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Angel et Johnathan – Chapitre 1




Je m’appelle Angel; Angel Gabriel. Oui, c’est vrai, c’est tellement bizarre mais qu’est-ce que vous vous voulez? Mes parents sont de vrais fanatiques de l’église, et des adorateurs des anges alors, ils ne se sont pas dit que ce prénom, associé à mon nom de famille pourrait faire "tâche". Moi je m’en suis rendu compte en grandissant. On m’embêtait tout le temps a l’école en disant Hey, revoilà le pasteur, patati, patata". Ce n’était pas vraiment méchantce qui l’était, c’était les moqueries discontinues de mes amis. Cela explique aisément pourquoi je suis toujours resté un solitaire. Je n’ai jamais été le modèle masculin par excellence. Je suis agréable à regarder, j’en étais conscient depuis toujours. Mais à chaque fois qu’on voulait me qualifier, c’était plutôt le mot "mignon" qui convenait. Je n’avais rien de viril; j’étais banal physiquement; mon seul avantage était mon visage qui attirait beaucoup l’attention; j’ai toujours eu l’air d’un enfant adorable, même après mes 15 ans. Evidemment je n’échappais pas aux critiques.

Les filles m’aimaient bien, elles étaient toujours si gentils avec moiles mecs par contre, il m’en faisait voir de toute les couleurs. Ca a toujours été comme ça; Alors quand j’eu mes 12 ans, l’arrivée de Jonathan dans mon école fut un vrai réconfort. Nous avons très vite sympathisé; il m’a avoué qu’en fait, il croyait que j’étais une fille, et s’est excuséça ne me dérangeait pas. Ce genre d’erreur était mon quotidien. Même avec les amis de mes parents. Jonathan, mon ainé d’une année seulement, trainait toujours avec moiparce qu’il était nouveau, je croismais ça ne faisait rien. J’étais heureux d’avoir un amimême si ce n’était que par dépit. La vie continuaitje subissais toujours l’insupportable harcèlement de mes camarades à la sortie des coursj’avais peur, comme toujours; et sans trop savoir pourquoi, je ne pouvais en parler à mes parentsJonathan est devenu mon protecteur. Depuis qu’on s’est rencontré, peu après mon douzième anniversaire, il m’a toujours protégé. Je le considérai comme mon héros.

Lui il était fortlui il pouvait m’aider. Je l’admirais a un point inimaginableil était devenu mon modèle. Mais quand j’ai eu mes 14 ans, il m’a annoncé qu’il déménageait. Son père avait été muté dans une autre villeon ne pourrait plus se voir. Depuis son départ j’étais effondréj’ai compris le sens du mot désespéré. Avant quand j’étais seul, cela me rassurait. Mais après avoir goûté à une vraie amitié, la solitude m’était à présent insupportable. Chaque dimanche, je passais voir sa grand-mère, qui n’habitait pas très loin de chez moi; elle me connaissait bienmoi et son petit-fils venions jouer toute la journée dans sa jolie maisonnette. Je venais à chaque fois chez elle, pour la voirmais surtout pour me consoler. Pour me rappeler de ces bons moments passés avec Johny (Jonathan).

Quatre ans se sont écoulés; Mon diplôme en poche, je cherchais toujours quoi faire à la Fac. Les relations internationales? Le droit? Je me suis décidé, j’ai choisi le droit. Je voulais devenir avocat. Quelle ironie. Je voulais défendre la veuve et l’orphelin, alors que j’étais incapable de me défendre tout seulLes cours à l’université étaient durs. Je ne trouvais plus de temps pour moi. Alors, parfois, je restais très tardivement dans ma salle de cours, et je rentrais chez moi, épuisé. C’est au cours d’une de ces fameuses nuits qu’à la sortie des cours, moi, étant resté travaillé, je pris le chemin de la maison vers 21 heures. Il pleuvait. Ce n’était pas rassurant. Je ne restais pas si tard d’habitude mais j’avais du travail en quantité alorsDevant le portail, se trouvait Lucas et Steevedeux anciennes connaissances. Apparemment la pluie ne les gênait pas. C’était eux qui me traitait de pasteur en primaireet c’était eux qui passait leur temps à m’humilier au collègeA me traiter de Gay à cause de mon apparenceen bref, c’était juste des abrutis de première.

-Monsieur le Gay est enfin sorti de sa tanière on dirait; dit Lucas, un sourire sadique aux lèvres.

-Je ne suis pas Gay; contestai-je, doucement. Je crois qu’il ne m’avait pas entendu, tellement j’avais chuchoté

-Je ne crois pas que t’ai eu une seule copine depuis qu’on se connait, mademoiselle Angel; affirma Steeve, toujours aussi condescendant.

J’avais peur, évidemment. Ces deux-là ne me voulait sûrement rien de bon. Mais je voulais faire ma forte tête. Je me contentais de les ignorer, et je me dirigeai tout droit vers la sortie. C’était une mauvaise idée. Steeve me rattrapa en quelques pas et m’envoya valser au sol. Mes livres étaient fichus. Trempés et boueux. Moi je n’avais que le nez qui saignaitce n’était rien comparé à ce qu’ils me faisaient avant

Lucas s’approcha. Il me prit par le col avec une aisance remarquable. A croire que je ne pesais rienen fait, c’était peut-être le cas. Il me prit le menton et chuchota qu’il allait bien s’amuser avec moiJe ne savais pas ce qu’il manigançait cette fois mais j’étais pétrifié. Il me relâcha une seconde; j’en profitai pour m’éloigner mais c’était peine perdue, ils étaient deux. La peur et le froid de la nuit m’enveloppaient totalementje m’évanouis un instant

A mon réveil, je n’étais plus dans la cour de la Facil faisait chaud. J’étais dans mon lit, chez mes parentsa côté de moi, il y avait quelqu’un

-Tu es enfin réveillé, Angye ?tant mieux

Cette voix m’était familièreet ce surnomune seule personne m’appelait Angyec’était Jonathan. Je me levai subitement, pour voir assis sur mon lit, mon ami de toujours. Je manquais de ne pas le reconnaitreil était tellement beauet si viril à présentce n’était plus le pré-ado que j’avais connus autrefois

-Tu sais, Angyetu es encore plus mignon qu’avant; dit-il en caressant mes cheveux blonds. Il me souriait affectueusement. Cela faisait si longtemps mais, je me rappelai de mon héroset je sautai dans ses bras. Il fut surpris tout d’abordmais il ne me repoussa pas. On resta un long moment comme çail m’avait tellement manqué

-Tu es toujours aussi fleur bleu avec moi, on dirait; dit-il, en me caressant le dos. C’était un peu comme revoir son grand-frèremoi qui étais fils unique

Je me décidai à le relâcherje l’observai un moment en silence. Il avait beaucoup changé, mon Johny.

-Mes parents-t-on laissé entrer?

-Eh bien, tu étais évanoui dans mes bras, alors ils n’ont pas trop eu le choix; dit-il en riant.

Je me souvins de l’épisode Lucas-Steeve. Je ne me rappelai pas trop ce qui s’était passé

-C’est toi qui m’a ramené alors?

-Je viens de te le dire, écoute un peu quand on te parle.

Je le fixai avec mes yeux bleus océans; j’avais le regard brillant; Johnathan m’avait encore sauvé apparemment.mais mieux que cela, il était revenu vers moi

-Tu vas rester longtemps? Ou alors c’était juste une visite; demandai-je, aussi triste que je pouvais l’être.

Johny me regarda un instant et me pris la main en disant:

-Je reste avec toi; dit-il, me réconfortant.

-Pour longtemps?

-Evidemment. Je commence à étudier dans ta Fac. Et puis, tu as grand besoin d’un chevalier servant apparemment; chuchota-t-il en me faisant un clin d’il. A ce moment, Maman entra dans la chambre. Elle était rassuré que j’aille mieux. Elle m’apporta de la soupe et des fruitsmalgré mes refus. Jonathan, lui, décida de partir.

-Tu reviendras me voir hein? Promis?

Il me fit un sourire enjôleur puis me dit:

-Je serai dans la maison de grand-mère. Tu sais où me trouver,Angye

La semaine suivante, puis la semaine après, je passais tout mon temps chez mon meilleur amimon seul ami masculin. Il m’embêtait plus qu’avant, c’était sûr. Et il ne se rendait pas compte qu’à chaque fois qu’il s’approcha trop près, je rougissais horriblement. A ces moments-là, je me justifiais en disant qu’il faisait chauden fait, c’était à cause de lui. Pourquoi fallait-il qu’il soit devenu si attirantquand on était enfants, je l’admirais, je le vénéraià présent, lui, il m’obsédaitL’image du héros s’était transformé, et je ne pouvais que rêver qu’un jour il s’intéresse plus à moi. Pas comme un simple amiplutôt comme un amoureuxcar oui, je crois que j’étais amoureux de luidepuis longtempstrès longtemps. Quand nous avons repris les cours, nous nous sommes encore éloignés. C’était logique. Lui, il ne faisait pas le droit. Il étudiait les lettres modernes et les langues mortes. Mais nous nous retrouvions à la sortie des cours, à chaque fois. Tous les soirs. Je perdais espoir. Je ne pouvais pas lui dire que je l’aimais, il sera choquéou pire encoreNon, je ne pouvais pas oser faire cela.

Mais un soir, avant de partir chez lui, il me fit un câlin et un bisou sur la joueje restais rêveur, arrivé dans ma chambre. Je rêvais de lui, je rejouais la scène point par point. Quand nous étions enfants, ils avaient l’habitude de faire ça. Ce n’était rien d’exceptionnel. Mais maintenant, j’avais de quoi espérerle lendemain, malheureusement, il ne se passa rien. Il n’aborda pas le sujet pour mon plus grand regret. Mais je continuais de croire que nous deux s’était possible. Il me faisait des clins d’il, il me câlinait plus souventet mon moment préféré, c’était quand il me disait que j’étais adorable. En effet, il y avait de quoi rêver. Un samedi soir, il m’invita chez lui. Je mis toute mes chances de mon côté. Je m’étais rendu le plus attrayant possible en sonnant à sa porte. Sa grand-mère était au Bingo, comme chaque samedi. Nous avions la maison pour nous deux.

-T’es vraiment pas mal; tu t’es looké pour moi?

-Je n’ai plus le droit de bien m’habiller? Répondis-je avec un sourire ravageur.

Il se contenta de me sourire en retour et m’invita à l’intérieur. On se dirigea droit vers sa chambre. Comme d’habitude. Le dvd était déjà en marche. Je m’effondrai sur son lit après avoir enlevé mes bottes. Il me rejoint.

-Tu veux regarder quoi comme film? demanda-t-il.

-Le portrait d’une romantique.

-Je m’en doutaismonsieur est toujours aussi efféminé; heureusement j’ai tout prévu.

Il alla fouiller dans son sac et en sortit le CD.

-Tu ne vas pas pleurer comme la dernière fois j’espère;

Je luis donnais un coup de coude sur le torse. Ca ne lui fit rien.

-Toujours aussi faiblard, à ton âge

-Si c’est comme ça, je ne te parle plus; dis-je en boudant.

Il sourit, et me dit:

-Ok, t’a gagné, t’a le droit de pleurer à la fin. En plus mes bras sont grands ouverts pour toi, Angye

Sa remarque me fit rougir. Je ne parvenais jamais à savoir s’il était sérieux ou si c’était juste des histoires. C’était un vrai calvaire. Finalement, le film se déroula sans anicroche. Et je n’ai pas pleuré à la fin. Ensuite, pour m’embêter, Johny choisit de mettre un film d’horreur. L’épisode 4 d’American horreur story. C’était terrifiant. Je me rapprochai de lui; pendant les scènes violentes, je m’accrochai carrément à lui. Il ne disait rienalors j’en profitai un peu pour le titiller. Je rapprochai mes lèvres de son cou, discrètement. Mon souffle chaud le gênait apparemment, car il rougissait a vu d’il. Je n’étais plus concentrer sur le film, et lui non plus. Exprès, je l’enlaçai doucement, en prétextant de la peur, un faux cri d’effroi a l’appui. Nous étions collés serrés; si près qu’il suffirait d’un seul mouvement pour que nos lèvres se rencontrent.

-Angy

-Les films d’horreur c’est intéressants maisj’ai peurdésolé; dis-je en le serrant plus fort.

-Tu es toujours comme un bébéc’est tellement mignon

-Ça te dérange?

-Au contraire; et puisAngyje suis quand même ton chevalier servant alorsc’est normal que

Je n’en pouvais plus de cette attente insurmontable. J’unis mes lèvres aux siennes en un baiser langoureux, doux. Il s’écarta après quelques secondes et s’éloignaJe ne comprenais pasje croyais que lui aussi il avait envie de moiqu’il m’aimait aussi

-Angyon ne peut pas faire ça

-Pourquoi pas?

-Parce que ce n’est pas bienet en plus

-Je t’aime Jonathandepuis longtempsalorss’il te plait

-Non Angy, nous deus ce n’est pas possibleje t’ai

Je l’empêchai de parler en collant mes lèvres aux siennes. Le baiser était cette fois ci plus profondplus agressifJonathan ne me repoussa pasIl répondit à mon baiser et m’entraina avec lui. Il était au-dessus de moi, me dominant totalement et j’aimais caje me mouvais sous lui, j’étais enfiévré; je rêvais de ca depuis longtempstellement longtempsIl aventura ses doigts sur mon torseil caressait mes tétons et je gémissais, totalement surpris. Nous restâmes ainsi pendant de longues minutes, nos corps enflammés par la passion et le désirMais quand il essaya de me déshabiller, je mis fin à notre étreinte, et je m’éloignais de lui. Les baisers, les attouchements, tout ça me comblaitmais j’avais peur du sexej’avais peur d’avoir malJohny me regardai, totalement désarçonnéIl quitta la chambre et me dis de m’en aller. Je le suivis de force, lui courant après.

-Johnyattends

-Tu ferais mieux de t’en aller Angelje crois que

-On se voit demain? Demandais-je, apeuré qu’il se sente vexé et ne veuille plus me revoir.

Il garda le silence un moment, puis me répondit.

-Grand-mère sort demain dans l’après-midije t’attendrai

Et sur ces mots, je rentrai chez moi, plus confiant que jamais. Ma nuit fut jonché de rêve où lui et moi ne nous quittions jamais. Le lendemain, mes parents me trouvèrent un peu dans les nuages. Ils me demandèrent ce qui n’allait pas. Je leurs répondit que tout allait bienc’était vraiEntre moi et Jonathan, les choses évoluait

Vers midi, je lui envoyai un message pour demander si notre rendez-vous tenait toujours. Il ne me répondit pas. J’attendis longtemps mais il n’envoya aucun message. Il m’en voulait peut-être au finalmais je ne pouvais vraiment pas aller au sexe, comme çac’était trop tôt pour moi.

Le lendemain, je parlai a Samantha, qui était, je crois, ma meilleure amie en deuxième place après Johny. Mais ces deux-là ne se connaissait pas. Samantha m’avait toujours suspecté d’être homo. Alors quand je lui racontai mon secret, en lui demandant conseil, elle ne fut pas surprise contrairement à ce que je croyais mais me taquina. En souriant bizarrement, elle me dit sur le ton de la moquerie:

-Alors comme ça tu aimes les hommes, Angel?

-Je n’aime pas les hommes. C’est Jonathan que j’aime.

-Ça revient au même. En tout cas, si il t’en veut tant pis pour lui, il ne sait pas ce qu’il rate.

-Ne dis pas çamoi je ne veux pas qu’il s’éloigne encorecomme avant

Elle me regarda affectueusement; et me dit:

-Tu es comme mon petit frère, Angel.

-C’est une blague? On au même âge je te signale.

-Peut-être, mais moi au moins on me considère pas comme un bébé trop croupion.

Elle venait de marquer un point. On me prenait toujours soit pour une nana sapé en mec, soit pour un mec homo efféminé, ou alors, soit comme un ado faible et incapable de se défendrebref, un bébé. Malgré mes 18 ans entamés.

-En tout cas, tu devrais éclaircir cette histoire avec lui.

J’écoutai les conseils de Sam. Une fois seul, j’envoyais un message à Johny. Il me répondit quelques minutes plus tard.

"Je suis vraiment désolé Angy; c’est ma faute. J’espère que tu ne m’en veux pas. J’ai profité de toi la dernière fois que t’es venuje me sens trop coupablej’espère que tu vas me pardonner"

Il était con ou aveugle? Moi je l’aimais vraiment. J’étais d’accord la dernière foisou du moinsau début

"J’en avais envie autant que toi, Johny"

"Et pourtant tu m’a repoussé. Je sais que tu dis ça juste pour me remonter le moral"

"Pas du tout"

"Ça ne sert à rien, Angy"

Je n’allais pas me faire décourager.

"Je viens te voir ce soir, Johny".

La nuit tombé, je me présentai devant chez lui. Sa grand-mère m’ouvrit la porte. Je la saluai et demanda à voir a Johny. Elle pointa l’étage du doigt en disant qu’il était dans sa chambre. Aussitôt, je montai les marches des escaliers, et sans frapper, j’entrai dans sa chambre. Je fermai la porte à clé. Jonathan se trouvait sur son lit, en pleine lecture. Il fut surpris.

-Qu’est-ce que tu fais là?

— Je t’avais dit que je viendrais, non? Répondis-je, en le rejoignant sur le lit.

-Et pourquoi t’a fermé à clé?

-Parce que ta grand-mère n’a pas besoin d’être au courant de ce qui se passe entre nous deux; dis-je en lui prenant le livre des mains.

-Il ne se passe rien, Angy

-Ce n’est pas ce qu’il me semble, monsieur.dis.je langoureusement en l’embrassant. Il ne me repoussa pas. Je m’arrêtai.

-Tu veux vraiment le fairetu es sûr que tu m’aimes? Que ce n’est pas juste de l’attirance?

-J’en suis sûr. Tu es mon hérosc’est toi celui que j’aimeet avec toije veux le faire

Je déboutonnai doucement sa chemise, puis me débarrassai de son pantalon. Il était excité; une grande bosse se voyait travers son boxer noir. Je lui souris.

-C’est moi qui te fait cet effet-là?

-Tu me fais toujours cet effet làje suis ding de toi; dit-il, pour mon plus grand plaisir. Je l’embrassai à nouveau, et ma main se baladait sur son boxer. Je me décidai à prendre son membre, et je le masturbai doucement, puis de plus en plus vite. Son pénis était énorme. Je le caressai sans interrompre notre baiser. Je voyais Jonathan qui gémissais doucementJe m’éloignai un peu pour le regarder dans les yeux

-Dis-moi que tu m’aimes, Johny

-Je t’aimeje t’aime comme un foudit-il en gémissant.

Je me baissais pour sucer tout d’abord son prépuce; ma salive se répandait sur son membre; puis, je pris dans ma bouche son pénis; il entrait plus profondément, jusqu’à atteindre le fond de ma gorge. J’entendais Johny crier mon nom en gémissant. Il se mit à genoux face à moi, son pénis toujours dans ma bouche, et se mit à faire des vas et viens de plus en plus vite. J’adorais cette sensation. Puis je le sentis se cambrer de toute ses forcesun flot de sperme se déversa dans ma bouche. J’avalais chaque goutte. Il se vida en moi et s’écroula sur le lit, totalement épuisé. Il respirait bruyamment. Je m’assis à califourchon sur lui, et l’embrassai dans le cou. Il appréciait. Il me prit dans ses bras et m’entraina sous son corps viril, me couvrant de caresses et de baisers. Il me déshabilla, et cette fois-ci, je n’avais pas peur. Au contrairej’avais envie de lui plus que jamaisje voulais lui donner encore plus de plaisir. Le désir nous enivraitla passion nous submergeait

-Angy ? dit-il, doucement.

-Oui ?

-Tu es sûr de toi ?

-Je le regardai droit dans les yeux, puis lui dit :

-Si c’est avec toi, je n’ai pas peurje t’aime Jonathandepuis toujours, je crois.

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