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Séverine, une mère de famille attentionnée… – Chapitre 2




Suite :

Je me place sur laccoudoir du canapé et écarte bien les jambes, lui exposant fièrement ma chatte humide. Hugo nhésite pas et menfile dun coup sa bite.

— Oooohh mon dieu ! Vas-y défonce moi ! lui hurlais-je alors quil commençait à me limer sérieusement.

Il ne répondit pas et se contentait de me baiser en menfilant à chaque fois ses 25 cm à fond. Je me sentais perforée de part en part et jadorais ça. Au bout de quelques minutes et apparemment lassé de cette position, il me fait mettre par terre, à quatre pattes, et me reprend, en levrette cette fois. Je voulais hurler en continu mais je me retenais car le voisin, dehors, aurait pu nous entendre.

Je sentais le plaisir monter sous ses coups de boutoir :

-Ooohh continue Hugo, je vais jouir !

— Déjà !!! Mais tu as jouis il y a 10 min dans la voiture !

— Aahhh et pas seulement. Je me suis aussi mmmhh masturbée au travail. Ohhhh oui ça vient !

— Au travail ?!?! Tu es vraiment une cochonne ! Et sur ces mots, il menfonce son pouce dans lanus.

-Hein, tes une cochonne ? Tu es même ma salope personnelle tu veux un deuxième doigt, salope ?

— Ooooohh, ce que tu veux, mais ne tarrête pas

Il menfonce alors son autre pouce, les incère bien profond et joue avec mon anus en lécartant. Ce massage anal couplé à la pénétration me déclencha un orgasme merveilleux et mes muscles se raidirent autour du sexe dHugo. Puis il se retire, et sans vraiment me demander mon avis, présente son gland devant mon anus. Cétait la première fois depuis lanniversaire que jallais me faire enculer et javais un peu peur. Mais jétais encore sous « leffet » de mon orgasme et le temps que je réagisse, son gland était déjà dans mon cul. Il lui fallu un peu de temps et quelques à-coups un peu brutaux, mais il réussit à mempaler à fond.

— OH PUTAIN ! Tu vas me déchirer le cul, Hugo !

— Que tu es vulgaire maman ! Tu deviens une vraie salope

— Oui, je suis ta salope ! Et toi mon salaud, ça te plait de menculer ?

— Je men lasserai jamais maman, je vais te défoncer le cul, te le déchirer, te lécarteler

Et pendant quil me sortait tous les synonymes signifiant que je nallais plus pouvoir massoir pendant 2 jours, il accélérait encore et encore, me limait le fion sans retenue, tapait contre mes fesses, se retirait jusquà la limite de sortir puis senfonçait encore entièrement avec ses 25 cm. Et sil ny avait que la longueur mon anus était aussi terriblement délatté par son diamètre. Javais mal, vraiment, mais, comme les fois précédentes, lexcitation de me faire prendre par mon fils, dans ce trou péché, lemportait !

— ton cul est grandiose, maman !

— Merci, mais finis vite, jen peux plus Hugo.

— Alors on change de position, je veux te regarder dans les yeux te faire enculer !

Il se mit alors sur le dos, me plaça à cheval sur lui et mencula à nouveau. Il me prit les fesses à 2 mains, les écartas et accéléra la cadence. Il me regardait droit dans les yeux alors que moi même je me concentrais pour ne pas défaillir tant la douleur commençait à être intense. Puis finalement je le vis grimacer et le sentit se répandre dans mon cul avec de grands râles.

Cest à ce moment précis que le grincement caractéristique dun bus qui freine se fit entendre non loin de la maison.

— Merde ! Les voilà déjà ! Cria Hugo en se retirant de mon cul

— Vite, rhabille toi et va dans ta chambre, je moccupe deux.

Il couru dans sa chambre avec ses habits sous le coude et me laissa seul dans le salon où jessayais, le cul remplis de sperme que je maintenais serré malgré la douleur, de rassembler mes affaires. Jenfile mon pantalon, remet mon chemisier et pose ma veste sur une chaise. Je nai pas le temps de me recoiffer que Théo et Chloé entrent dans la cuisine.

— Salut, mman ! Tes déjà là ?

— Oui jai quitté plus tôt, ça va ?

— Impec ! Hugo est là ? me demanda Théo

— Oui dans sa chambre, en train de jouer à la console plutôt que de faire ses devoirs je pense

— hé bin, je vais bosser avec lui alors, haha ! Théo quitte alors la cuisine et me laisse seule avec Chloé.

— Ca va maman ? Tes bizarre

— Non, ça va, jai eu une journée chargée.

— Ok fit-elle avec un air peu convaincu.

Puis elle alla dans le salon pour regarder la télé. Mais sur le chemin elle sarrêta net, se pencha et ramassa quelque chose : mon string ! Je devins immédiatement blanche comme une morte (de honte). Elle se tourna et me le montra en le tenant du bout des doigts

— cest à toi ça, quest quil fait là ??

— Oh. Je il a du tomber du panier à linge quand jai voulu faire une machine.

— Il est tombé dans la cuisine ? Alors que la machine est dans le garage et ne tourne pas, d’ailleurs

— Cest que.

— Maman, est-ce que tu trompes papa ?

— Quoi ? Non ! Absolument pas ! Je te dis quil est tombé du panier à linge !

— Alors je suppose que tu porte une culotte actuellement maman ?

— Heu évidemment

— Donc tu veux me la montrer pour me prouver que jai tord ?

— Je nai rien à te prouver du tout, jeune fille !

— Baisse ton pantalon, maman, et montre-moi ta culotte ! Sinon je dis tout à papa.

Jétais faite ! Elle allait découvrir que je venais davoir un rapport sexuel et le seul présent à la maison était alors Hugo. Tout était finit jétais livide. Les yeux baissés, je déboutonne mon pantalon et le baisse jusquà révéler mon sexe et labsence évidente de culotte.

— Jen étais sur ! Tu te fais baiser pendant que papa n’est pas là ! Sale pute !

— Je te jure que non, ma chérie, dis-je au bord des larmes. Cétaiten fait, je me suis juste. masturbée.

— Hein, répète ??

— Je suis rentrée plus tôt pour me masturber, Chloé. Jen avais envie

— Je ne te crois pas !

Elle savança alors vers moi et mis sa main sur mon sexe. Puis elle glissa un doigt dans mon vagin, fouilla bien profond et le ressortit. Moi, je ne disais rien, me laissait toucher par ma fille, espérant juste quelle croiserait ma version. Elle se lécha le doigt et dit :

— Mmmmh, je ne sens pas de sperme ou de lubrifiant à capote. Juste de la mouille. Bon admettons. Alors comme ça tu te branle dans la cuisine alors que ton fils est à létage ? dit-elle lair perverse et réintroduisant son doigt dans mon vagin

— Heu, oui Ton père est très absent et jétais . en manque. Quest-ce que tu fais Chloé ?

— Ta chatte est très belle et la mouille est délicieuse jai juste envie dy gouter !

— Mais tes folle !! Je suis ta mère ! Et jespère que tu nes pas lesbienne ??? Et puis comment tu connais le gout du sperme ??? Mais cest quoi ton problème, Chloé ?? hurlais-je dépassée par les évènements !

— Ne crise pas, maman Je menvoie des garçons mais jaime bien aussi mamuser avec les copines ! Disons que je suis un peu bi !

Mon dieu ! Il y a encore 2 semaines jétais une femme de droite, croyant en certaines valeurs et, sans être homophobe, lhomosexualité me dérangeait. Mais aujourdhui, javais des rapports avec incestueux avec mon fils et japprends que ma fille est bi et a plein de partenaires A 17 ans ! Ma vie seffondrait Mais cest vrais aussi quelle est superbe ma Chloé : brune, plus grande que moi, mince mais avec de belles formes, de beaux seins pour son âge, un petit minois et des lunettes qui lui donnaient un air dintello coquine. Une bombe pour la plupart des garçons !

Pendant que je me lamentais sur mon sort et pensais aux murs de ma fille, Chloé continuait de me doigter et je dois admettre quelle savait y faire.

— Tu as eu le temps de jouir, maman ?

— Comment ça ?

— Quand tu tes masturbé tout à lheure, tu tes fait jouir ?

— mmmmhh, non, vous êtes arrivés juste avant

— Alors je men occupe !

Elle me baissa alors le pantalon, me fit massoir sur un tabouret de la cuisine et me souleva une jambe. Elle commença à membrasser le sexe, le ventre, les cuisses et me disant que jétais superbe, et donna des petits coups de langue sur mon clito.

— Oh mon dieu Chloé, cest horrible ce quon fait ! Si tes frères descendent ?

— Ils jouent à la console ! Et puis, ils seraient contents du spectacle, vu le nombre de fois où ils essaient de me voir à poil Même toi, ils fantasment comme des malades sur tes gros seins, tu le sais ?

— Non, je ne savais pas Ooooh continue, cest excellent chérie !

Son cuni était divin, plus précis et délicat que ceux quHugo ou ces copains mont faits. Clairement, Chloé avec plus dexpérience en broutage de minou que son grand frère ! Elle agitait sa langue sur mon clito tout en me masturbant avec 2 doigts. Je gémissais de plaisir, lui tenais la tête dune main et me malaxait les seins de lautre. Je luttais pour garder mon anus serré car il était encore plein du sperme dHugo. Elle me fit jouir assez rapidement et avala les goutes de mouilles qui coulaient de mon vagin.

— Ça ta plu, maman ?

— Oui, cétait bien chérie très bien !

— jai hâte que tu men fasses un ! Pour voir comment tu ten sors avec une fille

Et avant de pouvoir répondre, elle quitte la cuisine et monte dans sa chambre, me laissant là jambes écartées, épuisée par mon quatrième orgasme de laprès midi. Je me rhabille et file au toilette où je peux enfin me délester de la semence de mon fils quelle quantité encore une fois ! Alors que mon anus se vide, je réfléchis aux évènements et je me dis que les douches avec Chloé après léquitation nallaient plus jamais être les mêmes Ni les après midi « devoirs » avec Hugo durant lesquels on est souvent seuls Javoue a posteriori avoir pleuré dans les toilettes.

A suivre…

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