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La bourgeoise et ses amants. – Chapitre 2




Mon mari François est un fieffé coquin qui se plaît à faire de moi une bourgeoise salope dédiée aux plaisirs des hommes. C’est lui qui m’incite à raconter mes aventures sur ce site tandis que lui, en parallèle, publie quelques annonces érotiques sur un site libertin en vue d’être le maître organisateur de certaines de mes rencontres débridées. Il y participe régulièrement mais, parfois, il m’oblige à aller seule aux rendez-vous qu’il a lui-même arrangés pour moi. Je dois bien sûr ensuite lui faire un fidèle compte-rendu de la rencontre et il vérifie par la suite avec mon amant du jour que je me suis bien comportée. C’est ainsi que la semaine dernière, il m’annonce que je vais devoir aller passer une soirée à l’hôtel. Il me précise simplement qu’il s’agit de rencontrer Pierre, un jeune homme corse de 26 ans et qui est de passage sur Paris pour quelques jours. Mon mari me précise que ce jeune homme est encore puceau, même s’il a eu quelques copines, et que je dois remédier à la situation.

Le jour fixé, vers 20h30 alors que je me prépare pour aller à mon rendez-vous galant, François me précise alors qu’il a convenu avec Pierre que je serai en lingerie sous mon manteau, prête à satisfaire ses envies. Pour bien exciter mon mari qui va rester à la maison pendant que je serai livrée à cet inconnu, je décide de mettre ma lingerie la plus excitante. A 20h45, je saute dans le uber qui m’attend en bas de chez moi et je prends la direction de l’hôtel où doit m’attendre impatiemment ce jeune puceau. Comme organisé par mon mari, sans me présenter à la réception, je me dirige vers l’ascenseur et monte au 3ème étage puis je me dirige vers la chambre 307. Je retiens mon souffle, frappe deux petits coups à la porte et voilà qu’on m’ouvre. Pierre me fait entrer dans la pièce et je remarque qu’il a fait en sorte que la lumière soit tamisée ; c’est propice à de beaux jeux érotiques. Il a eu la gentillesse de commander une bouteille de champagne et deux verres. Je le devine un peu intimidé et je me décide de prendre les choses en main comme une véritable escort girl. Toujours en manteau, je lui demande de se mettre à l’aise. Il se déshabille et je remarque alors qu’il bande déjà comme un taureau, pourvu qu’il ne soit pas trop rapide. Je nous sers deux coupes de champagne et je lui tends la sienne. Assis sur le lit, nous trinquons à cette belle soirée que nous allons passer ensemble. Puis me je lève et je lui demande s’il peut m’aider à retirer mon manteau car il commence à faire un peu chaud. Il reste assis sur le lit, je suis debout face à lui et il commence à défaire un à un les boutons de mon manteau. Une fois que cela est fait, il entrouvre alors mon vêtement et me découvre en lingerie comme il l’a souhaité.

Mes seins sont dressés dans un soutien-gorge demi bonnet qui laisse ainsi libre mes tétons. Je porte un large serre-taille rouge qui retient mes bas noirs et un petit string fendu de couleur rouge de la marque Lola Luna. Pour mes lecteurs qui ne connaissent pas cette marque de lingerie, je les invite à aller voir sur internet le charme de ces tenues. Mon string fendu est orné d’un petit bijou doré qui pend juste devant mon sexe. J’ai veillé à mettre des escarpins à très hauts talons pour accentuer le caractère porno chic de ma tenue. Pierre fait glisser le manteau le long de mes épaules puis me le retire complètement. Il me fait allonger sur le lit en me disant que c’est beaucoup plus sexy que tout ce qu’il avait imaginé et fantasmé. Je lui dis que je me devais d’être à la hauteur de ses attentes et je lui précise qu’il peut maintenant pleinement profiter du cadeau que lui offre mon mari. Alanguie sur le lit, je ne bouge plus et le laisse faire. Ses mains se promènent partout sur mon corps, elles se font aussi légères qu’une plume. Tout en me caressant, il se penche sur moi, respire mon parfum sur mon cou puis son visage descend jusqu’à ma chatte. Je sens son souffle sur mon sexe à travers la fente de mon string. Il me respire, s’enivre de mon suave parfum de femelle. J’écarte un peu plus les jambes, il se penche davantage et je devine presque sa bouche sur mon sexe.

Après une bonne vingtaine de minutes passées à me découvrir de tous ses sens, Pierre s’allonge à son tour sur le lit et me dit qu’il préférerait maintenant que je prenne l’initiative. Je lui réponds que cela ne me pose aucun problème, qu’il peut fermer les yeux s’il le souhaite et qu’il n’a qu’à se laisser aller. Je commence moi aussi par le caresser partout, histoire de voir où il est le plus sensible. Bien évidemment, j’évite de lui caresser les bourses et la queue pour ne pas provoquer un faux départ. Une fois que j’ai parcouru tout son corps de mes mains, c’est ma bouche qui prend le relais. Mon jeune novice réagit parfaitement lorsque je lui mordille un peu la pointe de ses seins et lorsque je m’empare de sa bouche. Sa langue joue avec la mienne et j’en profite alors pour commencer à le masturber avec lenteur. Son sexe est maintenant à point et je dois avouer qu’il est bien doté le jeune animal. Je viens me positionner à califourchon sur ses jambes et je me penche vers son bas-ventre. Lentement, mes lèvres viennent enserrer son gland turgescent. Tel un jeune chien fou, il donne des coups de queue mais c’est dans le vide car ma bouche s’enlève aussitôt. Pour ne pas lui faire subir un calvaire trop long, je le prends enfin entièrement en bouche et ne bouge plus. Pierre arrête ses mouvements et laisse son sexe prendre toute sa place dans ma bouche. Une fois que je pense que sa tension est retombée, je commence ma fellation en m’appliquant. Mes lèvres coulissent sur sa hampe dressée, ma langue s’applique sur les veines gonflées de sa verge, mes lèvres sucent avec délectation son gland tout violet. Mes mains caresses ses cuisses, effleurent ses bourses, glissent entre ses jambes puis enserrent la base de sa queue pour retenir le plus longtemps possible ce geyser de foutre qui ne demande qu’à exploser.

Je le devine à point et je me mets maintenant à califourchon au-dessus de son bas-ventre. Je me penche vers lui et nos bouchent se soudent l’une à l’autre. Il me saisit au niveau de mon serre-taille et m’interdit tout mouvement du bas de mon corps. Il donne quelques coups de queue et, sans aucune difficulté, son gland se faufile par la fente de mon string et pénètre dans ma grotte déjà bien trempée. Pour accompagner ses mouvements, je me mets à onduler de la croupe et bien vite ses mains quittent mes hanches pour venir se poser sur mes fesses. Il m’appuie fort sur le bas du dos, obligeant ainsi ma chatte à absorber entièrement sa bite jusqu’aux bourses. Il me remplit bien et c’est un bonheur de me donner à ce jeune puceau fougueux comme un étalon. Il me lime, il me baise, il me besogne, il me démonte, il met du cur à l’ouvrage et j’ai la vulve en feu. Soudain il se raidit et s’écrie

— Oh, je viens ! Je vais jouir !

Je me cale bien sur sa queue et lui réponds

— Vas-y, vide toi ! Remplis moi de tout ton foutre. Je ne veux pas en perdre une seule goutte !

Et le coquin déverse en moi un torrent de sauce juvénile que je cherche à bien garder en moi en serrant mes parois vaginales le long de sa tige encore bien raide. Lorsqu’il se retire et me laisse me mettre debout, un peu de son jus coule le long de mes jambes et vient imprégner mes bas. Je vais rentrer ainsi, pleine de bonnes vitamines.

Après quelques jeux de langue sur la queue de Pierre pour bien la nettoyer, je remets mon manteau et je descends dans le hall de l’hôtel. Quelques minutes plus tard, je suis dans un nouveau uber et je rentre à la maison. A peine suis-je entrée que François m’entraîne dans le salon où il regardait un film érotique pour passer la soirée. Il me fait mettre à genoux sur le canapé et, sans même me retirer le manteau, sort sa queue et me prend. Il me dit

— Ma jolie salope de femme est trempée comme une chienne et pleine de foutre. Ce jeune homme a donc perdu sa virginité entre tes jambes.

Au bout de quatre ou cinq minutes, il décharge à son tour en moi et me voilà bien lubrifiée pour la nuit. Je vais bien dormir…..

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