n’est ce pas ? Murmure-t-elle.

Comment pourrais-je l’être ? Je l’aime trop.

— Ne te fais pas de soucis mon bébé. Je crois que l’on se ressemble beaucoup sur certains points. Fini de manger et tu remet ta jupe car si j’adore voir ta merveilleuse chatte il faut que nous puissions sortir dignement de ce resto.

— Maman, pour toi je ferais n’importe quoi.

En disant çà elle remonte sa jambe pliée derrière moi et l’autre étant sur le sol elle m’offre sa chatte restée ouverte pour que je vois son jus qui coule en dessous d’elle. Elle est vraiment belle, si sensuelle et fascinante avec ses hanches nues, sa chatte humide et ses longues jambes ! J’avale mon plat en regardant entre ses cuisses de temps en temps. Elle m’excite cette petite salope et je suis sexuellement stimulée de voir sa jeune chatte couler autant. C’est vraiment ma fille !

Lorsque nous avons terminé notre repas, elle remet sa jupe et nous quittons le restaurant sous le regard déçu de notre serveur.

Dans le sex-shop, car c’est la que j’entraine ma fille, je cherche quelque chose de spécial qui pourrait exciter mon mari et lui donner encore plus envie de me baiser. J’ai compris qu’il aime être dominé et quand nous arrivons devant la section cuir, sangles et fouets je m’arrête.

Aurélie qui est sur mes talons regarde ses gadgets sexuels avec de grands yeux.

— Maman, regarde tout ça!

Tout en s’amusant, elle attrape un des fouet et elle me claque les fesses avec en riant.

— Aurélie, ne recommence pas

Me référant à ce jour ou elle fit semblant (pas tout à fait) de me donner une fessée dans la cuisine.

Çà déclenche surement aussi quelque chose dans sa mémoire car elle sourit pensive et me claque de nouveau.

— Maman tu devrais avoir ce truc. Achète-le !

demande-t-elle avec enthousiasme.

— Bien sûr, répondis-je, mais dans mon esprit, je cherche ce qui pourrait convenir à mon mari.

Finalement j’opte pour des sangles de cuir et un bandeau sur les yeux. Cela me permettra de maintenir mon mari immobilisé pendant que je "m’amuse" avec lui sans savoir ce qui l’attend.

En prenant çà je me rapproche d’Aurélie qui a ses mains pleines. Je suis surprise de voir des menottes, un bâillon-boule, cravache et cordelettes dans ses mains.

— Tu ne vas quand même pas acheter tout ce qui se trouve dans ce magasin.

— Non mais çà me plais bien ses trucs.

Elle regarde dans le fond de la boutique et voit 2 hommes entrer dans un couloir.

— Je me demande ce qu’il y a par là ? Viens on va vérifier.

Saisissant ma main elle me tire vers ce couloir ou je crois savoir ou il mène. En tout cas je la suis.

Nous marchons dans ce couloir sombre faiblement éclairé avec de chaque cotés une rangée de porte et au bout une sorte de distributeur. Deux hommes debout semblent parler de cette machine, mais dès qu’ils nous aperçoivent ils s’arrêtent de parler et nous regardent explorer cette partie du magasin.

Chaque porte à un panneau lumineux qui décrit le type de films que l’on peut voir à l’intérieur, sexe en couple, sexe en groupe, jeune fille en fleur, bondage, esclaves et sexe extrême. La tête me tourne quand je lis certains court synopsis complété par une photo explicite de l’action. Aurélie marche de porte à porte, et je la suis.

Quand nous arrivons près des deux hommes ils nous sourient et s’éloigne. Ils sont beaux et tous deux bien habillés, chemises et pantalons de ville. A mon avis ce sont des hommes d’affaire qui viennent se divertir pendant la pose déjeuner.

— Maman, nous devons compléter notre formation sur certains façons de faire l’amour, enfin de baiser, tu vois ce que je veux dire.

Me dit Aurélie passablement excitée.

— Chérie tu ne vas quand même pas entrer dans une de ces pièces.

-Si, et tu vas m’accompagner. On doit vérifier si on connait tout sur le sexe.

Un peu à contrecur, je mets un billet dans le distributeur qui crache des pieces pour accéder aux salles de projection. Du coin des yeux, je vois les deux hommes qui regardent ce que nous faisons et sous cet éclairage tamisé, je suis un peu mal à l’aise. Aurélie attrape les billets et me tire vers une porte qui a une photo représentant un mec avec une énorme bite coincé à l’intérieur du cul d’une minuscule fille blonde, et on peut à côté de la photo : Défonce Anal de jeune fille.

— Aurélie ! Pas celui-là !

Mais trop tard car elle est entré en m’entrainant et elle à refermé la porte derrière elle.

La pièce est minuscule, éclairée par une ampoule de lumière rouge au-dessus de la porte et au fond un écran de TV de 110 cm avec à coté une fente pour mettre des pièces.

— Oh, beurk… çà pue ici ! Dis-je dégoûtée.

— T’as raison çà sent comme… du sperme. Tu crois qu’ils viennent se branler ici ?

Elle est très proche de moi, frottant son cul contre mon entrejambe et la pièce à peu de place pour se déplacer.

— Surement et c’est fait pour !

Elle met une pièce et nous regardions un gars et une fille, c’est le même couple qui est sur la photo de la porte, devant une caméra, qui sont entrain de se déshabiller. Puis la jeune fille, complètement nue, fait une fellation au mec tout en exposant son cul en écartant bien ses jambes pour la caméra. Voir Aurélie regarder m’excite et je pose mes affaires dans le coin et je vois qu’elle est aussi excitée que moi.

La bite du gars est énorme ! La petite jeune fille blonde enveloppe de ses deux mains la queue massive et tire le prépuce pour décalotter le gland et ensuite le mettre dans sa bouche… à peine… et commence à le sucer et lui donner une fellation.

En ce moment, j’entends des portes s’ouvrir et se fermer de chaque côté de notre pièce ce qui me fait dire qu’elles sont aussi occupées. Je me demande si ce sont les deux gars qui nous regardaient plus tôt. Aurélie me regarde et sourit en mettent ses mains à sa taille. Elle commence à jouer avec le haut de sa jupe et je remarque que le bouton à sauté. Je me tiens immobile juste derrière elle et je regarde l’écran avec elle. Elle regarde en arrière et me sourit en prenant mes mains. Elle les met sur ses hanches en plaçant mes paumes justes au-dessus de sa taille sur la partie lisse de ses hanches. Sa peau était si chaude.

Je la laisse faire, immobile, mais extrêmement excitée de ce qu’elle fait. Au début elle reste juste comme çà et sur l’écran la jeune fille fait maintenant une gorge profonde avec la grosse bite du gars, en arrivant à prendre plus de la moitié de son énorme queue dans sa bouche, en montrant à la caméra ce qui envahi sa bouche et sa gorge. Aurélie gémit et déplaçant légèrement ses hanches de façon sexy, mais se rendant compte que je ne fais rien, elle saisit mes mains et les glissent dans la ceinture de sa jupe.

Plus elle pousse mes mains vers le bas, plus sa jupe descend.

Je reste impuissante à l’arrêter et regarde mes mains descendre sa jupe pour dévoilé son cul et la fissure entre ses fesses déjà visible. Elle lâche mes mains et gémit. C’est ma dernière chance de remonter la jupe de ma fille, mais…Je ne le fais pas. Mes mains ont leur propre vie et bientôt toutes ses fesses sont dévoilées.

À ce moment mes genoux ont fléchi et je me laisse tomber sur le sol derrière elle, mes yeux collé à son cul. Je pousse sa jupe sur ses chevilles et Aurélie se retourne pour me regarder de ses grands yeux. Une nouvelle fois elle est nue de la taille aux pieds, cependant, nous sommes dans une cabine privée et je suis sur mes genoux directement derrière le cul de ma fille. Je ne sais pas jusqu’où je vais aller mais je suis ne nouveau en chaleur et j’ai envie de reprendre mon rôle de salope de maman !

Mes mains glissent vers le haut de ses jambes, pour sentir sa peau lisse et crémeuse, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent sur son cul. Je place mes mains sur chaque fesse et je renifle son cul, mais je n’ose aller plus loin. Ma fille sent ma réticence et place ses mains sur le dos de mes épaules. Lentement, elle commence à appliquer une pression dans la direction de ses fesses.

— Ooooooh Aurélie, mon bébé

— Oooh oui, maman murmure-t-elle en mettant plus de pression et se penchant vers l’avant.

Je voie maintenant les tendres lèvres de sa chatte, propre et rasé ne cachant rien et qui se séparent lentement pour me montrer l’humidité qui nappe cette surface intime. L’intérieur de sa chatte rose est humide et accueillante et la douce odeur de sa chatte imprègne l’air qui nous entoure. Aurélie pousse son cul en arrière et il approche dangereusement de mon visage. Instinctivement, je recule pour me tenir à distance jusqu’à ce que je sente la porte contre mon dos. Sans relâche ma fille pousse son cul vers moi jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que 2 cm d’espace entre ma bouche et sa chatte !

— Aurélie, Arrête ! Je ne peux pas faire çà !

— Oh maman, je ne te crois pas. J’ai vu comment tu m’as regardé dans le restaurant. Je sais que tu en a envie et moi aussi gémit-elle.

Son cul effleure ma bouche et mon nez et l’odeur de son jus sucré est grisante.

— Aurélie mon bébé, tu es ma fille, je ne peux faire çà avec toi…même si j’en ai envie.

Je la supplie mais mes yeux se portent déjà sur sa fente humide et les lèvres de sa chatte tendre et rose.

— Je sais maman, mais je n’en ai rien à faire ! Je suis sûre que tu n’attends que çà et moi je veux que tu me bouffe ma petite chatte qui n’attend que çà. Alors maintenant mange moi maman ! Dévore ma chatte !

Elle se penche encore plus et au moment où j’ouvre ma bouche pour crier pour qu’elle puisse arrêter, il est trop tard ! Les lèvres de la chatte humide de ma fille s’appuient contre ma bouche ouverte couvrant mes faibles protestations. J’essaye de pousser son dos, mais elle garde son cul appuyée contre ma bouche et je suis coincée contre la porte !

En cet instant pervers, je réalise que ma bouche est toujours ouverte et que je sors lentement ma langue ! NON ! Crie mon esprit, mais sans succès. Ma langue tendue touche sa chatte et elle glisse comme un serpent entre ses plis comme pour s’assurer que c’est bien sa proie.

— Oh mon Dieu maman

Gémit ma fille surprise par ma soudaine vigueur.

Je suis perdue mais je bois avec délice les jus de ma fille et je lèche sa chatte. Elle ne presse plus elle-même son cul contre ma bouche, c’est moi qui la fais avancer en bouffant joyeusement sa chatte si douce.

— OOOhhhh, maman qu’est ce que tu lèche bien ! On dirait que tu es affamée et que çà te manque

De sa main elle tire sur mes cheveux pour enfoncer mon visage plus loin entre ses fesses pulpeuses. Je manque de m’étouffer car la chair de son cul comprime mon nez et ma bouche est inondée de son jus. Je tiens aussi longtemps que je peux mais quand je sens mon corps vacillé je tombe à ses pieds et respire profondément. Aurélie se retourne et me faisant face ses mains sur mes fesses ;

— Houlà, regarde comme tu es trempée

Elle me tire vers elle et me donne un long baiser sensuel en glissant sa langue à l’intérieur de ma bouche qu’elle tord et enroule autour de ma langue.

Pendant un instant nos langues jouent ce duel sensuel que j’aime tant et puis en se retirant légèrement elle lèche mes lèvres et mon menton. Elle lèche son propre jus de chatte qui barbouille tout mon visage. Tout à coup elle me tire en arrière et me regarde avec un sourire malicieux.

— Maman Nous aurions dû faire cela plus tôt !

Son sourire très coquin fait que je me demande ce qu’elle va me faire à l’avenir.

Tout à coup, quelque chose attire mon attention et du coin de l’il je regarde le mur de la cabine à côté de nous. J’en reste bouche bée ! A travers un trou apparait une bite semi bandée !

— Oh mon Dieu !

Ma fille regarde à son tour et ses yeux s’illuminent.

— Merde ! Maman, c’est un trou à bite comme dans un gloryhole ! dit-elle en se mettant à genoux juste en face de la bite.

— Aurélie ! Tu ne vas quand même pas !

Et je la saisis essayant de l’écarter.

— Maman, arrête ! Je veux juste voir, dit-elle.

Je ne sais pas comment l’arrêter ! Je n’ai jamais vu Aurélie dans cet état, elle semble découvrir un sex-shop et que tout est nouveau pour elle et passionnant. Je commence à me demander si j’ai bien fait de l’amener ici. Sa main s’avance et elle touche la bite qui sort de l’orifice.

— Aurélie ! Mon cri couvrant le son de la télévision.

Elle n’écoute plus et avant que je puisse faire quoi que ce soit sa petite main s’enroule entièrement autour de la bite et elle commence à la caresser. Je me mets à genoux à côté d’elle pour pouvoir qu’elle m’entende.

— Aurélie, bébé, tu ne sais pas qui est ce mec. Tu ne peux faire çà !

Je lui parle tout en regardant sa main qui caresse cette bite inconnue et malgré moi je trouve çà érotique en ce moment particulier.

— Regarde, Maman, elle s’allonge !

Elle a raison, la queue est en expansion et j’en ai le souffle coupé par sa taille. Sa main glisse méthodiquement le long de cette longue bite et ses yeux grand ouverts sont à quelque centimètre seulement.

Mon cur bat dans ma poitrine et je la regarde. Elle se tourne vers moi et se penchant au dessus de cette incroyable bite elle me donne un baiser. Je suis surprise qu’elle pense encore à moi en ayant une bite palpitante dans sa main. Ses lèvres pressent les miennes et ma main se dirige toute seule sur la courbe de son cul pour sentir sa peau douce.

Elle se dégage de notre baiser et me regarde pendant un instant.

— Maman essaye chuchote-t-elle.

Je la regarde sans répondre me demandant quelle erreur je vais commettre car sa proposition échauffe mon corps. Dois-je toucher cette bite inconnue ? Devant ma fille ? Je ne réfléchie pas longtemps car ma fille saisit ma main et la place sur le dessus de la queue qui est assez longue pour nos deux mains. Je suis terriblement gênée ! Non pas de toucher la bite d’un inconnu, même si elle a quelque chose à voir avec çà, c’est de la toucher et que ma fille me regarde le faire ! Je me sens salope devant ma fille ! Et comme toujours ce mot "salope" réussi toujours à m’allumer ce qui fait que je garde ma main sur la bite.

— Heuuu, maman, il est grande n’est ce pas ?

Dit-elle, regardant une perte généreuse de pré-sperme qui se forme au bout du gland.

Elle m’embrasse encore une fois, léchant mes lèvres avec sa langue et son visage est dangereusement près du gland de cette belle bite bien raide. Pense-t-elle à

— Aurélie ! c’est le seul mot que je peux prononcer avant que le bout de sa langue lèche le méat de ce gros gland.

Elle avale en me souriant et elle me fait un clin d’il. Je réalise que je n’ai jamais cessé de branler la bite avec ma main.

— Tu veux essayergoute

— Oooh non

Juste un sourire et elle lèche de nouveau le gland qui suinte de plus bel.

J’ai un peu le tournis de la voir faire et toujours en me regardant elle ouvre sa bouche et prends le gland. Elle enfonce doucement la bite dans sa bouche jusqu’à ce que ses lèvres butent contre ma main et elle a surement le gland prés de sa gorge.

Reculant sa tête elle laisse cette longue queue sortir de sa bouche.

— Huuuummmm elle est bonne.

Assise bien droite sur ses genoux elle porte ses lèvres sur les miennes en un long baiser humide et sensuel. J’ouvre ma bouche pour bien prendre sa langue et avoir l’impression de déguster la bite de cet inconnu et ma chatte mouille vachement ma culotte. Sa langue tourne dans ma bouche et je reconnais tout de suite le goût salé d’une bite et de son pré-sperme.

— Maintenant tu peux y gouter aussi maman !

Elle me regarde avec des yeux humides et dans l’attente de voir sa mère sucer des bites ! Je me penche et je prends cette longue et épaisse bite dans ma bouche pour la sucer fébrilement, ma tête allant d’avant en arrière alors que ma fille caresse cette queue pour moi. Je me sens complètement dépravée de faire çà devant elle, mais je ne peux pas m’en empêcher. Cm après cm cette incroyable queue glisse de plus en plus loin dans ma bouche pour finir dans ma gorge et mes lèvres sont enveloppés hermétiquement autour de la tige épaisse veinée et touchent la main de ma fille.

Je recule aussi loin que possible pour lâcher cette bite et, sans perdre de temps, ma fille la reprend en bouche pour sucer cette grosse saucisse. Elle en prend le plus possible et vu la longueur de cette bite c’est une gorge profonde qu’elle lui fait !

À bout de souffle c’est moi qui prend la suite et je me rappelle comment Eric aime mes gorges profonde alors j’avale complètement cette queue phénoménale, le gland s’enfonçant progressivement dans ma gorge. Je me demande ce que ce mec ressent en se faisant sucer sa bite par une mère et sa jeune fille mais j’espère quand même qu’il n’a pas entendu Aurélie m’appeler maman.

— Oh mon Dieu maman ! Putain !

Elle a crié si fort que ce coup-ci c’est sûr, le gars a entendu !

Tout d’un coup, je sens la paroi de la cabine de toucher mes lèvres ! Oh mon dieu ! J’ai au moins 24 cm de bite dans ma bouche et dans ma gorge !

— Oh maman, c’est magnifique !

Et elle approche sa bouche de la mienne pour me lécher, sur le coté, mes lèvres distendues par la queue. Je réalise que je suis entrain de baver et qu’elle lèche ma bave.

J’aurais bien continué mais il faut que je respire et me retirant ma fille a immédiatement plaqué ses lèvres contre les miennes dans un baiser pour lécher tout ce qui se trouve dessus y compris ma bave partout dans ma bouche et elle se remet la bite dans sa bouche baveuse. Elle est aussi salope que sa mère !

Elle essaye de faire comme moi mais après avoir enfoncé la bite au fond de sa gorge elle revient vite prendre de l’air.

— Suce la mamancomme tu viens de le faire. Vas-y, je regarde.

Cà me plait de faire çà devant elle et sans dire un mot je me mets à genoux devant ce gland tout rouge qui coule et je le glisse dans ma bouche pour le sucer un moment avant de le glisser au fond de ma gorge. Je suis surprise que le mec n’ait pas encore éjaculé mais pas déçue. Je ne vais quand même pas gouter et avaler le sperme d’un inconnu ? Une nouvelle fois je reprends complètement sa bite dans ma gorge et dégluti pour masser son nud qui m’envahit. Je refais le chemin inverse pour respirer à plein poumons et je replonge. Je suis tellement prise dans mon trip sexuel que j’en oubliais ma fille.

La bite toujours dans ma bouche je tords ma tête à la recherche d’Aurélie.

Elle est assise contre le mur opposé et elle se prend une bite dans sa bouche ! Il y a un trou dans chaque coté du mur et un autre salopard a glissé sa bite dedans ! Je me demande si c’est le deuxième homme que nous avons aperçu ?

Aurélie me regarde et sourit en reprenant la bite pour se l’enfoncer aussi profond que possible dans sa gorge. Nous sommes si proche que cette bite me semble plus courte que la mienne, et je crois que ma fille la prend entièrement en bouche, comme moi, et la regardant faire, je ne demande si elle ressent la même chose que moi.

Ma chatte était si humide que j’ai envie de me relever et de m’enfoncer cette longue bite dans mon trou de salope en chaleur. Ne voulant pas donner à ma fille l’impression que je ne me maîtrise pas je glisse une de mes mains libre et je me touche moi-même. Huuuummmm, que ça fait du bien et gardant ma main sur ma chatte, je continue de sucer.

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