Le lendemain mon réveil sonna et à peine lavais-je coupé que jentendais la porte dentrée se refermer sur Brigitte qui partait en cours, jattendis quelques minutes que je passais à écouter les bruits de la maison, aucun bruit ne parvint à mes oreilles, je décidais dattendre un peu pour me réveiller complètement. Sentant que jétais en forme, je commençais à me caresser distraitement en pensant à ce week-end qui sannonçait assez chaud avec la venue le lendemain de Gaston et Germaine, et de la journée qui commençait et pendant laquelle je savais déjà que jallais commencer par prendre une douche durine de la part de Jeanine et quensuite jallais retrouver Marianne et Fernand pour raser ce dernier, et qui ne sarrêterait certainement pas à une simple séance de rasage, et franchement je lespérais, du coup, mon érection se développa rapidement pour arriver à son maximum.
Je me levais, je venais dentendre du bruit sur la terrasse, pensant que Jeanine y buvais son café, jouvrais la porte-fenêtre de ma chambre qui donnait sur la terrasse, puis les volets en bois et jeus la surprise de trouver face à moi Jeanine, nue assise dans un fauteuil quelle avait placé en face de la porte-fenêtre, une de ses mains entre ses cuisses et un doigt se promenant sur sa fente, son autre main tenant un bol quelle portait à ses lèvres, je restais bouche bée « bonjour mon poussin, humm, bien réveillé je vois et en grande forme, viens me faire un ptit bisou tout de suite », alors que je faisais un pas en avant, elle me stoppa « non, à genoux comme il se soit pour une sous merde sur laquelle je vais me vider la vessie, et comme jen suis à mon troisième bol, je te jure que tu vas prendre ta dose ma ptite lopette, comme dit ton ami Gaston », je me mis à genoux et mavançais vers elle, elle écarta encore ses cuisses en disant « lèches mon minou, petite salope, jai envie que tu me fasses jouir avant de pisser », alors que je ne bougeais pas, elle se pencha en avant et me balança une claque magistrale « jai dit lèches saloperie, bouffes moi la chatte, dépêches toi dobéir, sinon, je mets une fessée à ton ptit cul de salope », les larmes coulant sur ma joue, je mempressais de faire ce quelle me demandait, et comme elle était déjà bien excitée du fait de ses caresses il ne lui fallut que quelques minutes pour couler sur ma langue en hurlant son bonheur de jouir, je me dis que Marianne allait pouvoir me poser des questions et quelle et Fernand devaient être déjà sur leur terrasse à écouter les bruits environnants.
Jeanine : « putain que cest bon, tu me fais le même effet à chaque fois, jadore sentir ta langue me fouiller la chatte, viens suis moi sur la pelouse, pas envie de laisser des traces sur la terrasse, et à genoux bien sur petite salope ».
Je fis ce quelle me demandait et la suivait jusquà ce quelle sarrête « allonges-toi sur le dos et relèves tes jambes en mettant tes mains derrière tes genoux » jobéis à nouveau « voilà, cest bien, on dirait une chien qui attend quon lui caresse le ventre » et elle passa un de ses pieds sur mon ventre, le caressa avec puis descendit vers ma queue en érection, posa son pied dessus en la collant à mon ventre et appuya un peu plus fortement, puis elle posa son pied juste sous mes fesses et samusa à me soulever les couilles avec ses orteils, « eh ben dis donc, ma ptite salope, le sac est bien plein on dirait, il va falloir vider ça, puis elle se décala sur le côté, et passant une de ses jambes par-dessus mon corps saccroupit en disant « ouvres bien la bouche lopette, tu vas boire ma pisse et je vais finir en ten mettant partout comme hier, ensuite, tu vas messuyer avec ta langue et il ne faudra rien oublier bien sur » et elle comme la veille elle ouvrit les vannes de sa vessie et commença à me pisser dessus, le premier jet cingla une de mes joues, puis bougeant légèrement, Jeanine mit le second directement dans ma bouche ouverte et me remplit rapidement au point que je suffoquais et dû déglutir et avaler le liquide chaud et odorant que javais dans la bouche, puis se reculant un peu, elle finit de se vider sur mon torse.
Quand les dernières gouttes furent tombées, Jeanine avança juste au-dessus de ma figure, saccroupit, me colla sa fente sur la bouche et me dit « essuies saloperie, essuies la pisse de ta tata que tu adores, essuies bien ma ptite chatte et ensuite tu en feras autant avec mon cul, je veux ta langue partout, lopette, tu mentends, partout, jusquà ce que je jouisse, tu nes bon quà ça, mobéir et me faire du bien, comme un bon toutou à sa maîtresse, tu sais que ce connard de Bernard ne ma jamais fait ça, il se contente de me branler le bouton, quand il le trouve, de menfiler un ou deux doigts dans la chatte et de me branler avant de me baiser, je ne savais pas quon pouvait jouir autant avec une langue, tu es un bon ptit chien qui va faire du bien à sa maîtresse, et je vais en profiter jusquà ce que tu partes ma ptite lopette, si cest vraiment bien tu auras une récompense ».
Je mappliquais et réussis à la faire jouir 3 fois avec ma langue, elle hurlait son plaisir à chaque fois, au bout de la troisième fois elle sappuya en arrière sur ses mains remonta un peu son bassin et cest son anus quelle présenta devant ma bouche en disant « bouffes mon ptit salaud, puisque tu aimes lécher, bouffes mon ptit trou, nettoies le bien avec ta langue, comme le bon ptit chien que tu es », jétais dans un état pas possible, entre ses paroles depuis le début et le fait de lavoir fait jouir avec ma langue puis maintenant de lui dévorer lanus, mon érection était à son maximum et commençait même à être douloureuse, je lui obéissais rapidement en espérant quaprès jaurais le droit de la baiser voir même de lenculer, jen avais vraiment très envie.
Rapidement Jeanine se mit à gémir sous mes coups de langue et son plaisir sécoula de sa chatte sur mon front, puis mes joues, jen avais partout alors quelle hurlait à nouveau, quune langue dans le cul valait toutes les meilleures choses du monde. A bout dun moment, ses bras ne la tinrent plus, elle me dit « stop lopette, arrêtes, maintenant il va falloir te nettoyer pour aller chez les voisins » je la regardais puis baissais mes yeux sur mon érection et lui dis « ben tu vas pas me laisser dans cet état quand même », la claque arriva sans que je la vois venir « ta gueule saloperie, je fais ce que je veux, et pour linstant je vais te nettoyer partout avec le jet, ne bouges pas » et prenant le tuyau darrosage elle le régla en tournant la tête de sortie sur puissance moyenne et commença à le passer sur mon torse, puis sur ma figure ce qui me fit suffoquer, ensuite elle descendit et le passa sur ma queue qui commençait déjà à débander puis me cingla les couilles avec le jet deau, elle dirigea le jet vers la pelouse et dit « à quatre pattes comme il sied à un chien normal, saloperie » je fis ce quelle me demandait et le jet vint directement cingler mes fesses, ma raie et elle termina par mon anus sur lequel elle resta plus longtemps, puis coupant leau, elle me dit « allez va déjeuner ensuite tu files aider Fernand et tu fais vite car quand tu reviens je moccupe à nouveau de ma ptite lopette », puis elle alla se rasseoir dans son fauteuil finit son bol de café, pris le livre qui était sur la table louvrit et se mit à lire.
Jallais me chercher un bol et des tartines, et revint sur la terrasse, alors que jallais masseoir, elle baissa son livre et dit « à genoux saloperie, comme un toutou, tu vas bouffer par terre » et elle reprit sa lecture alors que docile je lui obéissais.
Quand jeus finis mon déjeuner, je partis prendre une douche et avant de partir jallais la prévenir, elle ne leva même pas les yeux de son livre pour me dire « cest ça, va jouer les esclave chez eux et reviens vite me prouver que tu es à moi, aujourdhui tu vas obéir comme un bon ptit chien, ou comme une bonne petite pute que tu es », je lui répondis « oui, tata » et je partis pour rejoindre Marianne et Fernand qui navaient pas dû sembêter depuis une bonne heure.