CHAPITRE 7: Première punition

Nina est rentrée vers 17 heures à l’appartement. J’étais dans le salon, en train de lire un livre, et sans que j’ai à lui demander quoi que ce soit, elle est venue se poster face à moi, le regard baissé.

_ Tu m’as désobéi ce matin, lui ai-je dis sans lever les yeux de mon livre.

_ Oui, je suis désolée, m’a-t-elle répondu d’une petite voix.

_ Je t’avais dis de jouir, tu ne l’as pas fait dans les temps. Je ne peux visiblement pas compter sur toi!

_ Désolée

_ Arrête d’être désolée, ça ne changera rien à ce qui va t’arriver. Tu sais ce qui va t’arriver, n’est-ce pas ?

_ Je vais être punie ?

_ Bien vu. Déshabilles toi et mets toi à genoux.

Nina s’est déshabillée sans sourciller, mais à son visage fermé, je comprenais qu’elle redoutait énormément ce qui allait se passer après. Quelque chose me disait qu’elle avait pensé à ça depuis mon départ de la fac. Peut-être même avait-elle imaginé comment allait se dérouler la punition. Peut-être même qu’elle espérait certaines choses. Quoi qu’il en soit, c’était à moi d’en décider, et alors qu’elle s’était agenouillée, comme demandé, je me suis levé pour récupérer un grand sac plastique sur la table du salon.

_ J’ai dû aller faire quelques courses, lui ai-je dis en retournant m’assoir face à elle. Oh je te rassure, j’aurais dû les faire à un moment ou à un autre, ces courses. Mais ça tombait bien.

Du sac, j’ai d’abord sorti un collier. Un simple collier en cuir noir, pas très épais pour éviter d’être trop voyant, avec un anneau métallique au centre. Bien sûr, ce que j’ai sorti en suite, ça a été la chaîne qui faisait office de laisse.

_ Tu veux être ma chienne, ai-je dit en attachant le collier autour du cou de Nina, c’est même toi qui me l’as dit. Pourtant tu n’as pas l’air de l’assumer tant que ça. Mais tu peux me croire, bientôt tout le monde le saura.

J’ai ensuite attaché la laisse, et ai tiré Nina vers moi pour caresser sa joue.

_ Tu vas être encore plus belle, comme ça.

J’ai tendrement embrassé son front avant de fouiller à nouveau dans le sac pour en sortir un bâillon-boule. Je n’ai pas eu à demander quoi que ce soit, Nina a ouvert la bouche, et j’ai pu placer la boule dans sa bouche avant de refermer le lanière en cuir derrière sa tête. Je lui avait choisi un modèle rose pétant, pas trop gros pour commencer, mais suffisamment tout de même pour qu’elle ressente une vraie gêne. Enfin, j’ai sorti un plug du sac. Là non plus, ce n’était pas le modèle le plus gros, loin de là, mais c’était apparemment assez gros pour Nina, qui m’a regardé en écarquillant les yeux.

_ Retournes toi, et écartes tes fesses.

Nina s’est exécutée et s’est retrouvée à genoux, penchée en avant, me présentant fièrement son derrière. J’ai craché un peu de salive sur son anus puis ai posé l’objet métallique dessus. A peine avais-je poussé que j’entendais Nina serrer les dents. Une première, puis une deuxième claque, sont tombées sur son cul.

_ Je te rappelle que c’est une punition! Et tu peux encore t’estimer heureuse, c’est loin d’être un gros modèle.

Certes Nina n’était pas encore trop habituée aux pénétrations anales, mais j’ai fini par pousser l’objet, de six ou sept centimètres de long pour trois ou quatre au plus large seulement, au fond de son étroit conduit. Ne restait dehors que le bout, un faux bijou, aussi rose que son bâillon. Je lui ai mis une nouvelle fessée et je me suis levé en tirant la laisse. Je lui ai fait faire le tour de l’appartement, à quatre pattes, nue, humiliée. Quand j’ai estimé qu’elle était habituée à marcher comme ça, j’ai attaché la laisse à la poignée de la porte d’entrée en lui ordonnant de m’attendre ici. Je suis allé fouiller dans sa chambre, et suis revenu avec une robe assez légère, que je lui ai jetée dessus.

_ Enfile ça, on sort.

Nina m’a regardée à nouveau avec cet air de chien battu, suppliante, apeurée. Et à nouveau, je l’ai regardée avec un air de « je me fiche de ce que tu penses ». Elle a mis sa robe, puis un manteau et ses chaussures, et j’ai ouvert la porte.

_ A quatre pattes jusqu’à ce qu’on soit dans la rue, lui ai-je ordonné.

C’est donc avec ma chienne à mes pieds que j’ai pris l’ascenseur puis traversé le hall de l’immeuble. Il n’était pas encore trop tard, et n’importe qui aurait pu rentrer à cette heure-ci. J’imaginais le vieux voisin du quatrième, avec son air libidineux, découvrant la jeune et jolie Nina rabaissée à sa condition de chienne. Il aurait fantasmé un moment avec cette image, le vieux. Mais nous n’avons croisé personne. Dans la rue, il faisait déjà sombre, mais j’ai autorisé Nina à se relever. Je ne voulais pas créer d’attentat à la pudeur. Pour autant, je ne l’ai pas autorisée à retirer le bâillon de sa bouche, la forçant à avancer tête baissée pour ne pas être vue et dévisagée. Pendant près de dix minutes, j’ai marché, assez vite, l’obligeant à accélérer le pas pour pouvoir me suivre, jusqu’à l’un des petits parcs du quartier. Ce n’était pas très grand, mais c’était sombre, et soit-disant mal fréquenté. Une fois à l’écart de la lumière des réverbères, j’ai attrapé la laisse de Nina, qu’elle cachait jusque là sous son manteau.

_ Donne moi ta veste et à quatre pattes.

Nina a regardé un peu partout autour d’elle, puis a retiré son manteau et s’est mise à quatre pattes devant moi. J’ai alors remonté sa robe, très haut sur son dos, et nous avons fait un tour. Nina avait clairement du mal à avancer, le gravier devait lui déchirer les genoux. Mais c’était la punition, et elle l’assumait, j’en étais sûr. Je l’ai tirée jusqu’à un banc, au milieu du parc. Le plus éloigné possible de la rue et de la lumière. Une fois assis, je lui ai dis de venir se mettre à plat ventre sur mes genoux. Nina ne s’est pas faite prier et s’est mise en position. Les fessées étaient d’abord plutôt lentes. Une fesse, puis une autre, puis encore la première, et caetera. Nina se cramponnait à mon genou, ou bien au banc, ça dépendait des coups reçus. Parfois, je m’arrêtais pour aller titiller sa fente. J’enfonçais un ou deux doigts en elle, au plus profond possible, avant de la claquer à nouveau. Je ne pouvais pas vraiment voir la couleur de sa peau, mais je pouvais sentir la chaleur qui en émanait. Je la devinais bien rose, presque rouge. Nina gémissait, je l’entendais malgré le bâillon. J’ai continué un court instant, puis je l’ai attrapée par les cheveux pour la faire se lever, puis je l’ai faite allonger sur le banc, tête pendante. Alors que d’une main je retirais son bâillon plein de bave, de l’autre j’ai défais ma ceinture et sorti mon sexe. Immédiatement, Nina a ouvert la bouche, et j’ai glissé en elle, jusqu’à entrer entièrement dans sa gorge, jusqu’à ce que mes bourses s’écrasent contre son nez. Nina s’est mise à tousser, et a tourné la tête pour échapper à mon membre, relâchant par la même occasion une belle quantité de salive sur son visage. Et puis j’y suis retourné, et j’ai commencé à lui baiser la bouche, pour de vrai. Elle s’étouffait, bien sûr, mais je la tenais fermement et continuais à aller et venir dans sa bouche comme si ça avait été son vagin. Je la tenais fermement par la gorge, ce qui était plutôt drôle puisque je pouvais sentir mon sexe la déformer. De mon autre main, je claquais tantôt ses seins, tantôt son sexe. Parfois je me retirais, pour la laisser respirer, et cracher. Son visage était recouvert de bave, un vrai massacre. Et je crois que c’est ça, aussi, qui a précipité ma jouissance. Quand j’ai senti la sève monter, je me suis enfoncé au plus profond de sa gorge. Nina a toussé, essayé de me pousser, mais je ne me suis retiré que lorsque j’ai commencé à éjaculer. La première giclée est allée directement dans son sophage, puis j’ai largué le reste sur son visage. Je me suis ensuite retiré et j’ai regardé mon « uvre » avec un peu de recul. Nina avait une tête effroyable, les cheveux dans tous les sens, le visage recouvert de foutre et de bave. J’aurais pu m’arrêter là, l’humiliation avait assez duré. Surtout que nous devions faire le chemin du retour à pieds, et je n’avais rien prévu pour l’essuyer. Mais il y avait quelque chose que je voulais la voir faire avant de rentrer.

_ On va rentrer, mais d’abord je veux que tu pisses ici, comme la chienne que tu es.

Nina s’est assise sur le banc, se remettant doucement de ses émotions. Elle n’a pas osé bouger pendant quelques secondes, je pense qu’elle ne s’attendait pas à un tel ordre de ma part. Mais j’avais envie de casser toute barrière en elle, et ce genre de situation faisait partie du processus. Sous mon regard insistant, Nina s’est accroupie à côté du banc, cuisses écartées. Mais je l’ai attrapée par les cheveux pour la tirer en avant, lui rappelant qu’une chienne doit être à quatre pattes. J’ai dû attendre une minute qu’elle se concentre, avant d’entendre le bruit de son jet d’urine sur le gravier. Je ne l’ai pas lâchée des yeux. J’imaginais bien à quel point ça devait être humiliant pour elle. Et moi, ça m’excitait. Avec mon autorisation, Nina s’est ensuite relevée, et avait l’air plus mal à l’aise à l’idée de s’être pissé un peu sur les cuisses, que d’avoir le visage encore recouvert de sperme.

_ Je crois qu’il est temps de rentrer, lui ai-je dis en la prenant dans mes bras. J’espère que cette première punition te servira de leçon, et que tu ne me désobéiras plus.

_ Oui, je ferai de mon mieux, c’est promis.

J’ai alors essuyé un peu son visage avec sa robe, avant de la réajuster, et nous sommes sortis du parc. Une fois à l’appart, j’ai pris soin d’elle. Nous avons pris un bain, puis nous avons mangé tous les deux sur le canapé devant un film. Et c’est Nina qui a insisté pour garder le plug dans son anus.

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