Chapitre 33 : Plans à trois à tour de bras
Erika posa sa queue contre le vagin de Juliette. Les veines luisantes de lubrifiant ressortaient sous l’effet des reflets et rendaient le sexe plus épais encore que ce qu’il n’était déjà.
Sa mère l’observait avec un regard de biche, un sourire impatient étirant ses lèvres fines. Son trou se liquéfiait complètement sous la légère pression qu’appliquait la queue d’Erika sur son intimité.
-Prête à perdre ta virginité, ma chérie ? Fit Juliette en caressant langoureusement ses seins.
Erika jeta un regard complice à Morgane qui le lui rendit. Juliette n’était pas au courant que le sexe d’Erika avait déjà visiter un autre trou que le sien et avait même éjaculé dedans.
-Je ne rêve que de ça
La jeune adolescente frotta tendrement son sexe contre l’abricot suintant de sa mère. La respiration de celle-ci s’accéléra et elle pressa davantage ses seins au tétons durcis.
-Vas-y, supplia-t-elle dans un souffle.
Morgane avait expliqué à Erika les propriétés étonnantes de leur sperme et lui avait précisé qu’il faudrait mettre un préservatif si elle ne voulait pas mettre sa mère enceinte. La jeune fille entoura donc sa verge toute gonflée de cet humide latex puis la plaça contre le jardin secret de Juliette avant de pousser légèrement. Seul le gland entra et la maman ferma les yeux de bonheur en retenant un gémissement.
Morgane vint se coller contre le dos de sa fille et glissa sa queue contre la raie du cul de cette dernière.
-Ne torture donc pas ta mère ainsi, la réprimanda-t-elle coquinement tout en mordillant son oreille.
Morgane poussa et Erika sentit son sexe s’enfoncer dans les tréfonds d’une Juliette aux anges. Sa queue disparut bientôt dans les profondeurs de sa mère qui arborait une expression extatique.
-Oh oui ! Gémit-elle. Tu as une bite aussi agréable que celle de Morgane ! Alors ? Comment est l’intérieur de ta petite maman ?
Erika se coucha sur le torse de sa maman et souffla érotiquement :
-Divin.
Elle l’embrassa longuement en pelotant l’un de ses seins.
Lorsqu’elle s’était penchée en avant, Erika avait exposé ses fesses entre lesquelles Morgane avait passé sa propre queue. Quand sa fille se cambra de manière si érotique, Le sang de la jeune femme ne fit qu’un tour.
Elle parvint malgré tout à faire taire la bouffée de désir qui la submergea et elle s’agenouilla de façon à avoir le derrière de sa fille juste devant ses yeux. Sans prévenir, elle pourlécha fiévreusement toute la raie d’Erika.
-Ouah ! S’exclama celle-ci en relevant vivement la tête.
Elle tourna son regard vers Morgane qui agitait follement sa langue dans son anus. Elles s’observèrent par-delà la paire de fesses et se sourirent tendrement.
Morgane, la bouche toujours collée contre le cul de sa fille chérie, s’empara du bassin de cette dernière et y appliqua un lent mouvement de va et viens. Pendant ce temps, sa langue farfouillait insidieusement tous les recoins obscurs et moites de l’anus de sa fille.
Erika sentit sa queue frotter les parois bouillonnantes de sa mère et mordit à pleine dent l’un de ses seins pour faire taire ses gémissements.
-Mmh ! Geignit Juliette et pressant la tête de sa fille contre sa poitrine. Oui, ma belle ! C’est bon !
Erika adorait sentir son anus se faire fouiller de la sorte. Morgane était une véritable experte et sa langue entrait et sortait comme si elle connaissait les lieux par cur. La jeune fille sentait l’appendice mou et humide écarter ses parois intimes et s’enfoncer divinement en elle.
Au bout d’un moment à ce rythme délicieusement lent, Morgane se releva et posa son imposante verge sur le cul encore inviolé de ladolescente en chaleur. Erika lui lança un regard incertain : Morgane avait tout de même un énorme sexe. Son cul allait se faire littéralement déchirer !
-Attends émit-elle péniblement.
Mais Morgane n’en fit rien. Elle poussa résolument et sa queue pénétra impunément ce territoire encore inexploré. Erika se cambra et se sentit pousser en avant. Son sexe s’enfonça davantage dans le doux vagin de sa mère qui gémit intensément :
-Aaah oui ! Ta queue est énorme, Erika ! Mmh j’adore !
-Oh mon cul, putain ! S’écria la jeune fille en enfouissant sa tête dans le cou de Juliette. Il est plein à craquer ! C’est trop bon ! C’est trop bon, maman !
Morgane poussait toujours et elle admirait son sexe lentement disparaître dans le petit cul de l’adolescente. Elle sentait l’anus s’ouvrir largement sous l’imposante pénétration. Finalement, son bassin heurta les fesses fermes d’Erika.
-Ma chérie ! S’extasia Morgane. Tu peux m’accueillir entièrement ! Et qu’est-ce que ton cul est étroit ! Il est si serré que j’ai l’impression qu’il va me couper la bite !
-Moi, mon cul est si rempli que j’ai l’impression qu’il va exploser ! Répliqua la jeune fille du tac-au-tac. Ta queue est vraiment grosse !
-Je sais, sourit fièrement Morgane.
Elle se retira, toujours avec cette lenteur pareille à une délicieuse torture. Après s’être sentie remplie comme jamais, Erika eut l’impression de se vider entièrement. Cette absence de queue en elle lui fut presque insupportable. Elle poussa immédiatement son cul vers Morgane en gémissant de bonheur. En faisait cela, son propre sexe s’évada du vagin dégoulinant de cyprine de sa mère qui souffla bruyamment.
-Oh c’est trop bon, s’écria la jeune fille tandis qu’elle s’empalait sur la hampe brûlante de Morgane.
-Reviens, ma chérie ! Supplia Juliette. Remet ta grosse bite en moi !
La jeune fille s’exécuta sans réfléchir : elle s’enfonça à nouveau dans les tréfonds de sa mère ce qui fit que son anus racla divinement la verge de Morgane sur toute la longueur.
Les trois femmes crièrent sans retenue. Erika, prise d’une irrésistible frénésie sexuelle, se mit à effectuer des mouvements de va et vient entre ses deux génitrices. À chaque coup de bassin, son sexe perforait délicieusement le petit trou de sa mère et à chaque fois qu’elle revenait en arrière, elle s’embrochait profondément sur l’énorme pilier de chair de Morgane.
-Oh c’est bon ! C’est trop bon, putain !
Erika poursuivit longuement ces allers-retours, se faisant ainsi sodomiser par Morgane tout en baisant sa mère. Les gémissements des trois femmes résonnaient dans la pièce en un concert orgasmique.
Jusque-là, Morgane avait tenté de faire le moins de mouvement possible et avait laissé sa fille s’enfoncer sur son sexe. Elle n’avait fait que contempler avec émerveillement l’anus d’Erika avaler goulûment son membre veiné avant de le recracher fiévreusement. Mais là, c’était trop ! Le plaisir était bien trop intense pour lui résister. Elle agrippa fermement les hanches de la jeune fille et se mit à la pilonner violement !
-Aaah ! Hurla cette dernière qui se sentit projeté contre sa mère. Mon cul ! Putain Ah c’est bon ! Oh Mmh mon Dieu ! Tu m’exploses Aah Tu m’exploses la rondelle !
-Oh oui, je t’encule ! S’exclama Morgane en soufflant sous l’effort. Tu sens ma queue qui remue tes intestins ?
-Oh Oui ! Ah Putain, c’est Bon ! C’est bon !
-Baise ta petite maman ! Fit Juliette en enlaçant fougueusement sa fille. Je veux sentir ta bite tout au fond de moi, Erika !
-Mais Mmh J’essaie ! Bégaya cette dernière sous la violence des coups de boutoirs. Ouah Mais Morgane me Mmh déchire le cul ! Et qu’est-ce que Oh putain Qu’est-ce que j’aime ça !
-Tu aimes ça ? Répliqua Juliette en s’emparant insidieusement des douces fesses de l’adolescente. Moi, je crois que Morgane n’y va pas assez fort
D’un geste brusque, elle écarta les deux fesses fermes d’Erika, dévoilant un trou du cul martyrisé. Morgane s’enfonça juste à ce moment-là et perfora la jeune fille plus profondément encore que les précédentes fois.
-Aaaah ! Hurla l’adolescente en se cambrant.
Juliette en profita pour croquer avidement l’un des seins d’Erika qui se balançait devant elle.
-C’est si bon ! Eructa la jeune femme enfouie entre les reins de sa fille.
-Tu vas déchirer mon cul ! Gémit la jeune fille, aux anges. Continue !
-Avec plaisir, souffla Morgane en reprenant son pilonnage.
-Alors, tu aimes toujours autant ? Susurra narquoisement Juliette à l’oreille de sa fille.
Erika eut toutes les peines du monde à répliquer tant Morgane lui défonçait l’anus mais elle parvint malgré tout à articuler :
-Toi Ouah cette bite dans mon cul ! Toi, tu ne paies rien Oh putain pour attendre
-C’est quand tu veux, sourit malicieusement Juliette.
Erika recula autant que les coups de boutoirs de Morgane le lui permirent. Sa queue était maintenant juste à l’entrée du trou de sa mère, comme le canon d’un fusil dirigé contre le front de l’ennemi. La jeune fille qui se faisait royalement sodomisée planta ses yeux d’un noir intense dans ceux de Juliette qui brillaient toujours de cette espièglerie. Erika ne voulait qu’une chose : ôter la malice de ce regard.
Elle poussa de toutes ses forces et avec toute la hargne dont elle disposait !
L’expression de sa mère changea du tout au tout. Elle ouvrit de grands yeux étonnés et s’agrippa fermement au cou de sa fille en criant comme une démente :
-Aah je jouis ! Je jouiiiiiiiis !!
Elle fut prise de violents spasmes qui secouèrent son corps pendant de terribles secondes. Erika sourit victorieusement mais elle n’en avait pas fini, loin de là. Et se mise à pilonner sauvagement le corps tremblant de sa mère.
Son sexe rentrait et sortait impitoyablement dans le vagin de Juliette qui criait de plus belle et suppliait qu’elle arrête. Mais la jeune fille n’entendait rien et perforait férocement la jeune femme saisie d’un puissant orgasme.
-C’est trop ! C’est trop ! Hurlait celle-ci.
-Aah, je vais jouir aussi, s’enflamma Morgane.
-Aah ! Erika, arrête ! Arrête ! Hurla Juliette qui comprimait sa fille contre elle. Aaah mon Dieu !
-Oh maman ! C’est trop bon !
La jeune fille se régalait de l’expression ahurie de sa mère et s’enfonçait plus encore en elle. Erika était aux anges. Alors qu’elle limait violemment Juliette, Morgane perforait toujours son cul en feu et elle n’y allait pas de main morte !
-Je vais jouir, ma belle ! Ton anus est trop bon !
-Vas-y, Morgane ! Je vais jouir aussi ! Oh, le vagin de maman comprime ma queue !
Morgane agrippa puissamment les fesses de l’adolescente et l’encula encore quelque fois en poussant le plus loin possible à chaque pénétration avant d’être emportée par l’orgasme tant attendu.
-Oh je jouis, Erika !
Morgane se déversa dans les tréfonds de sa fille en feulant de bonheur. Cette dernière bourrait toujours Juliette qui était devenue rouge sous le coup de son orgasme.
-Ah je t’en prie, Erika ! C’est trooop !
L’adolescente s’enfonça encore quelques fois, branlant de son anus plein de foutre la queue de Morgane avant de jouir à son tour.
-Aah je jouis, maman !
-Oui mon bébé ! Viens !
Erika éjacula une grande quantité de semence qui fut stoppée par le préservatif.
Les trois femmes restèrent emboîtées l’une dans l’autre pendant un moment, le temps de reprendre leurs esprits. Finalement, Morgane sortit du cul de sa fille et alla se désaltérer. Lorsqu’elle revint, Juliette et Erika étaient toujours enlacées, leurs halètements se mélangeant étroitement. Elle détailla avec un sourire lubrique leur corps perlé de sueur. Le cul d’Erika tendu vers elle débordait de son foutre qui coulait le long de la raie en fines gouttes blanchâtres.
Son sexe se dressa lentement face à ce superbe tableau. Elle saisit un préservatif sur la table de chevet, le mit sur sa queue déjà fièrement dressée et se tourna vers Erika et Juliette qui n’avait rien remarqué. Elle se positionna contre le cul de sa fille et se pencha contre son oreille :
-Mais j’y pense, susurra-t-elle, tu es toujours vierge, ma belle.
-Hein ? Fit Erika en ouvrant un il endormi. De quoi tu
Morgane poussa en soufflant avec jubilation
C’est Simon qui, le lendemain, découvrit Cindy et Claire dans le même lit. Il était entré dans la chambre de Claire en s’attendant à trouver celle-ci endormie mais quelle n’avait pas été sa surprise de voir les deux jeunes surs enlacées dans le même lit. Il en avait presque lâché sa mallette.
-Mais qu’est-ce que vous avez fait ? Demanda-t-il en approchant.
Les deux filles ouvrirent des yeux lourds de fatigue. Elles balayèrent instinctivement la pièce du regard avant de s’observer l’une l’autre. Peu-à-peu, Cindy prit conscience de la situation.
-Oh mon Dieu Souffla-t-elle en mettant sa main devant sa bouche. Qu’est-ce que j’ai fait ? Je je ne voulais pas J’ai
Claire, plus déterminée que sa sur, releva la tête avec défi :
-On l’a fait.
-Je ne suis pas stupide, je le vois bien ça, répliqua Simon avec humeur. Vous ne vous rendez pas compte de ce que vous venez de commettre.
-Comme si toi, tu le savais. Fit Claire en haussant dédaigneusement les épaules.
Le chercheur fut décontenancé pendant une seconde avant de répondre avec énervement :
-Mais justement ! Même moi je ne connais pas la portée de l’acte que vous venez de faire ! Cela pourrait avoir des conséquences inimaginables.
-Oui ça pourrait ou peut-être pas, qui sait ?
Mathilde et Eugénie entrèrent dans la pièce.
-Que se passe-t-il, ici ?
Simon leur désigna d’un coup de menton les deux filles nues dans le lit.
-Claire, Cindy ! Vous l’avez fait ? S’exclama Mathilde. Vous ne pouviez pas attendre que l’on vous dépucelle ?
-Non, sourit Claire.
-Simon, je te promets que je ne l’ai pas fait exprès, s’excusa Cindy. C’était plus fort que moi je
-Arrête de t’excuser, la réprimanda sa sur en venant s’appuyer contre son dos. On a fait ce que nos corps nous dictaient de faire.
-Oh non, non, non, gémit Simon en se mettant à faire les cent pas dans la chambre. C’est une catastrophe. Ça pourrait engendrer beaucoup de complications inconnues.
-Comme quoi ? Demanda narquoisement Claire.
-Eh bien je ne sais pas comme
Simon s’arrêta subitement.
-Claire, demanda-t-il avec lenteur. A-tu joui en Cindy ?
L’interpellée se mordit la lèvre de façon penaude tandis que Cindy baissait piteusement la tête. Simon ferma les yeux et se pinça l’arête du nez en signe de désespoir.
-Oh non ! Qu’est-ce qui va se passer maintenant ? Questionna-t-il, complètement perdu. Bon, Cindy, descend avec moi au labo, il faut absolument que je t’examine dans les plus brefs délais.
Le scientifique et la jeune fille allèrent au labo alors que Mathilde et Eugénie fusillaient Claire du regard.
-Quoi ? fit cette dernière.
-On en reparlera plus tard, jeune fille, soupira Claire. Sinon, comment s’est déroulé ta transformation ?
-Ma quoi ?
-Oh c’est, vrai. Simon ne t’a pas encore expliqué.
Mathilde narra brièvement ce que le chercheur leur avait raconté la veille sur le corps des jeunes filles. Comment se déroulait la transformation, les changements,
-Je comprends mieux maintenant, sourit Claire.
-Quoi donc ? Questionna Eugénie.
La jeune fille souleva les draps et dévoila son corps nu ainsi que ses deux queues qui reposaient paisiblement entre ses cuisses. Les yeux des mamans s’agrandirent de stupeur. Claire ne sut pas si c’était le fait de se faire contempler ainsi ou bien la fierté que lui inspirait ses deux nouveaux sexes, mais ceux-ci se mirent à croître doucement et par à-coup.
Mathilde et Eugénie lancèrent un regard ahuri à la jeune fille et retournèrent à leur contemplation béate.
-Je ne sais pas trop comment m’en servir, minauda Claire. Vous voulez bien m’apprendre ?
Les deux mamans échangèrent un rapide coup d’il et approchèrent de l’adolescente en chaleur en déboutonnant leur chemisier.
