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Sharon, la chose de Cindy. – Chapitre 3




Suite à de nombreuses demandes, je vais détailler quelques unes de mes "aventures".

Les blondes.

J’étais dans la chambre de deux filles blondes et minces, qui avaient attrapé ma laisse en sortant de la cafétéria et dont je ne connaissais même pas le nom. On aurait dit des jumelles.

Attachée sur le lit, les jambes grandes ouvertes. Elles avaient décidé de tester dans mes orifices tous les objets qu’elles pouvaient trouver, n’osant pas essayer sur elles même plus gros que le manche d’une brosse à cheveux.

J’eus bien-sûr droit à la brosse, dans les deux sens et mes deux trous.

Elles venaient de commencer leurs expériences et j’étais déjà irritée presque au sang. Ça ne m’empêchait pas d’être excitée, et je mouillais comme une fontaine.

Elle ne parlaient pas, se chuchotant parfois à l’oreille.

Elles m’enfoncèrent des objets de plus en plus gros:

Des bougies de la taille d’un pouce, elles n’osèrent pas m’en mettre plus de vingt deux, treize dans mon vagin et neuf dans mon anus. Elles s’excitèrent tellement qu’elles jouirent sans se toucher.

Une des filles empila des coussins au bas de mon dos, me forçant à me cambrer. Puis elle m’enfila dans la chatte une bouteille de coca débouchée et le goulot en avant.

Lorsqu’elle fut bien enfoncée avec délicatesse, mais très profondément, elle restèrent un moment à admirer ce spectacle en se caressant mutuellement, leurs jus coulant le long de leurs cuisses bronzées. Mon vagin s’habituait doucement à cette énorme intrus.

Elles jouirent ensemble, toujours debout, agitées de spasmes si forts que la bouteille qu’elles tenait fermement en place dans ma chatte se mit à mousser, faisant gonfler mon ventre brutalement. Je crus que j’allais littéralement exploser.

Je pouvais voir mon ventre gonflé comme si j’étais enceinte.

Je jouis très fort, dans des contractions extrêmement douloureuses qui firent déborder un flot de mousse tout autour de la bouteille qu’elles profitèrent pour enfoncer encore plus loin dans mon utérus distendu.

La bouteille disparut dans mon corps, produisant encore de la mousse. J’allais mourir ici, dans une grande explosion!

Une des filles pinça violemment mon clitoris, ce qui me fit jouir instantanément, expulsant la bouteille de l’autre côté de la chambre dans un grand jet de coca et de mouille. Mon ventre ne s’arrêtait pas de pousser et j’eus peur que mes organes ne sortent par ma fente.

Je faisais des gargouillis et des bulles se formaient quand le gaz s’échappait de mon ventre explosé.

Elles étaient devant moi, chacune avait enfoncé deux doigts dans la chatte de l’autre et elles venaient de jouir encore une fois.

Un grand moment se passa sans qu’il ne se passe rien, chacune perdue dans nos plaisirs et nos frissons, hébétées.

Je revins à moi en sentant des doigts fouiller ma chatte, je n’ouvris même pas les yeux. Puis je sentis que toute sa main était entrée, mais je sentais encore des doigt qui s’infiltraient, et bientôt j’eus une deuxième main au fond de mon ventre. Mais cela ne leur suffirait pas, elle m’enfilèrent une troisième main, en forçant beaucoup.

Je jouis encore une fois, trempant leurs poignet de mon jus.

Elle me détachèrent et s’installèrent à genoux sur le lit, une de chaque côte. Comme un ballet bien réglé chacune saisit une de mes mains et tentèrent de se les introduire dans la chatte. Je les aidais en mettant mes mains dans la bonne position et je sentis que mes doigts entraient assez facilement dans leur vagins dégoulinants.

Elles étaient au maximum, mais seuls mes doigts étaient entrés. Elle restèrent ainsi, essoufflées quand l’une d’elle murmura quelque chose à l’oreille de sa copine, qui fut d’accord.

Elles me plantèrent à nouveau la bouteille dans la chatte, et quand elle fut au fond, elle se serrèrent dans les bras et prenant leur souffle elles s’assirent littéralement sur mes mains. Elles eurent un long gémissement et je sentis qu’elles réussissaient à s’empaler.

Leur vagins glissaient autour de mes mains et presque ensemble elles m’avalèrent jusqu’au poignet. Je les voyais s’embrasser avec fureur, leurs ongles plantés dans leurs épaules et elles explosèrent de plaisir, inondant à leur tour mes avant bras. Devant ce spectacle et les contractions qui massaient mes mains prisonnières, je jouis à mon tour, propulsant une nouvelle fois la bouteille contre le mur dans une grande giclée de jus.

Elles libérèrent mes mains ensemble dans un bruit mouillé et me firent nettoyer leurs chattes avec la langue, puis elles me léchèrent aussi, mais nous étions toutes trois trop épuisées pour jouir.

Toujours sans un mot, l’une d’elle me lança mon t-shirt et ma mini jupe.

Lorsque je fus "habillée", elles me remirent ma laisse et me poussèrent dans le couloir où attendait ma nettoyeuse, déçue et presque fâchée de ne rien trouver à sucer.

Merci pour l’intérêt que vous portez à mes fantasmes.

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